1

Julien Moreau marche pour l’environnement

Depuis 60 jours, Julien Moreau marche. Ce jeune homme de 27 ans fait le tour de la Bretagne à pieds pour aller à la rencontre des jeunes de notre région et les sensibiliser à l’environnement. « Je viens de finir une école de commerce et j’ai décidé de me lancer dans un projet d’aventure éco-citoyenne », explique-t-il.

Julien est parti le 17 avril du Mont-Saint-Michel. Après avoir longé la côte en suivant le GR34, il traverse actuellement la Bretagne du Sud au Nord pour une arrivée à Saint-Malo, prévue le 25 juin. « Je marche 30 kilomètres par jour. Je dors chez les gens ou dans la nature », précise le Malouin. En chemin, le jeune aventurier récolte des fonds pour l’association Naturevolution, qui milite pour la préservation des milieux naturels méconnus et menacés.

En plus de parcourir 2000 kilomètres, ce féru d’aventure et de sport anime tout au long du trajet 35 conférences dans des écoles primaires, des collèges, des lycées et devant des élèves de l’enseignement supérieur. « Je dois rencontrer 3000 jeunes. Les retours sont très positifs. Je leur raconte mon ascension d’un sommet dans l’Himalaya. Je leur dit de croire en leur envie. La jeunesse bretonne est déjà très sensibilisée à la situation de la Nature », se réjouit-il.

De ses conférences, Julien repart aussi avec des propositions de la jeunesse bretonne en faveur de l’environnement : « À la fin de mon aventure, on compilera toutes les propositions pour en faire une proposition de loi qui sera remise aux députés bretons ». Le jeune homme a eu plusieurs députés au téléphone et deux d’entre-eux ont marché avec lui sur une partie du parcours : « Une réunion sera organisée à l’assemblée nationale pour rencontrer les députés ».

L’aventure de Julien est soutenue par la fondation Nicolas Hulot, qui est le parrain du Bzh Tour. « C’est important d’avoir des soutiens comme celui-ci. Ça fait connaître le projet. Il gagne en crédibilité. Et on profite de conseils pour organiser les conférences et rencontrer les politiques », s’enthousiasme Julien qui, avant de repartir sur les chemins bretons, tient à mentionner une citation de Gandhi, importante pour lui : « Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde ».

 

Plus d’infos :

www.julienmoreau.org

www.naturevolution.org

www.fondation-nicolas-hulot.org




Morlaix (29) : Plankton & Arts, découvrir le plancton à travers l’art et les sciences participatives.

Après Matière Grise, l’exposition qui traitait de réemploi en architecture (http://www.eco-bretons.info/morlaix-lexposition-matiere-grise-a-la-manu-reflexion-collective-et-reemploi-dans-larchitecture/), c’est au tour de Plankton & Arts d’investir les locaux de Manu en Perm (https://www.facebook.com/manuenperm/).

Convaincue de l’importance de mieux comprendre la vie dans les océans, Plankton Planet est une organisation internationale à but non lucratif, qui,r en étroite collaboration avec la Fondation Tara Oceans (https://oceans.taraexpeditions.org/m/science/les-objectifs/tara-oceans/), travaille à un échantillonnage global du plancton.

Allier science participative et recherche grâce aux planctonautes.

Si le plancton constitue le plus grand écosystème planétaire, nous en savons en réalité peu de choses. Dans un litre d’eau de mer, on peut trouver entre 10 et 100 milliards de formes de vie planctoniques allant du microbe à l’animal en passant par le végétal. Cette galaxie est aussi riche qu’importante. Le plancton est à la base de la chaîne alimentaire, absorbe du dioxyde de carbone et produit la moitié de l’oxygène que nous respirons !

