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L’idée sortie. Le festival Natur’Armor à Erquy

L’association VivArmor Nature organise, pour la douzième année consécutive, le festival Natur’Armor. Particularité de ce festival, il est itinérant. Cette année, il se déroule à Erquy. Plus de 60 exposants seront présents. Au programme : conférences, films animaliers, animations pour les enfants, sorties nature…

Samedi 4 et dimanche 5 février, Erquy (22) accueille la douzième édition du festival Natur’Armor, qui a lieu chaque année dans une ville costarmoricaine différente. « Depuis 2006, VivArmor organise ce festival dont le principal objectif est de sensibiliser et éduquer le grand public aux questions de gestion durable de la biodiversité », nous apprend le site des organisateurs.

« Partez à la rencontre du patrimoine naturel faunistique, floristique et paysager breton. » C’est la promesse que fait l’association VivArmor Nature qui vous invite à rencontrer des passionnés de nature et à participer à de nombreuses activités : conférences, films animaliers, animations pour les enfants, sorties nature…

De nombreuses expositions et stands permettront de découvrir les acteurs locaux de la biodiversité. Cette année, plus de 60 exposants seront présents : associations, maisons de la nature, espaces naturels protégés, artistes, photographes…

Pour aller plus loin

Festival Natur’Armor, les 4 et 5 février, à Erquy (22). Gratuit jusqu’à 16 ans. À partir de 16 ans : 3 € à partir de 12h, gratuit en arrivant entre 10h et 12h.

Films animaliers, sorties nature, conférences, ateliers pour les enfants : gratuit.

Soirée cinéma : 5,50 € adultes, 4 € pour les moins de 14 ans.

www.vivarmor.fr




Semaine de l’égalité et Journée internationale des droits des femmes du 6 au 12 mars 2017

Comme chaque année la radio associative Plum’fm s’engage pour la journée internationale des droits des femmes du 8 mars. A cette occasion, votre radio propose une semaine spéciale sur les ondes du 102.1
L’objectif est de valoriser les acteurs du territoire engagés sur les questions d’égalité et de sensibiliser tout un chacun sur cette thématique essentielle au mieux vivre ensemble.

Du lundi 06 au dimanche 12 mars nous vous invitons à découvrir des émissions, ainsi que des chroniques inédites réalisées par nos bénévoles. Musiciennes, scientifiques, économistes… Les femmes seront à l’honneur toute la semaine.
Direct 12h15 « L’HEURE DU RENCARD » 18h15 Rediffusion
Des invité-e-s, acteurs et actrices de l’égalité seront présents aux micros pour vous présenter leurs actions :
➢ Lundi 6 mars Marie Claude Venant Chargée de Mission à la Délégation Départementale aux droits des femmes et à l’égalité
➢ Mardi 7 mars Armelle Séité Salaün Chargée de Mission pour l’égalité Femmes-Hommes à l’Université de Bretagne Sud
➢ Jeudi 9 mars L’équipage des « Pink Dragon Ladies »
➢ Vendredi 10 mars Anne Patault Vice Présidente de la région Bretagne chargée de l’égalité et de l’innovation sociale
Lundi 6 mars 15h « LA MENSUELLE DE L’EGALITE » Samedi 11 mars 11h

Les jeunes du CFA Bâtiment de Vannes s’approprient la thématique de l’égalité
Mercredi 8 mars 15h « PLUM BAT LA CAMPAGNE SPECIAL EGALITE» Samedi 11 mars 15h
Contactez nous si vous souhaitez parler de vos actions lors d’une interview au 02 97 73 3000




Ouvrir un compte dans une banque éthique : à quoi ça sert, comment ça marche ?

Si vous êtes un particulier dont l’argent est placé dans une banque lambda, vous avez peut-être déjà eu l’occasion de constater avec désespoir que votre banque finance des projets en opposition avec vos convictions.
Pour changer cela et avoir un droit de regard sur les projets financés par votre argent, vous pouvez faire le choix de transférer vos actifs dans une banque éthique.
Voici un point sur la NEF et le Crédit Coopératif, deux banques qui emploient l’argent de leurs clients pour financer des projets apportant une plus-value sociale et/ou écologique.

