1

Entre art, science et territoire, regards croisés avec Les Moyens du bord sur le monde rural et ses mutations

A Morlaix, l’association Les Moyens du bord se consacre depuis ses débuts, en 1998, à promouvoir et faire reconnaître l’art et les artistes plasticien.ne.s contemporain.e.s auprès de tous les publics. Très attachée à sa mission d’éducation populaire – fortement affirmée par ses fondateurs, Virginie Perrone et Bertrand Menguy, elle collabore régulièrement avec des acteurs locaux du social et de l’éducation à travers la mise en œuvre d’actions de médiation entre artistes et habitant.e.s. Volontairement ouverte à des esthétiques et des pratiques artistiques différentes, venant autant d’artistes au parcours déjà affirmé que de jeunes artistes, Les Moyens du bord porte une attention particulière à la relation au territoire, à celles et ceux qui l’occupent autant qu’à celles et ceux qui le découvrent.

Elle s’attache ainsi à faire vivre son projet culturel dédié plus particulèrement aux arts visuels et à leurs pratiques dans le Pays de Morlaix. La réputation de son Salon Multiples sur la petite édition d’artiste – qui en est à sa 17ème édition – se taille un franc succès auprès d’un large public, tant local qu’hexagonal.

Le siège de l’association se niche depuis dix ans dans la Cour des artistes de l’ancienne Manufacture des tabacs, laquelle est devenue un lieu hybride de production culturelle qui monte qui monte… depuis l’arrivée des SE/cW (Cinéma la Salamandre, théâtre de l’Entresort / Catalyse avec le Centre national pour la création adaptée et Wart avec son célèbre festival de musique Panoramas) et bientôt… un espace des Sciences qui n’aura rien à envier à son voisin rennais.

Croiser les regards entre « Art, science et territoire »

En résonance avec le biotope occupé, l’équipe permanente féminine des Moyens du bord a concocté pour 2022 une programmation où des ponts fort pertinents ne cessent justement de s’établir entre « Art, science et territoire », générant des croisements de regards féconds. Car en observant, étudiant et interrogeant le territoire, notion polysémique s’il en est, la science et l’art nous permettent en effet de l’appréhender de façon plus riche, à la fois très différente et complémentaire, chacun.e avec son prisme et son langage.

« A travers leur relation particulière au monde, artistes et scientifiques nous présentent leurs visions singulières d’une société globalisée. Nous souhaitons mettre en avant les liens qui existent entre deux domaines jusqu’à présent très éloignés l’un de l’autre et examiner de façon poétique et sensible nos paysages urbains, maritimes ou ruraux », précise Clémence Richard, chargée de programmation et de médiation aux Moyens du bord.

Un monde rural en mutations profondes

L’idée de programmer un temps-fort avec comme thématique la « Ruralité » est venue suite à l’exposition d’Elodie Cariou « Impression Rurale » (https://lesmoyensdubord.wordpress.com/impression-rurale/), présentée entre décembre et janvier dernier. Le travail de gravure et de performance d’Élodie Cariou est lié à son environnement, le terrain agricole de son père. « C’est à travers cette exposition que nous avons décidé d’approfondir la notion de territoire rural et de mettre en avant les questions que cela soulève. En partant de la définition d’un territoire qui est une « étendue de terre, plus ou moins nettement délimitée, qui présente généralement une certaine unité, un caractère particulier », nous nous sommes demandé quelles sont les délimitations des territoires paysans et quelle est la population qui l’habite. Face à une société en perpétuel mouvement, la cohabitation entre ruraux, néo-ruraux et urbains agite les esprits, à l’aune d’enjeux écologiques devenus incontournables», poursuit Clémence Richard.

Avec cette volonté de croiser les regards scientifique et artistique et de questionner les représentations, l’équipe et quelques bénévoles se sont plus particulièrement intéressés à deux thématiques qui seront explorées avec le public sous la forme de deux tables-rondes, avec deux intervenants chacune.

Table-ronde 1 : Regards sur le monde rural – Vendredi 22 Avril 2022 à 18h (sur réservation)

Notamment connu pour ses terres paysannes, le territoire breton a bien évolué entre hier et aujourd’hui. Entre globalisation, mécanisation et agriculture biologique, ce milieu se transforme à l’image de notre société. Lors de cette table-ronde, nous vous proposons de discuter autour de la représentation actuelle de cet environnement.

