L’idée sortie. Les portes ouvertes du réseau Approche Eco-Habitat

Ce week-end ont lieu les désormais traditionnelles « portes-ouvertes » du réseau Approche Eco-Habita. Au programme, 21 réalisations en habitat écologique, à découvrir dans le Finistère, le Morbihan et les Côtes-d’Armor.

Approche Eco-Habitat est un réseau breton fédérant plus de 100 adhérents, professionnels, citoyens, ou élus, tous engagés dans une démarche d’habitat durable. L’association a pour objet de « Promouvoir un habitat, des lieux de vie et de travail sains, économes en ressources, matériaux et énergie, respectueux de l’environnement, de la culture et des générations futures ». Elle organise pour cela des formations, conférences, ateliers, cafés-débats, speed-meeting de l’habitat écologique…et une opération portes-ouvertes annuelles.

L’édition 2020 de ces portes-ouvertes a lieu ce week-end. Au programme : 21 réalisations à visiter, autour des thèmes du neuf, de la rénovation, de l’agrandissement, de l’aménagement intérieur, du patrimoine…On pourra par exemple découvrir un projet de réhabilitation d’un ancien corps de ferme en pierre à Elliant (29), de l’assainissement par des filtres plantés à Tourc’h (29), une maison bioclimatique à Plougonvelin (29), une extension « frugale » à Lanester, une maison en bois bioclimatique à Ploemel (56)…L’occasion d’échanger avec les propriétaires et les professionnels, artisans et concepteurs, qui sont intervenus sur les chantiers.

Pratique

Portes-ouvertes samedi 17 et dimanche 18 octobre

Plus d’infos : https://portesouvertesecohabitat.com/

Attention : L’événement est gratuit mais l’inscription obligatoire




Poubelle la vie avec Laëtitia Crnkovic !

La Trégoroise Laëtitia Crnkovic anime des ateliers, des conférences, des animations, des accompagnements… autour du zéro déchet, pour « prendre de soi et de notre Terre ». Son premier ouvrage, «Faites l’autopsie de votre poubelle », est paru aux éditions Larousse. Interview.

– Qu’est ce qui t’a donné envie d’écrire ce livre?

Les femmes participant à mes ateliers, des copines qui me disaient « je ne sais pas par où commencer » ou encore « je fais maison mais j’ai encore tellement de déchets ». 

J’ai donc eu envie de faire l’autopsie de nos poubelles avec humour et pragmatisme. 

– A qui s’adresse-t-il?

À TOUT LE MONDE, que l’on vienne de rentrer dans la démarche ou que l’on soit des adeptes du zéro déchet de longue date, on trouve de nouvelles solutions. L’idée est que chacun d’entre nous, selon son mode de vie, son budget, sa personnalité puisse trouver une solution qui lui corresponde. Elles peuvent changer, évoluer avec le temps et les étapes de nos vies.

-Quel message veux-tu faire passer avec?

Qu’il faut arrêter de se mettre la pression, arrêter de fantasmer un zéro déchet absolu qui n’existe pas, arrêter de rêver un zéro déchet instagrammable. Je souhaite qu’en lisant le livre, on dise : « ah mais je fais déjà ça moi », « ah mais oui, c’est tout simple en fait ». 

Le message est : « foutez-vous la paix » (comme dirait Fabrice Midal!) et vivez votre version du zéro déchet, faites de votre mieux avec qui vous êtes aujourd’hui sans vous préoccuper du regard des autres. 

J’espère aussi qu’il vous fera rire, sourire et mettra cette dose d’auto-dérision nécessaire pour vivre une écologie joyeuse et décomplexée.

– Quelle est selon toi la meilleure méthode pour réduire le volume de  nos déchets?

Changez notre regard sur nos besoins. Se délester du superflu pour un retour à l’essentiel, une reconnexion à la nature.

Achetez moins et mieux. Renouez avec les commerçants locaux et bien sûr adoptez des sacs en tissu de récup, des petits tup-tups pour le quotidien, mais aussi les épiceries vrac, les amap, les courses à la ferme. 

