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« Mer calme à peu agitée » : des livres d’artistes pour connaître et valoriser les littoraux du Trégor

Quelle est l’idée première à l’origine de la réalisation de ce projet qui mêle la science et l’art ?

Véronique Javoise : Les élèves en classe de BTS-A GPN (Brevet Technicien Supérieur Agricole en Gestion et Protection de la Nature) sont des futurs techniciens de la nature. Ils réalisent des expertises naturalistes et des projets de gestion d’espaces naturels lié à la faune et à la flore, avec une approche scientifique et technique dans la connaissance des milieux naturels.
Notre démarche est humaine et intérieure. Elle prend en compte « le sensible », et les positions plurielles face à des milieux naturels qualifiés en état « d’urgence environnementale.»
À partir de là, nous voulions faire ressurgir leur côté émotionnel et leur sensibilité, afin de poursuivre l’ouverture des discours sur l’environnement parfois trop cartésiens. Le développement d’une sensibilité et d’une conscience émotionnelle est parfois nécessaire pour dépasser un mode de pensée binaire…

Bertrand Menguy : Oui… Nous voulions dépasser la caricature de l’animateur de l’environnement (un métier potentiel que pourront exercer les étudiant-e-s à l’issue de leur cursus, ndlr), qui enseigne des savoirs purement scientifiques aux enfants, et non sensoriels.

Pourquoi avoir choisi de présenter un projet sur le thème des fonds marins ?

Véronique Javoise : C’est une mise en lumière de cette partie du territoire, où nous disposons d’un cadre et de ressources naturelles extraordinaires pour la réalisation d’un livre d’artiste…

Quelques-uns  des livres d’artistes réalisés par les étudiant-e-s à la « Manufacture des Tabacs » de Morlaix © MM

De quelle manière cette expérience s’est-elle déroulée ?

Véronique Javoise : La première étape a été la rencontre des étudiant-e-s avec les acteurs scientifiques du territoire à Océanopolis, à la station biologique de Roscoff, ou encore à la maison des dunes de Kerema. Nous avons visité l’atelier de Bertrand au préalable, afin de leurs présenter les outils et les techniques très simples à utiliser.
Nous nous sommes ensuite retrouvés pour commencer les livres d’artistes avec Bertrand Menguy et les jeunes. Quand Bertrand arrivait en camion le matin à 8h, on ne finissait de décharger son matériel qu’à 9h !
C’était un contexte créatif dans un espace qui devient magique. La mise à disposition de tous ces outils est comparable à une balade en mer… après une tempête. Cette sorte de tumulte tempétueux pousse à la créativité pour des jeunes adultes qui ont des univers particuliers.

Bertrand Menguy : Il y a eu 20 heures de travail pour 5 séances de 3-4 heures. Une partie des matériaux utilisés provenait de mon atelier (différentes sortes de papiers et de cartons), et les étudiant-e-s en amenaient d’autres, naturels et ramassés sur la plage (coquilles St Jacques, sable, algues…)
Le premier objectif était de démystifier les apparentes difficultés. Les techniques utilisées étaient très simples : des gravures, des gaufrages, des empreintes, des impressions en relief. Par exemple, il était possible de créer des formes qui se transposaient sur le papier humide, ou qui pouvaient laisser l’encre imprimer les creux de celui-ci. Ce sont des détails qui peuvent changer toutes les productions. J’ai mis des outils à disposition, et nous nous adaptions en fonction des idées de projets de chaque étudiant-e. J’aime ce côté libre-service, où chacun prend ce dont il a besoin…

Virginie Perrone : Plus de 60 livres d’artistes ont également été prêtés par la médiathèque à notre association des « Moyens du Bord » afin de pousser leur curiosité à découvrir différentes formes à réutiliser. Ils considéraient tous que c’était du copiage et donc une forme de triche, alors que d’autres artistes ont existé avant eux pour leur transmettre ces richesses, et que c’est un droit de s’inspirer de leurs travaux et de leurs talents. La transmission des savoirs, grâce à leur sensibilité éveillée, était un élément essentiel de cette rencontre !

 

Que pensez-vous de cette rencontre avec les élèves en BTS Gestion et Protection de la Nature ? Avez-vous senti une réelle motivation de leur part pour ce module artistique ?