1er intervenant : Damien Rouxel

« Fils d’agriculteurs, Damien Rouxel a grandi à la ferme. Il connaît la dureté, les codes, les outils, le langage du monde paysan. Son travail plastique vise à une réappropriation de la ferme pour la transformer en un terrain de jeu où les animaux, ses parents et sa sœur, les machines, les outils et tout ce qui constitue l’environnement de travail deviennent le décor et les acteur.trice.s de ses mises en scène. » Julie Crenn, Biennale de la Jeune Création, 2018

2ème intervenant : Damien Deville

Damien Deville est géographe et anthropologue de la nature, enseignant à l’Université catholique de l’Ouest. Il cultive une pensée qui cherche à questionner l’individualisme et l’anthropocentrisme en repensant le lien à l’autre. Ainsi ,il étudie l’évolution des territoires ruraux et urbains, dans des perspectives à la fois très locales et plus globales. Franco-burkinabé, ses expériences en Afrique de l’Ouest éclairent son présent en Occident. En parallèle de ses recherches, il copréside la fédération de l’Archipel des alizées. Il est l’auteur de Toutes les couleurs de la Terre et L’homme qui arrêta le désert aux éditions Tana, et Entendre la Terre aux éditions du Pommier. »

Table ronde 2 : Eco-responsabilité, quels enjeux pour le monde de demain ? Samedi 23 avril à 18h (sur réservation)

Cette deuxième table-ronde vous invite à explorer les évolutions qu’impliquent le réchauffement climatique et la question écologique autant dans le monde rural que celui de l’art. Ainsi, à travers la réutilisation de matériaux, l’emploi de matières organiques ou encore le retour à des techniques plus traditionnelles, la prise de conscience de la responsabilité collective est présente au coeur de ces deux domaines

1er intervenant : Louis Guillaume

Son processus s’est développé autour de la récolte de matière en fonction des saisons. Chaque mois ou période de l’année, une matière devient accessible en fonction du temps, de la floraison ou des intempéries. Pour cette méthode de recherche en lien avec le vivant, après avoir obtenu son diplôme à l’Eesab Rennes, Louis Guillaume à été nominé au Prix Coal2020 sur « le vivant et la biodiversité »…

2ème intervenant : Yann Loc’h

Yann s’est installé à Huelgoat en 2009 en tant que paysan boulanger avec sa compagne. Leur ferme est diversifiée pour plus de cohérence et de résilience. Ils maîtrisent toutes les étapes de transformation : de la culture des céréales à la vente de leurs pains en passant par la mouture. Persuadé qu’il n’y a que l’agroécologie qui peut permettre un monde vivable, il est engagé depuis le début en AB et depuis dix ans chez Nature et Progrès dont il est coprésident de la branche locale depuis 2 ans.

Gratuit sur réservation au 02 98 88 25 62 ou par mail à lesmoyensdubord.mdb@gmail.com

Crédit photo : Damien Rouxel.

http://lesmoyensdubord.wordpress.com/

https://www.facebook.com/Les.Moyens.du.Bord.Morlaix

 




L’idée sortie. La 23ème édition du Marché sur l’eau à Sizun lundi 17 avril

Rendez-vous lundi pour le désormais traditionnel « Marché sur l’eau » organisé à Sizun par le Civam29 et l’association Terres d’Arrée – Bro An Aré. Au programme : des producteurs et artisans locaux, mais aussi des temps d’échanges et une balade botanique.

« Au « Marché sur l’Eau », nous donnons la parole à tous : élus, consommateurs, paysans, scientifiques, philosophes, économistes…, et cela depuis 25 ans, pour décrypter et partager toutes les problématiques de l’eau », expliquent le Civam 29 et Terres d’Arrée Bro An Aré, les deux structures qui organisent l’événement, dont la 23ème édition se tiendra sur les bords du Lac du Drennec à Sizun.

 

Au programme, en plus du marché qui regroupera des producteurs fermiers et des artisans locaux :

 

11h00 – Balade botanique à la rencontre des plantes comestibles printanières des abords du Lac du Drennec avec Cécile Bourel, herboriste

12h00 – Apéro’livre avec Nicole et Serge Kergoat, ornithologues et auteurs

13h00 : restauration paysanne et crêpes de Botmeur

14h00 à 16h00 – Table ronde avec élus et paysans locaux autour du travail d’Alix Levain, éco-anthropologue

À partir de 16h00 – Groupe de musique : Kan Ha Biskoul, trad péchû !

