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Quand culture, art et nature dialoguent sur le littoral morbihannais

Un «campement artistique » provisoire et collectif est actuellement installé jusqu’au 18 septembre, sur la commune de Locmiquélic dans le Morbihan, sur le site des marais de Pen Mané. Un projet original qui permet de faire cohabiter artistes, associations locales, et biodiversité.

Dans le cadre du Plan de Relance, le gouvernement avait choisi de dédier une enveloppe de 30 millions d’euros pour un programme de soutien à la conception et la réalisation de projets artistiques, baptisé «Mondes Nouveaux», avec une attention particulière pour les jeunes créateurs et créatrices. 264 projets ont ainsi été soutenus dans toute la France. En Bretagne, à Locmiquélic dans le Morbihan, le Conservatoire du Littoral propose dans ce cadre l’événement « Campement artistique pour le littoral », qui se déroule depuis le 20 août et jusqu’au 18 septembre, sur le site de Pen Mané.

Imaginé par Amélie-Anne Chapelain, productrice artistique, Guillaume Jouin, architecte, et Ola Maciejewska, danseuse et chorégraphe, le projet consiste en la création d’un « campement » pour littoral, « provisoire et collectif », « dédié à l’art et à la nature environnante », peut-on lire dans le dossier de presse dédié. « Architectural et chorégraphique, le programme propose une cohabitation douce avec la faune du site, une réflexion sur le « conservatoire du vivant » et des rencontres entre danseurs, scientifiques et naturalistes ».

On pourra ainsi assister à différents rendez-vous : des ateliers quotidiens pour les enfants et les familles autour du « faire soi-même », des rencontres quotidiennes « Art du littoral » qui permettent de donner la parole à un ou une usager/usagère du site (artiste, botaniste, architecte…), des « évents » et veillés le week-end avec des concerts, performances, DJ set, projection de film…en compagnie d’associations du territoire…Des aménagements spécifiques et temporaires ont été prévus : un « espace-café » en collaboration avec le tiers-lieu de Gâvres « Maison Glaz », un belvédère pour les observations, et un « laboratoire », abri pour les artistes en résidence.

De quoi permettre, outre la découverte artistique, celle du marais de Pen Mané, qui abrite une riche biodiversité sur 65 hectares et qui abritait par ailleurs il y a quelques années…un camping municipal. La boucle est bouclée !

 

Plus d’infos

https://campementartistique.camp.bzh/

 


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A Concarneau, La Konk Creative lance un appel aux dons pour son futur tiers-lieu

La Konk Creative, tiers-lieu culturel mais aussi espace de coworking, atelier partagé, salon de thé et espace d’exposition, va ouvrir ses portes en Concarneau. Afin d’aider à l’équipement et à l’ameublement du bâtiment, un financement participatif a été lancé.

« Faire soi-même », mais aussi « Faire ensemble », tels sont les deux mots d’ordre de la Konk Creative, projet de tiers-lieu culturel qui va ouvrir ses portes prochainement à Concarneau, dans le quartier du Passage-Lanviec. Un projet né sous l’impulsion d’un collectif de citoyennes et de citoyens habitant l’agglomération, regroupés depuis 2019 dans une association de préfiguration. On trouvera dans le bâtiment, qui a été acheté en 2020 et dont la rénovation a débutée l’année dernière, plusieurs espaces : un atelier autour du « DIY » avec du matériel, une zone de coworking (travail partagé), un espace expo-vente autour de l’artisanat d’art avec des créatrices et créateurs locaux, et un salon de thé qui servira des produits bios et issus de circuits courts. « L’essence de la Konk Créative, c’est le partage et la transmission de savoir-faire autour des loisirs créatifs. L’idée est donc de réunir une communauté faite d’un côté de passionnés désireux d’échanger autour de leur passion avec, de l’autre côté, des amateurs souhaitant découvrir de nouvelles pratiques. », peut-on lire sur le site internet de l’association, qui est aussi complétée désormais par une SCIC (Société Coopérative d’Intérêt Collectif) baptisée « La Coop Creative », composée d’une quarantaine d’associé.e.s, qui exploitera le futur tiers-lieux, et d’une SCI pour la gestion du batiment.

