1

MOTHERLOAD , la révolution du vélo-cargo

(Plume citoyenne) Le dimanche 22 janvier, c’est à Morlaix (29), que l’association APAV (A Pied A Vélo en pays de Morlaix ) organise un ciné-débat autour du film-documentaire « Motherload » de la réalisatrice Liz Canning. En partenariat avec La Salamandre, le cinéma du collectif SEW, il sera projeté à 15h30. La volonté de l’association est d’amener le public à se questionner sur les alternatives à la voiture individuelle, notamment la marche et le vélo, et à imaginer d’autres formes de mobilité, plus émancipatrices, conviviales et durables.

C’est en 2008, suite à la naissance de ses jumeaux, que la californienne Liz Canning s’est résolu à troquer son vélo contre une voiture censée être plus adaptée à son nouvel usage familial. Mais cette cycliste joyeuse et convaincue a vite déchanté…
Elle s’est rendue compte que ce nouveau véhicule ne lui convenait pas, qu’il n’était pas en accord avec son mode de vie, ses valeurs et même qu’il la rendait malheureuse !
Mais comment faire sans voiture pour continuer ses déplacements avec Rocko et Stormy, ses jumeaux qui grandissaient ?
Après quelques recherches Internet, elle découvre l’existence du vélo-cargo et d’une riche communauté américaine réunie au sein du Cargo bike Movement.
Enthousiasmée par ce mode de vie, Liz décide de réaliser un documentaire participatif sur ce mode de transport, qu’elle juge comme aussi révolutionnaire que ne fût au 19 ème siècle, celui de son ancêtre, la bicyclette. Dès 2011, elle commence à recueillir à travers le monde, du Danemark au Ghana, en passant par l’Australie, des centaines de témoignages d’utilisateurs et d’utilisatrices de vélo-cargos. Le résultat est sans appel, ils sont tous et toutes uniment convaincu.es, la vélorution du vélo- cargo est en marche !
Sorti en 2019, « Motherload » fait le tour de nombreux festivals dans le monde et remporte plusieurs prix, notamment un prix spécial du jury au célèbre festival américain de Sundance.

 

En Bretagne également, les vélo-cargos sont de plus en plus nombreux sur les routes.
Tristan, Émilie et Julien, respectivement menuisier, assistante maternelle et infirmier, utilisent le vélo-cargo dans leurs déplacements, professionnels pour les deux premiers et familiaux pour le troisième. Ils nous livrent quelques mots symboles de ce que cela leur a apporté : « liberté, efficacité, lien social, agilité, environnement respecté, activité physique, transmission de valeurs aux enfants, plaisir et combat… ». Des propriétaires visiblement enthousiasmés et qui ont renoncé à une voiture dans leur foyer . Et qui sont aussi devenus des militants actifs dans des associations de promotion du vélo au quotidien.

 

 

 

Au cœur de la Manufacture des tabacs de Morlaix, l’APAV proposera un temps d’échanges, de débats et de rencontres entre le public et des propriétaires passionnés de vélo-cargos. Vous aurez même la possibilité d’essayer différents modèles (longtail, biporteur …) dans le sublime écrin de la cour du SEW car nul doute que ce documentaire solaire, ode à la liberté retrouvée, vous aura donné envie de remiser votre voiture contre une bicyclette. « Motherload, kid tested, planet approved » !

 

Pour en savoir + :

site officiel : http://motherloadmovie.com/
FB : https://www.facebook.com/MOTHERLOADmovie2/
YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCQg6vIR05Ng5i2pHk_1dM6A




Des trophées pour dire « Bravos » aux festivals en transition écologique

Le Collectif des Festivals, qui fédère 33 événements en Bretagne, s’associe au Reeve (Réseau association des éco-événements des Pays de la Loire) et au Pôle (pôle de musique actuelles des Pays de la Loire) pour lancer les « Bravos ». Ces trophées récompenseront le 6 avril les actions entreprises par les festivals bretons et ligériens dans le domaine de la transition écologique. Les candidatures sont à déposer avant le 3 mars.