Bertrand Menguy : Tout était déjà très mûri dans la tête de ces 24 étudiant-e-s aux personnalités et univers subjectifs. Il s’est dégagé une véritable beauté poétique et contemplative où chacun était touché par ce qu’il aimait dans les productions de ses travaux. L’écoute, le dialogue, la curiosité, les échanges ont fait que tout s’est déroulé de façon très fluide ! Il m’a semblé important de savoir écouter leurs propositions, d’ouvrir des portes, de proposer et non d’imposer, afin de leur laisser la place pour toute(s) créativité(s)… Certains avaient déjà des connaissances artistiques et savaient exactement vers où ils voulaient aller, d’autres avaient besoin de tâtonner et de toucher un peu à tout. Il n’y a eu aucune résistance à l’art…

Véronique Javoise : Il y avait une réelle ambiance propice à la création qui a avivé leur motivation, puisque tous ont été jusqu’à revenir le soir pour terminer leurs travaux…

Comment ce type d’événements où coopèrent différentes personnes et structures partenaires a-t-il été rendu possible ?

Véronique Javoise : . Une vraie complicité s’est dégagée entre les enseignants, les artistes et les structures, pour un projet qui a recueilli entre 4000 et 5000€ d’aides publiques afin de voir le jour.


Bertrand Menguy et Véronique Javoise nous présentent deux productions artistiques avec des techniques simples à acquérir © MM

Qu’avez-vous retiré de cette expérience ?

Bertrand Menguy : C’est une des plus agréables que j’ai vécue. Tout était bien préparé, fluide et les élèves savaient où ils voulaient aller. Il y a une vraie sublimation de leur part qui s’est dégagée de leurs livres d’artistes : avec pas grand chose ils valorisaient leurs productions artistiques…

Un dernier mot pour le lancement de cette exposition ?

Bertrand Menguy , Véronique Javoise et Virginie Perrone : Vous pouvez venir au vernissage du jeudi 15 mai à partir de 18h30 à la « Manufacture des Tabacs » de Morlaix. Nous pourrons vous y accueillir avec une dégustation biologique et locale des produits de la mer !

Contact :

« Les Moyens du Bord »
Manufacture des Tabacs, cour des artistes
41 Quai du Léon, 29600 Morlaix.
Tel 02 98 88 25 62 – lesmoyensdubord.mdb@gmail.com
lesmoyensdubord.wordpress.com

 

 

Tous à la Manu !

 

 

Samedi et dimanche 17 et 18 mai, le public a rendez-vous à la Manufacture pour deux jours d’animations, dans le cadre de la fête de la Bretagne. Pour cette sixième édition, intitulée « Tous à la Manu ! – An holl d’ar Manu ! », on pourra retrouver :

 

– Un m
arché d’artistes et d’artisans d’art intitulé « Cour des Artistes »

– L’exposition d’Hervé Mérer (photos, vidéos, installations) qui dure du 5 avril jusqu’au 18 mai

– La présentation des livres d’artistes réalisés par les élèves du lycée de Suscinio avec l’ar­tiste Bertrand Menguy

– Des installations artistiques dans les cours de la Manufacture

– Un concert-spectacle pour les enfants en langue bretonne du groupe Balafent

       – Des concerts des groupes issus de Trock’son (MJC Morlaix)

– Et aussi : des portes ouvertes de la Manufacture, des stands de diverses associations du territoire avec des ateliers, des débats, des échanges et des dégustations culinaires…

 

Plus d’infos et tout le programme détaillé sur le site des Moyens du Bord.

 

 

 

 

                      

 

 




Efecto Pedal, pédalez pour regarder!

À partir d’une idée originale de proposer la diffusion sur grand écran et en plein air de films et documentaires nationaux, l’entreprise a développé des projets de cinéma itinérant en Uruguay et en Amérique du Sud. Et depuis quelques mois, ils proposent aux spectateurs de pédaler pour générer l’électricité nécessaire au fonctionnement des installations. C’est un succès continental ! Et un exemple d’entreprise 100 % socialement responsable.

 

 

– Bonjour Diego, est-ce que tu pourrais te présenter et nous en dire un peu plus sur Efecto Coral et le projet Efecto Cine?

