1

Les Ames de Bretagne en exposition à Carhaix

Jusqu’au 23 octobre, l’exposition « Un voyage à travers l’âme de la Bretagne » proposée par l’association Ames de Bretagne est visible à l’Espace Glenmor de Carhaix. Au programme : vidéos collectées durant 5 ans sur les routes bretonnes, contenus multimédia, création artistique, fresque végétale, BD…

« Un voyage mettant en scène la parole recueillie depuis maintenant 5 ans sur les routes ». C’est ainsi qu’Anne-Laure Hamon, co-fondatrice et présidente de l’association Ames de Bretagne, définit l’exposition qui se tient actuellement à Carhaix. Celle qui est aussi vidéaste et directrice artistique de l’expo est à l’origine de l’aventure, avec son frère Kevin. Tous deux se sont rendus compte qu’en parlant de leur région d’origine, la Bretagne, notamment lorsqu’ils étaient à l’étranger, ils en connaissaient au final peu de choses. Ils souhaitent alors monter un projet qui permettrait de revaloriser l’attachement au local. Âmes de Bretagne propose donc de valoriser le témoignage des habitants via la vidéo. « L’objectif, c’est de montrer que s’intéresser à son territoire n’est pas synonyme de replis sur soi », explique Anne-Laure. Elle se lance alors avec son frère dès 2016 pour recueillir la parole de « tous ceux qui font l’âme de la Bretagne ». Le résultat : plus de 150 témoignages vidéos, une websérie, des partenariats comme par exemple avec le webmédia KuB… « La Bretagne racontée par les gens en vidéo ». Et une association qui comprend une quinzaine de bénévoles.

Suite à ce projet naît l’idée d’une exposition itinérante, qui est présentée en intégralité à Carhaix (29) jusqu’au 23 octobre. Baptisée « Un voyage à travers l’âme de Bretagne », elle s’étend sur plusieurs espaces, dont un qui est dédié à la Bretagne en 2050, en lien avec les transitions écologiques. « Les étudiant.es de Rennes 2 y ont participé, à travers des créations. Deux sœurs des Monts d’Arrée, Berc’hed et Anna-Marie Cadoudal, ont aussi réalisé une fresque végétale, qui symbolise le retour à la nature dans le futur, le ré-ensauvagement », explique Anne-Laure. « Plus on va vers le futur, plus la nature reprend ses droits ».

Tout au long de l’exposition, on retrouve aussi les créations d’une dizaine d’artistes qui ont collaboré à l’aventure, avec des œuvres de street-art, de BD, de création végétale…A noter aussi, la majorité des matériaux utilisés pour le projet est issus de réemploi, en lien avec la recyclerie Ti-Recup et la recyclerie de matériaux Le Repair.

Enfin des animations sont aussi organisées en lien avec l’exposition, comme c’est le cas samedi 16 octobre, avec le pôle ESS du Centre Ouest-Bretagne (Adesk). Une table-ronde réunira à cette occasion trois projets d’habitat collectif, et sera suivie d’une visite de l’exposition, et plus particulièrement de l’espace Bretagne 2050.

Pour découvrir en vidéo l’édification de la fresque sur le retour à la nature et au sauvage de Berc’hed et Anna Mari Cadoudal :

En vidéo, des portraits d’habitants de Plouguerneau engagés dans des projets alternatifs et écologiques, réalisés en 2021 par l’équipe d’Ames de Bretagne, dont Anaïs Le Bec, stagiaire et étudiante à l’Esra de Rennes :

Plus d’infos : http://www.amesdebretagne.bzh/




Sur la toile d’Eco-Bretons, des transitions citoyennes retissent nos liens avec le vivant