Qu’est-ce que la NEF et le Crédit Coopératif ?

La NEF (Nouvelle Économie Fraternelle), à l’origine une association créée en 1978 par Henry Nouyrit et Jean-Pierre Bideau, est devenue une société financière en 1988, avant d’atteindre sa forme actuelle d’établissement de crédit spécialisé proposant des services bancaires aux particuliers et aux personnes morales; elle est autorisée à proposer des livrets d’épargne aux professionnels et aux particuliers et des comptes courants aux professionnels depuis Avril 2015. Sa vocation est de financer des projets éthiques et solidaires. D’après son rapport d’activité, fin 2015 elle compte 37131 sociétaires et possède un capital de 37,682 millions d’euros.

Le Crédit Coopératif, fondé en 1893, exerce depuis 1984 des activités bancaires. A l’origine conçu pour accorder des prêts à taux préférentiels à une clientèle statutaire, il est devenu selon les mots de son manifeste une « coopérative bancaire qui fait le choix d’être au service de l’Économie Sociale et Solidaire ». Il est adossé au groupe BPCE (Banque Populaire Caisse d’Epargne, second groupe bancaire de France dont fait partie Natixis). D’après son rapport d’activité, fin 2015 il compte 91962 porteurs de parts sociales (dont 45528 sociétaires) et possède 1,40 milliards d’euros en capitaux propres.

Le capital de ces deux banques est détenu par ses sociétaires, ce qui signifie qu’elles ne sont pas cotées en bourse et ne sont donc pas soumises à la pression d’actionnaires. Dans le système coopératif, un sociétaire = une voix quel que soit le nombre de parts qu’il possède. Les sociétaires peuvent participer à la gestion et la stratégie de leur banque en se rendant aux AG et en y votant. Ces deux banques sont, avec la Caisse Solidaire du Nord-Pas-de-Calais, les seules banques françaises membres de la FEBEA, la Fédération Européenne des Finances et Banques Ethiques et Alternatives.

En quoi leur activité est-elle éthique ?

D’après un classement carbone des groupes bancaires français proposé par les Amis de la Terre en 2015, la NEF et le Crédit Coopératif sont les banques françaises ayant l’empreinte carbone la plus réduite. Cela s’explique par le soin avec lequel elles sélectionnent leurs investissements, en évitant notamment les énergies fossiles. De plus, certains de leurs investissements sont tournés vers la protection de l’environnement.

La NEF, d’après les Amis de la Terre, est la banque la plus éthique de France dans ses investissements. Selon Julien Le Couturier, délégué régional Grand Ouest de la NEF : « quand on accorde des financements, on s’intéresse au projet porté par la structure et non pas forcément à ce que nous allons y gagner ». La valeur des projets n’est pas appréhendée en seuls termes financiers mais également par rapport aux bénéfices pour la société humaine.
Les produits d’épargne de la NEF sont garantis par le label
Finansol, et la NEF publie tous les ans une liste exhaustive des prêts qu’elle octroie, ce que ne fait aucune autre banque française. Elle ne refinance pas son activité sur les marchés financiers, ainsi l’argent des épargnants ne sert pas à spéculer. Jean-Yves Quiviger, sociétaire actif de la NEF basé dans la région morlaisienne, partage son expérience : «J’ai lu en 2010 ou 2011 un rapport des Amis de la Terre sur la transparence des banques, et je me suis posé la simple question : ‘que font les banques avec mon argent ?’ A partir de là j’ai cherché des banques transparentes et ai découvert le Crédit Coopératif et la NEF. La vie sociétaire de la NEF est très active, il y a beaucoup d’échange. ». Il possède un compte courant NEF au Crédit Coopératif (car la NEF ne propose pas encore ses propres comptes-chèques, ndlr) et un livret d’épargne à la NEF, et il est très impliqué dans la vie sociétaire de sa banque afin de faire compter sa voix dans les débats.

