Espoirs d’un confiné ! Et si cette crise sanitaire nous faisait grandir?

Mise
à part les services vitaux de notre société (services publics, de
santé, alimentation et logistique) , nous autres sommes tous à
l’arrêt ( ceux qui ne peuvent travailler car privés de leurs
sites de travail qui sont fermés!

Pour
les autres, le monde du travail de demain se met en place !

Le
télétravail se sera développé à grande échelle depuis le début
de cette pandémie et avec lui, la visioconférence et bien d’autres
rencontres immobiles !

 En
15 jours nous avons su (par force certes !) changer radicalement
nos habitudes de vie !

Cette
crise va-t-elle nous montrer que nous pouvons faire autrement !


Limiter les déplacements énergétiquement et écologiquement
coûteux pour la planète


Consommer moins, local et de saison !


Privilégier les circuits courts


Être solidaire, s’entraider …..

En
tout cas, c’est ce à quoi nous a contraint cette pandémie !

Et
un tas d’initiatives se sont mis en place, comme pour construire un
autre monde basé sur tout autre chose que l’attrait du gain
financier !

L’arrêt
brutal de la production mondiale à cause de la pandémie de
coronavirus a eu comme effet indirect, la baisse des émissions de
gaz à effet de serre et de la pollution atmosphérique.

Mais
après la fin de cette crise, cette situation va-t-elle provoquer une
prise de conscience générale inédite?

La
planète a pourtant bien bénéficié grâce à cette crise d’un bref
moment de répit.

«
La réduction de la pollution de l’air en Chine a probablement
sauvé bien plus de vie que le coronavirus en a tué » explique le
climatologue Philippe Ciais. La lutte contre le coronavirus a
transformé radicalement l’air respiré par les Chinois. »

 C’est
tout le paradoxe de la situation actuelle. L’épidémie aurait
indirectement sauvé des vies. Par les mesures de confinement et de
ralentissement économique, en Chine , selon le chercheur François
Gemenne «le nombre de vies épargnées grâce à la baisse de la
pollution atmosphérique est plus important que celles qui ont été
perdues à cause du virus »

Marshall
Burke, chercheur de l’université Stanford, en Californie, a fait
différents calculs. Il estime notamment que l’amélioration de la
qualité de l’air en Chine a sauvé la vie de 4.000 enfants de
moins de cinq ans et de 73.000 personnes âgées. « La réduction de
la pollution en Chine a probablement sauvé vingt fois plus de vies
que celles qui ont été perdues à cause du virus », écrit-il sur
le site web G-Feed, un groupe de travail sur la société et
l’environnement.

 Le
climatologue Hervé le Treut, affirme qu’« il y aura un avant et
un après coronavirus d’un point de vue climatique. L’épidémie
et les mesures prises à son encontre vont créer un choc
psychologique dans nos sociétés. L’épisode que nous allons vivre
ne va pas nous laisser indemnes. Il aura des conséquences sur les
politiques environnementales à venir, prévoit-il. Le déni envers
le coronavirus et le changement climatique est finalement assez
similaire, c’est toujours face à la catastrophe que nous
réagissons en urgence. »

Devons-nous
attendre les crises climatiques « annoncées » ?

Alors
?

Repenser
sa manière de se déplacer et limiter le recours à l’avion,
redécouvrir les transports doux et rouler moins de 2.000 km/an en
voiture (hors trajet travail)

Développer
la cuisine végétarienne et se nourrir d’aliments biologiques,
locaux et de saison, avec de la viande maximum 2 fois/semaine,

Réinterroger
ses véritables besoins pour limiter les achats neufs au strict
minimum, réparer et recycler !

Repenser
son mode constructif avec des matériaux locaux, naturels et peu
énergivores.

Agir
collectivement en portant des actes politiques traduisant ces choix à
l’échelle de la société pour obtenir que nos élus prennent
enfin à bras le corps ces attentes ? (*)

En
fait nous y sommes presque !

Va-t-on
laisser passer cette opportunité de grandir?

D’imaginer
les fondations d’une société plus solidaire, moins consommatrice,
plus écologique ?

Pour entrer de plein pied dans la transition que nous devons aux générations futures !

