1

Femmes, vélo… et liberté !

« Laissez-moi vous dire ce que je pense de la bicyclette. Elle a fait plus pour l’émancipation de la femme que n’importe quelle chose au monde. Je persiste et je me réjouis chaque fois que je vois une femme à vélo ». (Susan Anthony, suffragette américaine, 1896)

Le vélo, comme la voiture, est longtemps resté destiné aux hommes… Le cyclisme professionnel (tel qu’on le découvre dans nos journaux) reste en grande partie masculin et la pratique du vélo semble de manière générale peu adaptée à la morphologie féminine… Et c’est bien connu, une femme ne sait pas changer une roue !

Mais rassurez-vous, il semblerait bien que le vent soit en train de tourner !

Seulement, la pratique du vélo, et qui plus est celle des femmes, n’apparaît pas comme une évidence partout dans le monde. Si celle-ci est plus ou moins bien assimilée sur les continents nord-américain et européen, elle rencontre davantage de freins en Amérique du Sud, Afrique ou encore Asie.

 

Pas qu’une simple pratique de loisir, un besoin vital…

Dans nos contrées, nous assimilons davantage le vélo à une pratique de loisir, voire à une pratique sportive… Dans d’autres, le vélo est une nécessité.

L’ONG World Bicyle Relief a été créée après le tsunami en Asie en 2000, afin de répondre aux besoins de mobilité en situation d’urgence. Dans ce cas, le vélo est apparu comme un formidable moyen de se déplacer, dans des zones souvent très reculées et peu accessibles. L’ONG agit également en Afrique, afin de fournir des vélos aux habitants qui soient adaptés à leur demande : simples et très solides, pouvant transporter jusqu’à 100 kg sur le porte bagage… Le reportage « Des vélos pour la Zambie » (disponible sur internet), montre à quel point ça peut être vital d’avoir un vélo… Shannon Galpin, fondatrice de l’ONG Mountain2Mountain, explique qu’en Afghanistan, le vélo facilite là aussi l’accès à l’éducation, aux soins médicaux. Il est également sécurisant pour les femmes qui arrivent plus vite à l’école ou sur leur lieu de travail.

 

Le vélo, pour se sentir libre…

En Afrique, comme en Asie, la pratique du vélo a longtemps été (et reste souvent) interdite aux femmes. Toujours en Afghanistan, Shannon Galpin travaille avec des hommes afin d’encourager les femmes à utiliser le vélo. Et ça fonctionne beaucoup mieux lorsqu’elles sont accompagnées et soutenues. De nombreuses femmes témoignent du sentiment de liberté qu’elles ont ressenti en faisant du vélo pour la première fois… que ce soit pour se déplacer plus facilement dans leur ville, ou en partant à la découverte d’un territoire, en détruisant peu à peu les barrières, en échangeant sur différentes cultures. Le vélo apparaît comme un formidable instrument de cohésion sociale, de partage et de solidarité.

 

Les femmes à vélo, un indicateur de cyclabilité dans les villes

Un des freins observé pour inciter les femmes à faire du vélo reste la sécurité. En Afrique, comme en Afghanistan ou en Europe, avoir des infrastructures de meilleure qualité encouragent les femmes à monter en selle. À tel point que le partage entre le nombre de femmes et d’hommes qui utilisent le vélo, fournit un bon indicateur de « cyclabilité » d’une ville. Cette théorie a été reprise en septembre 2009 dans l’article “How to Get More Bicyclists on the Road. To boost urban bicycling, figure out what women want” (“Comment mettre davantage de cyclistes en selle ? Pour doper le cyclisme urbain, trouvez ce que veulent les femmes”) paru dans le Scientific American Magazine, qui affirme que « les femmes optent pour des trajets plus longs mais plus sécurisés et plus calmes au détriment de trajets plus courts et potentiellement dangereux ». Et ce, bien plus que les hommes.

 

Pas une revendication, juste une fête !

Cette discussion n’est pas une revendication farouche portée seulement par une poignée de femmes ! Elle suit simplement son cours, au-delà des simples questions de genre, encouragée par les « vélorution » qui agitent aujourd’hui un peu partout les villes et les campagnes. Plus qu’une simple mode, elle affirme le besoin d’un changement de société, et elle tend toujours vers un développement plus durable de nos territoires.

 

[Article extrait de la conférence Femme, vélo et liberté de Velo-city]

 

 

Pour en savoir plus :

 

 

 

 

 

 




Vivre mieux et changer le monde… En habitant un petit village ?

