1

« La Pepille », une pépinière collective et citoyenne qui fait son nid, dans les Côtes-d’Armor

A Lanvallay (22), à côté de Dinan, l’association Les Vigiliantes se mobilise autour des enjeux de résilience et autonomie alimentaire, agriculture, et environnement,, sur le territoire. Elle a ainsi créé une pépinière collective et citoyenne sur 3000m2, baptisée « La Pépille ». Le but : produire des plantations et arbres, destinés à des projets et espaces collectifs du secteur.

 

Les Vigiliantes. Ou la rencontre des mots « Vigilance » et « liens ». C’est le nom d’une association basée à Lanvallay, à côté de Dinan, dans les Côtes-d’Armor. « A la base, c’est un collectif qui est né en 2019 », explique Claire, la présidente de l’association. « Nous étions mobilisés sur les questions liées à l’alimentation, l’agriculture, avec l’organisation de conférences, de journées de rencontres avec les professionnels. Nous interpellions aussi les collectivités sur ces sujets », précise-t-elle. Vient alors la période Covid, et ses restrictions sanitaires, qui font que les actions se font plus rares.

« Ca nous a donné envie de mettre les mains dans la terre, sur notre territoire », rembobine Claire.

Les envies se rencontrent alors avec la commune de Lanvallay, qui disposait d’un terrain de 6 hectares, dédié par l’ancienne municipalité à la construction d’une salle des fêtes. Les nouvelles et nouveaux élu.e.s choisissent de consacrer ces terres à l’installation de projets agricoles. « Nous avons pu bénéficier d’une parcelle de 3000 m2 », indique la présidente de l’association, qui voisine notamment avec un projet en maraîchage solidaire et une horticultrice.

Une belle diversité d’espèces

C’est sur ce terrain qu’est né le projet-phare des Vigiliantes, à savoir une pépinière citoyenne et collective, baptisée « La Pépille ». « L’acte fondateur a été la plantation d’un mini-bosquet nourricier il y a 3 ans, sur 200 m2, en multistrates, avec des arbres nourriciers qui alimentent les humains, la faune et le sol, des herbacées et des buissons », détaille Claire. On y trouve des pommiers, des pêchers, des argousiers, des fraises, framboises, mûres sans épine, du chèvrefeuille comestible, ou encore de la sauge, du thym, des aromatiques… « L’idée, c’est d’avoir une belle diversité d’espèces, qui permet d’avoir des plants-mères pour pouvoir les multiplier ensuite ».

L’hiver dernier a eu lieu l’installation d’un premier espace de production de plantes et d’arbres, sur une surface de 70m2, où l’on trouve des fruitiers greffés, des boutures, des fruits rouges…Les bénévoles de l’association se forment « en faisant, petit à petit. Nous sommes tous des amateurs », déclare Claire. Des ateliers et séances de travaux sont régulièrement organisés : entretien, désherbage, plantation, greffes…toujours en collectif, et ouverts à toutes et tous. Toujours dans cet esprit, tout ce qui est produit dans la pépinière est destinés à être plantés sur des espaces collectifs : pour les collectivités, sur des zones artisanales, des jardins partagés, les espaces verts de magasins bios…et ce en relation avec des pépiniéristes professionnels du secteur, avec qui « tout se passe bien », assure Claire.

Pour découvrir ce beau projet citoyen, on peut passer lors des chantiers organisés régulièrement sur la parcelle. Mais aussi le 7 octobre, lors d’une porte-ouverte qui présentera les différentes activités installées sur le terrain de Lanvallay.

 

Pour en savoir plus :

https://www.vigiliantes.fr/




La Caravane de la transition prend ses quartiers à Lorient

« La Caravane regroupe en son sein des « caravaniers », qui sont des porteurs de projets aboutis, tous s’inscrivant dans la thématique des transitions. Une étape tous les mois et demi est prévue, dans toute la région Bretagne, avec une soirée grand public ouverte à tous. Lors de cette soirée, après une introduction concernant la transition écologique, et la présentation des caravaniers, des ateliers sont organisés, autour de chaque initiative présentée. Chaque participant est invité à assister à trois ateliers de son choix. On est vraiment, avec la Caravane, dans des démarches de « consolidation » d’initiatives et aussi de transmission. », explique Julian Pondaven, directeur du Réseau Cohérence, qui fédère une centaine d’associations bretonnes.