 

Je m’appelle Diego, j’ai 34 ans et une formation en communication audiovisuelle en Uruguay. Lors de mes premières expériences professionnelles, j’ai eu l’occasion de participer à des tournages de films documentaires et de longs métrages. Puis j’ai intégré une entreprise audiovisuelle (Coral Cine) en tant que producteur. Il y a trois ans, j’ai pris la direction de l’un des projets de l’entreprise, Efecto Cine.

 

– Efecto Cine, qu’est ce que c’est ?

 

Ce projet consiste à diffuser des documentaires et des films en Uruguay sur des thèmes variés. Il faut savoir qu’il n’existe pas de tradition du cinéma ici. Les gens n’ont pas l’habitude d’y aller et les salles sont dans un état vétuste. C’est aussi un pays très centralisé sur sa capitale, Montevideo. Avec notre première tournée, « La Matinale », nous avons pris le parti d’apporter dans tout le pays un cinéma de haute qualité et gratuit. Il nous a fallu intégrer la donnée du transport : lors d’une tournée, on remballe le matériel tous les soirs dans une camionnette pour le ressortir le lendemain. Il nous a fallu recruter une équipe compétente et dynamique. Et bien sûr, trouver des moyens financiers. La tournée a été primée meilleur projet Latino Américain durant 2 années consécutives. Efecto Cine s’est renforcé de ce succès et a aujourd’hui une proposition de 80 films.

 

Efecto Cine c’est du cinéma en plein air. Nous installons un écran gonflable, un son digital, et projetons. Mais au-delà de ça, c’est un moment collectif unique. Nous voyons le cinéma comme un agent de sociabilisation, et comme un moyen d’inciter les gens à se penser en société. Comme tous les arts, le cinéma a le pouvoir de faire réfléchir et débattre. Le cinéma uruguayen a proposé plusieurs films et documentaires ces dernières années sur des sujets compliqués pour le pays, qui abordent la dictature notamment. Nous permettons donc à la population de les voir, découvrir son passé et de s’approprier son territoire et son histoire. Certains des spectateurs touchés n’avaient jamais été au cinéma, alors que des films avaient été tournés dans leur village. Grâce aux films projetés, nous abordons des sujets comme la gestion des déchets, de l’eau, le droit des femmes, les transports doux, etc. Un des objectifs du projet est de faire participer les gens. Nous voulons qu’ils se sentent en confiance pour qu’ils puissent donner leur avis.

 

Diego Parodi, directeur de Effecto Pedal

 

 

– Et quand est né Efecto Pedal ?

 

Il s’agit d’un moyen de diffuser Efecto Cine. Tout est né d’un mélange entre la curiosité et le sentiment de responsabilité. Je suis très préoccupé par le sentiment d’amélioration du bien-être social et environnemental en Uruguay. Il y a de plus en plus de voiture et il me semble qu’il faut résister avant d’en arriver au « tout-voiture ». Je suis préoccupé par le fait qu’ici, à Montevideo qui est une petite capitale (1,5 million d’habitants), les gens prennent spontanément leur voiture pour faire une course qu’ils pourraient faire à pied. En plus de se préoccuper de savoir où la garer, s’ils ne vont pas se la faire voler, ou avoir un accident, ils perdent le contact avec des choses simples, comme l’air pur, le soleil, le fait de croiser un voisin dans la rue. Je ne veux pas juger les gens, mais les pousser à réfléchir. J’aime bien l’image du vent de face qui est nécessaire à l’avion au moment de son atterrissage ; je souhaite que l’on soit ce contre-courant nécessaire au développement de la société.

 

Plusieurs initiatives m’ont interpellé, comme celle d’un groupe de rock mexicain qui ont organisé une tournée de 8000 km à vélo, en transportant leur matériel et en invitant le public à pédaler pour générer l’énergie nécessaire à leurs concerts. Ou encore Electric Pedals, cette entreprise anglaise qui utilise des vélos pour faire fonctionner toutes sortes d’installations électriques. Apres avoir rencontré le directeur de cette entreprise, je lui ai dit qu’on aimerait générer l’électricité suffisante pour nos projections. Il fallait aussi que les vélos soient accessibles à n’importe quelle personne : enfants, adultes, et même personnes âgées. Nous avons donc calculé le nombre de vélos nécessaires pour que cela fonctionne, la durée de pédalage et nous avons lancé Efecto Pedal, avec 10 vélos, 10 emplacements pour ceux qui viennent avec leur vélo, et 1 système de pédales manuelles.