*Le Sénat a récemment rejeté la mise en place d’une consigne sur les bouteilles verre, plastique et canettes aluminium (dernière Loi sur l’économie circulaire) alors que 10 pays européens l’ont mis en place et 5 autres s’y préparent !!!




Surf et environnement : un tour d’horizon du surf en Bretagne depuis votre canapé

Ils allient passion et études

(Plume Citoyenne) Vendredi 17 avril prochain à 20h apparaîtra en direct live sur la plateforme YouTube un reportage sur la pratique du surf en Bretagne.

Baptisé
« HORIZON » il se veut un recueil d’idées, de pensées,
d’innovation et de témoignages sur le thème du surf et de
l’environnement. À l’initiative de ce projet, trois surfeurs,
étudiants en BTS Gestion et Protection de la Nature au lycée de
Suscinio à Morlaix (Finistère) . Depuis 5 mois, ils se sont lancés
dans la réalisation de ce reportage vidéo dans le cadre du module  »
Projet Initiative et Communication  » de la formation. Ce dernier
leur offrant le loisir d’organiser un évènement sur le thème de
leur choix, ils décident donc d’approcher le sport qui les
passionnent sous un aspect plus environnemental.

Un reportage inédit

Sillonnant les côtes Nord Sud et Ouest, les trois amis ont interviewé différents acteurs du surf en Bretagne, dont Ewen Le Goff, du trio de surfeurs explorateurs  » Lost In The Swell  » , Thomas Joncour, champion de France Masters en 2019, ou encore Erwan Simon, écrivain, reporter et chasseur de vagues. Une quinzaine d’interviews au total, durant lesquelles on s’interroge sur les impacts du surf sur l’environnement, l’explosion du nombre de pratiquants ces dernières années, et les dernières innovations comme les planches bio-sourcées. Il en ressort une approche inédite à ce jour des enjeux de la démocratisation de ce sport sur le territoire breton.

Jean Guiavarch et Matteo Le Gac-Frin en interview avec Sam Lagadec

Des imprévus causés par le COVID 19

Face à la fermeture des établissements scolaires et l’annulation de la journée de restitution des projets, les trois réalisateurs se sont vus contraints, comme le reste des étudiants, d’annuler la première projection publique prévue initialement le 11 avril au lycée de Suscinio. Les étudiants ont décidé malgré tout d’assurer la diffusion du reportage en direct sur YouTube le 17 avril à 20h. Une cagnotte participative “ Ulule HORIZON reportage ” a été mise en place pour permettre aux intéressés de soutenir le projet.




Les associations s’engagent dans la transition – L’APEA de l’école Pierre Douguet à Dinéault (29)

(Plume citoyenne) Engagé dans une démarche de transition, l’association des parents d’élèves et amis de l’école Pierre Douguet, située à Dinéault dans le finistère nous raconte ses actions.
Ses membres ont décidé de changer la manière d’organiser leurs événements et leurs achats, notamment en nouant des partenariats avec les producteurs et commerçants des environs…

« Les associations s’engagent dans la transition » un projet porté par le réseau COHERENCE.

Vous avez pris des engagements et vous souhaitez le faire savoir ?  dites le sur le site www.breizhcop.bzh




Bilan 2019 de l’Observatoire du Climat : Deux pas en avant, un pas en arrière

(Plume Citoyenne) L’association Climate Chance a publié le deuxième bilan annuel de l’Observatoire Mondial de l’action climatique des acteurs non-étatique le 26 novembre, c’est à dire une semaine avant l’ouverture de la COP 25 à Madrid. Malgré ses imperfections, ce rapport est certainement un utile complément d’information pour alimenter les négociations qui y auront lieu.

L’association
Climate Chance, présidée par le sénateur écologiste Ronan Dantec,
s’est créée en amont de la COP 21 pour regrouper tous les acteurs
non-étatiques reconnus par la Convention cadre des Nations Unies sur
les Changements Climatiques (CCNUCC) , collectivités locales,
entreprises, ONG, syndicats, communauté scientifique, représentants
du monde agricole, de la jeunesse, des peuples autochtones et des
femmes). L’idée sous-jacente est que ces 9 groupes d’acteurs,
généralement bien ancrés dans des territoires identifiés, sont
autant que les Etats les moteurs des mesures d’atténuation du
changement climatique dont ils accompagnent les efforts voire parfois
pallient les carences.