C’est pourquoi, pour prédire l’avenir des océans et celui de notre biosphère, il est capital d’établir une océanographie spatio-temporelle globale de la vie planctonique. En équipant 42 voiliers de kit de prélèvement simples d’utilisation, Plankton Planet a mis en place un moyen peu coûteux (70 000€ au total) et respectueux de environnement (les kit ne nécessitent ni produits chimiques, ni électricité et sont installés sur des voiliers). Les échantillons collectés par les navigateurs sont ensuite envoyés à la Station Biologique de Roscoff (http://www.sb-roscoff.fr/fr), pour être archivés et digitalisés. Ils seront ensuite mis en ligne sur le site internet de Plankton Planet (https://planktonplanet.org/), à disposition des curieu.x.ses.

Sensibiliser par l’image.

Ce système sollicitant des navigateurs de plaisance permet également de sensibiliser et d’intéresser des non scientifiques au plancton. C’est cet intérêt des planctonautes pour leur mission, qui a fait naître l’envie de l’image et donc l’exposition…

Avec de nombreuses photos grand format, des modélisations 3D et des sculptures un verre, l’exposition Plankton & Arts nous donne à voir l’invisible. Ces planctons aux magnifiques couleurs et formes surprenantes vivent pourtant près de nous. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, le plancton ne vit pas que dans la mer mais aussi dans les rivières, les flaques, dans nos jardins… C’est pourquoi Plankton Planet propose des ateliers, pour les enfants mais pas seulement, au cours desquels vous et vos enfants pourrez pêcher et observer avec des microscopes simplifiés le plancton que vous aurez récolté.

Plankton & Arts, sculptures en verre.

Les prochains ateliers auront lieu les 15 et 29 février 2020 de 13h à 16h. Ces ateliers sont gratuits et ouverts à tous dans la limite des places disponibles (15 places par atelier). Pour les enfants à partir de 8 ans.

Pour vous inscrire envoyez un mail à cette adresse : event@planktonplanet.org

L’exposition est visible jusqu’au 1er mars 2020 et sera peut-être prolongée …




Environnement : « J’ai confiance dans la justice de mon pays ! »

Toutefois, ces affaires ne sont pas toujours prises suffisamment en compte par les magistrats du parquet ou du siège et trop souvent les procédures n’aboutissent pas ou sont mal jugées.

C’est pourquoi la circulaire pénale que vient de prendre la ministre de la justice est importante pour tous ceux que l’impunité des pollueurs de tous poils révulsait.

Cela doit particulièrement réjouir les associations de défense de l’environnement qu’elles soient ou non agréées comme telles par la préfecture, puisque les parquets et les parquets généraux sont invités à les rencontrer pour mieux comprendre leurs attentes.

Cela doit également réjouir tous les écologistes qui, pas toujours au fait des arcanes de l’administration et de la justice française, voient leurs combats se perdre dans les sables de la complexité bureaucratique et de l’incommunicabilité entre le pouvoir judiciaire et le pouvoir exécutif représenté localement par son administration.

Cela va réjouir enfin tous les citoyens qui se sentent bafoués dans leur citoyenneté en constatant, pollution après pollution, que les lois et règlements ne sont pas appliqués faute d’une volonté ou d’une capacité à les faire respecter.

Mieux lutter contre les atteintes à l’environnement  : http://www.justice.gouv.fr/la-garde-des-sceaux-10016/mieux-lutter-contre-les-atteintes-a-lenvironnement-28022.html

Publication d’une circulaire de politique pénale adaptée aux enjeux locaux

C’est apparemment un grand progrès en matière de défense de l’environnement mais ce n’est pas une nouveauté. Il y a déjà eu des circulaires qui allaient dans le même sens mais que, faute de moyens, la Chancellerie n’a pas pu faire appliquer. La nouveauté est ici que les liens entre procédures administratives et procédures pénales vont être renforcés, que les associations de défense de l’environnement seront mieux prises en compte. Il est bon aussi que soit rappelé que les atteintes à l’environnement doivent être prises en tant que contravention directe au code de l’environnement mais aussi pour leurs conséquences notamment pour la santé humaine, comme la référence aux compétences environnementales des pôle Santé Publique semble l’indiquer.

