1

Un financement participatif pour des livraisons de produits frais et locaux à domicile

L’entreprise 21km, qui collecte des produits locaux et en majorité bios chez des producteurs du Pays de Rennes et de la Côte d’Emeraude pour les livrer ensuite sur ce même secteur à domicile, lance une campagne de financement participatif, afin de développer ses tournées et mieux s’équiper.

21 km, c’est le nom d’un service de livraison de produits locaux, créé par Nicolas Fruh il y a maintenant deux ans, juste avant le premier confinement. La première tournée a d’ailleurs été réalisée lors de ce moment particulier. Le fonctionnement est simple : l’entreprise récupère directement des fruits, légumes, laitages, jus de fruits, galettes, viandes, plats cuisinés…chez les producteurs locaux, et les livre ensuite aux clients, sur une zone de 21 kilomètres autour de Rennes et sur la côte d’Emeraude. L’objectif : limiter les déplacements pour les consommateurs, les mutualiser pour faire baisser le bilan carbone, tout en apportant un service logistique aux producteurs. « Aujourd’hui, ils sont au nombre de 80 dans le réseau, ce qui nous permet de proposer une gamme de plus de 500 références », précise Nicolas. « Des produits locaux, pour la grande majorité bio : 90% des fruits et légumes et 100% du pain par exemple ». 110 foyers, une vingtaine d’entreprises, de restaurateurs et de crêches sont ainsi livrés chaque semaine, les mercredi et jeudi, par la structure, qui compte désormais six salarié.e.s

Déjà soutenu par trois clubs Cigales, 21km veut aussi impliquer les consommateurs dans son développement. Un financement participatif a été lancé, via la plateforme spécialisée Miimosa. Objectif : atteindre entre 8000 et 15000€ pour réaliser les investissements nécessaires au développement de la tournée, pour faciliter le travail de l’équipe sur le terrain et améliorer les outils logistiques et numériques pour continuer à étoffer le réseau des producteurs. « On aimerait proposer notamment des produis de la mer, et il nous faudrait pour cela de nouveaux outils », confie Nicolas. Avis aux personnes intéressées, il reste encore 24 jours pour apporter sa pierre à l’édifice !

 

Plus d’infos

https://21km.fr/

https://miimosa.com/fr/projects/21km-pour-une-alimentation-locale-et-humaine

 


Pssst…nous avons besoin de vous !

Nous sommes un webmédia associatif, basé à Morlaix qui met en avant les actrices et les acteurs des transitions écologiques nécessitant évidemment des transitions sociales, culturelles et solidaires dans nos territoires de Bretagne. Outre, notre site d’information, alimenté par notre journaliste-salariée et par des plumes citoyennes bénévoles, nous menons ponctuellement des actions de sensibilisation aux transitions et de formation aux médias citoyens avec des interventions auprès d’associations et d’établissements scolaires.
Pour tout cela, nous avons le soutien de collectivités territoriales et de l’Etat. Percevoir de l’argent public pour nos activités d’intérêt général fait sens pour nous.
Pour autant, votre participation citoyenne nous est essentielle. Si vous appréciez nos articles, vous pouvez contribuer au fonctionnement de l’association et au maintien de l’accès gratuit au site en cliquant ici pour faire un don : https://www.helloasso.com/associations/eco-bretons/formulaires/2/widget
Vous pouvez également faire un don par chèque, à l’ordre de l’association Eco-Bretons, et envoyer le tout à : Eco-Bretons, 52 Route de Garlan – Kerozar, 29600 Morlaix
D’avance merci ! 

 




Marie Romanens et Patrick Guérin : « Il faut un changement individuel pour que le changement global se fasse »

 

 

Plus d’infos

http://www.marieromanens.com/ecopsychologie.html

Le site du Réseau Education à l’Environnement en Bretagne

http://eco-psychologie.com/

 

A lire aussi

http://www.eco-bretons.info/ecomag/interview/%C2%AB%C2%A0il-faut-un-changement-individuel-pour-que-changement-global-se-fasse%C2%A0%C2%BB

 




Perma G’Rennes, une micro-ferme en permaculture à Rennes

Produire en permaculture sur une toute petite surface, sur d’anciennes friches appartenant à la Ville de Rennes dans le quartier de la Prevalaye, c’est le pari de Mickaël Hardy avec sa micro-ferme intensive « Perma G’Rennes ». Préservation de la biodiversité, sobriété et création de lien social sont au cœur de projet qui relie la campagne et le milieu urbain.