Crédit photo : @Véronique Javoise

Une fois n’est pas coutume, nous allons vous parler de nous, l’association Eco-Bretons, qui occupe depuis dix ans déjà une modeste place sur la toile dense de l’univers numérique informatif, au creux de la niche écologique de la presse « pas pareille ». Aux côtés de notre journaliste et coordinatrice, Marie-Emmanuelle Grignon, dont la signature de la plupart des articles vous est familière, une petite équipe bénévole est là pour faire vivre notre webmédia dans sa dimension associative. Certain.e.s de ses membres n’hésitant pas à prendre leur plume citoyenne, parmi d’autres, qui font d’Eco-Bretons un oiseau résolument de bon augure en ces temps incertains. Cet article est issu du rapport moral que j’ai présenté, en tant qu’actuelle présidente à notre dernière assemblée générale pour l’année 2020, qui s’est tenue en juin 2021 seulement, du fait des bouleversements engendrés par le virus Covid-19.

Une insoutenable solastalgie…

Il n’aura échappé à personne que cette année 2020 a constitué à l’échelle planétaire, un point de bascule où, selon le côté vers lequel nous accentuons le penchant, notre destin commun pourra être tragique ou résilient. Notre conscience que l’humanité est sur le fil du rasoir n’a jamais été aussi aigüe, engendrant parfois/souvent (grande est la variabilité du curseur en la matière !) une insoutenable solastalgie – ou éco-anxiété, décrite comme « une détresse profonde causée par les changements perçus comme irréversibles de notre environnement… En quelque sorte, on peut dire que la solastalgie est un stress pré-traumatique. Cette sensation accablante pousse à divers symptômes : tristesse, anxiété, insomnie, anorexie, dépression. »

Ce ne sont pourtant pas les alertes qui ont manqué depuis ces dernières décennies où nombre de constats dramatiques ont été posés, documentés, contestés aussi par des sceptiques aux douteux desseins. Et de s’interroger, non plus sur les effets de ce flux incessant d’informations terribles, généré par nombre de médias et désormais de réseaux sociaux, mais sur leur efficacité… « On ne croit pas ce qu’on sait », rappelle lucidement le philosophe Jean-Pierre Dupuy, auteur de « Pour un catastrophisme éclairé ».

A sa très modeste échelle, Eco-Bretons a jusqu’à présent choisi d’informer sur nombre d’actions citoyennes « colibris » qui font leur part dans les vitales transitions en cours. Nous mettons ainsi en avant des actrices et acteurs de transitions écologiques nécessitant évidemment des transitions sociales, culturelles et solidaires, dans nos territoires de Bretagne. L’écologie positive ! C’est notre ligne éditoriale que d’aucun.e.s peuvent considérer, au mieux comme incitative et porteuse d’exemplarité, au pire comme gentillette et cosmétique.

Mais à chacun.e son « angle d’attaque ». Les médias d’investigation tel que le tout dernier-né Splann ! Lancé en septembre 2020 – associatif lui aussi – sont et restent indispensables pour documenter lucidement et courageusement les exactions humaines multiples. Le prix de leur indépendance, vital, requiert de larges et régulières contributions citoyennes.

Un webmédia de participation citoyenne

Il en va de même pour Eco-Bretons dont le modèle économique, fragile s’il en est, reste un défi, puisque nos informations mises en ligne sont toujours accessibles gratuitement, alimentées par Marie-Emmanuelle Grignon, journaliste-salariée, et par des plumes citoyennes bénévoles. Nous avons d’ailleurs la satisfaction d’être répertoriés par un autre média associatif indépendant, L’Age de Faire, dans sa carte de France de « La presse pas pareille ».

Parallèlement, nous menons des actions d’éducation populaire avec une formation aux médias citoyens – interventions auprès d’associations et d’établissements scolaires et de sensibilisation aux transitions, écologiques, culturelles, sociales, économiques. Ce volet-là nous tient particulièrement à cœur et nous souhaiterions pouvoir l’amplifier, si les ressources humaines et financières nous le permettent.

Afin de pouvoir remplir nos missions, nous bénéficions du soutien de collectivités territoriales bretonnes et de l’Etat. Percevoir de l’argent public pour nos activités que nous estimons d’intérêt général fait sens pour nous. Pour autant la participation citoyenne sous différentes formes (contributions financières et en informations), à titre individuel ou bien en tant qu’association, nous est essentielle* et c’est bien là que nous devons accentuer nos efforts de communication pour l’intensifier.