Plus d’infos

https://www.civam29.org

https://bro-an-are.jimdofree.com/




La recyclerie de Péaule, menacée de fermeture, appelle aux dons

A Péaule dans le Sud Morbihan, une recyclerie s’est installée depuis le printemps 2020. Outre son activité de réemploi des objets du quotidien, elle est aussi un lieu créateur de lien social et intergénérationnel, grâce à sa quinzaine de bénévoles et à sa salariée. Mais elle est aujourd’hui menacée, car le bail de location du bâtiment qu’elle occupe n’a pas été reconduit. Afin d’acheter les locaux, la recyclerie lance un appel aux dons.

Péaule, bourg rural du sud Morbihan, et ses 2700 habitant.e.s. Depuis juin 2020, un nouveau commerce y a fait son apparition : une recyclerie. Elle s’est installée dans un local inoccupé depuis 35 ans, un ancien hotel-restaurant, loué à un particulier. « Avec nos 150 mètres carrés, nous sommes la plus petite en taille du réseau des recycleries bretonnes », explique Hélène Binot, directrice de l’association qui gère la boutique. Petite en superficie, mais grande en dynamisme. Avec son équipe d’une quinzaine de bénévoles agés de 13 à 72 ans et sa salariée, la recyclerie péaulaise, en plus de ses deux boutiques en ligne, organise des ventes à thèmes toutes les semaines, et des animations tous les mois. Des permanences de réparation de bijoux sont également organisées. « L’association a pour but de désengorger les bennes, de remettre en circulation les objets encore utilisables mais également de transmettre les savoirs, de faire revivre les anciennes coutumes et valoriser le petit patrimoine Français mais surtout de faire en sorte que la petite histoire qui a constitué la grande Histoire ne soit pas oubliée, en revalorisant des objets exclusivement issus de don de particuliers. Depuis début 2022, ce sont une tonne d’objets par mois qui ont été ainsi détournés des poubelles et remis en circulation », souligne Hélène. La recyclerie veut être également un lieu créateur de lien social, entre les différentes générations. C’est ainsi qu’un livre, « Si Péaule m’était contée », a été écrit par Hélène et Christian Drillot, suite aux souvenirs et histoires de vie racontés par les visiteurs et visiteuses de la boutique, venant déposer des objets ou simplement discuter.

Mais la structure est aujourd’hui fragilisée. En effet, le bail de location n’a pas été renouvelé par le propriétaire, et le lieu sera mis en vente. Ce qui fait que l’association doit soit déménager, soit acquérir le bâtiment. Une collecte a alors été mis en place sur le site HelloAsso, afin de recueillir des dons, qui serviront à constituer un capital, dans l’optique de souscrire un prêt pour pouvoir acheter le local, donc le prix s’élève à 120 000 euros. « Il reste 200 jours pour relever le défi », signale Hélène, qui peut d’ores et déjà compter sur le soutien des habitant.e.s, qui souhaitent que la boutique reste en centre bourg et continue à lui apporter son dynamisme.

Pour participer à la cagnotte, rendez-vous sur HelloAsso (paiement sécurisé) : https://www.helloasso.com/associations/la-recyclerie-peaulaise/collectes/une-boutique-pour-la-recyclerie-peaulaise

Pour en savoir plus sur la recyclerie et ses activités : https://www.facebook.com/larecycleriepeaulaise




A Lorient, des étudiantes lancent un « repair café » à l’IUT

A Lorient, trois étudiantes en licence Sciences Ecologie et Société à l’Université de Bretagne Sud (UBS) ont lancé un « repair café » dans les locaux de l’IUT, dans le quartier de Lanveur. Ouvert à tous, le rendez-vous dédié à la réparation d’objets du quotidiens est destiné à devenir par la suite un atelier mensuel.

