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Vers des festivals « zéro plastique » ?

En
France, des festivals s’engagent vers le zéro plastique. En
Bretagne, ils sont déjà 20 à avoir signé la charte d’engagement
du dispositif Drastic On Plastic.

Couverts
en plastiques, barquette de frites, pailles, goodies…en festival,
le plastique à usage unique est encore bien présent. A l’heure où
la planète croule sous les déchets, comment réduire les plastiques
à usage unique dans les événements festifs ? Le dispositif
« Drastic On Plastic » est là pour aider les
organisateurs à réduire et à bannir le plastique de leurs
festivals, « dans une démarche et de mise en commun des
pratiques à l’échelle nationale » . Il est inspiré d’une
initiative anglaise lancée en 2018 par l’AIF (Association Of
Independant Festivals) et la Raw Foundation. Chez nous, c’est le
collectif R2D2 qui porte la démarche. Ce collectif est la réunion
informelle des réseaux régionaux d’accompagnement au
développement durable des événements, dont fait partie pour la
Bretagne Le Collectif des Festivals.

Drastic
On Plastic a été officiellement lancé le 22 janvier à Nantes lors
des Biennales Internationales du Spectacle. 60 festivals français
ont déjà signé la charte d’engagement, dont 20 festivals
bretons : Belle Ile On Air, Les Bordées de Cancale,
DésARTiculé, Don Jigi fest, EMGAV, le Festival photo de la Gacilly,
le Grand Soufflet, Horizons Open Sea, Kann al Loar, Maintenant, le
Motocultor festival, O Jardins Pestaculaires, Panoramas, La P’Art
Belle, les Pieds dans la vase, Quartiers d’été, Temps Fête, les
Trans, Travelling, les Tombées de la nuit.

Le dispositif est ouvert à tous les festivals qui le souhaitent, quelque soit leur taille, leur configuration ou les degré d’avancement dans la démarche d’avancement de réduction du plastique. Les organisateurs intéressés doivent contacter la structure membre du réseau R2D2 de leur territoire. Une fois la charte d’engagement signée, un atelier collectif est organisé afin de lancer le travail et pourra bénéficier de retour d’expériences, d’outils…A noter que sur le site internet Drastic On Plastic, on trouve une carte localisant les festivals engagés, ainsi qu’un « guide des festivals zéro plastique » à télécharger.

Plus d’infos sur drastic-on-plastic.fr




Votez pour votre documentaire préféré avec le Greenpeace Film Festival !

Du
13 au 27 janvier, c’est le Greenpeace Film Festival. Son
originalité ? Etre un festival de documentaires sur
l’environnement se déroulant entièrement en ligne, et permettant
au public de choisir son film préféré !

Un
festival de films documentaires sur l’environnement 100% en ligne.
Voilà ce qu’est le Greenpeace Films Festival. Son objectif ?
« Sensibiliser le public aux enjeux environnementaux et mettre
en avant les initiatives positives ». Le festival se veut aussi
être « un outil de sensibilisation à l’écologie et à la
consommation raisonnée ».

Durant
15 jours, ce sont ainsi 15 films documentaires sur des thématiques
variées (agriculture, finance, pêche, mer…) qui sont en libre
accès. Chacun est invité à voter pour son film préféré. A la
fin, le « Prix du public » sera décerné au film ayant
récolté le plus vote, qui sera ensuite diffusé dans plusieurs
villes françaises.