Mickaël Hardy est installé depuis juin 2016 sur le site de la Prévalaye, à Rennes. Il s’est lancé dans un projet encore peu courant sur le territoire breton : une micro-ferme intensive maraîchère en permaculture, en milieu urbain, sur des terres appartenant à la Ville de Rennes. « Il y avait une dynamique très ancienne ici, avec des petites fermes d’un ou deux hectares. Elle se poursuit aujourd’hui avec une envie d’installer des projets agricoles innovants, avec l’association Les Ami-e-s de la Prévalaye et la Ville », explique le maraîcher. C’est ainsi qu’il s’est installé sur un système très petit, d’un demi-hectare, avec l’objectif de produire autant qu’en agriculture bio sur une surface de un ou deux hectares. « On a quatre fois plus de rendement au mètre carré qu’un maraîcher classique », précise Mickaël. « On va par exemple serrer davantage les cultures sur les parcelles, on peut planter jusqu’à sept espèces par planches, en association. Et on ne passe pas le tracteur ! ». Le tout en utilisant les principes de la permaculture. Tout a été réfléchi et créé sur la micro-ferme pour parvenir à la création de micro-écosystèmes et à une interaction entre les différentes espèces. « J’ai tout d’abord travaillé sur le design permaculturel, et sur la reproduction du maillage du bocage et des talus. On est ici sur un bocage très précieux, un paysage riche, traditionnel, qu’il faut préserver », commente le maraîcher.

Des semences paysannes en production

Les premières mises en culture datent ainsi de mars 2017. Les premières récoltes (salades, radis…) ont pu avoir lieu en juin. Et les ventes ont démarré fin juillet, notamment sur le marché du Mail François Mitterand à Rennes. Mickaël Hardy fournit également des groupements d’achats et trois Ruches Qui Dit Oui.

La micro-ferme a également pour vocation la production de semences paysannes, notamment pour un semencier. Une cinquantaine de variétés sont ainsi produites. « Des variétés paysannes, libres, anciennes, non hybrides et sauvegardées par le fait qu’elles aient été cultivées par des paysans dans des petites parcelles », souligne Mickaël, pour qui les aspects « transmission » et « lien social » sont également très importants. La ferme est ouverte et accessible au public. Et depuis trois semaines, des cours de permaculture ont démarré sur la ferme. « Il y a une vraie demande. Les cours se déroulent ici en petits groupes, une fois par semaine. Cela permet de voir et vivre ce qui se passe sur une année en système permaculturel, en ayant une vision sur toutes les saisons», développe Mickael, qui veut aussi montrer via sa micro-ferme que la permaculture est « un système viable ». « On arrive à avoir une production en totale autonomie. On est dans la sobriété, et en plus on peut créer de l’emploi sur une petite surface. L’objectif, c’est de vivre à trois sur la ferme dans les prochaines années », confie-t-il.

Préservation de la biodiversité, autonomie alimentaire, création d’emploi et réduction des déchets, lien social, transmission…Perma G’Rennes semble montrer qu’un autre type d’agriculture, en milieu urbain et sur de très petites surfaces, est possible et pourrait se développer. « L’idée, avec ce projet, c’est aussi de montrer qu’on peut le faire, qu’il faut oser s’installer. Les débouchés sont là, la clientèle est à côté. Il faut y aller petit à petit », affirme Mickaël. La Ville de Rennes compte d’ailleurs soutenir d’autres projets d’installations de ce type, dans d’autres quartiers. De quoi donner des idées aux autres communes bretonnes, même aux plus petites, espère le maraîcher de la Prévalaye !

Pour les contacter : 

Page facebookhttps://www.facebook.com/PERMA-GRennes-1901570253403567/

Mail : perma.g.rennes@gmail.com




L’Arbre, cet allié insoupçonné.

