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Un tour de l’Atlantique en famille à la voile « zéro déchet »

Antoine, Dorothée et leurs deux enfants souhaitent se lancer dans un projet un peu fou : un tour de l’Atlantique à la voile « Zéro Déchet », avec un départ à l’été 2021. Ils viennent de lancer leur première lettre d’information pour présenter leur démarche et leurs préparatifs. En voici des extraits choisis…

La création du site

Le 3 octobre 2010, on se lance dans la création de notre association. Depuis quelques temps déjà, cette idée nous trotte dans la tête : faire un tour de l’Atlantique à la voile propre ! Après le confinement du printemps 2020, nous avons soif de liberté et d’aventure. Les enfants grandissent, l’idée fait son chemin. En parallèle, nous sommes de plus en plus sensibles à l’économie circulaire et essayons d’améliorer notre mode de consommation : on cuisine plus de légumes, on se lance dans l’utilisation du shampoing solide, on achète les jeux et les vêtements d’occasion… nos premiers pas.

C’est décidé nous allons donner du sens à notre voyage ! Nous réfléchissons au nom, au logo de l’association. Après plusieurs tests, ce sera Ocean Lives Matter (OCLIMA). On décrit dans l’article n°2 l’association ainsi : « Cette association a pour objet de : promouvoir et agir pour la préservation des océans »

Nos moyens d’actions :

1- Sensibilisation & éducation

2- Mise en pratique et promotion du zéro déchet

3- Réalisation de relevés scientifiques

Notre bateau Numérosis

Nous avions plusieurs critères pour notre bateau idéal. Celui-ci devait pouvoir nous accueillir tous les 4. Nous visions 3 cabines minimum. Il faut bien avoir une cabine pour pouvoir recevoir la famille.

Nous voulions aussi un bateau robuste, facilement manoeuvrable en équipage réduit avec un grand cockpit ! Pour le reste, la cuisine en long, en L ou en U a fait l’objet de nombreux débats. Enfin un bateau déjà équipé pour la grande croisière aurait été top.

Et finalement le dernier critère ou le premier, le budget !

Courant septembre, nous avons visité 3 bateaux dont un RM (le bateau rêvé d’Antoine mais trop cher). Puis nous sommes tombés sur une annonce de Mahé Nautic pour un Sun Odyssey 39i Perofrmance. Exactement ce que nous cherchions. On contacte rapidement le vendeur, 2 jours après Antoine a rendez-vous pour le visiter au Crousty. Il m’appelle « Alors on fait une offre à combien ? »

Nous contactons un expert Mr Emmanuel Jacobé, qu’on recommande fortement ! Quelques réparations nécessaires sont identifiées. Après négociation avec le vendeur, les réparations sont effectuées et le bateau est dispo début décembre.

Plus d’infos : https://www.facebook.com/OceanLivesMatter/




Précarité alimentaire : des volontaires en service civique prennent la parole

Enaïm effectue une mission en service civique au sein de notre association. Il a participé, en compagnie d’une équipe de six volontaires du centre social Carré d’As à Morlaix, à des ateliers d’expression libre autour de la thématique de la précarité alimentaire, animés par Eco-Bretons avec le Conseil Départemental du Finistère.

Il nous fait partager son expérience.

Quelques un.e.s des jeunes volontaires témoigneront cet après-midi lors des Assises départementales de l’Alimentation, organisées par le Conseil Départemental du Finistère, qui se dérouleront exceptionnellement sur internet.

J’ai participé à plusieurs activités avec d’autres volontaires en service civique qui effectuent leur mission au sein du centre social Carré D’As, basé dans le quartier de la Vierge Noire à Morlaix. Ces ateliers se sont déroulés avec l’association Eco-Bretons, dans laquelle je suis en service civique.

Les deux structures ont travaillé ensemble pour traiter du sujet suivant: La précarité alimentaire.

La précarité alimentaire touche beaucoup les étudiants et c’est d’ailleurs pour cela qu’Eco-Bretons et Carré D’As ont jugé logique de faire contribuer leurs jeunes services civiques.

L’objectif était la sensibilisation sur le sujet à travers des activités comme une carte mentale ou encore du photo langage mais aussi, si possible, obtenir quelques témoignages vidéo ou bien audio, via un questionnaire.

C’est donc sur une durée de quatre jours que ces activités toutes aussi drôles qu’enrichissantes ont eu lieu.

