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Claire Cariou, l’Eclaireuz, sort un livre sur son Tro Breizh des solutions zéro déchet

Claire Cariou, fondatrice de l’association Côte Waste, lauréate du prix du public lors des Trophées de la Transition 2023 avec l’Eclaireuz, s’apprête à sortir un livre sur son Tro Breizh des solutions zéro déchet à vélo, réalisé en 2021. Baptisé « En selle vers la réduction des déchets – Témoignage de ces professionnels qui ont osé s’y mettre », compile les pratiques de 33 entreprises, collectivités, lycées…qu’elle a rencontré. Préfacé par Rob Hopkins, auto-édité, l’ouvrage est disponible en pré-vente.

On connait Claire Cariou, fondatrice de l’association Cote Waste, pour son projet de Tro Breizh des solutions zéro déchet, qu’elle a réalisée en 2021, avec son vélo d’occasion sur les routes des cinq départements bretons. Au fil des 1400 kilomètres réalisés, elle a pu rencontrer des structures privées ou publiques qui sont dans des démarches collectives de réduction des déchets : entreprises qui ont réussi à faire baisser le volume de leurs déchets en interne, écoles qui travaillent sur le gaspillage alimentaire, collectivités, restaurants, food trucks…Son aventure a donné lieu à un documentaire, réalisé par Laurie-Anne Courson, baptisé « Cheval de fer ».

Après avoir compilé tous ces témoignages, Claire, qui a entre-temps fondé l’Eclaireuz, son activité de services de zéro déchet aux entreprises et professionnel.le.s, sort un livre qui revient sur son périple en vélo.

Objectif de l’ouvrage : diffuser les pratiques observées, et ainsi aider celles et ceux qui souhaitent lancer une démarche et franchir le cap de la réduction des déchets au travail.

Ce sont ainsi 33 structures (sur les 38 visitées) qui sont présentées dans le livre, qui mêle ainsi récit de voyage et retour d’expérience. On découvre ainsi par exemples les bonnes pratiques d’un lycée agricole, d’un salon de coiffure, de trois communautés de communes dont une île, d’une entreprise de cosmétique, d’une entreprise de portail, d’une exploitation agricole, d’un hôtel-restaurant, d’une fleuriste…les profils sont variés.  « Ce sont donc leurs pratiques de réduction des déchets à la source explicitées de manière détaillée que je retranscris dans ce livre. Il ne s’agit pas d’un récit, mais bien d’un livre-outil, d’un objet pratique pensé pour motiver et aider celles et ceux qui aimeraient y aller, ou qui hésitent encore, voire qui n’y avaient même pas pensé. Il ne s’agit pas non plus d’un livre d’entretiens », précise Claire.

Et, cerise sur le gâteau (anti gaspi bien sûr), c’est Rob Hopkins, initiateur du mouvement des Villes en Transition, qui a co-signé la préface, avec Xavier Combes, son ami et traducteur français.

Auto-édité, « En selle vers la réduction des déchets – Témoignage de ces professionnels qui ont osé s’y mettre », est déjà disponible en pré-commande, via le site https://www.helloasso.com/associations/cote-waste/boutiques/en-selle-vers-la-reduction-des-dechets-la-pre-vente

Claire Cariou reprendra également le même chemin que son Tro Breizh, mais pas à vélo cette fois, en octobre, pour assurer la promotion de son livre et aller à la rencontre du public.




Du 2 au 4 juillet : Forum ouvert des usages coopératifs à Brest

Après l’édition 2022 sur le thème de la convergence des transitions, voici le Forum ouvert 2024 sur le thème des « pas de côté », un temps de rencontre au croisement des usages du numérique et de la coopération ouverte, qui se déroulera à l’Université de Bretagne Occidentale, en centre-ville de Brest.