 

 

Les initiatives présentées :

 

 

  • Les jardins partagés

 

Créée en 2002, l’association Mémoire de Soye a pour objet la mise en place et le maintien d’une action culturelle globale à caractère philanthropique, fondée sur l’animation, la connaissance, la transmission, l’éducation, la préservation, la réhabilitation et l’entretien du patrimoine qu’il soit artistique, architectural, archéologique, historique, naturel ou humain, en particulier sur le site de Soye-en-Ploemeur (Morbihan).

Depuis 2010 elle a entreprit, avec l’aide de l’institut médico éducatif de Kerdiret à Ploemeur, la réhabilitation d’un potager fruitier du 18ème siècle appartenant à la communauté urbaine, en potager associatif partagé à vocation conservatoire d’une espèce potagère locale.

 

A lire aussi

La convivialité des jardins partagés

 

 

  • Alternatiba

 

Le 6 octobre 2013, la ville de Bayonne a accueilli l’évènement Alternatiba, organisé en forme de village des alternatives. Fort de son succès, il a rassemblé près de 12 000 personnes. Christiane Hessel fait écho à son mari, Stéphane Hessel, décédé quelques mois avant les évènements de Bayonne, en lançant un nouvel appel à toutes les villes d’Europe pour qu’elles organisent leur Alternatiba. Le mouvement Alternatiba fait partie du collectif pour une Transition Citoyenne (http://transitioncitoyenne.org/) et a lancé pour l’année 2015 une série d’initiatives dans la perspective de la COP21 (conférence internationale sur le climat en décembre 2015).

 

A lire aussi

Alternatiba Abers : 3 jours festifs pour relever le défi climatique !

 

 

 

  • Investir dans les énergies renouvelables citoyennes

 

L’association Bretagne Energies Citoyennes (BÉC) a pour objectif de permettre aux citoyens de s’impliquer personnellement, au sein d’actions collectives, pour faciliter la production d’énergie renouvelable.

Il y a plusieurs années, elle a créé une première société ayant permis l’investissement d’une centaine de citoyens dans les panneaux photovoltaïque de la toiture de la biocoop de Mellac (29).

Elle souhaite désormais se lancer dans un nouveau projet, avec la création d’une nouvelle société visant cette fois à louer des panneaux solaires aux collectivités locales.

 

 

  • Enercoop

 

Créée en 2005, Enercoop fournit de l’électricité d’origine renouvelable aux particuliers et professionnels. Les bénéfices de la coopérative servent à développer les énergies renouvelables. Enercoop est actuellement le seul fournisseur d’électricité en France à pouvoir garantir un approvisionnement 100% renouvelable.

Au-delà de cet aspect environnemental, la structure coopérative (SCIC) choisie par Enercoop assure un fonctionnement démocratique et une recherche de l’intérêt général.

Enercoop Bretagne est née en mars 2013, et compte actuellement plus de 2000 clients pour 600 sociétaires.

 

A lire aussi

Avec Enercoop, passez à l’énergie verte !

 

 

  • Le Baromètre du développement durable des communes

 

Le baromètre du développement durable est un outil mis en place par le réseau Cohérence depuis 2008. Cet outil a pour objectif de permettre aux communes de se situer dans leur prise en compte du développement durable et solidaire au regard d’une centaine de questions.

 

A lire aussi

Appel à contribution pour co-construire un baromètre du développement durable pour les intercommunalités

A Saint-Malo, Horizons Solidaires démocratise le développement durable

 

 

  • L’agenda 21 du citoyen

 

Afin d’encourager et d’inciter tout un chacun à modifier ses pratiques et ses comportements susceptibles de répondre aux enjeux du développement durable et solidaire, l’association Nature et Culture et le réseau Cohérence se sont engagés depuis 2010 dans un projet visant à décliner la démarche d’agenda 21 à l’échelle du citoyen ou d’un foyer. 