Avec cette frénésie de la vie, où tout va toujours plus vite, on oublie parfois de se poser, d’observer, de contempler. On ne prend plus le temps de les voir comme ils sont, les arbres. Ces êtres vivants que l’on croise dans nos villes, au bord de nos routes, peuplant aussi nos campagnes, parfois clairsemés, seuls, parfois regroupés formant un petit bout de nature, devenant un refuge pour les animaux, et parfois, il sont là, ensemble, réunis, formant des forêts immenses, magnifiques, inspirantes, gorgées de vie.

 

 


Ces arbres qui font parties de nos vies, même si parfois on les oublie, nous rendent d’innombrables services au quotidien. Ils sont là, présents, pour nettoyer notre air, épurer notre atmosphère du CO2 de nos villes et autres polluants comme des particules de métaux lourds, plomb, cadmium, manganèse,… comme une véritable usine d’épuration gratuite afin de se nourrir, vivre, grandir et produire de l’oxygène, dont nous, êtres humains, avons cruellement besoin pour respirer.

 

« Quand on songe qu’un chêne centenaire produit annuellement durant ses trois saisons de photosynthèse, suffisamment d’oxygène pour permettre à un humain de respirer durant 10 ans, on comprend qu’il faut absolument encourager la présence des feuillus adultes et les protéger, car ils sont les plus grands pourvoyeurs d’oxygène, outre les végétaux marins. » Extrait tiré du livre « Arbres et arbustes thérapeutiques », Anny Schneider, p. 84 et image de la photosynthèse p.85.

 

 

Francis Hallé, botaniste et biologiste français, explique très bien cela et plus en détails dans son livre, Du bon usage des arbres, Édition Actes Sud, Domaine du possible :

«[…]L’absorption des gaz et la fixation des poussières augmentent avec la surface du feuillage, donc avec l’âge ; les grands arbres, au tronc d’un mètre de diamètre ou davantage, absorbent et stockent trente à soixante-cinq fois plus de polluants atmosphériques que ne peuvent le faire de jeunes arbres donc le tronc n’atteint pas 10 centimètres de diamètre.[…] » Extrait tiré du livre « Du bon usage des arbres », Francis Hallé , p.42

 

Les arbres augmentent également l’humidité de l’air et en diminuent la température par évaporation et transpiration, cela contribue à rafraîchir nos rues et ainsi nous faire des économies d’énergies.

 

 

 

« L’arbre ? Un excellent climatiseur en période de canicule! » Extrait tiré du livre « Du bon usage des arbres », Francis Hallé , p.41.

 

 

Ils sont aussi utiles pour atténuer les bruits de la rue, assécher les vieux murs, les sous-sols et les caves humides, servir de brise-vent ou encore pour retenir les sols en pente.

Par leur présence, que ce soit dans nos intérieurs avec de petits arbres comme les bonzaïs, ou en extérieur le long de nos trottoirs, ils apportent une touche de douceur et de bienveillance dans nos villes. De même, qu’une balade en forêt nous apporte détente et calme intérieur.

« La guérison au contact direct des arbres. Nous connaissons tous des sentiments de bien-être après une promenade prolongée dans une forêt ancienne. Ce milieu si vivant et grouillant de couleurs, de sons et de parfums incomparables est source de délices multisensoriels. Ce que l’on commence à redécouvrir cependant, et que tous les vrais amants de la forêt savent depuis toujours, est que le simple contact avec la nature sauvage guérit l’âme et le corps. »  Extrait tiré du livre « Arbres et arbustes thérapeutiques », Anny Schneider.

De plus, beaucoup d’arbres ont de merveilleuses propriétés thérapeutiques, au travers de leurs feuilles, fleurs, écorces ou racines, nous pouvons en extraire les principes actifs et ainsi les utiliser pour se soigner en préparant soigneusement des décoctions, élixirs floraux, ou infusions.

 

Mais
le rôle des arbres dans nos vies ne s’arrête pas là, loin de là. Ils nous offrent également du bois, qui est une matière première très présente autour de nous, pour construire nos maisons et nos meubles. Ils sont là lors de nos longues soirées d’hiver pour nous chauffer et manger.

