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Veloparade à Nantes : record battu !

Près de 7 000 participants pour la plus grande véloparade jamais organisée au monde ! Les organisateurs sont ravis ! Il faut dire que le soleil a bien aidé à chauffer l’ambiance ce mercredi avec encore plus de 26 degrés à 17h30, heure de départ cette vélo-manifestation.

Et qui de mieux à Nantes pour insuffler l’esprit de liberté qui entoure la petite reine que Le Voyage à Nantes, l’organisme culturel de promotion touristique de Nantes Métropole, qui a agrémenté le parcours de 12 km d’animations originales et poétiques (brumisateur géant, soufflerie d’air, tunnel transformé en dancefloor, ravitaillement festif…). Au départ du parcours, un cyclo-village permettait aux participants de gonfler leurs pneus, régler leurs selles et leurs freins et se désaltérer (avec modération !) pour rouler en toute sécurité.

Les bicyclettes les plus extravagantes possibles, tandems, à deux ou trois roues, allongées ou surélevées, bmx, vtt, vtc, monocycles… se sont donc élancées pour deux heures de balades en famille ou entre amis.

 

 

 

 

 

Le seul petit hic de ces deux heures de déambulation fut de passer le centre-ville au ralenti en zigzagant à 2 à l’heure dans des rues pavées : pas très adapté !

Ce rassemblement festif organisé dans le cadre du congrès mondial Velo-city est donc une réussite  et montre bien l’intérêt des nantais pour les vélocipèdes.

Après Séville, Vancouver, Vienne et Adélaïde, c’est Nantes Métropole qui accueille près de 1 500 congressistes jusque vendredi pour un programme chargé de conférences, tables rondes et visites techniques sur les problématiques du vélo urbain. Près de 90 exposants présentent les nombreuses nouveautés aux collectivités de France et d’ailleurs prêtes à franchir le pas de la fin du tout-auto.

 

 

 

 

En savoir plus :

 




Au fil de l’eau : Eau et biodiversité-interview audio avec l’URCPIE

Dans le cadre de la consultation sur l’eau qui se déroule jusqu’au 2 mai, Eco-Bretons vous propose une série d’interviews audio consacrés aux différents enjeux liés à l’eau en Bretagne.

Aujourd’hui, rencontre avec Mari, de l’URCPIE Bretagne (Union Régionale des Centres Permanents d’Initiatives pour l’Environnement), qui nous explique ce qui se cache derrière le terme de « trame verte et bleue », et en quoi consiste le projet « Chemins » qui lui est consacré.

 

 

Pour en savoir plus sur le projet « Chemins », dirigez-vous par là : https://tvbchemins.com/

 

 

Qualité de l’eau, enjeux écologiques, adaptation au changement climatique, santé publique, sécheresses, risque d’inondation… Les questions de l’eau vous intéressent ?

Répondez en ligne à la consultation du comité de bassin Loire-Bretagne et de l’État, et participez à la définition de la stratégie pour l’eau et les inondations. La consultation est ouverte du 2e novembre 2018 au 2 mai 2019 sur le site www.prenons-soin-de-leau.fr.

 




Comprendre le développement durable grâce aux MOOC

Un MOOC, c’est quoi ?

 

Les MOOC, « Massive Open Online Course » ou « Cours en Ligne ouvert massivement » en français est une autre façon d’étudier, plus accessible, ouvert à tous et très souvent gratuits. Après les universités américaines, les universités françaises s’y mettent aussi en proposant des programmes de cours en ligne sur divers thèmes (environnement et développement durable, gestion de projet, entrepreneuriat, management, conception web et multimédia, arts, littérature,…).

 

Comment ça marche ?

 

Rien de plus simple, il vous suffit de trouver un MOOC qui vous intéresse, de vous inscrire et d’accorder quelques heures par semaine au sujet choisi. Si vous suivez le MOOC en entier, il vous sera remis une attestation de suivi avec succès.

 

Voici quelques liens vers des cours liés à l’environnement qui commencent dans les prochaines semaines :

MOOC Causes et enjeux du développement durable

 

MOOC Environnement et Développement Durable

 

MOOC Energies renouvelables

 

MOOC Des rivières et des hommes

 

MOOC Agroécologie

 

Retrouvez d’autres MOOC sur MOOC Francophone ou sur FUN, France Université Numérique

 

 




Eplucher et danser pour des alternatives au gaspillage alimentaire !