Afin d’équiper le lieu en matériel pour l’atelier partagé, meubler le salon de thé, l’espace de coworking, les salles de réunion, et acquérir des matérieux pour le mobilier et la décoration, un financement participatif a été lancé sur la plateforme bretonne Kengo. Objectif : 10 000 euros. En contrepartie de leurs contributions, les donateurs pourront recevoir des objets fabriqués par la Konk Creative : carnet fabriqué à base de papier de récup’, bourse en chute de tissu, sac en voile de bateau recyclée…dans l’esprit du « faire soi-même » et « upcycling » qui caractérisent bien le projet.

 

Pour participer, direction la plateforme Kengo : https://kengo.bzh/projet/3940/equipons-la-konk-creative




La P’Art Belle, l’autre possible des festivals bretons

Les 3 et 4 septembre, le festival La P’Art Belle investit de nouveau le domaine de Kerlevenan à Sarzeau, sur la presqu’île de Rhuys (56). Cette année, c’est le thème de l’océan qui a été retenu. Petite jauge, artistes « découvertes », ateliers, table-ronde…tout est fait pour faire de l’événement un moment convivial à taille humaine durant lequel on se divertit et on réfléchit sur les transitions écologiques. Présentation avec Louise Robert, fondatrice de ce micro-festival engagé.

Cette année, la thématique du festival est l’océan. Pourquoi ce choix ?

Cela nous a semblé une évidence, dans le sens où l’une des caractéristique de la région Bretagne est d’être entourée par la mer. C’est parfois méconnu, mais les océans sont notre « deuxième poumon », ils nous permettent de respirer sur terre. C’est important de comprendre ce qui s’y passe et comment les protéger, car ils sont nécessaires à notre survie. Avec le festival, nous proposons d’aller à la découverte de l’océan, et que chacun et chacune puisse repartir avec des informations et l’envie de s’engager. L’idée, c’est vraiment d’explorer ce milieu. On retrouve cela par ailleurs via l’affiche, qui met en scène deux personnes qui plongent dans ce qui semble être les abysses…

Comment s’articule le programme sur les deux jours ?

Il y aura des spectacles, des ateliers, des expositions…le tout autour de l’océan.

Le samedi, on pourra ainsi découvrir un conte tout public, « Hector Le Pêcheur », en prélude à une table-ronde sur la pêche responsable, avec un représentant des pêcheurs-ligneurs du Morbihan, Claire Nouvian de l’ONG Bloom, une restauratrice rennaise spécialisée, un représentant de la plateforme Poiscaille qui développe le circuit court autour du poisson…Les enfants de l’école Vert Marine du Hézo viendront aussi présenter ce qu’est une Aire Marine Educative et leur travail autour.

Le dimanche, place au spectacle participatif « La pirate écologique », parrainé par Yann Arthus Bertrand. Une table-ronde évoquera le transport à la voile comme alternative au transport maritime, avec notamment la présence de l’entreprise Grain de Sail, et un autre temps d’échange  aura lieu avec le navigateur Yvan Bourgnon pour évoquer son engagement autour de la protection de l’océan. L’association Escale Bretagne viendra présenter le projet « Strollad Cezembre », un projet qui consiste à former des personnes en situation de handicap pour que celles-ci puissent animer des animations à la découverte du milieu marin. Autre atelier proposé: de la sérigraphie autour du thème de la mer, avec Octopus.

Sans oublier durant tout le week-end une librairie éphémère avec des ouvrages en lien avec le thème du festival, ou encore une exposition photos avec les associations Ar’Images” et “Image sans frontière” (les festivaliers pourront par ailleurs acheter les clichés exposés).