Cela reste notre perspective principale pour l’année à venir. Avec un autre défi à relever, celui de l’implication bénévole, au-delà de celle des membres de notre conseil d’administration et de quelques précieuses personnes-ressources, aux disponibilités souvent limitées. Ceci est un fait, pas un jugement.

Notre précédent président, Dominique Guizien, pointait à juste titre, dans son rapport moral de l’an passé, la faiblesse de nos ressources humaines, avec une seule salariée épaulée ponctuellement par des volontaires en service civique dont l’accompagnement constitue une charge de travail certaine pour elle, et un engagement bénévole réduit.

Ce qui est vrai pour Eco-Bretons l’est tout autant pour bon nombre d’associations qui pâtissent depuis ces dernières années de la même désaffection, les formes d’engagement évoluant différemment et interrogeant nos modalités. D’autres associations, membres du Résam (Réseau des associations du pays de Morlaix), établissent le même constat et réfléchissent ensemble aux adaptations et ajustements que cela appelle.

Deux défis majeurs, donc, à relever pour Eco-Bretons, avec l’impérieuse nécessité de ménager les montures – physiques, mentales, émotionnelles – des unes et des autres, en ces temps compliqués qui fragilisent et abîment même, où nous devons plus que jamais faire face aux adversités, ensemble. Quoiqu’il en soit.

*Sur notre toile, des transitions citoyennes retissent les liens avec le(s) vivant(s). Parce que votre participation citoyenne nous est essentielle, nous accueillons bien volontiers :

– vos envies d’écrire, ou de photographier, ou de podcaster des initiatives de transitions dans les cinq départements de Bretagne historique.

– vos contributions financières pour continuer de mener à bien nos projets en 2021, notamment nos « Portraits de femmes en transition ».

– vos implications à votre mesure dans notre vie associative.

Pour cela, vous pouvez adhérer en ligne ! Vous pouvez aussi régler votre adhésion par chèque en l’expédiant au 52 Route de Garlan- Kerozar 29600 Morlaix.

D’avance un grand merci !

https://www.helloasso.com/…/adhesions-eco-bretons-2020




Perma G’Rennes fête ses 5 ans et veut lancer une coopérative de consommateurs

Ce samedi, la micro-ferme urbaine rennaise Perma G’Rennes fête son anniversaire, et souhaite à cette occasion créer une coopérative de consommateurs.

Mickaël Hardy est installé depuis juin 2016 sur le site de la Prévalaye, à Rennes. Il s’est lancé dans un projet encore peu courant sur le territoire breton : une micro-ferme intensive maraîchère en permaculture, en milieu urbain, sur des terres appartenant à la Ville de Rennes. C’est ainsi qu’il s’est installé sur un système très petit, d’un demi-hectare, avec l’objectif de produire autant qu’en agriculture bio sur une surface de un ou deux hectares. Le tout en utilisant les principes de la permaculture, et en utilisant le moins possible les énergies fossiles.

Aujourd’hui, Perma’G’Rennes s’étend sur 5000 m2e, en certification biologique, produit 180 variétés de fruits et légumes, et vend 80 paniers par semaine.

En juillet dernier a été créé l’association « Les Amis de Perma G’Rennes ». Objectif : fédérer les consommateurs en vue de la création d’une coopérative, qui est prévue pour janvier 2022. « Au-delà de permettre aux coopérateurs de profiter des produits de la ferme, l’objectif est avant tout de les inviter à découvrir les pratiques et les valeurs de la permaculture », explique l’association dans un communiqué.