Le mouvement Disco-soupe

Inspiré des « Schnippel Disko » créées par Slow Food en Allemagne et des banquets géants lancés par Tristram Stuart (auteur du livre “Waste, Uncovering the Global Food Scandal”, et fondateur de Feeding the 500), le mouvement Disco Soupe a démarré à Paris en mars 2012. Depuis, il a fait des adeptes et essaimé sur les quatre continents !

Ces soupes géantes, réalisées, dégustées en musique, et confectionnées à partir de légumes mis au rebut permettent d’interroger le système et les pratiques liées à notre alimentation. A l’origine de cette initiative, un constat : 1/3 des aliments sont gaspillés tout au long de la chaîne alimentaire, soit 1,3 milliard de tonnes de denrées alimentaires par an.

Par la convivialité, le cuisiner ensemble, la multiplication des expérimentations dans l’espace public, cette communauté construit un nouveau modèle de sensibilisation résolument joyeux et positif.

 

Une vidéo sur les Disco-Soupes :

 

 

 

 

Et Al’Terre Breizh dans tout ça ?

L’association Al’Terre Breizh accompagne, sur la Bretagne, les transitions vers des modes de vie plus durables, plus joyeux, plus sereins et propose régulièrement des événements en co-construction avec les territoires !

En 2013, nous avons expérimenté la première Disco-Soupe de Cornouaille et son forum de la Terre à l’Assiette, avec Quimper Communauté.

Nous avons eu envie de renouveler l’expérience en travaillant plus en profondeur les outils de sensibilisation et la mobilisation citoyenne.

 

Dès 2014, nous avons défini les contours du projet :

* organiser 3 disco-soupes en Cornouaille en co-construction avec des acteurs locaux ;

* organiser au sein de chacune un forum associatif autour des alternatives au gaspillage et pour une meilleure alimentation ;

* élaborer des outils de communication sur l’empreinte écologique du gaspillage et les mettre ensuite en open source à disposition de l’ensemble de la communauté disco-soupe.

 

Depuis le printemps 2015, l’équipe des 3 salariées et plus d’une vingtaine de bénévoles travaillent sur le projet. Logistique, élaboration d’outils autour des alternatives au gaspillage alimentaire (jeux gourmands, mur des engagements, empreinte écologique) com et animation, rien n’est laissé au hasard ! Tout le monde apporte sa contribution et ses idées : improvisation théâtrale, déguisement, musique, récupération des légumes, hygiène, matériel…

Le projet est aussi l’occasion de vivre et faire vivre les principes de coopération et de bienveillance, qui sont des fondamentaux de l’association.

 

Trois dates, trois lieux, trois ambiances différentes

Pendant le festival Breizh Transitions, en septembre, nos partenaires Quimper Communauté et Quimper Événements ont souhaité apporter, avec la Disco Soupe, une touche joyeuse et un peu décalée. Les visiteurs du salon et les exposants ont profité de cette sensibilisation gourmande et animée, pour déguster 240 litres de soupes…

La deuxième Disco-Soupe a eu lieu le 28 novembre pendant la « Faites de la Récup », journée de fête organisée en partenariat avec Concarneau Cornouaille Agglomération, la MJC de Trégunc, la CLCV, le centre socio-culturel la Balise, le Centre Social de Rosporden et d’autres partenaires locaux. Plus de 400 kg de légumes, fruits et pains sauvés du rebut ! Une vraie réussite : 850 visiteurs sont venus éplucher des légumes et préparer des brochettes de fruits, danser, déguster les soupes, choisir des objets sur la bourse gratuite, apprendre à faire leurs produits ménagers ou à cuisiner les restes, tout en profitant des concerts et matchs d’impro…

 

 

 

La prochaine et dernière disco-soupe de l’année se déroule samedi 19 décembre, à l’Arthémuse de Briec à partir de 16h30. Une disco-soupe solidaire de Noël, organisée avec et pour les personnes en situation d’exclusion, en partenariat avec le Centre communal d’action sociale, la Communauté de communes du Pays Glazik, et de nombreuses associations locales. Ouverte à tous, la fête propose une bourse aux jouets, un espace multi-jeux pour les enfants, un stand zéro déchets (démarche Béa Johnson), des ateliers récup, un coin détente et lecture, une buvette… et la Maxi DISCO-SOUPE avec son forum de la Terre à l’Assiette !!! Du jardin aux ateliers pluche, cuisine, dégustation, en passant par des jeux et recettes gourmandes, joyeuses et goûteuses. Miam !