« Vivrions-nous de la même manière si nous vivions dans village ?« 

Antoine Colson est né à Lyon en 1981, il est entrepreneur, enseignant, activiste et milite pour une autre manière de vivre et de faire le monde. Dans ce manifeste, on trouve des interrogations et des pistes de réflexions sur le concept de la vie au village, pour remettre en question nos façons d’être et d’agir.
À une époque où le mot « village » n’est pas vraiment « à la mode », pour autant l’auteur exprime que « le village n’a rien d’inconnu pour nous. Nous avons tous un village au fond de nous. Ce village, nous le connaissons par coeur. Nous connaissons ses rues, ses maisons. Nous connaissons ses forêts, ses rivières. Nous savons où il commence et où il se termine. Nous connaissons tous ses habitants bons ou mauvais, jeunes et vieux, riches ou pauvres, faibles ou puissants, ceux qui vivent ici, ou sont partis là-bas. Et nous vivons les uns avec les autres. Au village… tout le monde nous connaît. Tout le monde sait qui nous sommes. Tout le monde sait ce que nous faisons. Nous ne pouvons pas nous cacher, à quoi bon ? Nous ne pouvons pas jouer plusieurs rôles, pourquoi faire ? Au village, nous ne sommes qu’une seule et même personne. Au village on existe vraiment. »

Vous aussi vous avez déjà quitté le Grand Ouest pour aller voir ce qui se passe ailleurs, ou par « ras-le-bol » ? Dans ce cas, ce manifeste peut vous aider à dépasser les idées reçues, ainsi que les caricatures qu’incarnent les exodes ruraux dans le choix de « fuir la campagne pour la ville.» En effet, cet essai nous pousse à retrouver une énergie quotidienne, afin d’améliorer la société près de chez nous. Avec son visuel dynamique, il est imprégné d’optimisme, rapide à lire, et chaque phrase est ponctuée de sorte à amener le lecteur à la réflexion, puis progressivement à l’action.

 

Un Village, où l’individualisme n’aurait pas sa place.

À l’heure où  notre société est souvent qualifiée « d’individualiste », les citoyens sont pris à parti dans cet ouvrage participatif, afin de les inspirer vers la construction d’une vie collective, coopérative et locale. Que ce soit au niveau des relations avec les habitants, de l’environnement naturel qui nous entoure, ou de notre consommation locale et artisanale, nous avons tous une bonne raison de nous mettre en lien les uns avec les autres, afin de retrouver la notion de partage (et) de biens (en) communs.
Il s’agit donc de se recentrer sur les volontés individuelles, et non individualistes, pour aller vers la construction d’une commune… En communauté : « Regardez autour de vous. Écoutez. Partout, des hommes et des femmes refusent cette fatalité. Et ce ne sont ni des héros, ni des saints, ni des célébrités. On ne les voit jamais à la télévision, ni dans les journaux. Ils ne sont pas non plus spécialement brillants, intelligents ou courageux. Ils sont comme vous et moi. Vous en connaissez certainement. Ces hommes et ces femmes, ce sont des villageois. Laissez-moi vous en présenter quelques-uns… Parce qu’ils refusent d’être les spectateurs d’un monde qui ne leur appartiendrait plus. Ils veulent en redevenir les acteurs. Alors ils agissent. », explique ainsi Antoine Colson.
Quelques exemples d’initiatives sont par conséquent mis en avant, et là aussi, le lecteur est incité à agir en faveur d’un besoin de solidarité, les uns envers les autres, les uns avec les autres.

Inspiré par la conviction que chaque individu a une responsabilité dans les actions alternatives de se nourrir, s’habiller et se déplacer, le lecteur-citoyen est au coeur de l’ouvrage : « C’est une “proclamation à attirer l’attention du public, à l’alerter sur quelque chose” pour “lancer un nouveau mouvement” » lit-on sur le blog de l’auteur, qui cible un problème sociétal bien défini en proposant des solutions, en ce qui concerne la responsabilité des citoyens :