La première journée a été consacré aux présentations. Nous avons donc, grâce au portrait chinois, brisé la glace afin de rendre l’ambiance plus conviviale, ce qui marcha ! De là, nous avons commencé à traiter le sujet ainsi que la première activité avec enthousiasme.

Nous avons précisé à tour de rôle ce qu’il nous évoquait puis, nous avons commencé à élaborer une carte mentale. Elle consiste à mettre en lien plusieurs idées qui graviteraient autour d’un sujet et à les noter à proximité. Nous avons donc mis en lien tout ce que le phénomène de la précarité alimentaire nous évoquait puis nous avons réparti les idées autour du thème.

Ceci nous a permis de mieux cerner le problème et nous avons commencé à dégager avec plus de précision des faits et des idées.

Par exemple : le mot «précarité», venant du mot «précaire», a un caractère de courte durée. Cela nous a permis de déduire que ce phénomène qu’est la précarité alimentaire peut être de courte durée.

Nous avons aussi mis le doigt sur les principales causes de la précarité alimentaire et nous avons déduit qu’elle peut être dû à des difficultés financière, de transport et même d’autosuffisance !

Elle touche autant les jeunes que les personnes âgées et peut apparaître sous la forme de la malbouffe. De plus, ne pas savoir cuisiner peut s’avérer très problématique et causer cette même précarité.

Au cours de la deuxième journée, nous avons parlé des plats pré-préparés ainsi que de leurs avantages et inconvénients. Nous avons donc vu que mise à part la rapidité et le moindre coût, les plats à réchauffer ont aussi des défauts tel que l’ajout de conservateurs, leur permettant d’être conservés longtemps et qui nuit à notre santé. De même, nous avons noté l’absence de nutriments dans ces plats.

Grace à la carte mentale, nous sommes allés plus loin dans notre réflexion et nous avons échangé sur les diverses solutions qui peuvent être ou qui ont été mises en place. Ainsi, Les restos du cœur, les épiceries solidaires ou encore le glanage, qui consiste en la récupération d’aliments en bon état, ont été évoqués. La carte mentale nous a permis de donner une définition sur ce qu’est réellement la précarité alimentaire.

Le second atelier a commencé pendant la troisième journée. Le photo langage est une activité très simple. Plusieurs images avaient été disposées et par groupes de deux ou de trois, nous devions tous choisir sept images, puis décrire ce que nous voyions et dire pourquoi nous avions choisi ces images, et enfin expliquer pourquoi elles nous ont interpellés. C’est sur cette même activité que nous avons pu mettre en corrélation le gaspillage et la précarité alimentaire, et identifier des solutions qui avaient été évoquées la veille.

Enfin, nous les avons mises dans un ordre chronologique, avant de leur donner des titres à chacune.

Le quatrième jour, nous sommes passés aux témoignages. Les trois jours précédénts nous avaient servi à cerner le problème de la précarité alimentaire, à nous sensibiliser, mais aussi à nous y préparer. Avant de tourner les vidéos, nous avons pris connaissances du questionnaire avec lequel nous allions faire cet exercice. Nous avions le choix de ne pas répondre à toutes les questions mais cela ne nous a pas empêché d’enregistrer des témoignages très enrichissants. Nous avons ainsi obtenu 33 minutes de témoignages ainsi que celui d’une étudiante externe au projet sous forme d’audio.

Pour la plupart, nous avons déjà vécu ce phénomène de précarité alimentaire, et pour certains le fait de témoigner est apparu comme une évidence.

Pour ma part, cette expérience en compagnie des autres volontaires m’a permis de mieux comprendre ce qu’est la précarité alimentaire et de m’ouvrir l’esprit sur le sujet. Je suis très satisfait d’avoir pu y participer.




Des rencontres nourrissantes à la Foire d’automne de l’arboretum Les arbres du monde au Huelgoat

Par Olivier Danet

(Plume Citoyenne) Voisins de palier des Monts d’Arrée, Centre-bretons de naissance, de sang ou de cœur, besogneux de la terre et de la matière, artistes des plaisirs gustatifs et esthétiques… venez les rencontrer à la foire du 25 octobre à l’arboretum Les arbres du monde au Huelgoat*.

Parmi eux, Stéphanie Saliot, 47 ans, est installée à kervitod en Le Saint (56) depuis 2013. Après deux ans de rénovation de sa maison elle a officiellement créé la pépinière biologique « Des Fruits des Fleurs » en 2015. En 2018 son conjoint Alain la rejoint.