Algues au Rythme (56), Le Grand Soufflet (35), le festival photo de la Gacilly (56), les Rencontres Transmusicales de Rennes (35) ou encore le Festival Interceltique de Lorient (56)…Ces événements, de taille diverses, et qui rythment l’été breton, font partie du Collectif des Festivals. Une organisation associative qui accompagne les acteurs.rices culturel.le.s depuis 2005 dans leur démarche de transition écologique. « On compte actuellement 33 manifestations adhérentes », précise Raphaëlle Bachelier, chargée de communication au sein du Collectif. Toutes ont adopté une charte, qui stipule leurs engagements en matière de lutte contre le réchauffement climatique, de préservation de la biodiversité et des ressources naturelles, de cohésion sociale et de solidarité entre les territoires et les générations, de consommation responsable et d’épanouissement des êtres humains.

Afin de valoriser les engagements des festivals, le Collectif vient de lancer, en compagnie du Reeve (réseau associatif des éco-événements des Pays de Loire, basé à Nantes) et du Pôle (pôle de musiques actuelles des Pays de Loire) un nouveau projet : Les Bravos. « Ce sont des trophées qui vont récompenser les démarches des festivals bretons et ligériens pour la transition écologique et sociale, et ainsi permettre une mise en avant des actions mises en place pour réduire l’impact environnemental », explique Raphaëlle. Cinq catégories ont été retenues pour cette première édition : démarche globale d’amélioration et de transition du festival, coopération entre festivals, projets inclusifs et accessibles, circuits-cours et approvisionnement, et zéro déchet. Pour chaque catégorie, un jury composé d’organisateurs.rices de festivals, de bénévoles, d’experts, de chargé.e.s de mission départagera les concurrents. Et la remise des trophées aura lieu à Rennes le 6 avril, lors d’une journée spéciale avec également au programme des temps d’échanges. « L’opération est ouverte aux festivals quelque soit leur orientation artistique, et leur taille », ajoute Raphaëlle. Les dossiers sont à déposer jusqu’au 3 mars !

 

Plus d’infos :

https://lesbravos.org/

 




Programme Plages Vivantes, une nouvelle approche pour préserver nos plages qui bordent notre Bretagne

(Plume citoyenne) Comment concilier la préservation des habitats du littoral tels que la laisse de mer et les activités humaines en maintenant une logique à la fois économique et respectueuse de l’environnement ?

Plages vivantes” est un programme de sciences participatives mené par la station biologique de Concarneau en lien avec le Muséum d’Histoire Naturelle pour inviter tout un chacun.e à observer la biodiversité des hauts de plages dans la «laisse de mer».  Pour beaucoup de touristes, une belle plage est d’un blanc immaculé, vierge de toutes algues. Pourtant ces paquets d’algues laissés par la mer à marée haute témoignent d’une plage bien vivante. 

Les observer permettra aux scientifiques de mieux analyser l’intérêt de ceux-ci et de mieux caractériser ce qui composent ces laisses. De plus, cela pourrait offrir une meilleure compréhension et des prédictions plus justes des effets des changements globaux et locaux qui ont un impact sur ce milieu. 

Les laisses de mer ne riment ni avec « sales » ni avec « laisser-aller ».

En effet, la laisse de mer est un écosystème à part entière, elle interfère dans la chaîne alimentaire de nombreuses espèces.  Il ne faut donc pas confondre algues vertes et laisses de mer ! Les apports massifs d’algues vertes sont le résultat d’un excès d’azote et de phosphore provoqué par les activités humaines, agricoles et non agricoles. Contrairement aux laisses de mer, elles n’ont aucun intérêt écologique et dégradent les écosystèmes côtiers. Leurs impacts visuels et olfactifs, préjudiciables au tourisme, conduisent très fréquemment les services municipaux à les évacuer.