« Les institutions sur lesquelles nous comptions ne jouent plus leur rôle. Ni l’Etat, ni l’école, ni l’entreprise, ni les partis politiques ne pourront résoudre nos problèmes ou relever les défis de demain… On ne leur fait plus confiance. Elles manquent de moyens. Elles sont dépassées. Tout le monde le sait. Mais n’en soyons pas désolés. C’est au contraire une opportunité historique. Nous avons l’occasion fantastique de reprendre les choses en main. C’est ce que j’ai appelé la Révolution Village.
(…)
Nous traversons une crise profonde, économique mais aussi morale, spirituelle, citoyenne, politique, environnementale… A l’heure où la plupart de nos certitudes semblent voler en éclat, j’ai aussi l’impression que le village est un point de départ pour reconstruire l’avenir. Individuellement et collectivement. C’est en ce sens que j’y vois une révolution. Et vous pouvez y participer.
(…)
Alors n’attendons pas. Nous ne trouverons des solutions et n’améliorerons notre avenir que si chacun d’entre nous devient lui aussi un villageois. Ne soyons plus spectateurs, redevenons des acteurs du quotidien et de l’avenir. Arrêtons de ne penser qu’à nous-mêmes, repensons ensemble, avec et pour les autres. Tout le monde peut le faire à sa manière. Un peu, beaucoup, à la folie. Comme vous le pouvez. Réfléchissez… Qu’est-ce qui ne fonctionne pas autour de vous et que vous pouvez améliorer ? Quelles actions concrètes peuvent rendre votre vie meilleure ? Comment pourriez-vous vivre mieux ? Que voulez-vous et que pouvez-vous apporter aux autres ?
Suivez ce chemin. Il vous conduira à votre village… »

À chacun donc de se prendre en main selon lui pour agir et bâtir une nouvelle société, où des milliers de citoyens sont déjà en marche vers cette transition sociale, économique, écologique. Mais surtout locale, équitable, et par conséquent solidaire durablement…

 

 

Plus d’infos
– Télécharger l’e-book :
www.revolutionvillage.org/download.php?f=RevolutionVillage-Fev2014.pdf&e=VillageMag
– www.revolutionvillage.org
 

 




Primel, une plage pleine de richesses

La plage de Primel ou Grande plage se situe à environ deux kilomètres au nord de  la commune de Plougasnou. Labellisée Pavillon Bleu depuis 2015, c’est un point de départ pour les sentiers côtiers et principalement le GR 34. Une plage de sable fin d’un peu moins de 800 m de long. Qui offre à ses visiteurs un panorama exceptionnel. Protégé des vents d’ouest par la Pointe de Primel, ce lieu séduit par son environnement naturel préservé.

 

1. Richesse environnementale

 

En plus d’avoir un cadre magnifique, la plage possède une biodiversité importante. Plus de 50 espèces d’algues présentes, une grande diversité d’espèces animales, qu’elles soient marines comme la Nasse réticulée [coquillage] (Nassarius reticulas) ou volatiles comme la Bernache Cravant (Branta bernicla). Une côte de granit qui témoigne des vestiges de l’ère volcanique du massif armoricain au Paléozoïque (541 à 252,2 millions d’années avant JC). La plage fait partie de la Zone Natura 2000 de la Baie de Morlaix.

http://www.finistere.gouv.fr/content/download/19459/154715/file/carte%20des%20zones%20Natura%202000%20secteur%20PLAM%20Morlaix.pdf

 

2.  Actions pour l’environnement

 

La commune de Plougasnou a mis en place un bac à marées en juin 2018  pour que les usagers y déposent ce que la marée laisse sur la plage après son passage. Cela permet ainsi de limiter la pollution des eaux en retirant les déchets flottants.  Des panneaux pour informer les visiteurs des espèces végétales et animales présentes sur le site sont mis en place sur l’espace de promenade de bord de plage.

 

 

 

 

Pour toute ces raisons, ce lieu nous offrait  les opportunités nécessaire pour le projet Erasmus + et pour cette journée en lien avec le développement durable.  Les interventions de la journée nous ont tous aidé dans l’écriture de nos articles en partenariat avec Eco-Bretons.

 

Maho / Mathys / Antoine




Un plaidoyer pour un contre-lobbying citoyen

« Polymorphe, alternant entre opacité maîtrisée et transparence calculée, souvent critiqué pour sa volonté permanente de s’autodéfinir, le lobbying se fait insaisissable pour mieux échapper à toute tentative de régulation contraignante », explique Benjamin Sourice dans son ouvrage. Il étudie alors en détail les mécanismes et méthodes mis en œuvre par les lobbies et lobbyistes : influence des industriels sur la science, sur l’expertise, sur les politiques en France mais aussi au sein de l’Union Européenne…en insistant sur des exemples bien précis de scandales sanitaires : l’affaire du Mediator et le « système Servier », les perturbateurs endocriniens et la législation européenne, l’amiante… pour le lobbying à la française…