Mais c’est à leurs résultats qu’on juge la portée des textes. C’est pourquoi par exemple il sera intéressant de voir comment le parquet va prendre en compte cette nouvelle circulaire pour intervenir dans des affaires comme celle-ci :

Pesticides. La famille d’un viticulteur décédé porte plainte http://www.ouest-france.fr/pesticides-la-famille-dun-viticulteur-decede-porte-plainte-3353561

Mais il est vrai que le cas peut être un peu complexe. Par contre, si on en reste à des affaires plus classiques de pollution, voici un cas intéressant à plus d’un titre :

 

Environnement. Le ruisseau victime d’une pollution à l’échalote : http://www.ouest-france.fr/environnement-le-ruisseau-victime-dune-pollution-lechalote-3242786

Tout d’abord, il s’agit apparemment d’une pollution « accidentelle » d’un cours d’eau donc la recherche des responsables sera assez facile, mais derrière tout cela, il y a une seconde responsabilité. Si ces échalotes se sont retrouvées là, c’est que des légumiers en colère les avaient déversées sur la voie publique (3.500 tonnes tout de même) et qu’il a bien fallu s’en débarrasser d’une manière ou d’une autre et celle-là n’est sûrement pas la plus judicieuse. Il n’y aurait pas cette première atteinte à l’environnement que constituait ce déversement sur la voie publique, la seconde pollution n’aurait certainement pas eu lieu. Jusqu’où ira le parquet dans la recherche des responsables ?

Et je ne sais pas pourquoi, cette affaire d’échalote à Morlaix m’en rappelle une autre, à peine plus ancienne, qui n’est peut-être pas une atteinte à l’environnement mais reste quand même la conséquence du sentiment d’impunité de quelques uns qui considèrent que le domaine public peut servir de défouloir à leur colère, quand bien même celle-ci serait justifiée : l’incendie le Hôtel des Impôts de Morlaix. Excédés, un collectif de citoyens a décidé d’apporter son soutien aux services judiciaires pour que, CETTE FOIS, ils aillent jusqu’au bout :

A Morlaix tous les 19 de chaque mois les citoyens sonnent le tocsin : http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2015/02/20/morlaix-tous-les-19-de-chaque-mois-les-citoyens-sonnent-le-tocsin-659145.html

Ils semblent avoir été en partie entendus puisque dans les jours qui ont suivi cette manifestation de février, une série de gardes à vue a été déclenchée par le parquet. Mais il faut soutenir cette vaillance nouvelle du Parquet brestois. C’est pourquoi ce collectif continue et continuera à se réunir et sonner le tocsin, le samedi le plus proche du 19 de chaque mois sur le parvis de la mairie de Morlaix, pour clamer que décidément, ils font confiance à la justice de leur pays mais comme disait Vladimir Oulianov, que « la confiance n’exclut pas le contrôle. » En d’autres termes, la vigilance, n’est pas synonyme de méfiance bien au contraire, elle est un adjuvant de la confiance, dans le domaine environnemental également. C’est pourquoi, en matière environnementale, j’ai confiance dans la justice de mon pays, les yeux grands ouverts




Participez aux Rencontres Régionales des Journalistes Jeunes

Inscrivez-vous aux Rencontres Régionales des Journalistes Jeunes Mercredi 18 mars de 09h30 à 17h30 au CRIJ (Centre Régional d’information Jeunesse) 4 bis cours des alliés – 35000 Rennes

 

L’association Bretagne Durable et Solidaire (eco-bretons.info) s’associe à Jets d’encre (association nationale pour la promotion et la défense de la presse d’initiative jeune) qui organise cette journée de formation gratuite, de débats et de rencontres.

 

Au programme :

 

  • ateliers théoriques : se lancer dans la création d’un journal ; comment faire une maquette efficace ; comment intégrer judicieusement une illustration ; Jusqu’où peut aller votre liberté d’expression

 

  • débat mouvant : la liberté d’expression en question

 

  • parcours journal web : élaboration d’un scénario puis réalisation d’un tutoriel sur « Comment créer son journal web »

 

  • parcours pour les accompagnateurs : avoir les bons outils pour accompagner la réalisation d’un journal jeune ; trouver sa place d’accompagnateur.