Après 12 ans de carrière, une reconversion professionnelle s’est imposée à cette formatrice en prépa kiné. Participer au système des concours déshumanisants voir dangereux pour la santé des élèves, subir un « management du résultat » qui bride l’autonomie du formateur, s’épuiser dans une course boulot TER dodo entre Rennes et son jardin de 2000m² jusqu’à en perdre tout lien avec la nature ne lui étaient plus supportable.

Aujourd’hui son travail de pépiniériste, artisane semencière, chercheuse en nouvelles utilisations de plantes la passionne. Stéphanie les transforme les multiplie les fait découvrir, par exemple sur le marché de Merville à Lorient, les foires aux plantes ou aux cuisiniers gastronomiques locaux et aux élèves de l’Université des Sciences et des Pratiques Gastronomiques de Quimper. Économiquement tout reste fragile, mais les projets sont plus que jamais liés au jardin : développer l’activité de production de semences en lien avec les réseaux locaux, peupler la pépinières d’objets, la coiffer d’une cabane dans les arbres, refuge et observatoire, transformer le verger en jardin-foret. Et aussi transmettre une expérience et des savoirs dans le cadre d’ateliers ou de formations pour que d’autres s’y collent à cette transformation de leur vie et de notre monde. Ainsi renouer avec la pédagogie qu’elle aimerait intégrer à son nouveau métier Et aussi, peut être, ne pas laisser aux mains des industriels délétères l’exclusivité de nos ressources, de notre alimentation, de notre cadre de vie et de notre santé ?

D’autres portraits d’exposant.e.s présent.e.s à la foire du 25 octobre sont à découvrir sur : https://www.facebook.com/cooperativearbresdumondeenarree

Pour découvrir les produits de la pépinière et avoir plus d’infos

Site internet : http://desfruitsdesfleurs.fr

Mail : contact@desfruitsdesfleurs.fr

TEL : 07 83 96 15 69

* Dédié à la biodiversité végétale avec ses 3 600 espèces des 4 continents répartis sur 20 hectares,

« Les Arbres du Monde au Huelgoat » est niché sur un point culminant des Monts d’Arrée. Ce site magnifique vous invite au voyage : de la flore chilienne à la vallée himalayenne, du bush australien à la bambouseraie, en passant par les collections d’eucalyptus, de magnolias, de rhododendrons, de conifères et d’érables…

Depuis le 1er octobre 2019, le parc est entretenu et animé par la coopérative « Arbres du Monde en Arrée ». Ouvert du 1er avril au 31 octobre (hors juillet et août) : les samedis et dimanches après-midi de 14h à 18h.




Vidéo. Les assos s’engagent. La compagnie Artefakt sur le chemin de la transition.

(Plumes Citoyenne) Dans le but d’accélérer les transitions sur le territoire breton, le réseau Cohérence a décidé de recueillir les témoignages d’associations bretonnes ayant pris des engagements en faveur de la transition.  Des gestes du quotidiens à la mise en place d’actions exemplaires, le but est de faire découvrir des initiatives inspirantes, et permettre de mutualiser les bonnes pratique et les partenariats.
Ils nous présente la compagnie Artefakt, situé à Lanhélin. L’association propose des spectacles et utilise un bus transformé en espace culturel itinérant pour des projections, des spectacles et des expositions.
Ils ont décidé  de privilégier le réemploi et la mutualisation pour leurs décors, mobiliers, costumes(…)   David HARISTOY, son président, nous raconte…




Morlaix : pour un éco-lieu au Château de Suscinio !

Appel à signatures

Que diriez-vous de redonner vie au Château de Suscinio (29) ensemble ?

Qui somme nous

Un collectif de sept jeunes passionnés d’éducation à l’environnement, de sciences, d’art…avec des idées plein la tête. Nous voulons agir à notre échelle, partager des valeurs qui nous ressemblent pour construire un avenir qui fait rêver les petits et les grands enfants.

Diplômés, pour la plupart, du BTS Gestion et Protection de la Nature au lycée de Suscinio à Morlaix (29), nous nous retrouvons aujourd’hui autour d’une vision commune : créer un éco-lieu durable ensemble. La vente du Château de Suscinio*, ce lieu qui nous unit, est l’occasion rêvée de passer à l’action.