 

Pour l’émergence d’un contre-pouvoir citoyen

 

Outre toutes ces analyses et explications, Benjamin Sourice fait également un tour d’horizon des moyens mis en œuvre pour lutter contre les conflits d’intérêts et limiter les actions des lobbies. « Chaque étape de la construction législative est une opportunité de lobbying », déclare-t-il. Des stratégies pour limiter cela sont alors mises en place : encadrement du lobbying aux Etats-Unis, Canada et dans les pays scandinaves, réforme sur la transparence de la vie publique en France, publication des déclarations de patrimoines des élus… Un éclairage est également apporté sur l’outil numérique, avec l’apparition de « l’Open gov » ou encore de « l’Open data », c’est-à-dire l’ouverture des données publiques aux citoyens. Tous ces outils, qu’ils soient législatifs, technologiques ou sociétaux, doivent servir à l’émergence d’un contre-pouvoir citoyen. « Le contre-lobbying ne peut se faire sans l’implication des citoyens déterminés à défendre leurs intérêts dans la reconnaissance de leur savoir et la revendication de leur nécessaire participation ». Pour Benjamin Sourice, le premier geste de résistance aux lobbies « consiste à se réimpliquer individuellement ou collectivement dans la vie politique avec la ferme intention de s’emparer d’une question sociale et de faire reconnaître sa légitimité à parler, à réclamer des comptes et à se faire représenter en toute honnêté ».

 

 

 

 

 

Plus d’infos

http://sciencescitoyennes.org/

 

 
Quelques liens pour prolonger la réflexion

http://www.lobbycratie.fr/2011/06/14/livre-le-lobby-breton-de-clarisse-lucas/

http://www.yvesmichel.org/admin/tous-les-livres/la-societe-civile-le-3e-pouvoir




Un week-end autour de la fiction, de la littérature et des déchets à Saint-Brieuc

Ce week-end, rendez-vous au Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Brieuc, pour la fondation de la « Bibliothèques des Futurs », avec au programme des ateliers de co-création autour de trois nouvelles sur les déchets. Ces nouvelles seront présentées au public lors de « lecture-performance ».

Du 16 au 18 novembre, on parlera des déchets au Musée d’art et d’histoire de Saint-Brieuc (22). A l’invitation du Théâtre de la Folle Pensée, d’Open Bay, du centre de tri Kerval Centre Armor, de Lumière d’Août, de Waste Lab et de la Start Up Hoali, la Bibliothèque des Futurs sera mise en place. Toutes ces structures, qui travaillent dans les domaines de la création artistique, de l’économie circulaire, de l’économie sociale et solidaire et de la prévention et réduction des déchets, s’interrogent autour des questions suivantes « Les signes qu’émet le futur, comment les traduire ? », « Comment élaborer des langues pour nommer ce qui vient ? », « La fiction peut elle offrir à la communauté des humaines des formes de vie inimaginées, jamais pensées ? ».

Concrètement, on assistera ce week-end à la présentation de trois nouvelles : Or comme une ordure de Frédéric Ciriez, Rudimenteurs d’Alexis Fichet, et Mourir Bio d’Alexandre Koutchevsky. Ces trois textes, commandés par le Théâtre de Folle Pensée et Open Bay dans le cadre « d’audits poétiques », traitent toutes les trois des déchets, et sont rassemblées sous le terme générique de « déchets-fictions ». Elles serviront de base vendredi et samedi en journée à des ateliers de co-création, qui seront le point de départ de travaux et d’échange, Des lectures-performances de ces textes, ouvertes à tous, sont aussi au programme au musée, le samedi de 19h à minuit, avec la participation d’artistes et d’acteurs.

Le dimanche, la Bibliothèque des Futurs sera mise en place lors d’une élaboration commune. Les trois nouvelles, ainsi qu’un roman, Eves Futures, ré-écriture par Alexis Fichet du roman de Villiers de l’Isle Adam, L’ève future, seront les « premières fictions déposées dans cette bibliothèque », expliquent Jean-Benoit Orveillon, directeur de l’économie circulaire à Kerval Centre Armor, et Roland Fichet, directeur du Théâtre de la Folle Pensée. Objectif de cette ambitieuse opération ? « Par la fiction, arriver à avoir une force de prédiction, une capacité à voir demain ». Mais aussi « Faire réfléchir des personnes qui ne sont pas forcément sensibilisés au tri des déchets, déclencher quelques chose de nouveau chez eux ».