Coming soon, pour partager la vidéo d’annonce sur la Disco-Soupe sur Briec, c’est ici :

Pour inviter vos ami-e-s à l’événement sur facebook : c’est ici

 

 

Un crowdfunfing, pour quoi faire ?

« Parce que les recettes de soupes ça se discute, la discute ça s
‘organise, l’organisation ça prend du temps et le temps, c’est de l’argent ». Pour boucler le budget de l’événement – et financer le travail de l’équipe, qui prépare le projet depuis 6 mois – l’oignon fait la force ! Al’Terre Breizh organise un financement participatif ou crowdfunding… Ainsi la disco-soupe solidaire,
est solidaire aussi, puisqu’elle permet à chacun de soutenir le projet selon son envie, ses possibilités… et même de loin !

Certaines des contreparties proposées peuvent même faire de belles idées de cadeaux pour vos proches 🙂
Une expérimentation de financement original et participatif pour l’association, très implantée en Cornouaille et qui rayonne sur plusieurs départements.

Pour participer à la campagne de financement participatif : c’est ici

 

 

 




Participez à faire avancer la science sur les « laisses de mer » !

Les
vacances scolaires s’achèvent, beaucoup ont repris le chemin du
travail, mais septembre est encore le moment où l’on peut se rendre
à la plage. C’est l’occasion de participer à une grande opération
de sciences participatives, grâce au programme « Plages
Vivantes », et à son premier volet , le protocole « Alamer »,
qui est consacré aux laisses de mer.

Le
programme « Plages vivantes » a été lancé en mars par
le Muséum d’Histoire Naturelle. Co-construit avec de nombreux
partenaires, il a pour objectif de « Mieux comprendre le
fonctionnement des hauts de plage », notamment des « laisses
de mer ». Les laisses de mer sont l’ensemble des débris
d’origine végétale et animale déposés sur le haut des plages. Ils
contribuent à l’alimentation des plantes du haut du grève et
accueillent des oiseaux et des invertébrés, Mais cet habitat
écologique est actuellement soumis à de nombreuses pressions et
changements (pollution, ramassage des algues, réchauffement
climatiques…). Il est donc important de mieux connaître et
comprendre ces changements, afin de mieux protéger cet habitat.
C’est là l’enjeu du programme « Plages Vivantes », dont
la première étape est le protocole « Alamer » (Algues
de la Laisse de Mer)

Ce
protocole couvre le littoral de la Manche et de l’Atlantique. Son
objectif est d’ « étudier le volume et la composition en
algues des laisses de mer, dans le temps et dans l’espace ».
Tout le monde peut y participer ! En effet, les scientifiques
ont besoin de récolter un grand nombre de données.

Comment faire ?

Pour
cela, il suffit de se rendre sur le site
http://plagesvivantes.65mo.fr,
et d’aller sur l’onglet « Protocole Alamer ». Le
protocole est divisé en deux niveaux de participation : pour le
grand public, et pour tous.

En famille, entre amis, en solo, on peut ainsi apporter sa pierre à l’édifice. Il suffit de se rendre sur la plage muni d’une corde de 25 mètres, d’une autre corde de 4 mètres, d’une ou plusieurs étiquettes numérotées, de la fiche « clé d’identification des algues » (disponible sur le site), de la fiche de terrain qui permet de noter les observations (disponible sur le site), et d’un appareil photo.

Dans un premier temps, il faut identifier un transect (surface d’étude matérialisée par une ligne) de 25 mètres, grâce à la corde. Il faudra ensuite positionner un quadrat (surface d’étude matérialisée par un cercle ou un carré) de 1m de coté le long de ce transect, lui assigner un numéro avec l’une des étiquettes, et le prendre en photo pour bien l’identifier. Ensuite, il faudra identifier et quantifier les algues présentes dans ce quadrat à l’aide de la clé. Les algues non identifiées seront prises en photo.