Comment peut-on alors redonner une place importante à ces arbres sans qui nous ne pourrions simplement pas vivre ?

 

Tout d’abord, il est important de comprendre et respecter la vie des arbres. S’informer sur les espèces d’arbres qui poussent près de chez vous, lorsque que vous souhaitez en planter, est primordial pour leur laisser un espace de vie convenable et un temps nécessaire pour leur croissance pour qu’ils puissent s’épanouir sans danger pour les habitants et les rues.

En ville, et surtout lors de la réalisation de travaux publics, il est important de protéger leurs troncs et leurs racines souterraines contre les agressions extérieures, si nous ne voulons pas qu’ils deviennent dangereux dans nos rues. En effet, un arbre abîmé ou un arbre dont les racines ne sont pas bien implantées dans le sol, a plus de chance de mourir précocement ou de se déraciner lors de vents violents.

« Respecter les arbres, c’est s’interdire de les soumettre à des tailles ou à des élagages sévères qui les laissent marqués par des plaies de grands diamètres et qui, de ce fait, les vouent à la maladie, ou même à la mort. […] Les respecter implique de comprendre ce que nous devons leur apporter et d’identifier les pratiques que nous devons nous interdire à leur égard. » Extrait tiré du livre « Du bon usage des arbres », Francis Hallé. p.53

Les observer, les contempler et les enlacer sont aussi de belles façons de leur redonner une place dans nos vies et dans nos cœurs.

 

 

Voici un extrait du livre de Francis Hallé, dans lequel il nous fait part d’une rencontre qu’il a faite dans un avion le ramenant à Paris. A l’escale de Téhéran, monte un ingénieur français qui s’est assis à côté de lui. Se rendant compte qu’ils aimaient tous deux les arbres, Francis Hallé nous partage un extrait de leur conversation et une phrase qu’il n’a jamais oubliée :

« Que vous soyez océanographe ou musicien, clown, médecin, archevêque ou proxénète, tôt ou tard vous vous demanderez si votre métier est vraiment utile : « Ne suis-je pas en train de perdre mon temps ou, pire encore, de faire du tort à ceux que j’aime ? » On peut dire de presque toutes les activités humaines qu’elles engendrent un doute quant à leur utilité réelle. Il n’y a qu’une seule exception, m’a-t-il dit, il n’y a qu’une activité qui soit au-dessus de tout soupçon : planter des arbres » Extrait tiré du livre « Du bon usage des arbres », Francis Hallé. p.67

 

Source des illustrations : Pixabay

Pour aller plus loin :

ANNY SCHNEIDER, Arbres et arbustes thérapeutiques, Les Éditions de l’Homme, 2002

HALLE FRANCIS, Du bon usage des arbres, Édition Actes Sud, Domaine du possible, 2011

HALLE FRANCIS, Plaidoyer pour l’arbre, Édition Actes Sud Nature, 2005

BILL MOLLISON, Introduction à la permaculture, Passerelle Eco, 2012

 

Quelques films à visionner :

Wild-Touch a suivi le botaniste Francis Hallé en forêt tropicale, retrouvez la vidéo ici :

https://m.youtube.com/watch?v=Hb30dqkY2gc

« Il était une forêt », Luc Jacquet

« L’Homme qui Plantait des Arbres», Frederic Back, 1987, inspiré du issu du livre « L’Homme qui plantait des arbres», écrit par Jean Giono en 1953.

La forêt comestible de Juan Anton : https://vimeo.com/92400766

 

 

 




Marie Romanens et Patrick Guérin : « Il faut un changement individuel pour que le changement global se fasse »

 

 

Plus d’infos

http://www.marieromanens.com/ecopsychologie.html

Le site du Réseau Education à l’Environnement en Bretagne

http://eco-psychologie.com/

 

A lire aussi

http://www.eco-bretons.info/ecomag/interview/%C2%AB%C2%A0il-faut-un-changement-individuel-pour-que-changement-global-se-fasse%C2%A0%C2%BB

 




A Carnac, Lorraine lance ses serres dans une démarche d’économie circulaire

A Carnac dans le Morbihan, Lorraine Le Baud a fondé Upgaarden, entreprise de fabrication et de distribution de serres éco-conçues, réalisées par une structure d’insertion pénitentiaire, à partir de menuiseries collectées sur des chantiers de démantèlement de bâtiment en Bretagne et Pays de Loire.