Suivis naturalistes réalisés par les étudiant.es du lycée agricole de Suscinio, en Gestion et Protection de la Nature

Durant l’année 2022 – 2023, un groupe de 5 élèves en  BTS Gestion et Protection de la Nature ont réalisé un projet tutoré au côté de Géraldine Gabillet, chargée de mission environnement au CPIE (Centre permanent d’initiatives pour l’environnement). Ce CPIE souhaite mieux connaître la qualité écologique des plages et du littoral du Pays de Morlaix. Particulièrement, il souhaite observer et étudier l’impact du nettoyage des plages ainsi que des activités de loisirs sur les espèces végétales et animales. Par conséquent, deux suivis naturalistes sur cinq plages différentes du littoral du Pays de Morlaix ont été réalisés. Ces suivis ont permis de récolter des données,  en vue de les enregistrer sur la base de données des sciences participatives. Les différents  protocoles ont été effectués sur  deux saisons différentes afin d’avoir des résultats comparables selon les périodes de l’année. Le premier protocole, ALAMER, permet grâce à des clés de déterminations simplifiées, de reconnaître les différentes espèces d’algues qui ont été déposées par la marée. Grâce à la participation d’un maximum de personnes (touristes, locaux etc…), les scientifiques sauront  dans quelle mesure les espèces d’algues de la laisse de mer sont différentes d’une plage à l’autre ou au cours des saisons. 

Le protocole dit OLAMER,  est encore expérimental et complémentaire du protocole précédent. Il est dédié aux oiseaux du littoral et plus spécifiquement de l’estran et sa laisse de mer qui constituent des habitats essentiels pour l’alimentation de nombreuses espèces d’oiseaux. Pour finir le protocole OSPARITO, est un programme ludique à destination d’élèves de cycles 2 et 3 pour étudier et s’approprier la problématique de la pollution marine. 

A travers un protocole scientifique développé autour de l’univers de l’enquête policière, les élèves participeront à la collecte de données scientifiques sur les déchets aquatiques. Néanmoins, ce protocole peut être décliné et simplifié: une simple collecte de déchets incitant chacun.e à en faire autant au quotidien. Finalement les résultats de ces protocoles apporteront des informations sur l’état de conservation des plages. En comparant les différents résultats, diverses interprétations seront émises. En comparant aussi ces données à des systèmes de références, elles faciliteront et contribueront à la prise de décisions des communes et autres collectivités locales. C’est pourquoi son évolution est fortement corrélée avec les activités humaines. Il est donc important et nécessaire de valoriser cet habitat pour répondre au changement climatique. 

Pour conclure le projet tutoré, les étudiants de Suscinio ont proposé à une école primaire de la ville Santec une animation autour des protocoles afin de sensibiliser les futures générations à l’importance de l’environnement et tout ce qui nous entoure en général.

 

 

Liens des protocoles : 

https://www.plages-vivantes.fr/alamer/edito/le-protocole-olamer

https://osparito.surfrider.eu/participer-au-projet/  




A Morlaix et au delà, on va bientôt croquer du chocolat solaire et solidaire

Installée dans la cité du viaduc, Sunshine Chocolat a pour objectif de fabriquer des tablettes de chocolat à partir de fèves de cacao torréfiées directement par les petits producteurs. Le tout grâce à des torréfacteurs fonctionnant à l’énergie solaire, conçus par l’entreprise elle-même à Morlaix.

6%. C’est ce qui revient au producteur de chocolat, sur le prix final d’une tablette. Un constat qui a interpellé le morlaisien François Liron. Co-fondateur et ancien directeur de la société Grain de Sail, il a lancé en 2021 un nouveau projet, baptisé « Susnhine Chocolats ». Objectif : « Créer le premier chocolat solidaire et solaire ». Solidaire, car le but est d’offrir de meilleures conditions de vie aux petits producteurs de cacao. « Toute la valeur ajoutée de la fabrication du chocolat a été éloignée des territoires », rappelle François Liron. 94% des producteurs de cacao vivent avec moins de 4,50 euros par jour ! Et solaire, car l’entreprise développe des torréfacteurs solaires industriels de cacao, « dont les plans sont créés par nous de A à Z », souligne l’entrepreneur. Les machines mesurent 6 mètres de hauteur, et sont dotées « d’un four qui chauffe grâce à la chaleur du soleil captée par de grands miroirs mobiles ». Elles permettront au producteur de torréfier et broyer les fèves de cacao directement sur place. Et avec celui-ci, qui sera acheté directement au producteur, Sunshine pourra fabriquer une gamme de tablettes de chocolat bio, dans son atelier. Avec d’ici deux à quatre ans un approvisionnement uniquement à base de cacao torréfié grâce au solaire.