Et bien entendu des concerts : Gaël Faure avec un projet inédit et des invités surprises le samedi, la chanteuse November Ultra, et un spectacle à danser « Les Rendez-vous du Tout Monde ». Le dimanche, le groupe rennais Mermonte se produira, tout comme la chanteuse d’origine grecque Daphné Kritharas. Nous voulons faire découvrir au public des artistes encore peu venus dans le secteur, et sensibles à notre démarche.

Hormis dans la programmation, comment la transition écologique infuse-t-elle dans l’organisation du festival ?

Avec la P’Art Belle, on se propose d’expérimenter, de tester des choses, qui marchent, ou pas. C’est un espace à la fois collectif et créatif. On veut aller de l’avant sur la limitation de notre empreinte écologique en terme d’organisation d’événement. Nous nous sommes vraiment construits sur cette idée de créer un autre type de festival, mais cela ne va pas sans certaines contraintes techniques encore présentes : comment accueillir des groupes ou des projets artistiques dans un cadre prônant la sobriété ? On ne dit pas qu’on a la solution, mais on essaie en tout cas de limiter notre consommation, notamment énergétique, avec l’utilisation par exemple d’enceintes solaires. Il faut beaucoup de sensibilisation et de pédagogie.

Est-ce que tu sens le public davantage réceptif à ce type d’événement ?

C’est encore les prémices, mais on sent qu’il a envie d’avoir une expérience qui soit davantage à taille humaine. A la P’Art Belle, on peut venir en famille, le côté intergénérationnel plaît, de même que la dimension « multiforme ». Aborder une thématique à la fois sociétale et mondiale par le prisme artistique permet de se questionner et de s’interroger, et de revenir chez soi avec des pistes d’actions.

Dans un article publié dans le journal Le Monde du 17 août, le Prodiss (Syndicat National du spectacle et de la variété) évoque, pour septembre « un bilan financier des festivals, et une réflexion sur un modèle économique qui semble « arriver en fin de cycle ». Comment vois-tu la situation ?

On voit que certains « gros » festival sont en difficulté, et doivent arriver à des taux de remplissage de 90 ou 95% pour atteindre l’équilibre, ce qui est énorme. Dans ce cas, un grain de sable peut faire vite dérailler la machine. A l’inverse, sur des petits formats comme le nôtre, l’action citoyenne et bénévole est très importante, c’est aussi compliqué à péréniser… Il faut tester, expérimenter, ouvrir le cadre. Et il faut aussi que les élus soient mobilisés dès aujourd’hui sur la culture, afin d’aider des associations et acteurs qui peuvent être en situation de fragilité.


Pratique :

Le programme est disponible sur le site https://www.lapartbelle.bzh/

Les tarifs : 15 euros la journée, 10 euros tarif réduit, gratuit pour les moins de 10 ans

Offre Duo (deux billets pour une journée) : 25 euros / Offre duo week-end : 45 euros

Opération « Sors tes couverts » : Ramenez vos gobelets et votre vaisselle

Pour venir : à vélo avec 50% de réduction sur la location avec Veloc’Ouest, bus, train ou co-voiturage encouragé.

Restauration et buvette locale

Accès personnes à mobilité réduite

 

 

Retrouvez le portrait de Louise Robert ici : http://www.eco-bretons.info/portrait-de-femme-n8-louise-robert-lexploratrice-de-la-transition/

 

 


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La recette. Les tartelettes aux mûres sauvages

C’est la saison des mûres sauvages ! La petite baie issue de la ronce commune se trouve un peu partout malgré la sécheresse, sur les bords des talus, des chemins, dans les prairies ou dans les bois.. .Riche en eau et acidulée, elle regorge de fibres, de minéraux (potassium, calcium, magnésium), et de vitamines C et E. On peut la déguster en confiture, dans une salade de fruits, en smoothies mais aussi en gâteaux, tartes et tartelettes, comme ici.