Cette
année, les films sélectionnés sont : « Pauvres poulets,
une géopolitique de l’oeuf » de Jens Niehuss, sur le système
agraire européen et la production industrielle d’oeufs et de
poulets, « Amazonia : le réveil de Florestania » de
Christiane Torloni & Miguel Przewodowski, sur le sort réservé à
la forêt Amazonienne depuis le début du 20ème siècle, « De
paris à Pittsburgh » de Sidney Beaumont et Michael Bonfiglio,
sur les efforts réalisés par des individus qui luttent contre les
menaces du changement cliamtique, « Metamorphose » de
Nova Ami et Velcrow Ripper, sur la transition écologique, « L’arche
d’Anote » de Mathieu Ritz, sur la montée des eaux aux ïles
Kiribati, « Cargo, la face cachée du fret », de Denis
Delestrac, sur l’industrie du transport maritime, « Hondar
2050 », de Cesare Maglioni, sur les déchets dans l’océan,
« Chemins de travers » de Sébastien Majonchi, sur des
alternatives agricoles locales dans les Monts du Lyonnais, « Le
temps des forêts », de François-Xavier Drouet, sur
l’industrialisation de la forêt française, « Le cas
Bornép », de Dylan Williams et Erik Pauser sur l’histoire
de la destruction de la forêt tropicale de l’île de Bornéo,
« L’Europe à la
reconquête de la biodiversité », de Vincent Perazio, sur
l’histoire et les raisons de la perte de la biodiversité sur le
territoire européen et ses conséquences, « Vivre le
changement », de Jordan Osmond et Antoinette Wilson, sur
des solutions individuelles mises en place au quotidien pour changer
de modèle, « Mer de vie » de Julia Barnes, sur la
protection des océans, « L’homme a mangé la Terre »,
de Jean-Robert Viallet, sur l’histoire du progrès et de
l’exploitation des ressources, « Les défis d’une autre
agriculture » de Tatjana Mischke et Caroline Nokel, sur de
nouvelles solutions agricoles pour changer de paradigme.

Tous ces films sont visibles gratuitement sur le site du festival, jusqu’au 27 janvier !




Ce week-end, comptez les oiseaux !

Pendant deux jours, ce week-end, les associations Bretagne
Vivante et le Geoca (Groupe d’Etudes Ornithologique des Côtes
d’Armor)
invitent tout un chacun à participer à une
opération de comptage des oiseaux. Pendant une heure, prenez le
temps d’observer la nature et notez les différentes espèces
présentes autour de vous !

Le principe est simple. Durant le week-end, pendant une heure,
chaque participant est invité à observer et à compter les oiseaux
présents sur son lieu d’observation (jardin, parc, école…). Des
fiches d’observation sont disponibles sur le site des associations
participantes. Enfin, afin de ne pas compter deux fois le même
oiseau, ce conseil simple : « Ne notez que le nombre
maximal d’oiseaux de la même espèce observés en même temps. Si
vous observez successivement 4 mésanges bleues, puis 2 et enfin 1,
ne notez que 4 mésanges bleues ».

D’autres outils, comme des dépliants et des guides, sont disponibles pour faciliter l’identification des oiseaux. Vous les retrouverez sur le site des différentes associations. Le jour J, il sera également possible de saisir les informations en ligne sur le site internet de l’association Bretagne Vivante.

Ces comptages permettent de connaître l’évolution des populations des différentes espèces. « Cette opération se veut à la fois un moment de sensibilisation et d’information sur les oiseaux les plus communs », nous apprend le site de Bretagne vivante.

Plus d’informations: https://www.bretagne-vivante.org/Actualites/Les-25-et-26-janvier-comptez-les-oiseaux-des-jardins-dans-toute-la-Bretagne-historique

Présentation de l’opération



Saint-Brieuc (22): Les biologies imaginaires de Maud Boulet.

Rencontre avec Maud Boulet invitée de la deuxième édition de Verdoyons !, cycle d’ateliers, d’expositions et de conférences proposés par le service culturel, les bibliothèques et la mission développement durable de l’université Rennes 2 sur le thème de l’écologie et de notre rapport à l’environnement.

Maud Boulet n’est pas une militante chevronnée de la cause écologiste, et pourtant (pourtant !), en voyant ses travaux on ne peut s’empêcher de le penser… C’est en fait avec cette invitation à Verdoyons ! qu’elle a pris conscience de l’interprétation qu’on pouvait donner de ses dessins.