Elles s’appellent Anna, Axelle et Solène, et sont toutes les trois étudiantes en Licence Sciences Écologie et Société à la Faculté des Sciences de l’Université Bretagne Sud. Dans le cadre d’un projet tutoré, elles ont travaillé à la mise en place d’un « repair café dans le quartier de Lanveur à Lorient, et plus précisément dans les locaux de l’IUT. Mais en quoi consiste un repair café ? Apparus en 2009 au Pays-Bas, ces « ateliers » sont dédiés à la réparation d’objets. Les participants y apprennent à réparer leurs objets grâce à divers outils et matériaux mis à disposition, ainsi que des bricoleurs et réparateurs engagés bénévolement. Les objets réparés sont variés et nombreux : appareils électroniques et électriques, jouets, vaisselle, vêtements, mobilier, bijoux ou encore vélos. L’occasion de pratiquer et d’apprendre, bref de bricoler dans une ambiance conviviale.

Un concept qui fait sens pour les trois étudiantes bretonnes. « Il y a une vraie dimension écologique, c’est l’occasion d’appréhender le réemploi de manière plus global. Sans oublier la création de lien social », précisent-elles. Et l’IUT est un lieu particulièrement stratégique. En effet, l’idée d’un repair café au sein de l’établissement avait déjà été évoquée. « Et il y a des outils pour les réparations, et des intervenants compétents en la matière », précise Myriam Lienhardt, chargée de projets DD&RS à l’IUT, et encadrante du projet des étudiantes.

Le Repair Café, qui a par ailleurs remporté l’appel à projet « L ‘agitateur » de la Fondation de l’UBS, a été lancé le 24 mars, lors d’une soirée à laquelle sont venues une vingtaine de personnes. « On y a réparé des vélos, du petit électroménager, des petits objets du quotidien. Il y avait aussi un espace couture », détaillent les trois étudiantes. Un succès pour un projet qui devrait entraîner la création d’une association, pour perpétuer l’activité de réparation au sein de l’IUT, dans l’objectif dans d’en faire un rendez-vous mensuel.

 

Plus d’infos

https://www.univ-ubs.fr/

 


 

Pssst…nous avons besoin de vous !

Nous sommes un webmédia associatif, basé à Morlaix qui met en avant les actrices et les acteurs des transitions écologiques nécessitant évidemment des transitions sociales, culturelles et solidaires dans nos territoires de Bretagne. Outre, notre site d’information, alimenté par notre journaliste-salariée et par des plumes citoyennes bénévoles, nous menons ponctuellement des actions de sensibilisation aux transitions et de formation aux médias citoyens avec des interventions auprès d’associations et d’établissements scolaires.
Pour tout cela, nous avons le soutien de collectivités territoriales et de l’Etat. Percevoir de l’argent public pour nos activités d’intérêt général fait sens pour nous.
Pour autant, votre participation citoyenne nous est essentielle. Si vous appréciez nos articles, vous pouvez contribuer au fonctionnement de l’association et au maintien de l’accès gratuit au site en cliquant ici pour faire un don : https://www.helloasso.com/associations/eco-bretons/formulaires/2/widget



L’idée sortie. Une « journée sur l’herbe » à la Prévalaye à Rennes ce dimanche

Ce dimanche, passez « Une journée sur l’herbe » à la Prevalaye à Rennes, à la découverte de la nature, du jardinage, des productions paysannes et de la biodiversité.

« Une journée sur l’herbe » revient pour une nouvelle édition à Rennes, à la Prevalaye. Organisée par l’Ecocentre de la Taupinais, la Ville de Rennes et ses partenaires, elle a pour objectif de faire découvrir à tous la nature, le jardinage et les productions paysannes, ainsi que le quartier de la Prevalaye.

Au programme : de nombreuses animations, en compagnie d’associations locales.

On pourra ainsi partir dès 9h30 en balade à la découverte des oiseaux de printemps avec la Ligue de Protection des Oiseaux, participer à un apéro bio à petits prix, en savoir plus sur l’art floral japonais de l’Ikebana, visiter la Basse-Cour et le Jardin des Mille Pas, ou encore assister à des démonstrations autour des baumes à de plantes…

Le jardinage fait également l’objet d’un riche programme d’animations, dès 10h du matin, avec de nombreux ateliers : greffe de fruitiers, troc de plantes et de graines, découvertes des abeilles, tressage, dessins dans la nature, jouer avec les fleurs communes…

Le patrimoine de la Prevalaye sera également mis à l’honneur, durant une balade de 2h animée par Destination Rennes.