 

A lire aussi

Un réseau social pour le développement durable

 




La rivière Le Léguer et sa vallée se fêtent dans le Trégor cet été

Depuis le 25 juin et jusqu’au 10 Septembre se déroule la 27ème édition de l’opération « Le Léguer en fête ». Au programme : balades, expositions, conférence, projections et découvertes, pour apprendre à mieux connaître ce cours d’eau costarmoricain labellisé « Site Rivière Sauvage », et son bassin versant, tous deux riches d’une biodiversité remarquable. Pour cette édition 2023, l’arbre sera particulièrement mis à l’honneur.

 

Le Léguer est une rivière bretonne qui s’étend sur près de soixante kilomètres, dans les Côtes-d’Armor. Rejoint par son affluent le Gouic au niveau de Belle-Isle-En-Terre, son embouchure se situe dans la baie de Lannion. C’est aussi la première et la seule rivière de Bretagne a avoir obtenu le label « Site Rivière Sauvage »,une distinction décernée par l’Association du Réseau des Rivières Sauvages et le Fonds pour la Conservation Des Rivières Sauvages. Ce label national vise à récompenser des « rivières joyaux », et est « un outil au service des gestionnaires des milieux aquatiques d’eau courante pour améliorer la protection et la conservation des rivières qui présentent un bon fonctionnement écologique ». On trouve ainsi une biodiversité variée dans la vallée du Léguer, par ailleurs classée zone Natura 2000 : saumons, mais aussi loutres, lamproie marine, escargot de Quimper…

Chaque année, l’opération « Le Léguer en fête » est organisée. Portée pour cette édition 2023 par les collectivités du bassin versant Vallée du Léguer (Lannion-Trégor- Communauté, Guingamp- Paimpol Agglomération, Morlaix Communauté et le syndicat de Goas koll Traou Long), l’Office de tourisme Bretagne – Côte de granit rose, elle se déroule cette année du 25 juin au 10 septembre.

 

Au programme : plus d’une quarantaine d’animations, pour la plupart gratuite, et qui se déclinent autour de trois grands axes :

 

  • Des balades patrimoines (12 au total), tous les dimanches jusqu’au 10 septembre, à 17h. Elles auront lieu cette année sur les communes de Guerlesquin, Louargat, Lannion, Belle-Isle-en-Terre, Le Vieux- Marché, Ploumilliau, , Plounevez-Moëdec, Plouaret, Pluzunet et
    Ploubezre. Les participant.e.s pourront ainsi découvrir le patrimoins bâti de la vallée du Léguer, découvrir la fôret, partir à la rencontre de la loutre et du loup, et longer la rivière.
  • Des expositions (photos, sculptures, cartes postales anciennes…) depuis le 15 juin, en intérieur et en extérieur : expo photos sur les papillons de nuit sur le site des papeteries Vallée à Plounévez-Moëdec, sur les trésors de la faune du Trégor à l’Etang du Moulin Neuf…En intérieur, la Distellerie Warenghem à Lannion accueillera les œuvres de Yan Koch : il s’agit de scans en 3 dimensions d’arbres remarquables, dont plusieurs de la Vallée du Léguer. On retrouvera le thème des arbres pour l’exposition de l’association Déclic’Armor qui présentera « Les arbres du Léguer » en photo dans la chapelle du Dresnay
  • Des découvertes : sieste musicale à la Vallée des Bambous à Plougonver, conférences sur les arbres, visites de fermes avec des agriculteurs engagés dans la préservation du bocage, chantier participatif de nettoyage des berges du Léguer avec Surfrider Foundation et l’AAPPMA du Léguer, atelier d’herboristerie…

 

Tout le programme est disponible sur http://www.vallee-du-leguer.com/Le-Leguer-en-fete-Gouel-al-Leger

 

Le teaser en vidéo :




Aller Vert lance la Répar’Action !