Nous sommes devenus les premiers du continent à faire une tournée de cinéma avec cet équipement.

 

– Est-ce que ça a marché, cette idée de faire pédaler des personnes pendant qu’elles regardent un film ?

 

C’était notre grand doute. Et finalement, les gens se sont vraiment pris au jeu. Dès que nous commençons à installer le matériel, les gens n’attendent pas que l’écran soit en place et demandent à monter sur les vélos, même si nous leur expliquons que nous ne pouvons pas stocker l’énergie. Quand le film commence, tout s’autogère avec une grande fluidité. Les volontaires montent sur les vélos, pédalent, et quand ils en ont assez ils descendent et passent le relais à ceux qui attendent derrière. On a installé un voyant lumineux qui leur indique s’ils produisent assez d’énergie ou non. Les gens qui pédalent ne voient en général pas passer le temps. Et quand le film s’arrêtent, ils sont applaudis par les spectateurs, et s’auto-applaudissent car c’est une vraie fierté pour eux d’avoir participé.

 

Avec Efecto Pedal, les gens passent un bon moment, ils voient un spectacle gratuit en compagnie de leurs voisins. C’est quand même mieux que de rester enfermé chez soi !

 

– En quoi Efecto Pedal est une entreprise éco-responsable ?

 

Tout d’abord, depuis un an, nous plantons des arbres. Nous nous disions que c’était bien de produire notre propre énergie, mais que nous ne pouvions pas se dire écologiquement neutres car nous générions de la pollution en faisant nos déplacements en camionnette. Nous avons donc décidé de comptabiliser notre impact carbone – qui est de 12-13 tonnes de CO2 émis pour une tournée en Uruguay – et de planter des arbres pour compenser cette pollution. De plus, avant chaque projection, une personnalité locale responsable de la question e
nvironnementale fait un discours et s’engage à planter un arbre.

 

 

– Quels sont les développements futurs et nouveaux projets que vous prévoyez de réaliser ?

 

Nous avons des projets plein nos tiroirs ! Depuis peu, nous avons commencé à projeter dans d’autres pays. Nous rentrons des Etats-Unis, où nous avons montré le film « Bikes versus Cars » devant 500 personnes au festival du Film et de la Musique d’Austin, au Texas. Imaginez, dans la capitale du pétrole, nous avons fait pédaler des spectateurs ! Et s’ils ne pédalaient pas, l’écran s’écroulait.

 

Nous avons aussi été au Chili le mois dernier, et nous prévoyons d’aller en Argentine, en Équateur et en Colombie. Nous aimerions montrer les mêmes films dans tous ces pays, pour créer un lien entre eux. Et nous continuerons aussi à promouvoir le vélo. Même si nous devons aller dans le mur avec le pétrole, faisons au moins ensemble un tour à vélo avant !

 

 

Pour en savoir plus sur Efecto Cine :

 

https://www.youtube.com/watch?v=Wn5TVJq-BmY

 

http://www.efectocine.com

 

 

 

 




L’idée sortie. Le Bio en fête à Muzillac

Samedi 28 et dimanche 29 septembre, Muzillac accueille sa foire bio. Marché de producteurs locaux, ateliers, conférences, concerts: les visiteurs sont invités à découvrir toutes les initiatives locales en faveur de la transition écologique et solidaire. Seul(e) ou à plusieurs, venez découvrir ou redécouvrir cet événement convivial et festif!

Ce week-end, l’association Terre en vie organise la 24e édition de la foire bio de Muzillac. Le thème de cette année? « Jetez, c’est réchauffer » ! Pendant deux jours, petits et grands sont invités à participer à de nombreuses animations sur les thèmes de l’alimentation, de l’habitat, de l’énergie ou encore du bien-être. De 10h à 18h, près de 120 exposants seront présent pour un marché en plein air face à la médiathèque de Muzillac.