C’est
pour rendre compte de ces actions multiformes et de leurs effets que
Climate Chance a créé l’Observatoire Mondial de l’action climatique
des acteurs non-étatiques dont ce n’est que la deuxième édition.
Ceci explique vraisemblablement les lacunes de ce rapport, liées
principalement au manque d’informations fiables disponibles.

En
fait, il ne s’agit pas là d’un rapport de plus mais plutôt d’un
méta-rapport, synthèse aussi large que possible de multiples
rapports produits par ces acteurs non-étatiques. Afin d’en faciliter
la lecture, il a été découpé en 4 cahiers, un cahier Sectoriel,
un cahier Territoires, un cahier Finances en collaboration avec
Finance for tomorrow , auquel a été rajouté cette année un cahier
« Adaptation », en collaboration avec le Comité 21,
tellement il est apparu à toutes les parties prenantes que, dans
bien des domaines, l’heure n’était plus seulement à la réduction
des émissions de gaz à effet de serre mais déjà à la mise en
œuvre d’action permettant aux acteurs de s’adapter aux conditions
climatiques en changement rapide.

Ces 4
cahiers sont d’inégale valeur et cette inégalité reflète assez
bien les écarts d’investissement et le degré de maturation de la
réflexion et de l’action.

Sans
conteste, le cahier « finances » est le plus décevant.
Tout d’abord, il est très court, à peine 17 pages là où les
autres franchissent allègrement la barre des 100 pages. Ensuite, il
ne met pas évidence de réalisations tangibles. On sent à travers
les milliards alignés, qui de toute façon restent inférieurs aux
besoins tels que défini par exemple par le rapport Stern, qu’il y a
beaucoup de recyclage de coups déjà partis et quand des engagements
sont pris, leurs auteurs se situent prudemment à l’échelle du
demi-siecle.

Le
cahier le plus touffu est sans conteste celui qui est consacré aux
territoires. En effet, il tente de relater l’action des collectivités
territoriales qui, en dehors ou en plus de l’action de leurs
gouvernements respectifs ont constitués des alliances
intercontinentales incluant le plus souvent des engagements
contraignants. Mais comme ces alliances sont très diverses comme
l’est la taille des collectivités publiques qu’elles rassemblent,
l’observatoire a du mal de rendre compte de l’effectivité de leurs
actions. C’est d’autant plus difficile qu’il s’agit encore d’actions
à caractère expérimental, que les méthodologies ne sont pas
stabilisées et que les données fiables manquent.

Il
reste cependant que ce cahier est un excellent outil pour les
décideurs ou les futurs décideurs locaux puisque, outre la
présentation des résultats obtenus en matière de réduction des
émissions de gaz à effet de serre par 13 collectivités
territoriales réparties sur les 5 continents, ce cahier décrit
surtout 80 expériences menées dans autant de territoires
différents, dans des contextes très variés. La lecture en est
inspirante. Il convient de noter enfin que la partie centrale du
cahier présente un glossaire des différentes coalitions
territoriales existant actuellement, ce qui se révèle utile pour se
retrouver dans cet enchevêtrement d’organisations.

Mais
les deux cahiers les plus riches en matière d’information sont sans
conteste le cahier adaptation » et le cahier « sectoriel ».

Le
premier, qui est une innovation au sein de l’Observatoire de Climate
Chance, présente l’immense avantage de préciser ce qu’on entend par
« adaptation » et surtout capitalise sur l’expérience
accumulée depuis plus d’une décennie par l’ONG Comité 21. Il
permet également de montrer le chemin parcouru au fil des COP pour
faire comprendre que dans certains cas, l’urgence n’est déjà plus à
la mise en œuvre de mesure d’atténuation mais bien au déploiement
immédiat de mesures d’adaptation. Mais surtout l’intérêt final de
ce cahier est d’illustrer le caractère innovant et parfois
inéluctable de cette démarche en reprenant, en effet miroir en
quelque sorte, les thématiques développées par l’Observatoire dans
les 3 autres cahiers « Territoires », « Secteur »,
« Financement » .