Les travaux de Maud Boulet sont très souvent reliés au vivant. En effet, avec sa série Human Botany par un développement du détail, comme au microscope, Maud Boulet nous plonge dans des efflorescences entre anatomie et botanique rappelant tantôt les planches Deyrolles tantôt les coraux de Max Ernst ou les déploiements organiques de Fred Deux. Elle explore d’autres supports, les cartes maritimes qui redessinées laissent apparaître des veines.

« Les Indices », c’est le titre d’une série exposée pour la première fois. Il s’agit d’objets naturels tels de petits rondins de bouleau ou des feuilles mortes peints, à l’encre puis dessinés au bic. Une diversité de supports et de techniques caractérise le travail de Maud Boulet. Elle a par exemple expérimenté le dessins sur gâches, c’est-à-dire le papier non utilisé lors de l’impression des journaux, support qui évoque « l’information éphémère, l’idée que nous prenions des nouvelles de la nature et du vivant sans mot » ou encore sur des cartes maritimes. Si elle travaille principalement au stylo à bille et au crayon, elle s’essaye depuis peu à la peinture à l’huile dont la transparence lui rappelle celle de la peau. A l’inverse de l’acrylique qui requiert, comme notre époque, d’aller vite, la peinture à l’huile, utilisée par les peintres classiques flamands ou italiens, demande plus de temps. Non vernis, les Indices sont des œuvres amenées à évoluer comme des matières organiques.

La méthode qu’a développée Maud Boulet pour les « Tâches dessinées » consistant à laisser couler et imbiber l’encre puis à en dessiner les contours pose la question des limites et du hasard dans la construction des dessins. Maud Boulet s’est rendue compte qu’elle ne produisait que des formes fermées mais vivantes. En effet, les formes se circonscrivent et s’épuisent toutes seules à la manière des tâches d’encres qui se délimitent elles-mêmes et tracent leurs propres limites. Cette interrogation sur le contour et son développement dans l’espace, est au cœur du travail de Maud Boulet qui se concentre sur l’environnant qui est par nature limité.

Le dessin haptique.

Atteinte d’une malformation de la rétine, Maud Boulet travaille beaucoup sur l’haptique. Si nous connaissons tous l’adjectif accolé au sens de la vue, celui qui correspond à celui du toucher est beaucoup moins répandu. L’haptique désigne donc le sens du toucher. Et quand on regarde les dessins de Maud Boulet on peut avoir envie de les toucher et de se laisser guider par ces lignes sinueuses qui semblent se mouvoir et se déployer en toute indépendance.

Comme Giuseppe Penone, dont la réflexion l’inspire, Maud Boulet travaille sur les rapports homme/nature, ce qui nous ramène encore une fois à la question de la temporalité. Pour elle, « la nature crée la perfection mais l’homme la dérègle ».

Comment, alors, faire face à l’imperfectibilité de l’homme ?

« Au regard d’une pensée humaine, nous dirions que c’est
injuste. Mais la justice n’existe pas dans le vivant. Le beau, le juste, le
moral, le méchant et tous ces concepts sont terriblement humains. La nature n’a
aucune préoccupation commune avec l’homme. Elle vit simplement. C’est un
réconfort pour l’imparfait qui cherche justice, car il n’y a de justice que dans
la tête des hommes. Ainsi s’installe le paradoxe de mon dessin. Entre question
humaine et forme vivante. Entre la recherche de réponse dans la fabrication et
l’acceptation dans la contemplation. » – Maud Boulet à propos des Indices, dans un texte du 22 novembre
2016 sur le défaut.

Une autre particularité de son travail réside dans les
dimensions de ses œuvres. Elles sont en effet pour la plupart de petites
tailles. Des dimensions inhabituelles par rapport aux œuvres d’art contemporaines,
tentées par le spectaculaire, qui peuvent induire une autre manière de les
regarder, peut-être, en prenant plus le temps de s’y perdre.

Après Rennes 2, l’exposition se prolonge au Campus Mazier, à Saint-Brieuc, jusqu’au 25 février.