 

Des stands pour rencontrer des associations et organismes pour les jeunes :

 

  • Le CRIJ : Vous ne connaissez pas le Centre Régional d’Information Jeunesse ? Venez découvrir ses programmes, ses actions !

 

  • La Ligue de l’enseignement : Vous ne connaissez pas la Ligue ? Le dispositif des Juniors Associations qui vous permet de créer votre association en étant mineur ?

  • CLEMI : Venez découvrir les dispositifs et les actions que le Centre de Liaison de l’Enseignement et des Médias d’Information propose pour les jeunes !

  • Eco Breton : L’association Bretagne Durable et Solidaire vous présentera ses actions et ses projet. Les journalistes du site eco-bretons.info vous présenteront leur média collaboratif. Ils vous donneront conseils et astuces pour rédiger et diffuser de l’information sur le web !

 

 

Gratuit et ouvert à tous sur inscription

(formulaire disponible sur le site www.jetsdencre.asso.fr)

Petit-déjeuner, déjeuné et goûter offerts par l’association Jets d’encre.

Possibilité de covoiturer.

 

A propos de Jets d’Encre…

Cette association nationale qui promeut et défend la presse jeune vient de fêter ses dix ans. Bien implantée dans la région parisienne et en Rhône-Alpes grâce à ses Rézos régionaux, Jets d’encre vient de créer un Rézo en Bretagne. L’occasion pour les journalistes jeunes bretons de participer à ses formations et de bénéficier de son savoir-faire : création d’un journal, droit et déontologie de la presse jeune, liberté d’expression, techniques journalistiques…

Mais aussi un festival national de la presse jeune (Expresso), un concours national (Kaléïdo’scoop) et plein d’autres choses…

www.jetsdencre.asso.fr

 

 

A propos de Bretagne Durable et Solidaire

Née en 2009 à Morlaix (29), cette association édite un site web  collaboratif : eco-bretons.info. Son but ? Diffuser de l’information sur les Transitions en Bretagne et permettre aux citoyens et citoyens juniors, de publier leurs articles, photos et témoignages. Le concours « Reporter en Herbe » créé en 2013 avait permis à plusieurs dizaines de jeunes bretons de publier leurs articles en ligne. Aujourd’hui, Bretagne Durable et Solidaire revient sur le devant de la scène avec Jets d’Encre, afin de favoriser et accompagner l’expression des journalistes jeunes et bretons.

http://www.eco-bretons.info

 

 

Information et inscription :

 

Contact : Association Bretagne Durable et Solidaire

09 81 92 98 60 ou 06 52 85 27 48

Association Jets d’encre

01 46 07 26 76




2016, une très bonne année pour l’agriculture biologique mais…

Depuis le 25 février, et jusqu’au 5 mars, Paris accueille le 54e salon international de l’agriculture. L’occasion pour Eco-Bretons de faire un point sur l’agriculture biologique.

Le 21 février, l’Agence Bio a dévoilé les chiffres de la production et de la consommation de produits issus de l’agriculture biologique. Des chiffres très positifs pour l’agriculture biologique. La Bretagne n’est pas une mauvaise élève puisqu’elle était, en 2015, la sixième région de France en nombre d’exploitations bio et en surface agricole utile (SAU) cultivé en Bio.

En 2010, la Bretagne comptait 1541 exploitations agricoles bio, ce qui représentait 4% des exploitations et 3,2% de la SAU. En 2015, les 2036 exploitations bio bretonnes, en augmentation de 7,7% par rapport à 2014, représentent 4,4% de la SAU. Enfin, en 2016, on compte 2381 exploitations bio en Bretagne.