-Tu dis que tu es adepte de « l’écologie joyeuse » (on retrouve ce côté gai dans le livre), peux-tu expliquer en quoi consiste cette vision?

Pour moi, depuis toute petite la joie est mon moteur, ce qui me permet d’avancer encore et encore. Cela et la curiosité aussi.

Elle permet de trouver la bonne énergie pour faire les choses, de voir le positif dans tout ce qui nous arrive. 

Dans pouvons trouver de la joie, du positif dans tout, il suffit de le décider, d’éduquer notre esprit à voir les choses ainsi.

Une écologie joyeuse, c’est une VIE joyeuse. 

La transition écologique c’est aussi des prises de conscience, une alignement avec nos valeurs profondes, des échanges de savoir être et faire, un corps en meilleure santé, un esprit plus vif, une réelle reconnexion à la nature, au rythme des saisons, retrouver le goût des fruits et légumes de qualités et locaux.

L’écologie a amené tellement de choses positives dans ma vie. Déjà des rencontres incroyables, des discussions riches et sans fin, des films inspirants et vibrants. 

L’écologie a rallumé mon feu intérieur et donné une énergie incroyable avec l’envie de déplacer des montagnes, pas à pas, seule et ensemble, en famille, entre ami(e)s, en collectif. 

L’écologie me nourrit. J’apprends tellement tous les jours. C’est comme si on tirait sur le fil d’une pelote de laine. On tire encore et encore et on apprend encore et encore. 

L’écologie joyeuse c’est aussi, faire des bons petits plats maison pour dire Je t’aime, c’est soi-même et gagner en estime de soi.

L’écologie joyeuse, le troc, l’échange, le don, la générosité. 

Dans chaque choix, il y a un renoncement. Un non pour un oui. Je me concentre sur le oui, sur la nouvelle porte qui s’ouvre, et non sur celle qui se ferme.

– As-tu d’autres projets de livres à venir (ou d’autres projets tout  court, ateliers…) ?

Pleins (rires) comme d’habitude. Deux autres livres sont en cours d’écriture pour 2021. 

J’ai toujours aimé écrire, faire de la photo, chercher, m’informer, mais je pensais que ce n’était pas pour moi, que je ne savais pas écrire. 

Et puis un jour, j’ai décidé d’arrêter de m’auto-saboter et d’oser.

À part les livres, j’ai encore de nombreuses idées et projets pour 2021, à la fois personnel, familial et professionnel.

J’essaie de rester souple, de suivre mon intuition et ce qui nourrit ma joie.

Au printemps prochain, je souhaite proposer plus de stages sur un week-end, une journée complète, des retraites pour un changement plus profond et pour expérimenter une écologie joyeuse et holistique, pour tisser du lien, remettre l’humain, le vivant et à la nature au coeur de nos vies. 

L’expérience du stage « Ce que la nature nous offre » m’a profondément marqué et j’ai senti que ce format était plus puissant pour amorcer les prises de conscience.

Changer ses habitudes pour réduire ses déchets, tout en partant à la découverte des différentes poubelles de son habitation. C’est l’objectif du livre « Faîtes l’autopsie de votre poubelle ! ». En 79 pages, Laëtitia nous guide pas à pas et nous propose à chaque fois des solutions pour chaque déchet. Des check-lists, conseils et outils de bilan jalonnent l’ouvrage, dont le ton déculpabilisateur et bienveillant rend la lecture particulièrement agréable.

« Faites l’autopsie de votre poubelle », collection Les Cahiers du Consomm’acteur, Editions Larousse, 79 pages, 7,95 euros.

Plus d’infos : https://www.zerodechet-tregor.com/

Retrouvez ici des recettes de Laëtitia publiées sur Eco-Bretons :

Les muffins zéro déchet

Les cookies zéro déchet

Le lait d’amande




Plabennec (29), Conférence-débat Jacques Caplat – L’agriculture bio pourra-t-elle nourrir le monde ?