Vous pouvez également découvrir son travail sur son site internet https://maudboulet.wixsite.com/dessincontemporain, sur sa chaîne Youtube https://www.youtube.com/playlist?list=WL, ou sur ses réseaux sociaux.

Une interview réalisée en partenariat avec Noctambule Média http://noctambule.info.




Parc de la Métairie de Plougasnou : une meilleure façon d’accueillir la biodiversité

(Plume Citoyenne) Dans le cadre d’un projet tutoré, 4 étudiant.e.s de BTS GPN (Gestion et Protection de la Nature) du lycée agricole de Suscinio de Morlaix ont travaillé avec le service technique de la commune de Plougasnou afin de proposer un plan de gestion différenciée du parc de la Métairie.

Cette
démarche professionnalisante permet aux étudiant.e.s de mener un
projet d’aménagement et/ou de sensibilisation d’un public avec
un commanditaire dans le but de répondre à une demande de ce
dernier. Ainsi, le service technique de la commune de Plougasnou a
demandé aux étudiant.e.s de proposer un plan de gestion
différenciée, accompagné d’une matinée d’animation pour
sensibiliser les enfants des écoles de la commune à la biodiversité
présente sur le site, en particulier les zones humides.

Animation scolaire dans la zone humide du parc de la Métairie.

“Le
constat est simple : l’espace n’est pas exploitable avec des méthodes
d’entretien traditionnel, beaucoup trop chronophage pour l’équipe
technique. Un programme de gestion différenciée s’impose,
permettant d’ailleurs de créer une cohésion entre les espaces ayant
des vocations diverses (éco-pâturage, pumpark, zone humide, aires
de jeux, proximité Foyer Logement, zones engazonnées, stand de tir
à l’arc, etc.)” déclare David Colcanap, responsable des
services techniques de Plougasnou.

La
gestion différenciée est un concept récent qui consiste à
valoriser les espaces urbains de manière plus écologique et y
favoriser la biodiversité selon différents moyens comme semer des
fleurs mellifères, tondre de manière sélective, etc. Cette
démarche ne peut se concevoir sans une sensibilisation du public,
avec par exemple l’installation de panneaux de sensibilisation.
Telles sont les actions souvent mises en oeuvre lors d’un plan de
gestion différenciée. Plougasnou a souhaité établir le sien pour
favoriser la biodiversité (amphibiens comme le triton palmé,
oiseaux communs comme les grives ou encore des libellules) mais aussi
rendre le parc plus attrayant en y créant un espace
intergénérationnel.

Plan
de gestion auquel ont participé Matteo LE GAC-FRIN (étudiant en BTS
GPN) et Mathys JAOUEN (élève Terminale de Bac STAV) du lycée
agricole de Suscinio dans le cadre de leur stage au service technique
de Plougasnou, en appui du projet tutoré de l’équipe d’étudiants
BTS GPN. Actions qui vont être menées progressivement à partir du
printemps 2020.

Dans
le but d’inaugurer le plan de gestion proposé, les étudiants ont
organisé dans la matinée du 15 janvier 2020 une animation pour les
enfants des classes de CE au CM des deux écoles de la commune afin
de leur faire découvrir la biodiversité du parc de la Métairie et
de sa zone humide.

“Nous
avons choisi de mettre en place cette animation pour amener aux
enfants une nouvelle vision du parc et de la biodiversité à la
Métairie, une façon efficace de sensibiliser également leurs
parents.” “Nous souhaitons solliciter les familles de jeunes
enfants afin de récupérer des petits pots pour bébé nécessaires
à nos animations à partir de récupération et donc limiter les
déchets.” précisent Guillaume Le Guen, Gwendal Kuen, Ambre
Monnet-Carsuzaà et Thomas Signeau, les quatre étudiant.e.s
impliqué.e.s.

Photo de une :

Les étudiant.e.s BTS GPN avec leur référent, David Colcanap, responsable des services techniques de la commune Plougasnou, commanditaire du projet.