Afin de permettre aux citoyen·ne·s de découvrir Perma’G’Rennes et son projet de coopérative, une après-midi de découverte est organisée ce samedi de 14h à 17h. Au programme, des animations : Vélo Blender, visite de la ferme, vente de produits…

Plus d’infos sur la page Facebook de l’événement, ou sur le site de Perma’G’Rennes

Pour adhérer à l’association, direction la page HellAsso

Et pour lire notre précédent article sur Perma’G’Rennes : http://www.eco-bretons.info/perma-grennes-micro-ferme-permaculture-a-rennes/




Les Aventuriers De La Mer jettent l’ancre à Lorient

Depuis hier mardi 5 octobre, et jusqu’au 10, se déroule à la Cité de la Voile Éric Tabarly, à Lorient la sixième édition du festival des Aventuriers de la mer. L’occasion d’aborder plusieurs sujets liés au monde marin, autour d’une question centrale : Comment sauver les océans ?

Mettre la mer en valeur, permettre à tous de transmettre son savoir, voilà l’ambition de ce festival. Durant cinq jours, l’événement invite à « Découvrir les aventuriers d’aujourd’hui et construire le monde de demain ». Rencontres, expositions, visites de bateaux, projections de films, spectacles sont ainsi au programme, et plus d’une trentaine d’invités sont présents pour des échanger avec les spectateurs.

Jeudi 7 octobre, c’est ainsi Jean-Louis Etienne, explorateur et invité d’honneur du festival, qu’on pourra retrouver, lors de la soirée d’inauguration.

Vendredi 8 octobre, place à une après-midi autour des initiatives maritimes, réunies en forum au Karré de la Cité de la voile, de 14h30 à 17h. Le forum sera suivie de la projection du film « La route est bleue », avec sa réalisatrice Nina Montagné. A partir de 20h30 se déroulera la soirée « Prix des initiatives maritimes », animée par Anthony Serazin de la Compagnie Orange Givrée, au cours de laquelle 10 porteurs de projets sélectionnés seront auditionnés en public devant un jury. Le prix du public « Plastimo » sera alors attribué.

Le festival s’achèvera sur un week-end de rencontres, samedi 9 et dimanche 10 octobre. Au menu : les expéditions scientifiques, les sons dans la mer, la course au large, une projection-débat autour du thème « Low-techs ou high-techs, quelles technologies pour un monde plus soutenable ? », et du film « Wave of change », un échange autour des nouveaux enjeux arctiques, des artistes sentinelles marines, ou encore sur la manière dont on peut sauver les océans.

Tout au long du festival, on pourra également visiter différents bateaux, assister à des projections de films, à des spectacles (déambulations contées, parcours artistiques…), visiter des expositions, découvrir des acteurs du monde maritimes…un programme riche et vaste comme l’océan.

Pratique :

Festival Les Aventuriers de la Mer, du 5 au 10 octobre, Cité de la Voile Eric Tabarly à Lorient (56).

Accès gratuit à toutes les rencontres et animations
dans la limite des places disponibles : hall d’accueil, Karré, auditorium, ciné des Aventuriers, ponton bateaux et soirées cinéma.

Accès payant : spectacle « Les dessous marins » (déambulation contée, réservation sur www.lestrapontin.fr/02 97 32 63 91 ), exposition permanente de la Cité de la Voile, pour la viiste du sous-marin Flore S-645 et son musée.

Petite restauration sur place avec le Food truck crêperie Breizh Tentation.

Plus d’infos : https://aventuriersdelamer.fr/




L’idée sortie. La Fête des Possibles à Arradon (56)

Anciennement « Fête des Transitions Citoyennes », la Fête des Possibles se déroule du 10 au 26 septembre dans toute la France. En Bretagne aussi, des événements sont organisés. Focus sur celui d’Arradon dans le Morbihan, à côté de Vannes.

Demain samedi, un collectif d’associations organise l’édition 2021 de la Fête des Possible à Arradon. De nombreuses animations sont proposées toute la journée dans le bourg.

On pourra ainsi retrouver à la Salle Saint-Pierre la projection du film « La part des autres », suivi d’un débat, avec l’association Attac. L’après-midi, une conférence « énergie et climat » et une conférence-gesticulée « L’éthique en Toc des T.I.C ou l’absence de moralité de nos sociétés technophiles » seront proposées, toujours dans la même salle.