(Plume Citoyenne) Le 14 mai prochain à Ti an Oll, le club Aller vert organise un atelier de Répar’Action pour donner une deuxième vie à vos objets. Petit électroménager en panne, vélo à rafistoler… vous avez sans doute un objet à réparer qui traîne dans votre garage. 

 

En quoi cela consiste ?

Des bricoleurs bénévoles et couturières examineront les objets pour identifier le problème, expliquer comment réparer ou ce qu’il faudrait changer. Si la réparation est possible, l’objet sera réparé pendant l’atelier. « L’idée est de dépasser la peur d’ouvrir les appareils et de tenter une réparation plutôt que de jeter »,  explique Catherine Ermeneux, membre du collectif.  « Si vous savez déjà qu’une pièce doit être remplacée, venez avec la pièce de rechange pour que les bricoleurs vous aident à la remplacer ».

Les objets que vous pouvez apporter sont le petit électroménager, les jouets, certains matériels informatiques, les vélos ou les vêtements et textiles.

 

Un test pour commencer

L’atelier se tiendra au centre social Ti An Oll, le dimanche 14 mai de 9h30 à 13h. Il s’agit d’une première expérience amenée à se renouveler. Si le succès est au rendez-vous une seconde édition pourrait avoir lieu à l’automne. Pour cela, des bricoleurs et couturières bénévoles sont recherchés. 

 

La réparation est gratuite mais les bénéficiaires peuvent laisser une contribution libre pour développer ces ateliers. L’APAV (A pied et à vélo en pays de Morlaix) apportera sa contribution pour la réparation de vélos. Les jeunes de Ti an Oll participeront aussi à la manifestation et proposeront des gâteaux et boissons pour financer un voyage en Allemagne.

 

Catherine explique : « Le groupe Aller vert est un club du centre social de Plourin-lès-Morlaix qui organise des actions autour de la transition écologique. Notre première action a consisté à mettre en place un point de livraison de légumes du Lycée de Suscinio chaque vendredi, sans engagement ni minimum de commande. »

 

Pratique : Dimanche 14 mai, de 9h30 à 13h à Ti an Oll – 1 rue des genêts – Plourin-Lès-Morlaix 

Pour tout renseignement : contact.allervert@mailo.com




Au fil de l’été, le Léguer se fête

Du 20 juin au 11 septembre se déroulera la 25ème édition de l’opération « Le Léguer en fête ». Au programme : balades, expositions et découvertes, pour apprendre à mieux connaître ce cours d’eau costarmoricain labellisé « Site Rivière Sauvage », et son bassin versant.

Le Léguer est une rivière bretonne qui s’étend sur près de soixante kilomètres, dans les Côtes-d’Armor. Rejoint par son affluent le Gouic au niveau de Belle-Isle-En-Terre, son embouchure se situe dans la baie de Lannion. C’est aussi la première et la seule rivière de Bretagne a avoir obtenu le label « Site Rivière Sauvage »,une distinction décernée par l’Association du Réseau des Rivières Sauvages et le Fonds pour la Conservation Des Rivières Sauvages. Ce label national vise à récompenser des « rivières joyaux », et est « un outil au service des gestionnaires des milieux aquatiques d’eau courante pour améliorer la protection et la conservation des rivières qui présentent un bon fonctionnement écologique ». On trouve ainsi une biodiversité variée dans la vallée du Léguer, par ailleurs classée zone Natura 2000 : saumons, mais aussi loutres, lamproie marine, escargot de Quimper…

Chaque année, l’opération « Le Léguer en fête » est organisée. Portée pour cette édition 2021 par les collectivités réunies au sein du Bassin Versant Vallée du Léguer et par l’Office de Tourisme Bretagne Côtes de Granit Rose, elle s’étendra sur tout l’été, du 20 juin au 11 septembre.