Le programme détaillé :

Vendredi 16 novembre 2018 – Musée d’art et d’histoire

De 9h30 à 13h : Premier Set Déchets-Fiction

Lecture de fragments de la nouvelle « Mourir bio », d’Alexandre Koutchevsky, suivie de deux courtes intervention des lecteurs. Contribution des participants, et débat.

14h-18h : Deuxième set Déchets-Fiction

Lecture de fragments de la nouvelle Rudimenteurs, d’Alexis Fichet, suivie de deux courtes interventions de lecteurs. Contribution des participants et débat.

20h30-22h : Eves Futures, performance, vidéos et lectures

De l’Eve Future de Villiers de l’Isle Adam, aux Eves Futures d’Alexis Fichet

Samedi 17 novembre – Musée d’Art et d’Histoire

9h30-13h : Troisième set Déchets-Fictions

Lecture de fragments de Or Comme une ordure, de Frédéric Ciriez, uivie de deux courtes interventions de lecteurs. Contribution des participants et débat.

14h30-18h : Elaboration collective des lignes de force apparues au cours des discussions. Perspectives de déploiement et zones d’impact

19h-23h30 : Lecture/Performance des trois nouvelles Déchets-Fictions

19h : Déchets-Fictions 1 : Mourir Bio d’Alexandre Koutchevsky

20h30 : Déchets-Fiction 2 : Rudimenteurs de Alexis Fichet

22h : Déchets-Fiction 3 : Or comme une ordure de Frédéric Ciriez

Entre chaque performance, restauration légère, boissons, temps d’échange informels

Dimanche 18 novembre – Musée d’Art et d’Histoire

9h30-13h30 : La Bibliothèque Des Futurs : Définition du concept. Quelle forme peut prendre la bibliothèque ? Comment l’alimenter ? Comment s’en servir ? Quelles sont les productions littéraires et artistiques projetées par les participants ? Les rendez-vous de 2019.




Journée de la Transition : 3e édition ce samedi 24 septembre

Au programme :

Du 20 au 24/09 Liffré (35) : Festival de films de la transition

Festival de films projetés au cinéma de Liffré sur des thématiques de la transition: – Mardi 21h: Tout s’accélère – Mercredi 21h: Regards sur nos assiettes – Jeudi 21h: Le Potager de mon Grand-Père – Vendredi 21h: En Quête de Sens   Le cinéma est un outil qui peut nous amener à discuter des sujets essentiels pour la transition. Ainsi, c’est à travers un partenariat avec le cinéma de la ville de Liffré et son centre culturel que nait « Des possibles A’Venir ». Quatre films pour aborder la transition à travers le grand écran. En plus des projections, venez découvrir des initiatives locales lors des après séances !

 

24/09 Muzillac (56) : Foire biologique de Muzillac

 

21ème édition de la foire biologique de Muzillac. (voir notre article)

 

24/09 Brec’h (56) : Porte ouverte d’une maison écologique

15h – 17h  : Visite de la maison écologique

17h – 19h :  échanges autour de la structuration et de la co-construction du collectif « Pays d’Auray en transition »

A partir de 19h : Apéro dînatoire partagé 

Plus d’infos :  

https://alternatiba.eu/paysdauray/les-portes-ouvertes-2016/

24/09 Brest (29) : Journée de la Transition – Foire Saint Michel

Stand pendant la foire Saint Michel, situé cour d’Ajot (Brest) comprenant :
– Une exposition de portraits de personnes « en chemin vers la transition »
– Des ateliers-débat (monnaie locale, jardins partagés, incroyables comestibles, citoyenneté-démocratie, acteurs de l’ESS)
– Des jeux collaboratifs Bienvenue à tous pour découvrir les acteurs de la transitions près de chez vous et comment participer à ces actions !

Organisé par : Collectif Transition en Pays de Brest

 

24/09 Pont L’Abbé (29) : L’autonomie énergétique, c’est possible !

L’autonomie énergétique, c’est possible ! Toute une journée en présence d’acteurs bretons ayant déjà RÉALISÉ des actions dans ce sens. Pour apprendre d’eux, inspirer et nourrir nos projets. Rencontres, échanges, démonstrations…

Organisé par : Association E-Kêr

 

24/09 Dineault (29) : Élevage, culture et harmonie.