Les pas de côté

Dans une société où les transitions sont une urgence, celles-ci sont encore peu prises en compte dans les faits.
Nos quotidiens professionnels ou associatifs ne sont pas souvent propices à agir à la hauteur des enjeux et nous amènent à faire des « pas de côté », nous conduisant vers une transformation personnelle de sa manière d’être au monde.
S’autoriser un espace pour agir autrement, définir des objectifs à nos missions en phase avec nos aspirations, s’impliquer dans une coopération ouverte, en partage, au-delà du simple « faire avec ».
C’est ce croisement des transformations des personnes, des missions, des structures que ce Forum propose d’éclairer.

Le programme

Mardi 2 juillet : Accueil et off

Le temps « off » du mardi 2 juillet après-midi permet aux personnes déjà arrivées sur Brest de se rencontrer, d’échanger, de travailler sur des sujets de leur choix avec un apéritif partagé en fin de journée. Apportez vos spécialités !

Tout au long des 2 jours des stands vous accueillent.


Mercredi 3 juillet

Matinée

  • 8h30 Accueil
  • 9h « Pimp ta vibe ! » par Yann Le Beguec
  • 9h15 Conférence gesticulée « Comment les GAFAM m’ont rendu sourd et aveugle ! » par Gatien Bataille
  • 10h15 Pause café
  • 10h30 Forum Ouvert (première partie), animé par Audrey Auriault et Marie-Hélène Pillot : place à vos questions et à vos envies d’échange autour des pas de côté

Buffet déjeunatoire à 12h30

Offert par la ville de Brest et les partenaires du Forum

Après-midi


Jeudi 4 juillet

Matinée

Buffet déjeunatoire à 12h30

Offert par la ville de Brest et les partenaires du Forum

Après midi


La participation aux rencontres est gratuite, mais pour favoriser la coopération, nous vous invitons à partager une ou plusieurs initiatives.

  • La page explicative qui a permis de mettre en place le collectif et le cadre de préparation.
  • Le Forum 2024 est lui-même un pas de côté à plusieurs égards.

Au plaisir de vous y rencontrer !
Le collectif de préparation du Forum ouvert 2024

Cette manifestation est organisée par : https://forum-usages-cooperatifs.net

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Avec le soutien de

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Co-organisée en partenariat avec

Association Climate Change Lab, Association des Jardinier·e·s du Nous, Association LabFab, Association Le Lieu-Dit, Association YesWiki, Collectif Animacoop, le CRIE de Mouscron, Jean-Michel Cornu ()spécialiste de la coopération et de l’intelligence collective), La Gare – Centre d’art et de design, Mégalis Bretagne – Syndicat mixte de coopération territoriale, Rennes Métropole & Ville de Rennes, Tempoco,…





La recette. Sucette au citron et pétale de coquelicot

Une recette originale qui mêle une fleur comestible et de l’huile essentielle de citron… A savourer à tout âge ! Une formule sans lactose et sans gluten.

On peut utiliser le coquelicot en cuisine. On pourra retrouver par exemple ses pétales en salade ou en décoration, et ses graines (qui ont un petit goût de noisettes) dans du pain. On peut également faire avec cette jolie fleur rouge des infusions ou des sirops. Le coquelicot a notamment des propriétés antitussives.

Pour 6 sucettes
Temps de préparation : 15 min
Temps de cuisson : 10 min

Ingrédients

  • 200 g de sucre
  • 100 g d’eau
  • 1 CS de vinaigre d’alcool
  • 5 gouttes d’huile essentielle de citron
  • 1 CS d’huile d’olive
  • pétales de coquelicot

Préparation

  • Dans une casserole mettez le sucre, l’eau, le vinaigre d’alcool. Faites chauffer jusqu’à 137°C. (Il vous faudra une sonde ou un thermomètre à sucre pour cette recette)
  • Ôtez aussitôt du feu et ajoutez l’huile essentielle de citron. Attendez 5 minutes que le sucre refroidisse un peu.
  • Huilez les moules à sucettes et remplissez à moitié le moule de sucre. Posez délicatement un pétale de coquelicot et versez du sucre par dessus. Ajoutez le bâtonnet et laissez durcir au frais.