A noter aussi, la présence d’un Repair Café, et d’un « Vélo Smoothie » : il faudra pédaler pour déguster ! Et un concert permettra de clôturer la journée en musique.

L’entrée est libre gratuite, une restauration et une buvette seront disponibles sur place.

Attention, le nombre de place est limité pour les balades et certains ateliers. Les inscriptions sont nécessaires au 02 23 62 29 51 ou ecocentre-taupinais@ville-rennes.fr

Le programme est disponible sur le lien https://fr.calameo.com/read/005416234fa8dfa8bf80b




Porteurs de projets en ESS, candidatez pour les incubateurs des Tag !

Les incubateurs TAg BZH lancent un nouvel appel à candidature. Des porteurs de projets seront sélectionnés cette année dans les quatre départements, afin de rejoindre les incubateurs et ainsi de pouvoir créer leurs entreprises, combinant utilité sociale et innovation sociale.

 

« Les incubateurs des TAgBZH accompagnent des projets d’entreprises de l’économie sociale et solidaire pour qu’elles fonctionnent de manière autonome et soient créatrices d’emplois locaux et durables. », peut-on lire sur le site des TagBZH. Ces projets, collectifs et socialement innovants, doivent aussi imaginer des réponses locales à des problématiques qui le sont aussi.

Depuis 5 ans, ce sont ainsi 110 projets d’entreprises locales qui ont accompagnés par les TAg. On peut citer parmi celles-ci la coopérative funéraire de Rennes, portée par 16 citoyennes et citoyens (projet sur lequel Eco-Bretons a réalisé un article, à retrouver ici) ; Maison Glaz, un tiers-lieu d’expérimentation écologique à la pointe de Gâvres, qui propose un service d’hébergement, un espace de coworking, des espaces d’accueil de groupes; Ti Coop, le premier supermarché coopératif brestois ; Hello Waste, basée sur le territoire de Saint-Brieuc, qui produit et vend des objets à partir de déchets recyclés, notamment le plastique, ou encore la recyclerie de matériaux Le Repair à Pleyber-Christ, à côté de Morlaix.

 

Les TAg BZH lancent actuellement leur nouvelle campagne afin de recruter des porteurs de projets. L’accompagnement démarrera en septembre et durera de 12 à 18 mois. Le processus de candidature débutera à partir du 1er avril.

Des réunions d’informations sont organisées par chaque Tag départemental :

 

TAg35 – Ille et Vilaine :

  • Vendredi 25 mars de 16 à 18h
    Le Quadri, 47 avenue des Pays Bas, Rennes
  • Mercredi 30 mars de 16h à 18h
    En visioconférence
  • Mardi 19 avril de 12h à 14h
    En visioconférence
  • Vendredi 22 avril de 16h à 18h
    Le Quadri, 47 avenue des Pays Bas, Rennes
  • Mercredi 4 mai de 18h à 20h
    En visioconférence

>> Lien d’inscription 

>> Contact : ludovic.thomas@TAg35.bzh

 

 

 

TAg56 – Morbihan

  • Vannes : lundi 28 mars de 17h30 à 18h30
    Pôle E2S Pays de Vannes / 47 rue Ferdinand le Dressay 56000 Vannes
  • Auray : mardi 29 mars de 17h30 à 18h30
    L’Atelier des Entreprises / Porte Océane, Place de l’Europe 56400 Auray
  • Pontivy : lundi 4 avril de 17h30 à 18h30
    Pôle Adess Centre Bretagne / 1 Place Ernest Jan 56300 Pontivy
  • Lorient : mardi 5 avril de 17h30 à 18h30
    TAg56 – 65 rue de Beauvais 56000 Lorient
  • En visioconférence – Mercredi 6 avril de 18h à 19h

>> Lien d’inscription

>> Contact : incubateur@tag56.bzh

 

 

TAg29 – Finistère

  • Lundi 4 avril à 18h
  • Vendredi 15 avril à 12h
  • Mardi 26 avril à 9h
  • Jeudi 12 mai à 18h
  • Vendredi 20 mai à 12h

>> Contact : juliette.henry@tag29.bzh

TAg22 – Côtes d’Armor

>> Contactez directement le TAg : contact@tag22.bzh

 

 

Plus d’infos

tag.bzh