 

Ingrédients

  • 1 pâte brisée ou sablée
  • 500 g de mûres
  • 1 c. à s. de farine
  • 4 c. à s. de sucre
  • 2 c. à s. de confiture de mûres

Préparation

  1. Préchauffez le four sur th. 6/180°C. Déroulez la pâte dans les moules à tartelettes et piquez-la de plusieurs coups de fourchette.
  2. Mélangez les mûres avec le sucre, la farine et la confiture. Versez-les sur la pâte.
  3. Rabattez les bords vers le centre en laissant les fruits apparents et faites cuire 40 à 50 min. Servez tiède avec un peu de crème fraîche.

 

 

Recette issue du site Cuisine-Libre

 

 


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NAEVUS, de Myriam Martinez, où l’impossible séparation du bon grain de l’ivraie

Plongée dans l’univers artistique  et le parcours de Myriam Martinez, plasticienne installée dans le Trégor finistérien, qui présente actuellement à La Virgule de Morlaix (jusqu’au 24 septembre), avec la complicité de l’artiste sonore Iomai : NAEVUS, sa dernière installation… d’une étrange et inquiétante beauté. Texte suivi d’un entretien audio.

Les œuvres céramiques de Myriam Martinez portent le sceau de rencontres à la fois fortes et fragiles. Des œuvres tantôt claires et collectives, comme l’installation sonore en porcelaine suspendue, TAMBOUR D’EAU*, qu’elle a réalisée avec les résident.e.s de l’établissement médico-social Saint Michel à Plougouvest. C’était entre 2020 et 2021, dans le cadre du dispositif « Jumelage solidaire – L’art dans la chapelle » de l’association morlaisienne Les Moyens du Bord, soutenu par la DRAC Bretagne (Direction Régionale des Affaires Culturelles), l’ARS (Agence Régionale de Santé) et du dispositif Culture Solidaire du Conseil départemental du Finistère. Une expérience humainement intense, en plein confinement sanitaire qui lui a permis de prendre le temps – auquel elle tient tant – de la rencontre avec les personnes, avec le lieu, et avec en point d’orgue une inauguration musicale sous la forme d’un concert improvisé par Myriam, à la flûte traversière et Christelle Le Faou, « chamane à la vielle à roue », dans la chapelle de la résidence.

Et puis des œuvres tantôt sombres et personnelles, telle que l’installation NAEVUS**. Présentée une première fois au cours de l’automne 2021 à la Galerie parisienne Grès, NAEVUS est, là aussi, le fruit hybride de rencontres fortes : avec en premier lieu, la proposition du musée de la Briqueterie, à Langueux dans les Côtes d’Armor, ainsi que le Centre d’art sonore Le Bon accueil – l’installation ayant été conçue et finalisée avec l’artiste sonore Iomai, binôme de Myriam au sein de leur collectif MIOM. Avec le lieu même, un atelier du musée qui se situe face à la mer dans un contexte très beau et très sauvage, mais marqué par la présence envahissante d’algues vertes. Avec enfin, un ouvrage qui l’a beaucoup portée au cours de sa résidence : celui de William Hope Hodgson, « La chose et les algues », relatant des histoires hallucinées de mer et d’hommes, entre fantastique et épouvante.

En un hiver de tempête, depuis ces entrelacs de rencontres et des profondeurs de la création toujours mystérieuses, sont venues à Myriam des idées de restes archéologiques humains, de matières en décomposition, de résidus se démultipliant jusqu’à l’envahissement, ainsi que l’envie de travailler sur des textures d’accumulation avec un rendu d’émail donnant un aspect mouillé, vivant. Celle aussi de ne pas aborder frontalement la problématique des algues vertes, mais de la rendre bien présente, en l’inscrivant dans les désordres croissants de l’anthropocène, avec sa langue d’artiste. Ainsi, dans une mise en condition la mettant « dans un état particulier de travail», Myriam a créé en mode intensif, durant 2/3 mois, 12 heures par jour non-stop, beaucoup de pièces, « toutes sorties dans une même direction».