Le 16 octobre 2020 à 18 h 30 min

Salle Marcel Bouguen
15 Rue du Penquer
29860 Plabennec

Face à la crise agricole, il n’est plus pertinent d’opposer agriculture et environnement. À partir de son expérience de terrain et d’un retour historique, Jacques Caplat*, agronome et anthropologue,  expliquera comment le modèle agricole actuel s’est élaboré puis fragilisé,et sur quelles bases il est possible de refonder l’agronomie : semences paysannes, cultures associées, valorisation de la main-d’œuvre, suppression des pesticides… Ces pratiques se révèlent non seulement très performantes à l’échelle mondiale, mais permettront en outre de réconcilier enfin l’agriculture avec l’environnement, la société et les territoires.

Cette conférence-débat se déroulera dans le respect des règles sanitaires, avec les masques obligatoires.

Les places sont limitées, n’oubliez pas de vous inscrire……. pour le 11 octobre en envoyant un email à : coquelicots@orange.fr

*Fils de paysan et agronome, Jacques Caplat a exercé comme conseiller agricole de terrain, d’abord en agriculture conventionnelle puis en agriculture biologique. Son parcours de conseiller l’a mené au Bénin, puis en France dans une Chambre d’Agriculture, et enfin dans un Groupement d’Agriculture Biologique. Il a été l’un des animateurs de la Fédération Nationale d’Agriculture Biologique, où il coordonnait notamment les dossiers de politique agricole et des semences. Il fut pendant 4 ans l’animateur du « Groupe d’experts français sur les semences biologiques » et à ce titre l’un des représentants de la France sur le sujet auprès de l’Union européenne, et participa à la création du Réseau Semences Paysannes. Désormais également docteur en anthropologie sociale, il est aujourd’hui conférencier et consultant. Il est l’auteur de « L’agriculture biologique pour nourrir l’humanité » (Actes Sud, 2012), « Changeons d’agriculture – Réussir la transition » (Actes Sud, 2014) et co-auteur avec Pierre Rabhi de »L’agroécologie, une éthique de vie » (Actes Sud, 2015). À titre bénévole, il est secrétaire général de l’association Agir Pour l’Environnement. »




Rennes, une ville-jardin

Reportage de Maïlys Belliot publié dans le magazine La Maison écologique n°118, avec son aimable autorisation.

Des roses trémières poussent sur les trottoirs, des pommiers grandissent au pied des immeubles… À Rennes, des citoyens verdissent les espaces urbains depuis 20 ans.

Rue Marcel-Sembat, dans le quartier sud-gare de Rennes (Ille-et-Vilaine), la plupart des interstices entre le pied des pavillons et le trottoir ne sont plus goudronnés. Sur environs 15 cm de largeur poussent de la vigne vierge, des euphorbes, pommiers d’amour, buis, lierre grimpant… Les habitants verdissent leur rue. Une action bienfaisante pour la perméabilité des sols, l’oxygénation, le rafraîchissement, la fixation de particules fines, la biodiversité… Et pour l’enjolivement du paysage urbain.

Pour cela, les habitants ont demandé un « permis de végétaliser ». À l’Hôtel de ville, Daniel Guillotin, conseiller municipal délégué à l’écologie urbaine et à la transition énergétique, en raconte l’origine : « Il y a 20 ans, c’est parti d’une initiative d’habitants, d’associations et de la Maison de la consommation et de l’environnement pour végétaliser les rues. Ça a commencé dans le quartier sud-gare. Le particulier sollicitait la Ville, on passait une convention de mise à disposition de l’espace public, les services de voirie venaient casser le bitume, puis le particulier était libre de planter, à condition d’entretenir. » En 2009, le mouvement devient « Embellissons nos rues », puis « Jardiner ma rue ». « Depuis la dernière mandature, la demande augmente fortement », note l’élu, graphiques du bilan annuel en mains. En avril 2019, le Plan local d’urbanisme intègre officiellement le « permis de végétaliser », lancé pour la première fois à Paris quatre ans plus tôt. Rennes en totalise plus de 550.