Le Crédit Coopératif, comme l’indique sa déclaration de principes, «s’efforce d’être utile aux initiatives concourant à l’économie de la connaissance, à l’économie collaborative ou de partage et, d’une façon générale, au progrès humain.(…) Il propose aux personnes morales et aux particuliers des produits bancaires et financiers qui permettent de soutenir les solidarités.» C’est l’un des plus vieux acteurs de la finance solidaire en France, et 25 de ses produits financiers sont garantis par le label Finansol. Les Amis de la Terre ont consacré une page à cette banque qui évalue sa transparence et l’aspect éthique de ses investissements suivant plusieurs critères dont les industries financées, l’impact environnemental et la présence dans les «paradis fiscaux». Si le bilan reste largement positif comparé à toutes les autres banques françaises (exception faite de la NEF), son implication avec le groupe BPCE peut faire sourciller certains, car il signifie que parmi les dividendes reçus de ce groupe peuvent figurer des participations aux profits de Natixis, dont les investissements sont notoirement controversés.
De plus les investissements du Crédit Coopératif ne sont pas tous centrés sur l’ESS ou l’environnement. Lysiane Colin, chargée de clientèle particuliers à l’agence de Quimper, explique : « Le Crédit Coopératif, à ses origines, avait pour fonction de fournir des prêts bonifiés (à taux préférentiels, ndlr) à une clientèle statutaire, c’est à dire entre autres aux coopératives ». Or, cette clientèle statutaire n’est pas obligatoirement actrice de l’ESS, et peut comporter par exemple des supermarchés. Cependant, Lysiane Colin précise que « le Crédit Coopératif n’investit pas dans le secteur de l’armement ni dans les énergies fossiles, et finance des projets situés exclusivement en France (à l’exception de quelques microcrédits à l’étranger) ».

Comment y ouvrir un compte ?

La NEF propose trois types d’offre : épargne, crédit, et finance participative. Jusqu’en Avril 2016, les livrets épargne de la NEF étaient gérés en partenariat avec le Crédit Coopératif, mais il est possible désormais d’ouvrir un livret d’épargne directement auprès de la NEF en contactant l’agence la plus proche de vous. D’après la responsable clientèle qui a répondu à nos questions, vous pouvez ouvrir un livret B, ou un compte à terme dont le placement est immobilisé de 1 an à 7 ans. Si vous le souhaitez, les bénéfices de votre épargne peuvent être reversés en partie ou totalement à une association partenaire.
Pour le moment, il n’est pas possible aux particuliers d’ouvrir un compte courant à la NEF mais il existe un
compte-chèque NEF Crédit Coopératif. Petit bémol : la NEF n’est pas encore en mesure de préciser la date à partir de laquelle son service de compte courant sera opérationnel, et leur partenariat avec le Crédit Coopératif pour les comptes-chèques prendra fin le 31 décembre 2017. Elle recommande donc d’attendre l’ouverture de son offre compte-chèque pour ceux qui souhaitent changer de banque à son profit.

Le Crédit Coopératif propose un compte agir, qui permet de financer des projets solidaires. Leur site web indique que « 75 % de ces sommes constituent les encours Agir et sont affectés aux financements des projets correspondant à chacun des trois domaines ; les 25 % restant étant réservés à la gestion de la liquidité de la banque. » Il propose aussi une grande variété de livrets d’épargne permettant de soutenir diverses initiatives, ainsi qu’un livret Agir qui autorise le retrait total ou partiel à tout moment, et dont la page affirme que «la moitié de mes intérêts est automatiquement versée à l’association de mon choix» (parmi les 24 associations partenaires du crédit coopératif, ndlr). Concernant les modalités d’ouverture, Lysiane Colin explique : « Cela peut se faire en personne à l’agence de Quimper mais aussi à distance via notre e-agence (banque en ligne) située à notre siège de Nanterre. »