 

Recette issue du site www.cuisine-libre.org




Wild Bretagne, l’association qui veut faire pousser des forêts sauvages

L’association Wild Bretagne achète dans la région des parcelles, afin de « faire éclore des forêts sauvages ». Les terrains acquis deviennent ainsi des biens communs, sur lesquels la chasse, la coupe des arbres, la cueillette sont interdites, et le bois mort conservé. Laissés en « libre évolution », ces forêts deviennent ainsi des lieux privilégié pour la faune et la flore locale, qui y est préservée. Une façon aussi pour l’association d’amener à s’interroger sur les relations entre l’humain et le vivant, et notre lien au sauvage. Rencontre et reportage à Plouec-Du-Trieux(22), où se trouvent les premières parcelles acquises.

C’est dans la Vallée du Trieux, à quelques encablures de Saint-Clet (22), que nous rencontrons Pat et Sane. Tous deux font partie de l’association Wild Bretagne, née il y a maintenant 4 ans, et qui a pour but d’agir concrètement pour « faire éclore des forêts sauvages en Bretagne ».Une aventure démarrée par une « bande de copains et copines », qui se rencontrent durant leurs études. « On pratiquait tous et toutes la rando, le stop, le vélo, et on aimait voyager », explique Sane. A force de découvertes, la petite bande commence à se questionner autour de la notion d’espaces sauvages : Est ce qu’il possible d’en avoir encore ? Et en Bretagne. ? Comment peut-on faire ? Sane, Pat et les autres vont alors jusqu’en Pologne, à la découverte de la dernière grande forêt européenne, Bialowesa. Une rencontre va profondément les marquer : celle avec Bogdan Jaroszewicz, directeur de la station géobotanique de la forêt. « Il nous a permis de comprendre comment on pouvait faire revenir une forêt primaire », précise Pat.

Et donc, comment faire germer des forêts sauvages en Bretagne ? L’association Wild achète alors des parcelles, qui deviennent ainsi des « biens communs », pour les laisser ensuite en « libre évolution », et exemptes de toutes activités humaines. La chasse et la coupe d’arbres y sont interdites, tout comme la cueillette. Le bois mort est conservé, car il sert d’habitat et de nourriture à de nombreuses espèces. « Les études scientifiques montrent que la non-gestion permet l’augmentation de la biodiversité forestière », soutient Pat. « Cependant, nous ne sommes pas contre l’usage du bois. On essaie juste d’embarquer un maximum de gens dans nos questionnements», précise-t-il. Il faut savoir qu’en Bretagne, qui est l’une des régions les moins boisées de France, les forêts sont toutes très jeunes, et très exploitées. Et en France, seulement 0,14% de celles-ci sont laissées en libre évolution !

Chasse interdite et chevreuils

A Plouëc-Du-Trieux (22) ; l’association a donc acheté 18 000 m2 de forêt, divisé en trois partie. Le tout grâce à un financement participatif, qui a eu un très beau succès. « On avait pour objectif 7500 euros, finalement on en a obtenu 27 000 ! », se réjouissent Sane et Pat. L’une des parcelles se trouve à 30 minutes de marche de la route départementale, en longeant le Trieux, par le GR. Le temps étant clément, nous partons donc à sa découverte avec Pat. L’endroit est idyllique, bordé de quelques chaos rocheux, et de la rivière. Quelques arbres tombés du fait des récentes tempêtes obstruent le chemin, ce qui nous oblige à quelques contournements par les fougères. Nous arrivons finalement après quelques descentes et montées sur le territoire de la réserve. Un panneau signale que la chasse est interdite. Ici, on trouve ce qui fait la biodiversité classique d’une forêt bretonne, à savoir des hêtres, des châtaigniers, des chênes, des ifs, mais aussi du sureau ou des très jeunes érables. Des passages et des empreintes indiquent la présence de chevreuils, qui viennent également s’abreuver dans le Trieux. « On a installé un piège photo et on les a repéré », explique Pat, en chuchotant, pour ne pas les effrayer. Le terrain est à eux, ainsi qu’aux sangliers, pics, chouettes, hiboux…qu’on pourrait y trouver. Mais le sentier reste accessible aux humains, qui « font aussi partie du vivant ».