Jardin partagé de 150 m2 créé en 2002 dans un square du quartier Villejean, à Rennes.
©Maïlys Belliot

Permis de jardiner

Ces permis concernent en réalité plus que les pieds de murs. Les pieds d’arbres deviennent cultivables, comme boulevard Oscar-Leroux, ainsi que le mobilier urbain type barrières, plots et poteaux hors signalisation, par des jardinières en suspension, par exemple. Quelques règles sont à respecter, définies dans un cahier des charges ; comme laisser 1,40 m de passage libre sur le trottoir, assurer l’arrosage, le ramassage des déchets végétaux et la taille, conduire le développement des plantes grimpantes qui ne doivent pas dépasser 15 cm de large sur 2 m de hauteur maximum. Engrais et produits phytosanitaires sont proscrits.

Rue du Bahon-Rault, l’espace végétalisé est plus conséquent. Deux hectares de verdure s’étalent parmi des commerces et bureaux. Une femme et deux hommes assemblent un poulailler sous le regard des gallinacés qui gambadent. Autour d’eux se répartissent une spirale aromatique, une mare, une ruche kenyane, de jeunes pommiers, un « igloo » bâti avec des roues de vélo qui attend la pousse de passiflores et des bacs potagers. Poireaux, blettes, salades et roquette résistent au froid de janvier. Le tout dans un parfum de broyat de sapin. Ledit « Hangar » est une ancienne scierie, aujourd’hui local de l’association Vert le jardin. « L’idée est de jardiner ensemble et d’échanger les savoirs. Les adhérents peuvent venir quand ils veulent et repartir avec des légumes et des œufs », décrit Lisa, l’une des salariés. Tel le laboratoire d’un jardin partagé.

Lisa est l’une des six salariés de Vert le jardin, qui organise des ateliers jardinage à la demande des habitants et accompagne l’installation de composteur urbain.
©Maïlys Belliot

Partager un potager

Du petit bac aromatique au potager, les jardins sont une autre manière de végétaliser la ville. Ils se nomment jardins familiaux, ouverts ou partagés, selon leur utilisation. Chacun est porté par un organisme qui signe avec la Ville une convention. Les jardins familiaux sont des parcelles individuelles de 50 à 200 m2 louées à l’association Les Jardins familiaux de la ville de Rennes. « La municipalité met à disposition des terrains à l’association contre une redevance et pour les citoyens, l’adhésion à l’association vaut la location, détaille Daniel Guillotin. Ils représentent 19 ha, soit 1 000 parcelles. »

Les jardins ouverts sont généralement ceux des Incroyables comestibles, un mouvement citoyen* qui propose aux habitants de cultiver une parcelle tout en laissant la production et la cueillette libres d’accès. Une trentaine sont connus à Rennes. Parmi eux, Le Petit Quineleu, dans la rue du même nom, un jardin éphémère sur une friche en attente de construction. Dans cette même configuration, huit vergers libres, comptant 3 000 fruitiers, sont conventionnés par l’association La Nature en ville.

Les jardins partagés, quant à eux, restent aux habitants qui les produisent et en définissent les règles. L’association Vert le jardin accompagne les citoyens. « On les aide à se constituer en groupe, à bien choisir leur parcelle et à établir le règlement. Ensuite, ils peuvent se monter en association pour demander une convention de mise à disposition du terrain à la Ville, ou se rattacher à une structure existante. Ce peut être la nôtre ou une association qui n’est pas du tout axée jardin », explique Lisa. On en dénombre une centaine à Rennes. Et la demande est exponentielle.

Les jardins questionnent la place du végétal nourricier dans les villes. Ils recréent aussi du lien entre les citoyens dans un espace urbain qui tend à les désolidariser. Si l’envie de végétaliser est avant tout une cause militante, toutes les municipalités peuvent se sentir concernées. Elles y trouveront, en outre, l’avantage d’avoir moins d’espaces verts à entretenir.

*Initié à Rennes par l’association Jardins ou(verts).

Le nouveau numéro du magazine La Maison Ecologique est disponible : au sommaire, un dossier sur l’habitat participatif, une enquête sur les aides financières à la rénovation, un guide pour construire un habitat nomade pas à pas…A retrouver en kiosque ou sur le site internet de La Maison Ecologique.




Le Festival des Aventuriers de la Mer largue les amarres à Lorient 

Du 07 au 11 octobre à la Cité de la Voile Éric Tabarly, à Lorient, aura lieu la cinquième édition du festival des Aventuriers de la mer. L’occasion d’aborder plusieurs sujets liés au monde marin, de la biodiversité marine à la solidarité en méditerrannée, en passant par les femmes et la mer.