Conclusion : certes, les banques éthiques n’offrent pas que des avantages. Il y a peu d’agences donc pas de banque de proximité, ce qui cause certains problèmes (le dépôt de chèques se fait par la Poste par exemple). Il y a aussi quelques faiblesses dans l’offre ou dans la structure même de ces banques : la NEF ne propose pas encore de compte-chèque et ses prêts sont parfois à des taux un peu au-dessus du marché, ce qui est le prix de son éthique exigeante (elle ne refinance absolument pas son activité sur les marchés financiers et elle est indépendante des groupes bancaires). le Crédit Coopératif est adossé au groupe BPCE, et certains de ses produits (certains prêts, certains plans d’épargne en actions) ne sont pas vecteurs des valeurs de l’ESS.
Cependant, d’un point de vue éthique, ces deux banques restent largement supérieures à la plupart des autres banques françaises dans la mesure où elles font tout pour réduire l’empreinte carbone de leurs activités, sont fortement impliquées dans l’Économie Sociale et Solidaire, et évitent la spéculation à outrance sur les marchés financiers.
Pour finir, Causette nous explique avec
cette BD amusante que l’impact environnemental de nos petites économies est beaucoup plus fort que celui de nos actions quotidiennes, car c’est notre argent qui donne son pouvoir à notre banque. Il est donc important de choisir sa banque de manière éclairée et d’être attentif à ses investissements.

POUR ALLER PLUS LOIN
Le calendrier des événements où sera présente la NEF. Des rencontres sont également organisées au Mouton à Cinq Pattes à Brest (Finistère) le deuxième vendredi de chaque mois de 17:00 à 18:00, et au café associatif Kikafékoi à Langueux (Côtes d’Armor) le deuxième jeudi de chaque mois de 17:30 à 19:30.
-Un
excellent article de bastamag expliquant ce qu’est une banque éthique et les perspectives d’avenir de ces structures.
Le site Bank Track (en anglais) surveille les investissements bancaires dans le monde, et propose des liens vers des pétitions adressées aux banques responsables pour protester contre les investissements non éthiques (énergies fossiles, atteintes aux droits de l’homme etc).
– Les Amis de la Terre
ont émis en 2014 un rapport sur l’impact climatique des banques françaises, un peu daté mais toujours d’actualité. Ils proposent un formulaire permettant de contacter votre banque si elle est concernée afin de lui demander de cesser de financer des projets destructeurs de l’environnement.
– Le
fond d’investissement Energie Partagée (partenaire de la NEF, labellisé Finansol) propose des actions à 100 euros pour financer des projets de développement des énergies renouvelables.




Traon Nevez : Deux jours d’animations sur le thème de l’eau

Le jeudi 27 et le vendredi 28 avril, des BTSA Gestion et Protection de la Nature du Lycée agricole de Suscinio ont mis en place des animations à Traon Nevez. Ces activités ludiques étaient destinées aux élèves d’écoles primaires des alentours de Morlaix afin de les sensibiliser à l’importance de la préservation des milieux naturels et de leur biodiversité.

À l’aide de l’ULAMIR-CPIE et du Syndicat Mixte de l’eau du Trégor, les BTS de Suscinio ont proposé des animations autour de différents thèmes aux élèves des écoles primaires de Morlaix. Le premier jour, la classe de BTS1A s’est divisée en plusieurs groupes de 2 ou 3 étudiants, chacun présentant un atelier spécifique.

Le 2ème jour, c’était au tour des étudiants de la classe BTS1B d’animer la journée.

Des parcours ludiques

Des étudiants proposaient des jeux pédagogiques. Ils invitaient les élèves à pêcher de petits animaux dans une mare d’eau douce pour les identifier et montrer l’importance biologique du milieu.

Un autre groupe présentait le parcours des poissons migrateurs. Il proposait une histoire, puis un jeu symbolisant la remonté des rivières par les saumons et les truites. Des enfants jouaient le rôle des poissons ; ils devaient courir en évitant les obstacles (rochers, prédateurs et pêcheurs).

Une équipe d’animateurs avait étendu un drap sur le sable au bord de la mer, les élèves étaient invités à poser des coquillages qu’ils venaient de récolter sur la plage. Le but était de les identifier. Les BTS leur ont montré des images d’animaux vivant dans la mer et le sable et leur on expliqué le mode de vie des espèces littorales.