 Un projet collectif

Petit à petit, nous allons rénover le château et entretenir le parc qui l’entoure. C’est un projet de grande envergure mais il doit retrouver sa splendeur d’antan. Suite à cela, nous aspirons à créer un lieu pluriculturel où se côtoient environnement, sciences, art, culture et société, proposant un regard conscient et bienveillant sur l’avenir.

Dans un élan collectif, nous tendrons vers l’autonomie alimentaire et énergétique tout en s’inscrivant dans une dynamique d’échange local avec les différents agents du territoire, le lycée de Suscinio notamment. Cette passerelle d’un monde en transition sera ouverte au public et permettra à toutes et à tous de jouir du patrimoine culturel breton. Il serait donc dommageable de l’utiliser à des fins privées.

Pour entrouvrir cette fenêtre des possibles, nous allons vous présenter ici les différents aspects du projet. En effet, plusieurs pôles seront organisés pour faire de ce lieu aujourd’hui laissé à l’abandon un laboratoire d’idées, d’apprentissage, mais surtout un laboratoire à ciel ouvert où il fait bon de se promener en découvrant les merveilles qui nous entourent.

Un lieu culturel

Depuis notre rencontre, nous nous sommes retrouvés sur des valeurs d’accessibilité à la culture pour tous. C’est donc autour de ces valeurs que nous lui accordons, en toute logique, une place importante.

Elle s’exprimerait par de multiples biais :

  • En créant des partenariats avec différents organismes déjà implantés sur le territoire.
  • En accueillant des expositions extérieures et intérieures, des conférences et des artistes.
  • En organisant différents événements : marché de producteurs locaux et d’artisans, la nuit de la chouette, de la chauve souris en partenariat avec des acteurs locaux. Mais encore, des balades contées en été, une illumination du château en hiver… 

Encore une fois ce ne sont pas les idées qui manquent…

et stratégique

Il est important de souligner la situation géographique du Château de Suscinio. En effet, les sorties scolaires, de centre aéré, etc. ont un coût. Aujourd’hui, ce dernier a tendance à monter en flèche avec le prix du transport. Or, le château de Suscinio est accessible en bus, c’est donc un site en pleine nature accessible depuis la ville. Proche de la voie express, il peut aussi être un lieu de pause parfait un dimanche après-midi par exemple pour écouter un conte ou se promener tout simplement… 

Un autre plus de ce lieu est qu’il est au centre d’un écosystème varié. Situé à 30 minutes à pied de la baie de Morlaix, il jouxte un bois classé Natura 2000, un bras du Dourduff et l’exploitation agricole biologique du lycée de Suscinio.

Enfin, la région Bretagne est réputée pour son tissu associatif, c’est un fourmillement d’initiatives, une terre d’expérimentation. Le terreau est donc présent et fertile pour accueillir de nouveaux projets.

En bref, c’est un lieu rêvé !

Une base d’apprentissage

Aujourd’hui plus que jamais, l’éducation à l’environnement et au développement durable est au coeur des priorités. Nous voulons, en complément et en cohésion avec l’Education Nationale, mettre en avant le monde qui nous entoure. Cela se décline en plusieurs actions :

– Dans un premier temps au travers d’un partenariat avec différentes écoles, centres sociaux, EHPAD, collèges et lycées (à commencer par celui de Suscinio) nous aimerions expérimenter une nouvelle façon d’apprendre et plus précisément « faire l’école dehors ». L’objectif serait de découvrir ensemble les facettes cachées des scientifiques, mettre en application les mathématiques, devenir gestionnaire d’un petit espace naturel à travers des ATE (Aires Terrestres Educatives) par exemple. L’enfant serait alors acteur et non plus spectateur mais bien maître de son propre projet. C’est une nouvelle manière d’apprendre, d’expérimenter, de découvrir… De plus, des animations « nature »  seraient organisées avec les élèves mais aussi avec le grand public. En effet, nous trouvons cela intéressant de favoriser les échanges intergénérationnels sur un thème que nous connaissons tous : l’environnement. Pour lier le tout, nous aimerions mettre en place, au fur et à mesure, des sentiers pédagogiques car il est pour nous fondamental de vous faire découvrir les richesses naturelles, patrimoniales, culturelles et artistiques de ce lieu.

– Dans un second temps et en parallèle des actions déjà mises en place, une école verrait le jour. Nous offririons aux familles du secteur de Morlaix la possibilité d’une école alternative à un tarif abordable. Elle mettrait en œuvre une pédagogie active mondialement reconnue : la célèbre méthode Montessori, pour les enfants de 3 à 12 ans.