On
peut faire entre 1 et 5 quadrat par transect.

Et
voilà le tour est joué !

Une fois l’observation réalisée, on peut transmettre ses résultats directement sur le site.

Hormis « Plages Vivantes », de nombreux autres programmes de sciences participatives, initiés par différents organismes, existent : observation des papillons, lichens en ville, vers luisants, requins pèlerins, oiseaux…ils n’attendent que vous ! Direction la plateforme https://www.open-sciences-participatives.org/ pour les découvrir !




Forum des usages coopératifs, en chemin vers la coopération !

Le forum des usages coopératifs et les chemins de la coopération seront symboliquement lancé le mercredi 8 juillet en ligne. Pas de rencontre physique pour cette fois mais une mise en perspective du thème de la convergence des transitions et ses différentes approches. A découvrir ici et rendez-vous le mercredi 8 juillet, 10 h !

A notre grand regret, le contexte sanitaire ne permet pas à la Ville de Brest et ses partenaires d’accueillir physiquement à Brest, début juillet 2020, les participants du forum des usages coopératifs. Un peu de patience nous sera nécessaire pour retrouver la convivialité de ces rencontres.

Dans le contexte de crise covid-19, le thème de la Convergence des transitions est particulièrement d’actualité et porteur de solutions. Pour nourrir la réflexion d’après crise et sans attendre 2021, les organisateurs du forum ont décidé de maintenir le mercredi 8 juillet 2020, un évènement symbolique du forum avec une conférence inaugurale et le lancement des « chemins de la coopération ». Compte tenu du second tour des élections municipales de ce dimanche 28 juin 2020, cette nouvelle perspective sera présentée aux élus nouvellement nommés et devra recevoir leur validation.

Avec les chemins de la coopération, il s’agit de créer une dynamique de coopération et de partage. Dans l’esprit du Forum des usages coopératifs, espace de rencontre, cette proposition vise à relier et mettre en communs initiatives, réflexions autour des thèmes des sessions : convergence des transitions, coopérations ouvertes pour la santé, l’éducation, les lowtech, l’inclusion sociale et numérique, les Fabcities, les circuits courts et l’autonomie alimentaire, le climat et la biodiversité…

Trop souvent éclatés dans nos territoires ou nos réseaux thématiques nous avons besoin d’inventer des formes de coopération ouverte qui contribuent à un monde vivable et désirable pour reprendre les termes de l’appel de Co-construire à Tournai.

Nous proposons d’utiliser pour cela le wiki du Forum qui sera adapté pour accueillir cette écriture ouverte.

Pour lancer cette proposition et les « Chemins de la coopération », une conférence est proposée ce mercredi 8 juillet (10 h) date initiale de la 9e édition du forum des usages coopératifs

Une conférence de Catherine Dufour, la Ville de Science-fiction

Catherine Dufour, auteure de Science-fiction, mais aussi ingénieure informatique, nous fait le plaisir d’une conférence qu’elle tiendra en ligne. Prise de hauteur et grande bouffée d’air garanties sur le thème de « la ville de Science-fiction : de la ville monstre à la ville douce ».

Cette conférence est gratuite et ouverte à toutes et tous.

S’inscrire à la conférence en ligne de Catherine Dufour du 8 juillet

Le 8 juillet sera également l’occasion de vous présenter les « chemins de la coopération » et les thèmes que nous vous proposons d’explorer, d’enrichir tout au long de l’année.

L’action des makers français contre le coronavirus

A 14h, ce 8 juillet, sur le thème « santé ouverte » se tiendra également, une conférence en ligne intitulée : « L’action des makers français contre le coronavirus » avec l’appui du Réseau Français des Fablabs, et de covid-initiatives. En savoir plus

Dans le détail :

En chemin vers… La convergence des Transitions : partage, entraide et coopération

Face aux défis d’un monde en péril, de plus en plus de personnes, de groupes s’organisent pour préparer un futur solidaire et durable. Comment favoriser le croisement des initiatives, développer une culture du partage, de la documentation et de l’entraide. Comment inventer la compostabilité, la permaculture de nos projets et initiatives pour qu’ils vivent au-delà de nous-mêmes. Comment réinventer des usages moins consommateur du numérique ? Comment relier transition écologique, numérique, alimentaire etc …
Mettons-nous en chemin dès le 8 juillet 2020 pour partager, échanger autour de thèmes qui nous donnent envies d’espérer et d’« agir en communs ».