L’entreprise, et son équipe d’une dizaine de personnes, s’est installée dans les locaux de l’ancienne Imprimerie du Viaduc, à Morlaix. Elle ambitionne maintenant d’expédier son premier torréfacteur solaire au premier semestre 2023, en République Dominicaine. Une campagne de prévente de tablettes de chocolat a eu lieu sur la plateforme Ulule, qui permettra grâce aux fonds récoltés de démarrer la production dans la future chocolaterie en cours d’installation. La commercialisation en magasins devrait débuter quant à elle en avril 2023.

 

 

Plus d’infos

https://www.facebook.com/sunshinechocolats




Etre éco-délégué.e au collège Tanguy Prigent « Ca prend du temps mais on apprend énormément ! »

(Rediff) Au collège Tanguy-Prigent de Saint-Martin-Des-Champs, huit éco-délégué.e.s sont élu.e.s chaque année depuis 2019, soit un.e par classe. Ils participent à de nombreuses actions au sein de l’établissement, et essaient de sensibiliser leurs camarades à la protection de l’environnement.

Lalie, Marius, Liza, Chloé, Milan, Akmal et Hugo sont éco-délégués au collège Tanguy Prigent à Saint-Martin-Des-Champs. Tous et toutes (un.e représentant.e par classe) ont été élu.e.s par leurs camarades. « Et sans programme obligatoire », précise Marius, en classe de 3ème. Pourquoi avoir choisi de se présenter, ou de se représenter le cas échéant ? Liza, en 4ème, avoue « être préoccupée par l’écologie ». Pour Milan, en 4ème, et Lalie, qui est en 3ème,  c’est la disparition de la biodiversité, et notamment des animaux, qui a pesé dans la balance. « C’est une façon d’agir à notre échelle », renchérit Liza. « Et de continuer des projets mis en place l’année dernière », commente Milan.

Et des projets, les éco-délégué.e.s en ont beaucoup. Les actions sont nombreuses. « On travaille sur la réduction des déchets, notamment alimentaire, avec notre ferme pédagogique », explique Liza. « On fait aussi du plogging, on ramasse les déchets lors de marches. On a déjà ramassé 42 kilos ! ». « On a aussi collecté des bouchons pour l’association un bouchon, un sourire », ajoute Chloé, en 5ème. « Et dans tout le collège, on utilise désormais des crayons Woody, un crayon qui remplace les feutres Veleda, et qui est sans déchet plastique », détaille Akmal, élève de 6ème.

L’énergie et l’eau ne sont pas oubliées. « Notre consommation d’énergie a déjà diminuée d’un tiers », souligne Lalie, « Et on peut encore progresser ! ». « Les luminaires ont été remplacés par des panneaux led, et des mousseurs ont été installés sur les robinets », ajoute Liza.

Si être éco-délégué « Prend quand même du temps », aucun.e d’entre eux/elles ne regrettent. « On apprend énormément de choses », confirme Hugo, élève de 6ème. Pour Milan, « Ca permet de montrer aux autres ce qu’il faut faire pour être un peu plus écolo, et le collège devient plus vert ». Même si sensibiliser ses pairs n’est pas toujours chose facile. « Il faudrait qu’on explique davantage nos actions, certain.s.s ne se rendent pas toujours compte de ce qu’on fait », estime Marius. Lalie a quand même, avec son mandat, « l’impression d’agir ». « Quand ça marche, on est fier ! », affirme Chloé, qui avoue prendre davantage conscience désormais du changement climatique. Un engagement au collège qui se répercute aussi dans leur quotidien. « J’arrête pas de parler de ça ! », s’amuse Lalie, qui va même participer à un jardin partagé dans son quartier. Elle se voit d’ailleurs dans le futur «investie dans une association écologiste ». Marius, quand à lui, voudrait « travailler au contact de la nature, de la biodiversité ». Et Chloé « auprès des animaux, notamment des chevaux ». Les petites graines semées par leur expérience d’éco-délégué.e.s ne demandent qu’à germer !