Lancé à l’initiative de quelques jeunes muzillacais engagés et désireux de faire connaître une agriculture respectueuse de l’homme et de son environnement, l’association Terre en Vie œuvre pour le développement d’une planète plus responsable et plus solidaire. L’événement, qui a pris de l’ampleur au fil du temps, s’apprête à accueillir près de 6000 visiteurs ce week-end.

Curieux ou averti, chacun pourra trouver l’activité qui lui convient: conférence sur le zéro déchets sans prise de tête ou sur l’impact des pesticides sur notre environnement avec le sénateur Joel Labbé et Fabrice Nicolino le dimanche. Déambulation orchestrale et jonglerie avec la compagnie Little Big Swing le samedi. Et pour les amateurs de chanson française et de poésie chantée, Emily Loizeau le dimanche.

Le programme détaillé du week-end:

Sur place, une zone de gratuité sur place vous permettra de prendre ou laisser les objets que vous ne vous servez plus.


Pratique:

Tarif : 3euros, gratuit pour les moins de 16 ans

Lieu: Devant la médiathèque de Muzillac (56)

Plus d’infos: https://www.facebook.com/events/592970431207994/

https://www.terreenvie.com/la-bio-en-fete-2019/



Projection-Echange autour d’En Quête de Sens à Concarneau

« En quête de sens » est un film réalisé par Nathanaël Coste et Marc de la Ménardière.
C’est l’histoire de deux amis d’enfance qui ont décidé de tout quitter pour aller questionner la marche du monde. Ils font, ensemble, le constat partagé par un nombre croissant de citoyens : notre société occidentale est malade, prisonnière d’une logique qui engendre plus de destructions, d’injustices et de frustrations que d’équilibre et de bien-être. L’impératif de croissance, de rentabilité économique à court terme prend aujourd’hui le pas sur l’intérêt général en dépit du bon sens. Leur voyage initiatique sur plusieurs continents est une invitation à reconsidérer notre rapport à la nature, au bonheur et au sens de la vie…
Envie d’en savoir plus sur le film ?
Consulter le site http://enquetedesens-lefilm.com

Organisée par : cinéma le Cinéville de Concarneau, AMAP de Concarneau, Cap Vers la Nature, Centre de Recherche sur l’Avenir des Déplacements Écologiques (Crade), Colibris, Ephata, Freecycle, Jardins de Lamphily, et le collectif Confluences pour la Planète : Al’Terre Breizh, Approche Eco-Habitat, Biocoop Quimper, Cyber@cteurs et Sens & Habitat

Tarif unique: 5€, réservation possible soit directement à la caisse du Cinéville de Concarneau ou par internet ici

 
Date : vendredi 13 février à 20h15 au cinéville de Concarneau

 

Pour partager l’événement sur les réseaux sociaux (aussi inviter des ami-e-s) https://www.facebook.com/events/437804896366907/

 

Pour y aller ? Voici l’adresse du Cineville, rue de Colguen à Concarneau et un plan : ici
Nous vous invitons à venir entre ami-e-s, collègues, en famille, et aussi avec des personnes qui n’ont jamais entendu parler du film
*
Trajet collectif à vélo (aller et/ou retour) proposé par le Crade depuis l’office du tourisme de Concarneau. Rendez-vous le vendredi 13 Mars, à 19h15 à l’office du tourisme pour un départ à 19h30. Pour équiper ou réparer son vélo, s’en faire prêter un, appeler Rémi au 02 98 97 88 99. Possibilité aussi de faire un petit détour pour venir vous chercher.
*Nous vous invitons aussi à remplir votre voiture, covoiturer
et à mettre vos propositions, demandes de covoiturage sur le site suivant: http://www.covoiturage-libre.fr/

 




Marie Romanens et Patrick Guérin : « Il faut un changement individuel pour que le changement global se fasse »

 

 

Plus d’infos

http://www.marieromanens.com/ecopsychologie.html

Le site du Réseau Education à l’Environnement en Bretagne

http://eco-psychologie.com/

 

A lire aussi

http://www.eco-bretons.info/ecomag/interview/%C2%AB%C2%A0il-faut-un-changement-individuel-pour-que-changement-global-se-fasse%C2%A0%C2%BB

 




Marie Romanens et Patrick Guérin : « Il faut un changement individuel pour que le changement global se fasse »

 

 

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