Appaloosa, une agence de communication en Scop

Suite et fin de notre série d’articles réalisés en collaboration avec l’Adess du Pays de Morlaix sur les acteurs locaux de l’économie sociale et solidaire. Aujourd’hui, rencontre avec Appaloosa, agence globale de conseil en communication. Une Scop (société Coopérative et Participative) basée à Plouigneau.

Histoire

Créée
en 1985 sous le nom d’Agrimages et installée depuis 1991 à
Plouigneau,, l’agence de communication Appalosa est passée sous
statut Scop (Société Coopérative) en 2009, après une reprise par
deux de ses salariés. « Notre patron partait en retraite »,
explique Olivier Lemaire, directeur artisqtique et l’un des
fondateurs de la Scop, « Il nous a proposé de reprendre
l’entreprise en Scop. Avec Bertrand, l’idée nous convenait ».
Au fur et à mesure, des collègues, et d’autres, ont embarqués
dans l’aventure, pour devenir eux aussi salariés-coopérateurs.

Activités

Actuellement,
Appaloosa emploie huit personnes, dont deux alternants. Les activités
de l’agence sont tournées vers la communication : web,
marketing, design, relations presse, vidéo, digital… « 60%
de notre activité se fait vers le monde agricole », précise
Olivier. Des clients qui viennent du territoire, mais aussi de la
France entière, voir même de l’étranger. « On a aussi bien
des client qui font du bio en local, que des entreprises qui essaient
de conquérir la Planète ! C’est ce qui est passionnant dans
notre activité », explique Olivier. Ceci explique par ailleurs
le double profil de certains salariés, qui sont à la fois
ingénrieur-agronome et spécialistes en communication.

La gouvernance

Appaloosa
est une Scop depuis 2009. Elle compte actuellement six associés,
tous salariés. Même si des coopérateurs ont quitté l’entreprise,
le statut Scop permet « d’avoir une trésorerie solide on peut
faire face à certains aléas, même si il faut rester vigilant »,
commente Olivier. Chez Appaloosa, la participation est débloquable
et permet de monter au capital. Pour devenir coopérateur, il faut
poser sa candidature, qui est votée lors d’une réunion
d’associés, et participer au capital à hauteur de 2,5 % du
salaire annuel. Le fait de devenir coopérateur n’est pas
obligatoire, et est possible au bout d’un an d’ancienneté.

Ici,
le gérant change tous les quatre ans, après un vote des
coopérateurs. Des réunions d’associés ont lieu tous les deux mois
pour faire un bilan et « pour que tout le monde soit
sensibilisé aux problématiques de l’entreprise », rapporte
Olivier. « On est acteurs ». Des sessions de formation
sont également organisées. Ainsi, l’année dernière, un séminaire
sur l’intelligence collective a eu lieu. Un temps nécessaire selon
Olivier, car dans une Scop comme dans toute entreprise, « le
facteur le plus compliqué à gérer, c’est l’humain ».

Parmi
les avantages accordés aux salariés figure le compte-épargne
temps. « Si on ne peut pas prendre toutes nos RTT, on peut les
stocker suivant un plafond précis, et soit les récupérer en
argent, soit en temps », explique Olivier.

En parallèle, Olivier et Bertrand Le Coq, le gérant, sont tous deux engagés dans le mouvement coopératif : Union Régionale des Scoops pour Bertrand Le Coq et le CEFR (Comité d’Engagement Financiers Régional) pour Olivier, ce qui lui apporte beaucoup. « J’apprends énormément de choses, et cela permet de sortir de l’entreprise, de voir comment cela se passe ailleurs dans d’autres Scop. On peut mettre en perspective sa propre entreprise, c’est vraiment un privilège », conclut Olivier.

Pour en savoir plus :

Appaloosa
en vidéo :
http://www.eco-bretons.info/ecomaginitiativevoyage-au-coeur-scop/