En
dernier lieu, l’observatoire publie un quatrième cahier dit
« sectoriel ». Compte tenu de la difficulté actuelle à
produire rapidement des données fiables, cette analyse par secteur
se focalise sur 6 secteurs : «énergie », « transport »,
« bâtiment », « industrie », « déchets »,
« usage des sols ».

S’il
fallait résumer en peu de mots ce cahier de 160 pages, cela
tiendrait en trois séries de chiffres :

en
2018, la croissance économique a été de +3,8%, la consommation
d’énergie de +2,1% et celle des émissions de gaz à effet de serre
à +1,7%

En
2017, les chiffres étaient respectivement de + 3,7%, 2,3% et
2,2%

Sur la
période 2005-2016, incluant donc la récession de 2008-2011, de
+3,4%, +1,5% et +1,4%

Ainsi
donc, avec quelques fluctuation, la croissance économique est de
moins en moins gourmande en énergie et cette énergie est de moins
en moins émettrice, ce qui pourrait être un bon signe si les
progrès en matière d’efficacité énergétique et en matière de
décarbonation de cette énergie n’avaient été systématiquement
inférieurs à la croissance toujours très forte de l’activité
économique. Comme il semble acquis que les pays émergents, mais
aussi les pays en développement revendiquent de rattraper le
standard de vie des pays les plus avancés alors que ceux-ci ne sont
pas près à réduire ne serait-ce qu’un peu le leur, la croissance
économique, toutes choses égales par ailleurs, continuera d’être
forte au moins pour la prochaine décennie, ce qui implique
évidemment que les différents secteurs devront accentuer fortement
leurs efforts en matière d’efficacité énergétique et surtout dans
le remplacement des sources fossiles par des sources plus propres
dans le mix énergétique.

Le
choix des sous-titres de chaque fiche de ce cahier suffit à définir
la tonalité générale de ce bilan

ÉNERGIE
Production d’électricité – Les mutations du secteur doivent
encore porter leurs fruits

TRANSPORT
Deux pas en avant, un pas en arrière

BATIMENTS
Orchestrer les acteurs du bâtiment pour accélérer la baisse des
émissions

INDUSTRIE
Dans l’attente de ruptures technologiques

DÉCHETS
Un secteur porté par les actions locales sous tensions
internationales

USAGE
DES SOLS La pression sur les forêts ne fléchit pas malgré la
mobilisation croissante des acteurs

Pour
paraphraser le titre donner à la fiche « transports »,
il convient de passer du rythme « deux en avant, un pas en
arrière » au rythme « deux pas en avant, quatre pas en
arrière » si au niveau mondial, on souhaite atteindre
l’objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre fixé
par l’Accord de Paris. Cela veut dire que pour la plupart des
secteurs, il s’agit maintenant de passer aux travaux pratiques,
partout.

Pour
aller plus loin :

les
liens avec les documents de l’Observatoire (en PDF)

  • Cahier par secteurs

https://www.climate-chance.org/wp-content/uploads/2019/11/fr_c1_complet_def.pdf

  • cahier territoires (en version anglaise)

https://www.climate-chance.org/wp-content/uploads/2019/11/en_c2_complet_def.pdf

  • cahier adaptation

https://www.climate-chance.org/wp-content/uploads/2019/11/fr_c4_complet_def.pdf

  • cahier finances

https://www.climate-chance.org/wp-content/uploads/2019/11/climatechancef4t-cahier-finance-2019-version-numerique.pdf




Le Lycée horticole de l’Aulne à Châteaulin en vert et pour tous avec ses Jeudis de l’agroécologie

L’agroécologie n’est pas qu’un mot valise destiné à résumer un
ensemble de théories, réalités scientifiques et pratiques agricoles
nourries par les connaissances de l’écologie, de la science et du monde
agricole.