Au programme : une quarantaine d’animations gratuites (deux seront payantes, ndlr), réparties en trois grands volets : des « balades patrimoines » tous les dimanches à 17h, des expositions photos intérieures et des exposition intérieures (peinture, photo, cartes postales…), des temps de « découverte » sous la forme de chantiers participatifs et festifs, conférences, concerts de musique ancienne, randonnées, une lecture musicale ou encore un concert « accousmatique » (orchestre de haut-parleurs qui interprète des musiques composées en studio).

Et pour fêter cette 25ème édition du « Léguer en fête », un « lexique sensible » du Léguer sera créé, grâce à des ateliers d’écriture qui auront lieu tout l’été, auxquels les habitants sont conviés.

Tout le programme est disponible sur le site http://www.vallee-du-leguer.com/

Consultation sur l’eau, tous concernés !

Il est toujours temps de participer à la consultation sur l’eau menée par le Comité de Bassin Loire-Bretagne et l’Etat, qui se déroule jusqu’au 1er septembre. Pour cela, direction le site : https://sdage-sage.eau-loire-bretagne.fr/home/consultation-eau/donnez-son-avis—questionnaire.html




Avec le « 3% asso », le Buzuk aide les associations de son territoire

La monnaie locale de Morlaix, le Buzuk, a mis en place un système vertueux permettant d’aider le tissu associatif local : Le « 3% asso ». Lorsqu’un utilisateur convertit ses euros en Buzuks, il choisir une association à soutenir, qui bénéficiera alors de 3% des sommes échangées par an. L’association morlaisienne En Vrac à l’Ouest est la première à bénéficier du dispositif.

Lancée en 2016, la monnaie locale complémentaire et citoyenne « Le Buzuk » s’utilise sur le Pays de Morlaix (Léon, Trégor, Monts d’Arrée), sous la forme de billets de 1, 2, 5, 10 et 20 Buzuks. Un Buzuk vaut un Euro. Les utilisateurs (qui sont obligatoirement des adhérents) peuvent échanger leurs Euros en Buzuks dans des « comptoirs de changes » répartis un peu partout sur le territoire, mais aussi sur les stands Buzuk sur les marchés ou lors d’événement. Une fois des Buzuks en poche, le citoyen peut alors procéder à ses achats dans des prestataires du réseau.

Depuis l’an dernier, la monnaie locale a lancé le système du « 3 % associatif ». Un dispostif qui permet de soutenir les associations du territoire. Le principe est simple : les adhérents ont la possibilité de parrainer une association du territoire, « qu’elle soit adhérente ou non, et de tout type », précise Lucie Knappek, salariée du Buzuk. Si 20 parrains sont comptabilisés, l’association recevra 3 % des Buzuks échangés par an par les parrains. Exemple : si un utilisateur convertit 100 euros, il recevra 100 Buzuks. Ses 100 Euros seront placés à la coop financière de la Nef pour soutenir des projets solidaires, il pourra dépenser ses 100 Buzuks chez les prestataires du réseau, et l’association qu’il parraine recevra alors 3 Buzuks. Ainsi, si une association a 20 parrains qui échangent 150 Euros par mois en Buzuks, elle recevra sur une année plus de 1080 Buzuks, qu’elle pourra dépenser dans le réseau. Ce parrainage, inspiré par ce qui fait dans le Pays Basque avec la monnaie locale l’Eusko, est financé par la commission de 4 % que les prestataires paient si ils convertissent leurs Buzuks en Euros.

C’est ainsi que l’association En Vrac à l’Ouest, qui promeut le zéro déchet sur le territoire morlaisien, vient de recevoir un chèque de 982 buzuks, grâce à 22 parrainages. « L’idée, c’est que l’association qui reçoit les fonds réinvestisse à nouveau avec la monnaie locale dans l’économie du territoire », souligne Lucie. Un cercle vertueux bien utile pour faire vivre les commerçants locaux, mais aussi les associations, dont beaucoup ont été durement touchées par la crise sanitaire.

https://www.youtube.com/watch?v=xMlTUz2HikA

Plus d’infos :

https://www.buzuk.bzh/le-buzuk/le-buzuk-soutient-les-assos