Démonstration de la possibilité d’élever des volailles en Bio en harmonie avec des cultures et des vergers. Entretien et engraissement des sols gràce aux animaux.

Organisé par : Le Jardin Naturel

Pratique : Ty coat, 29150 Dineault

 

24/09 Rennes (35) : Pour un revenu de base inconditionnel (RBi)

Publié le 7 septembre 2016 par Cohérence

Café discute : présentation du Mouvement français du revenu de base (MFRB) du groupe de Rennes et de ses actions, de la sortie du livre blanc du RBI suivi de la projection d’Un Revenu pour la Vie

Organisé par : MFRB RENNES

Rue d’Echange, Le papier Timbré, 35000 RENNES

 

24/09 Saint-Malo (35) : La Transition s’invite sur l’Open Emeraude Solaire

Du 17 au 25 septembre l’association 6 J’Ose installe son stand éco-conçu au sein du village partenaires du tournoi de tennis féminin international Open Emeraude Solaire à Saint-Malo. Ce tournoi est labellisé « Développement durable : le sport s’engage » par le Comité National Olympique et Sportif Français.

Le 24 septembre, jour national de la transition citoyenne, à partir de 13h, 6 J’ose invite le public sur son stand à élaborer chacun son propre agenda 21. A l’aide de cet outil développé par le Réseau Cohérence, vous pourrez estimer votre implication dans la transition et glaner des idées pour améliorer votre démarche au quotidien, dans la vie de tous les jours, à votre rythme.

 

25/09 Rennes (35) : Marché des savoir faire et de la permaculture

Venez échanger gratuitement vos conseil, astuces, savoirs f
aires, idées, témoignages, recettes etc…

sur le site de la ferme « PERMA G’Rennes » à Rennes Prévalaye, une ferme expérimentale en permaculture qui nait en ce moment sur les terres de la ville de Rennes !

Organisé par : PERMA G’Rennes

 

25/09 Bégard (22) : Un dimanche partagé – Ensemble cultivons nos idées !

Journée festive autour de l’entraide et de la solidarité; braderie secours populaire, récolte du pot’coz et disco-soupe, nombreux stands et ateliers (permaculture, cuisine, conserverie, garage associatif, triporteur pour balade avec les personnes âgées, spectacle pour enfants sur la solidarité….)- De 10h à 18h.

 

28/09 Lorient (56) : Conférence de Riccardo Petrella «Au nom de l’humanité »

Inégalités sociales, dévastations écologiques, sens de la vie pulvérisé sur l’autel de la survie des plus puissants et des plus riches… Riccardo Petrella, économiste, politologue et altermondialiste, prône une révolution par la solidarité en réponse aux maux de notre monde. Dans son dernier ouvrage, Au nom de l’humanité, il nous invite à nous engager pour un monde qui considérerait la pauvreté comme illégale et qui mettrait hors la loi la finance actuelle !

Nous avons déjà eu l’occasion de rencontre Riccardo Petrella, vous pouvez retrouver son interview ici.

 

30/09 Vannes (56) : Agriculture : vers une nouvelle révolution ?

Nouvelle rencontre mensuelle de l’association Clim’Actions Bretagne Sud  le vendredi 30 septembre 2016 à partir de 18h30 (jusqu’à 20h30) à la maison des associations de Vannes, autour du thème « Agriculture : vers une nouvelle révolution ? »

 

2/10 Locquénolé (29 – Fête de lancement du Buzuk, la monnaie locale du Pays de Morlaix

 

Fête de lancement du Buzuk – Monnaie Locale du pays de Morlaix
Découverte et inauguration des billets
Marché de prestataires (rencontre)
Premiers échanges de vos euros en Buzuks
Conférence de Philippe DERUDDER
Musique – Déjeuner sur place avec les Temps bouilles (ressourcerie alimentaire)…

Organisé par : Association Monnaie Locale Pays de Morlaix

 

8-9 Octobre Guichen (35) : les citoyens se retrouvent au Forum des transitions

Depuis 25 ans, ILLE & BIO – événement breton consacré à l’écologie – propose d’informer, échanger, découvrir les 5 thématiques : Habitat et énergie – Santé et bien-être – Transformation sociale – Agriculture et Jardin – Vie quotidienne.

Trans’Ille&Bio – 2e forum des transitions – est organisé cette année par Culture bio, Cohérence et l’université citoyenne Terre&Mer. Il sera animé par Coop’Osons à l’ouest. 
Le parrain de cet événement est Edgar Morin qui sera présent samedi et dimanche.