De plus, à l’instar d’une école de la Forêt, le cadre naturel offre l’opportunité d’une Éducation à l’Environnement et au Développement Durable. Ainsi, nous souhaitons créer l’école Montessori de Suscinio, innovante et adaptée au XXIème siècle en développant la curiosité, la créativité et la coopération. L’équipe d’enseignants prodiguera une éducation scolaire respectueuse de l’individu et ouverte sur l’extérieur dans une volonté de développer l’intelligence collective.

En bref, un lieu de partage

Toutes ces dimensions interagissent entre elles car elles créent du lien. Un lien avant tout social, car ce lieu est voué à accueillir une palette importante de personnes, que ce soient des enfants, familles, artistes, instituteurs, paysans, producteurs, artisans, formateurs, passionnés, promeneurs, sans oublier bien sûr les associations locales et structures partenaires.

Aujourd’hui plus que jamais, nous voyons l’importance du « faire ensemble ». Une réappropriation de certains lieux par leurs habitants pour les placer au cœur du débat. Concevoir un espace d’apprentissage et d’échange autour de thèmes comme l’éducation, l’agro-écologie et la protection de l’environnement nous semble ici primordial. 

En créant de tels lieux propices à la rencontre, nous favorisons la compréhension de l’autre, les échanges constructifs et proposons des solutions pour un avenir durable.

Voici les grands objectifs que nous voulons mettre en avant :

  • Valoriser et préserver le patrimoine naturel et culturel du château de Suscinio
  • Faire émerger des solutions pour les « Hommes » et leur environnement dans l’intérêt commun
  • Redynamiser l’aspect culturel et historique du Château de Suscinio
  • Favoriser une dynamique locale, intergénérationnelle et mixité culturelle
  • S’inscrire et promouvoir une démarche de transition écologique responsable et respectueuse de l’environnement
  • Favoriser la transmission et le partage de savoir
  • Créer des emplois et dégager des fonds pour la restauration, l’entretien et la vie du lieu
  • Favoriser les échanges sur le territoire de Morlaix avec comme support pédagogique le château de Suscinio et son extérieur
  • Initier les habitants à de nouvelles pratiques artistiques et manuelles dans le jardin pédagogique
  • Sensibiliser les habitants au développement durable, à l’écoconstruction et aux énergies renouvelables  

Nous avons besoin de vous

Le Château situé dans le Finistère et datant du XVIIème siècle fait partie du patrimoine historique breton. Nous voulons lui donner un nouveau souffle et le faire vivre grâce à la population morlaisienne dans le partage et la bienveillance. Aidez-nous à créer un espace qui fédère et dynamise le Pays de Morlaix.

Notre projet vous intéresse ? N’hésitez pas à nous soutenir avec une simple signature.

Vous souhaitez avoir plus d’informations sur ce projet ? Contactez nous !

Mail : kastell.laouen@gmail.com

Facebook : Kastell Laouen

* https://www.bretagne.bzh/actualites/mise-en-vente-du-chateau-du-lycee-de-suscinio/?fbclid=IwAR3W7W2qnQBXtbtMSJVhQtpGdBvGSNrz1JcEKp3YLDaUlTDJ0_QN1Qcgl-M




Les association s’engagent dans la transitions- Le tournoi international de Dirinon.

L’association sportive de Dirinon organise tous les ans un tournoi international de foot. A cette occasion, plusieurs équipes venues de 4 continents s’affrontent dans la convivialités. Depuis plus de dix ans, l’association a décidée d’œuvrer à faire de cet événement un véritable laboratoire de la transition. Point par point, ils ont décidé de trouver des solutions innovantes et ludiques afin, de minimiser l’impact du tournoi sur l’environnement. Arnaud CLUGERY, le président de L’ A.S Dirinon nous raconte le processus de cette formidable aventure ainsi que les initiatives étonnantes et innovantes qu’ils ont mis en place.

Contact vers les associations:

  • « Tournoi international de Dirinon »

Lien vers le site internet: http://tournoi-international-dirinon.fr

  • « Mais qu’est-ce que tu fabrique »- Landerneau 298000

Lien vers le site internet: http://www.fabrikasso.infini.fr

  • « Eau et Rivière de bretagne »

Lien vers le site internet: https://www.eau-et-rivieres.org/home