Des balades botaniques ont déjà eu lieu sur le site. Une manière de sensibiliser le grand public, qui est par ailleurs le second axe d’action de Wild Bretagne. « L’idée, c’est aussi de conscientiser, notamment par l’art et le jeu. Certain.e.s membres de l’association ont une sensibilité plus artistique. On peut proposer des ateliers de peinture, d’écriture…qui permettent une première approche ». L’association a ainsi créé une exposition photo sur la forêt primaire polonaise de Bialowesa, et un jeu de cartes « memory » pour apprendre aux petits et grands à reconnaître les arbres. Elle intervient également dans des écoles, des bibliothèques, des festivals…et souhaite créer du lien avec les habitant.e.s. « Tout ceci permet de croiser les regards et des sensibilités différentes », indique Pat. « Chacun peut réinterpréter sa vision du sauvage, retrouver un lien sensible avec le vivant. Il faut changer de paradigme : nous sommes juste des humains qui habitons un écosystème. Il faut savoir coexister et partager ».

« L’appel du sauvage », de nouvelles parcelles à acheter bientôt

L’équipe de Wild Bretagne va lancer début juillet un nouveau projet, baptisé « L’appel du sauvage ». Trois terrains sélectionnés seront soumis aux votes du public, pour être acheté par l’association, grâce aux dons supplémentaires qui ont été récoltés dans le cadre de la campagne de financement participatif précédente. Un nouvel appel aux dons, pour compléter les fonds, sera lancé également.

Plus d’infos :

https://wild-bretagne.fr




Eau Fête : Retour sur une journée dédiée à l’eau à Morlaix

Le 7 juin, les acteurs et actrices de l’eau, du littoral et de la biodiversité du Pays de Morlaix étaient réunis à la Manu à Morlaix pour la deuxième édition de l’événement « Eau Fête ». Cette année, l’accent était mis sur la qualité des eaux littorales. Au programme : stands, expositions, ateliers, fresque océane…mais aussi une table-ronde avec des scientifiques sur la pollution des eaux.

Après une première édition 2023 sur la presqu’île Saint Anne à Saint-Pol-De-Léon autour de la thématique de la sobriété en eau, la deuxième édition de « Eau Fête », organisé par le Sage Léon-Trégor et co-porté cette année avec le Sage Baie de Lannion et An Dour, a pris ses quartiers à Morlaix, au sein de la Manu. « L’objectif, c’est de communiquer et de vulgariser les connaissances, montrer et démontrer ce qui se fait sur notre territoire concernant l’eau », a expliqué Guy Pennec, président du Sage Léon-Trégor, en ouverture.

Près d’une trentaine de structures (associations, collectivités, établissements publics…) étaient présentes : Sage Léon-Trégor, Sage Baie de Lannion, An Dour, Ulamir-CPIE, Au Fil du Queffleuth et de la Penzé, Station Biologique de Roscoff, Eau et Rivières de Bretagne…Toutes étaient réparties dans quatre espaces thématiques : usages, recherches, actions bassin-versant, et faune-flore.

Il était ainsi possible de découvrir la mulette perlière, bivalve d’eau douce en danger, à travers une expo présentée par Bretagne Vivante ; de découvrir les poissons et s’initier à la pêche avec l’AAPMA ; de prendre connaissance des différentes actions des deux Sage, sur trois baies, notamment concernant la lutte contre les algues vertes ; de participer à une « fresque des océans », de mieux comprendre l’impact des pollutions sur la qualité des eaux littorales avec Lannion Trégor Agglomération….Des outils tels que des aquariums, un scaphandre, et même des casque des réalité virtuelle pour plonger au cœur des herbiers littoraux de la baie de Morlaix, étaient disponibles.