Pour le lycée horticole de l’Aulne à Châteaulin (Finistère), il s’agit d’une réalité de tous les jours puisque toutes ces pratiques sont intégrées dans les enseignements et sur la ferme horticole. Soucieux de diffuser les enjeux et l’état des connaissances au plus grand nombre, l’établissement organise une série de conférences sur l’agrocéologie qui est bien plus qu’une alternative à l’agriculture traditionnelle, grâce à l’action efficace de trois enseignantes.

Ce sont ainsi trois jeudis qui sont programmés par le lycée de l’Aulne à Châteaulin pour recevoir tour à tour des spécialistes et passionnés d’agronomie et d’agriculture durable, respectueuses de la Terre et des personnes.
C’est parce que le problème du changement climatique, conjugué à l’épuisement des sols et à la pollution diffuse, gagne les consciences, que les équipes de cet établissement scolaire du Ministère de l’Agriculture souhaitent apporter leur part dans ce combat urgent vers le sauvetage de la Planète et de notre santé.

Ces trois rendez-vous, programmés à 20h00, sont ouverts à tous et destinés à écouter, échanger, débattre des agricultures horticoles de demain.
Dans un contexte climatique préoccupant, à l’heure de la remise en cause des pratiques agricoles conventionnelles, ces conférences s’adressent à tout public, de 9 à 99 ans.

Les « jeudis de l’agroécologie » ont pour ambition de comprendre les pratiques agroécologiques afin de produire mieux, pour se passer des produits de synthèse, pour des sols vivants, pour nourrir tous les humains, pour réduire l’impact sur le climat.
Le lycée est d’ailleurs bien dans son rôle puisqu’il accompagne déjà au sein de ses formations les changements de pratiques, notamment en Aménagements Paysagers, en Productions horticoles et maraîchères, tant en Bac Pro qu’en BTS.

Invités de marque
Dès le jeudi 28 novembre, les personnes intéressées pourront venir à l’amphithéâtre du lycée écouter, converser, et débattre avec Joan Van Baaren, professeure à l’université Rennes I et directrice d’une unité de recherche Ecobio. Il sera question alors d’agriculture de conservation et de
toutes les petites bêtes qui la permettent.

Puis le 16 Janvier 2020 ce sera au tour du bien connu Marc Dufumier, agronome, enseignant-chercheur, retraité d’Agro-Paris-Tech. On se posera ensemble la question « Quelle agriculture pour demain ? » ou comment produire pour nourrir durablement les populations locales.
Enfin le 26 mars 2020, une table ronde sera organisée autour de 5 intervenants pour échanger autour de la prise en compte de l’agroécologie de la production à la consommation : « De la Fourche à la fourchette : à la découverte de l’agroécologie locale ».

http://lyceedelaulne.fr/




La recette. Le lait d’amande

(Plume Citoyenne) Il est aujourd’hui difficile de trouver des laits végétaux riche en nutriments. En effet, les boissons végétales disponibles dans le commerce contiennent maximum 8 % d’amande et sont assez onéreuses.  Voilà deux bonnes raisons pour le faire soi-même, en plus du côté Zéro Déchet.  Un lait maison vous coûtera environ 2 € (en achetant des amandes Bio en vrac). Je vous invite à tester le lait de Noisettes aussi. C’est mon préféré. 

Laits végétaux en bouteille

La recette du lait d’amande :

Ingrédients
:

150
gr d’amandes crues 1 Litre d’eau

Optionnel
: 1 C à S Sirop d’Agave, Sucre, Datte,

Préparation
:

1
– Émonder les amandes crues Mettre les amandes dans l’eau bouillante
pendant 3 minutes. Les égouter, puis enlever la peau des amandes.

2
– Faire tremper les amandes dans l’eau pendant au moins 8 heures

3
– Égouter les amandes

4
– Les mixer avec 1 litre d’eau et rajouter sucre, sirop ou miel.

5
– Filtrer le lait avec une passoire fine, un étamine, un filtre à
lait, un tissu fin ou encore un sac en tissu pour le vrac.

6
– Personnaliser : chocolat, cacao, fruits, dattes, etc…

Réalisable avec des noisettes, noix de cajou et autres noix.

Laëtitia
CRNKOVIC

Zéro
Déchet Trégor 

www.zerodechet-tregor.com