C’est dans le Finistère que l’on compte le plus d’exploitations agricoles biologiques (572 en 2015, soit 9% des exploitations) et dans le Morbihan qu’il y en a le moins (464 en 2015). Par contre, la part de SAU consacrée au Bio est plus importante dans le Morbihan (4,8% contre 4,3% en Finistère).

« Entre 2013 et 2015, la dynamique d’installation était le moteur de l’augmentation du nombre d’exploitations biologiques. En 2016, la tendance s’inverse : il n’y a jamais eu autant de conversion. Cette vague s’explique par la crise de l’agriculture conventionnelle et la forte demande des consommateurs en produits bio. La dynamique d’installation concerne surtout le maraîchage diversifié en petite surface. Les conversions se font essentiellement en bovin laitier », précise Antoine Besnard, chargé de communication à la Frab Bretagne.

7 français sur 10 consomment régulièrement Bio

Au niveau national, la production biologique a connu une « croissance historique » en 2016. Les surfaces cultivées en Bio ont augmenté de 16% par rapport à 2015 pour atteindre 1,5 million d’hectares. Le nombre de producteurs bio a lui bondit de 12% en un an. On compte désormais plus de 32 000 producteurs bio en France et plus de 200 fermes bio se créent chaque mois.

Si la production a augmenté, la consommation de produits issus de l’agriculture biologique a, elle aussi, connu une année faste. D’après une enquête menée par l’Agence Bio, 9 français sur 10 ont consommé des produits bio en 2016 et 69% déclarent même en consommer régulièrement. Ils étaient 65% en 2015. Pour rappel, en 2003, 46% des français assuraient ne jamais manger de produits biologiques. « Ils trouvent dans la Bio une réponse à leurs attentes avec une agriculture d’avenir, basée sur le respect de l’environnement, du bien-être animal, favorisant l’emploi et le développement territorial », précise l’Agence Bio.

Deux ans de retard

Tous ces bons chiffres sont malgré à tempérer. En effet, la Fnab (fédération nationale d’agriculture biologique) explique que les aides promises par l’état pour inciter et faciliter la conversion des paysans à l’agriculture biologique tarde à être versées. Pour certains agriculteurs, le retard est de deux ans. « À cause d’une gouvernance état-régions totalement défaillante, de nombreux agriculteurs bio sont en grande difficulté financière, malgré la bonne santé de leurs exploitations », regrette la Fnab. « On nous avait promis un versement en mars mais ça a été reporté. On espère que ce sera réglé le plus rapidement possible », ajoute Antoine Besnard.

Une demande en forte hausse, des agriculteurs de plus en plus nombreux à sauter le pas… On pourrait croire que l’agriculture biologique a de beaux jours devant elle. Pour en être définitivement convaincu, il faudrait une véritable volonté politique de changer de modèle agricole. Nous n’y sommes pas encore.

Pour aller plus loin

www.agrobio-bretagne.org

www.agencebio.org

www.fnab.org




Les association s’engagent dans la transitions- Le tournoi international de Dirinon.

L’association sportive de Dirinon organise tous les ans un tournoi international de foot. A cette occasion, plusieurs équipes venues de 4 continents s’affrontent dans la convivialités. Depuis plus de dix ans, l’association a décidée d’œuvrer à faire de cet événement un véritable laboratoire de la transition. Point par point, ils ont décidé de trouver des solutions innovantes et ludiques afin, de minimiser l’impact du tournoi sur l’environnement. Arnaud CLUGERY, le président de L’ A.S Dirinon nous raconte le processus de cette formidable aventure ainsi que les initiatives étonnantes et innovantes qu’ils ont mis en place.

Contact vers les associations:

  • « Tournoi international de Dirinon »

Lien vers le site internet: http://tournoi-international-dirinon.fr

  • « Mais qu’est-ce que tu fabrique »- Landerneau 298000

Lien vers le site internet: http://www.fabrikasso.infini.fr

  • « Eau et Rivière de bretagne »

Lien vers le site internet: https://www.eau-et-rivieres.org/home