Dans la présentation écrite de l’oeuvre, elle précise : « NAEVUS signifie en latin grain de beauté et maladie de la peau à la fois, la frontière entre les deux me permet de donner couleur à mes sculptures noires, dans leur expression. Les sculptures en grès noir sont point par point émaillées, ce qui donne l’aspect d’un épiderme visqueux et vivant. NAEVUS impose un paysage maritime qui survit au passage d’une vague, qui laisse derrière elle les restes d’une archéologie du vivant. Un retour à l’état de mollusque marin, qui pourtant est à notre origine. NAEVUS comme un point de Beauté qui demeurera après notre passage. »

L’exposition NAEVUS est visible jusqu’au 24 septembre prochain, à La Virgule, tiers-lieu culturel de la Ville de Morlaix (9, rue de Paris) : https://www.facebook.com/LaVirguleMorlaix/

Dans l’entretien audio qui suit, Myriam Martinez nous livre des éléments de son parcours artistique pluriel, de son installation en Bretagne après Perpignan puis Paris, de son goût à faire avec d’autres qui ne vivent pas dans les mêmes conditions que nous, de son regard d’artiste, empreint à la fois d’une belle étrangeté et d’une sourde inquiétude.

 

 

 

* Vidéo de l’installation TAMBOUR D’EAU : https://www.youtube.com/watch?v=rR13j2JgZwY&t=41s

** Vidéo de l’installation NAEVUS :https://www.youtube.com/watch?v=l8JYbxxZSfY&t=45s  Soutiens: musée de La briqueterie, Le Bon Accueil, La Drac Bretagne, Les Fonds Régnier pour la Création.

Crédit Photo : Myriam Martinez : https://www.myriammartinez.com/

 


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La transition écologique dans tous ses états sur Rennes Métropole avec « Bienvenue en transition »

Le projet « Bienvenue en transition », qui vise à mettre en lumière des initiatives citoyennes présentes sur Rennes Métropole et à donner envie aux citoyen .ne.s se passer à l’action, continue jusqu’à l’année prochaine. Alors que le prochain rendez-vous aura lieu en octobre et aura pour thème la protection de la nature, on peut écouter une série de podcasts compilant des témoignages d’habitants portant des projets, sur le site de la Maison de la Consommation et de l’Environnement (MCE) de Rennes.

Le projet « Bienvenue en transition » a été lancé en 2021, et se poursuit jusqu’en 2023. Développé par les associations de la Maison de la Consommation et de l’Environnement de Rennes et celle-ci, il a pour objectif « d’aller à la rencontre des initiatives citoyennes qui existent déjà autour de nous avec le souhait de favoriser la transmission des savoirs et savoir-faire entre habitants ! », peut-on lire sur le site internet dédié.

A cette fin, tous les deux à trois mois, un week-end de « portes ouvertes » est organisé dans les communes de Rennes Métropole, autour des thématiques suivantes : Habiter / Consommer autrement / Se nourrir / Protéger la nature / Se déplacer.

Après un premier week-end consacré aux initiatives pour « habiter autrement » en octobre 2021, un second pour « se déplacer autrement » en mai 2022, et un troisième pour « consommer autrement », on pourra découvrir du 5 au 12 octobre comment « protéger la nature » sur Rennes Métropole.

Les organisateurs appellent d’ores et déjà les habitants à faire connaître leurs initiatives, ou celles de leur connaissance, sur le sujet, via un formulaire disponible sur le site de la MCE.

En attendant, on peut découvrir le témoignages de certain.e.s habitant.e.s de Rennes Métropole qui ont porté des projets de transition écologique grâce à une série de podcast. On peut ainsi découvrir grâce à l’écoute le pédibus d’Acigné, les vacances à vélo avec Damien, une extension de maison en écoconstruction avec Didier, le repair Café de Cleunay…entre autre. Les podcasts sont disponibles sur les plateformes habituelles (spotify, apple…) et aussi sur le site de la MCE (on vous conseille de les écouter par ce biais, ce qui vous permettra de découvrir aussi de nombreuses autres informations!).

 

Plus d’infos :

https://www.mce-info.org

https://www.bienvenueentransition.org/temoignages/

 


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