Une conférence en ligne le Mercredi 8 juillet à 10 h

« La ville de science-fiction : de la ville monstre à la ville douce » par Catherine Dufour
La ville apparaît d’abord dans les œuvres de science-fiction comme élément de décor. Mais un décor qui est si présent, si pesant qu’il devient souvent un personnage à part entière, voire le personnage principal de l’intrigue. La ville peut même intervenir sous l’aspect d’une entité vivante, et dévorante.
Si l’on considère que la ville, c’est le visage de l’être humain en collectivité, alors, que faut-il penser de la propension qu’a la science-fiction, surtout cinématographique, à mettre en scène la destruction de la ville ? Tous les blockbusters raffolent des autodafés de buildings, et multiplient à l’envi les images de tours en feu s’abattant sur la tête de fuyards hurlants. Peut-être haïssons-nous ce que nous avons fait de notre collectif.
Outre la destruction de la ville, la science-fiction met volontiers en scène l’absence de ville, notamment dans le genre post-apocalyptique : comment survivre sans la ville ? Hors d’elle, loin d’elle, ou dans ses ruines ?
Heureusement, après tant de scenarii catastrophes, il semble qu’aujourd’hui, notre psyché évolue. En s’éloignant du cyberpunk, la science-fiction actuelle tente de mettre en scène des villes plus douces, des villes réconciliées avec elles-mêmes, et, enfin, à taille humaine.

Catherine Dufour est ingénieure en informatique, chroniqueuse au Monde Diplomatique et chargée de cours à Sciences Po Paris. Publiée depuis 2001, elle a sorti chez Fayard en 2019 « Ada ou la beauté des nombres », une biographie d’Ada Lovelace, la première programmeuse. Depuis 2016, elle participe à une réflexion plurielle sur la société de demain, Désincarcérer le futur, au sein du collectif d’auteur-es de science-fiction Zanzibar. Son livre de fantasy politique Danse avec les lutins (Ed. L’Atalante) vient de se voir décerner le Grand prix des Imaginales. »

Les thèmes à suivre tout au long de l’année :

  • Lowtech et transitions : solutions, numérique, et technologies soutenables
    Coordination : H.Aubin, Métropole de Rennes – Y.Quere – Ubo Open Factory
  • Fabcities, Villes résilientes : La coopération, l’environnement et l’encapacitation des citoyens
    Coordination : Métropoles de Brest, Nantes Rennes – réseaux des fabcities
  • Circuits courts et autonomie alimentaire
    Coordination : JF Marchandise, Fing
  • Transitions & inclusions sociale et numérique
    Coordination : Elisabeth Le Faucheur, Brest métropole et ville, Géraldine Guérillot, Gis Marsouin
  • Enseigner les transitions et en transition
    Coordination : JM Gilliot, Imt Atlantique, Réseau Prof@brest, les coopératives pédagogiques de Bretagne
  • Vers une santé ouverte : Conférence le 8 juillet après midi (14h) !
    Coordination : Hugues Aubin, Rennes métropole
  • Climat et biodiversité :
    Coordination : Louis Julien de la Bouere

L’objectif des chemins de la coopération est d’alimenter ces thématiques qui apparaissent comme des ressources pour penser l’après-crise.

Des ressources, différents formats

Ces ressources par thème pourront revêtir différents formats :

  • Webinaires, conférences en ligne
  • Fiches initiatives, inspirations, transformations créatives
  • Compte-rendu de rencontres
  • Partage de point de vue, interviews
  • Présentation de stratégies territoriales et/ou de projet
  • Créations littéraires artistiques, films
  • Visites à distance…

Le wiki du forum accueillera l’ensemble des contenus, évènements, un agenda et les modalités de participation/d’accès à l’ensemble des ressources partagées.

Le comité d’organisation du forum des usages coopératifs

Rappel : Du fait des élections municipales du dimanche 28 juin, les chemins de la coopération devront faire l’objet d’une présentation et d’une validation des élus nouvellement nommés.