A l’Agora, on pourra assister à un temps d’échange sur « Territoires zéro chômeurs », suivi d’une démonstration de recyclage de masques chirurgicaux. L’après-midi, place à des discussions sur l’engagement des jeunes dans la lutte contre le dérèglement climatique, sur la réduction des déchets, ou sur la façon dont les citoyens peuvent agir pour préserver la biodiversité. Des ateliers sont également au menu, pour fabriquer du dentifrice, de la lessive ou des bee-wraps.

Sur la place du bourg, on pourra assister le matin à une visite guidée de l’exposition « Eaux côtières : regards à terre », participer à un moment musical avec le lycée Charles-de-Gaule, à un Flashmob avec l’association La Renverse, à un débat mouvant sur le sexisme.

A 18h, rendez-vous pour un apéro partagé en musique, suivi d’un repas avec les Cuisiniers Solidaires.

En parallèle, de nombreuses associations seront présentes avec un stand. On peut citer Youth For Climate, Zero Waste Pays de Vannes, la Fresque du Climat, Bretagne Vivante, la monnaie locale du Pays de Vannes, les Incroyables Comestibles….

Pratique : Entrée libre, buvette, food-truck, paiement en Bizh, la monnaie locale du Pays de Vannes possible.

Plus d’infos sur la page Facebook de l’événement




Il fabrique de la lessive avec de la cendre

A Ploudaniel (29), Bruno Lecoeur s’est lancé dans la fabrication d’ une lessive à base de cendres de bois. On peut la trouver dans des magasins bio et zéro déchet du Finistère.

Pour faire sa lessive soi-même, on peut utiliser du savon noir, du savon de Marseille, du lierre ou encore de la cendre. C’est cet ingrédient qu’utilise le finistérien Bruno Lecoeur, qui a créé la marque « Cendrea Nature », à Ploudaniel. « Nos anciens utilisaient la cendre de bois, mélangée à l’eau de pluie, pour obtenir de la potasse, un tensioactif naturel, composé chimique dérivé du potassium et du carbonate de sodium, qui dissolvent les graisses », explique-t-il. L’idée de se lancer dans la fabrication de lessive lui est venue suite au visionnage d’une vidéo sur un artisan de Gironde, qui utilisait lui-aussi de la cendre. Avec sa reconversion professionnelle, Bruno Lecoeur devient ainsi l’un des trois fabricants de lessive à la cendre en Bretagne (l’unique dans le Finistère).

Pour créer sa lessive, il utilise de la cendre de bois, issue de chaufferie bois, et fournie par les Ehpad de Quimerc’h et de Sizun, du siège administratif du Parc Naturel d’Armorique, et de la piscine de Crozon. C’est dans un petit atelier à son domicile que l’opération se déroule. « Il faut tamiser la cendre finement, qui est ensuite mélangée à de l’eau de pluie que je récupère », précise Bruno, qui indique aussi que ce type d’eau, qui n’a pas besoin d’autorisation ni d’analyse pour être utilisée dans la fabrication d’une lessive, est moins minéralisée et donc favorise l’effet de la potasse . Le tout est ensuite filtré très finement. « La fabrication respecte le cahier des charges Nature et Progrès, spécial lessive à la cendre. On est en cours de labellisation » indique Bruno Lecoeur. Pour les personnes souhaitant parfumer leur linge, car la lessive est inodore, il est possible de « rajouter quelques gouttes d’huiles essentielles au produit », conseille le fabricant.

Pour le moment, la lessive est distribuée uniquement dans le Finistère. On peut la trouver en magasin bio, où en épicerie zéro déchet, comme par exemple Ty Drive ou les Bocaux d’Ana à Brest. Dans une démarche zéro déchet, l’utilisateur est invité à ramener le flacon au point de vente, ou à acheter le produit en vrac, avec son propre contenant. Si il n’est pas possible d’acheter la lessive en ligne, on peut toujours aller s’approvisionner aussi directement chez Bruno.

Plus d’infos : https://www.cendreanature.fr/