Chaque année, 97% des déchets de verres plats partent à l’enfouissement. Un chiffre édifiant, qui a fait réagir Lorraine Le Baud. A l’époque travaillant à Paris pour un groupe para-pétrolier, elle s’occupe du déménagement des collaborateurs de l’entreprise, d’une tour à une autre. C’est alors qu’elle s’aperçoit que les déchets du BTP (cloisons vitrées et menuiseries extérieures) ne seront pas recyclés ou réutilisés, mais enfouis. « C’était pourtant encore fonctionnel» se souvient-elle. Une situation, couplée à une envie de changement, qui la pousse alors à quitter son emploi et à prendre la direction du Morbihan.

Là bas, elle s’inscrit dans un Master spécialisé en économie circulaire, à l’Université de Bretagne Sud à Lorient. L’occasion pour Lorraine d’acquérir « de nombreuses compétences, que ce soit en droit de l’environnement ou en gestion des déchets ». En filigrane, elle continue à mûrir son projet de revalorisation du verre plat. Et entre parallèlement à ses études dans un incubateur pour mettre au point sa structure.

C’est ainsi que début 2022, Lorraine a lancé Upgaarden, entreprise de fabrication et distribution de serres de jardin éco-conçues en Bretagne, et installée à Carnac. Pour l’instant, deux modèles sont proposés : une serre châssis, et une mini-serre de germination. Elles sont réalisés à partir de verre issus de chantiers de démantèlement de bâtiment, ou de surplus de chantiers de villes bretonnes. Des partenariats sont également mis en place avec des professionnels du secteur des fermetures. « Et au démarrage de l’activité, quelques particuliers nous ont apporté des fenêtres, lors de dépôts réalisés lors de chantier de rénovation », précise Lorraine. Le bois quant à lui est issu d’une filière bretonne et labellisé FSC. « L’empreinte carbone est ainsi trente fois moins élevée qu’une serre classique équivalente ».

Le projet Upgaarden inclut également une dimension sociale, puisque l’entreprise fait appel à une structure pénitentiaire d’insertion, pour la fabrication. «Lors de la vente d’une serre, sur les 440 euros dépensée par l’acheteur, 170 euros sont reversés à la maison d’arrêt », souligne Lorraine. Les détenus, tous volontaires, « ont ainsi la possibilité d’acquérir des compétences en terme de travail du bois et du verre, qui pourront être réutilisées par la suite », ajoute-t-elle.

Pour le moment, les serres de Upgaarden sont vendues sur le site internet de l’entreprise. Cette année, Lorraine souhaite structurer et consolider les partenariats mis en place, et ambitionne de devenir par la suite le « leader français du réemploi du verre plat », en développant également une gamme de mobilier en verre et des objets de décoration.

 

Plus d’infos

https://.upgaarden.com

 


Pssst…nous avons besoin de vous !

Nous sommes un webmédia associatif, basé à Morlaix qui met en avant les actrices et les acteurs des transitions écologiques nécessitant évidemment des transitions sociales, culturelles et solidaires dans nos territoires de Bretagne. Outre, notre site d’information, alimenté par notre journaliste-salariée et par des plumes citoyennes bénévoles, nous menons ponctuellement des actions de sensibilisation aux transitions et de formation aux médias citoyens avec des interventions auprès d’associations et d’établissements scolaires.
Pour tout cela, nous avons le soutien de collectivités territoriales et de l’Etat. Percevoir de l’argent public pour nos activités d’intérêt général fait sens pour nous.
Pour autant, votre participation citoyenne nous est essentielle. Si vous appréciez nos articles, vous pouvez contribuer au fonctionnement de l’association et au maintien de l’accès gratuit au site en cliquant ici pour faire un don : https://www.helloasso.com/associations/eco-bretons/formulaires/2/widget