Enfin, une joyeuse troupe de BTS proposait une animation sur les oiseaux migrateurs. Equipée de trois longuevues et cinq paires de jumelles, ils ont fait découvrir aux enfants les oiseaux du bord de mer. Les élèves ont appris à les reconnaître en reliant des photos à leur nom.

Des contes fantastiques

Des animateurs GPN contaient des mythes et légendes qu’ils avaient réécrits à leur manière en y rajoutant des créatures issues de la mythologie bretonne tout en se déguisant.

A la quête du Graal dans la forêt, des enfants devenaient les nouveaux chevaliers de la table ronde, tandis que d’autres suivaient l’histoire d’un peuple enfermé dans un petit lavoir, ces derniers tentaient de le délivrer en répondant à des questions sur le thème de la nature.

Les animations ont été menées à bien par les BTS GPN. En effet, ils ont réussi à concilier amusement et pédagogie, en sensibilisant le public scolaire à l’importance de préserver le littoral. Ce fût un bon entraînement à l’animation pour les étudiants de Suscinio

écrit par Matis, Maxime et Florian,
élèves de Première STAV dans le cadre de leur stage d’éco-reporters autour de l’eau.




Sondage Eco-Bretons : qui sont nos lecteurs ?

Pas toujours facile pour un webmédia d’avoir des liens avec ses lecteurs, nous avons donc décidé de mieux vous connaître par le biais d’un sondage ! Ce sondage nous dira qui vous êtes – pas dans les détails non plus – et ce que vous recherchez en lisant Eco-bretons, mais aussi ce que vous n’y trouvez pas et qu’il ne serait pas déplaisant de voir un jour, ainsi que votre opinion sur les médias citoyens et le développement durable.

En tant que média citoyen, où chaque lecteur peut décider de prendre la plume, Eco-bretons a besoin de connaître la façon dont vous le percevez au quotidien. Après la synthèse des sondages, l’association pourra faire des choix en tenant compte de vous, lecteurs et de vos souhaits, ce qui nous semble essentiel.

Merci de nous suivre, merci de prendre quelque minutes (durée d’environ 5 minutes pour 17 questions) et de nous aider à vous connaître !

Le sondage est accessible ici : https://docs.google.com/forms/d/18sMfaFKseG-lyxE7-me3N2FSFLCsbj1yZ6VZq4QwTQg/viewform?edit_requested=true

Merci beaucoup pour vos réponses!




L’idée sortie. De la fourche à la fourchette

Dès aujourd’hui, et jusqu’à dimanche, Rennes accueille les rencontres De la fourche à la fourchette, qui vise à recréer du lien entre la ferme et nos assiettes.

Les rencontres De la fourche à la fourchette se déroulent les 26, 27 et 28 mai, à Rennes. Les animations auront lieu au Jardin des Mille Pas, à l’écocentre de la Taupinais mais aussi à l’Université Rennes 2.

L’événement est organisé par le Grappe – pour GRoupement des Associations Porteuses de Projets en Environnement – et l’association étudiante Ar Vuhez. « Ces rencontres prennent racine dans la volonté du réseau de soutenir et valoriser une agriculture citoyenne en recréant le lien entre la ferme et nos assiettes grâce aux échanges de savoirs et de pratiques », explique le site du Grappe.

Quels sont les impacts de nos choix alimentaires ? Quels leviers d’actions pour défendre une agriculture citoyenne ? Quels sont les enjeux du monde agricole ? Quelles initiatives étudiantes pouvons-nous rencontrer aujourd’hui ? Autant de questions auxquelles ce week-end devrait apporter quelques pistes !

Grâce à des jeux de rôle, des discussions, des ateliers, des débats ou des conférences, les participants pourront réfléchir à leur alimentation et au modèle agricole qu’il induit.

Pour de nombreuses activités, il est nécessaire de se pré-inscrire. Cependant, certaines animations sont ouvertes et sans inscription. Comme une conférence gesticulée, vendredi soir à Rennes 2. Ou comme un spectacle de contes et danses suivi d’un concert, samedi soir au Jardin des mille pas. Ou encore la projection du film L’éveil de la permaculture, dimanche, au cinéma Le colombier.

Pour aller plus loin

www.reseaugrappe.org