Des scolaires sont également venus sur la journée. Ils ont pu participer à divers ateliers, comme par exemple celui animé par Bretagne Vivante : il s’agissait pour les élèves de se mettre dans la peau d’un scientifique, et d’identifier sur de grandes photos de nids d’oiseaux marines des macro-déchets.

Le soir, une table-ronde, animée par Denis Cheissoux, animateur bien connu de « Co2 Mon Amour » sur France Inter, a réuni plusieurs scientifiques : Philippe Potin, de la Station Biologique de Roscoff, Luc Aquilina, du laboratoire Géosciences de l’Université de Rennes, titulaire de la chaire « Eau et territoire », Jean Laroche, de l’UBO (Université de Bretagne Occidentale), et Alix Levain, du CNRS. Les échanges ont porté sur la caractérisation d’un bassin versant et la provenance de l’eau qui circule dans les rivières, sur les pollutions qui s’y diffusent, sur les algues et leur rôle, et sur l’histoire des marées vertes. De quoi disposer de toutes les informations nécessaires pour, à son tour, prendre soin de la terre et des eaux en amont, avant que cela ne touche les eaux littorales en aval.




Les campings bretons passent à l’énergie solaire !

Face à des coûts de l’énergie en constante augmentation et à des vagues de chaleur de plus en plus fréquentes, l’énergie solaire représente une opportunité de choix pour couvrir les besoins en chaleur des campings. Cela est vrai partout en France, et même en Bretagne qui n’est pourtant pas la région la plus ensoleillée du pays !

Nous parlons bien ici de panneaux solaires thermiques, et non de panneaux solaires photovoltaïques. Ils utilisent l’énergie du soleil pour répondre à des besoins de chaleur et notamment d’eau chaude sanitaire. Ce qui convient parfaitement à ces structures d’hébergement touristique, dont une grande partie de la consommation énergétique est liée à l’eau chaude sanitaire nécessaire pour alimenter les blocs sanitaires, laveries, piscines et parcs aquatiques en tout genre.

Le solaire thermique est une énergie locale, renouvelable, gratuite et stockable, qui selon l’Ademe (agence de la transition écologique), peut couvrir jusqu’à 70 % des besoins en chaleur des campings. Elle permet de remplacer des appareils fonctionnant au gaz ou parfois même au fioul, des énergies fossiles dont le coût peut fortement fluctuer en fonction de la situation géopolitique mondiale, comme nous avons pu le constater ces dernières années.

De plus, le solaire thermique se prête particulièrement bien aux campings du fait de la saisonnalité estivale de l’activité.

L’Union bretonne de l’hôtellerie de plein air (UBHPA), qui accompagne les campings de la région dans la mise en place de panneaux solaires thermiques pour produire de l’eau chaude sanitaire, précise néanmoins que plusieurs paramètres doivent être pris en compte : « Le solaire thermique collectif est intéressant sur les sanitaires collectifs, mais pas pour les campings avec des mobil-homes. Pour ces derniers, il existe d’autres solutions qui permettent de grouper les besoins de plusieurs hébergements. Il ne faut pas non plus que les sanitaires collectifs soient ombragés, ou que la toiture soit orientée au nord. Autre critère, la fréquentation du camping doit être suffisante en volume et en termes de période. »

Une étude est en effet indispensable pour évaluer la rentabilité du projet. Mais plusieurs dispositifs soutiennent les campings dans leurs démarches, comme le fonds chaleur de l’Ademe , qui combine un soutien technique et un soutien financier, pouvant aller jusqu’à 65 % du coût de l’installation.

Heol est l’agence locale de l’énergie et du climat du Pays de Morlaix. Elle offre un conseil neutre et gratuit sur la transition énergétique, la rénovation thermique et le climat. Plus d’information au 02 98 15 18 08 ainsi que sur www.heol-energies.org et les réseaux sociaux.