Mettre la mer en valeur, permettre à tous de transmettre son savoir, voilà l’ambition de ce festival. Durant cinq jours, l’événement invite à « Découvrir les aventuriers d’aujourd’hui et construire le monde de demain ». Rencontres, expositions, visites de bateaux, projections de films, spectacles sont ainsi au programme. Nouveauté « hors les murs » cette saison : le festival s’ouvrira dès mercredi à la Salle La Balise dans le quartier de Kervenannec à Lorient par un spectacle de la compagnie Teatr’Piba réalisé en collaboration avec l’Ifremer, intitulé « Donvor », et qui proposera un voyage sonore à la découverte de la vie des abysses…

Dix huit intervenants seront par ailleurs présents durant l’événement : on pourra retrouver ainsi Gilles Boeuf, biologiste, ancien président du Museum d’Histoire Naturelle, Francis Vallat, président d’honneur de SOS Méditerranée, Thomas Coville, navigateur et ambassadeur de SOS Méditerranée, Isabelle Autissier, navigatrice et présidente du WWF ou encore Marie Tabarly, navigatrice du projet Elemen’Terre. Ils viendront évoquer la protection de la biodiversité marine, le futur de la course au large, ou encore la solidarité sur l’océan. Une table-ronde spéciale « Regards de femmes sur la mer » sera aussi organisée.

Autre temps fort : la remise des Prix des Initiatives Maritimes, qui récompensera dix lauréats, pour un montant total de 15 750 euros.

Tout le programme du festival est disponible sur https://aventuriersdelamer.fr/




La recette. Soupe de fin d’été des Temps-Bouilles

L’automne est là et les températures baissent… Pour se réchauffer, voici une recette de soupe anti-gaspi à base de légumes de fin d’été, concoctée par les Temps-Bouilles !

Cette association morlaisienne propose depuis plusieurs années des animations de sensibilisation au gaspillage alimentaire, à travers la transformation d’invendus collectés pour préparer des repas, buffets pour des événements de structures partenaires. Lors de chaque événement, différents publics se croisent en cuisines: bénévoles des Temps-bouilles de tous âges et tous horizons, et personnes en insertion (Don Bosco, Mission Locale, IBEP, etc.). Elle porte actuellement un projet de ressourcerie alimentaire.

https://www.facebook.com/LesTempsBouilles/

Ingrédients :

  • 5 tomates (bien mûres ou trop mûres).
  • 1 oignon.
  • 1 gousse d’ail.
  • 1 courgette en fin de vie.
  • 2 pommes de terre de taille moyenne.
  • 1 cuillère à soupe d’huile d’olive.
  • 1 demi verre de vin blanc.
  • 1 cuillère A soupe de vinaigre balsamique.
  • Quelques queues de persil ou d’autres herbes aromatiques. On peut y ajouter quelques fanes de carottes par exemple.

Préparation

  • Laver les légumes puis les tailler en paysanne (les tomates et les oignons en 4, le reste en gros morceaux).
  • Faire revenir à feu moyen les oignons et l’ail avec l’huile dans un grand faitout, sans coloration.
  • Saler légèrement pour accélérer l’évaporation. Y ajouter les autres légumes et les herbes puis déglacer avec le vin blanc.
  • Une fois le vin porté a ébullition, mouiller à hauteur avec de l’eau.
  • Laisser cuire à feu moyen pendant 30 à 40 minutes.
  • Vérifier que les pommes de terres soient bien cuites.
  • Retirer du feu.
  • Ajouter le vinaigre balsamique puis rectifier l’assaisonnement (sel et piment d’Espelette ou poivre).
  • Attention à ne pas mettre de gros sel dans l’eau de cuisson. Préférer un ajustement en fin de cuisson car les soupes ont tendance à se concentrer en sel en cuisant.
  • Servir avec quelques croûtons maison confectionnés avec du vieux pain, un trait d’huile d’olive de bonne qualité, quelques olives ou encore un peu de parmesan.