« Au comptoir de l’herboriste », un guide pour soigner les maux du quotidiens grâce aux plantes

Alors que se déroule dimanche 20 novembre « L’automnale », le marché des paysan.ne.s « du Bout du Monde » à Saint-Cadou (29), coup de projecteur sur le guide « Au comptoir de l’herboriste », paru aux éditions Terre Vivante. Christine Cieur, docteure en pharmacie et phyto-aromatérapeuthe, y propose de nombreuses recettes de tisanes, baumes, élixirs, sirops…à base de plantes et d’huiles essentielles, afin d’aider à soigner les maux du quotidien.

60, c’est le nombre de recettes que contient le guide « Au comptoir de l’herboriste », paru aux éditions Terre Vivante. Ecrit par Christine Cieur, docteure en pharmacie et phyto-aromathérapeute, il a pour objectif de « parer à l’urgences » des petits maux du quotidien, d’aider à mieux passer l’hiver et le refroidissement des températures, et aussi d’apporter une aide à la détente. « Quoi de plus naturel et simple que de s’engager activement au maintien de sa propre santé ? » s’interroge ainsi l’auteure en introduction.

Elle nous propose donc un large éventail de tisanes, baumes, élixirs, sirops, teintures mères ou encore cataplasme, à réaliser de façon simple avec des ingrédients qu’on peut trouver auprès de boutiques spécialisés et/ou d’herboristes. Les recettes sont regroupées dans le guide selon trois grandes thématiques : « parer à l’urgence et aux douleurs », « traverser la saison froide et les épisodes infectieux » et « se détendre et retrouver l’équilibre du corps ». En utilisant huiles essentielles, hydrolats, plantes séchées ou fraîches, on pourra fabriquer par exemple un cataplasme de consoude pour aider à la réparation des tissus durs ou mous, créer un complexe aromatique anti-nausées à base d’huiles essentielles de citron et de gingembre, réaliser un sirop de coquelicot pour aider à soigner la toux, ou encore une onction « calmante et relaxante pour les adultes » à base d’huiles essentielles d’orange douce, de lavande officinale et de marjolaine…

Agréable à lire, le guide « Au comptoir de l’herboriste » est agrémenté de très belles photos de la finistérienne Athina Canevet, également créatrice dans le contenu de l’alimentation. Un livre qui sera particulièrement utile pour celles et ceux qui souhaitent se faire du bien au quotidien, renouer avec la nature, et être acteur de leur santé, sans pour autant remplacer la médecine traditionnelle quand elle est nécessaire.

« Au comptoir de l’herboriste  – 60 recettes pour les maux du quotidien », Dr Christine Cieur, éditions Terre Vivante, 117 pages, 15 euros.

 

 


« L’automnale » des paysan.ne.s-herboristes du Bout du Monde

Les paysan.ne.s-herboristes du Finistère se rassemblent trois fois par an pour faire découvrir leurs métiers et leurs produits. « L’autonmale » a lieu le dimanche 20 novembre, à Saint-Cadou, dans les Monts d’Arréé. Au programme : de nombreux ateliers (confection de baumes, alimentation et émotion, initation à l’auto-massage, balade botanique…), marché des paysan.ne.s-herboristes, bar à tisanes…

L’entrée est libre et gratuite, une participation est demandée pour les ateliers.

Plus d’infos : https://www.paysannesherboristesduboutdumonde.fr

 


A lire aussi, notre portrait d’Arlette Jacquemin, paysanne-herboriste à Plouigneau à côté de Morlaix