Les deux associés organisent également des journées portes-ouvertes pour faire connaître le lieu et leur activité. La dernière a eu lieu le 27 août et a attiré les foules.
L’idée sortie. Les Galettes du monde à Sainte-Anne-d’Auray
vant Féfé et Amadou et Mariam. Dimanche 28 août, rendez-vous dès 11h30, pour assister à des danses et des spectacles venus des cinq continents.
mmé, sous différentes formes, partout dans le monde : la galette ! En 2015, 14 000 personnes ont fait le déplacement pour découvrir la galette et les cultures du monde entier.
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Festival Les Galettes du monde, samedi 27 et dimanche 28 août, à
Avec l’association MAISoùnaîtON, l’accouchement naturel se développe à Rennes
À la maternité La Sagesse de Rennes (35), un pôle physiologique va ouvrir ses portes en novembre. Fruit d’un long dialogue entre la clinique et l’association MAISoùnaîtON, il permettra aux femmes qui le désirent de donner naissance à leur enfant de manière naturelle. Il offre ainsi un cadre sécurisant pour une alternative à l’accouchement médicalisé.
Douze années de travail avec la maternité La Sagesse
« Notre association a émergé il y a 12 ans », retrace Christiane David, sage-femme et porte-parole de MAISoùnaîtON. « On a travaillé pendant toutes ces années pour ouvrir une maison de naissance à Rennes », continue-t-elle. Par opposition à l’hyper-médicalisation, les maisons de naissance offrent aux futurs parents la possibilité d’un accouchement au naturel. « Il s’agit d’un accouchement non médicamenteux », explique Christiane David, « on est dans le respect de la physiologie ». Exit, donc, les péridurales, hormones de synthèse ou épisiotomies. L’accouchement se passe dans un endroit chaleureux, qui rappelle, comme son nom l’indique, la maison. Équipé de suspensions, de coussins, de ballons et d’une baignoire, cet espace propose une gestion non médicamenteuse de la douleur.
Répandues dans un certain nombre de pays européens, les premières maisons de naissance françaises n’ont été autorisées que fin 2015, et ce à titre expérimental. A Rennes pourtant, le projet de l’association MAISoùnaîtON ne verra pas le jour. A la place de la maison de naissance, c’est un pôle physiologique qui ouvrira très prochainement au sein de la maternité La Sagesse. « Les parents de l’association souhaitaient que le soin soit accessible à tous », explique la sage-femme de l’association, « on a donc pris la décision de travailler avec un établissement ». « C’est comme une maison de naissance, mais en intrahospitalier », précise-t-elle.
Le pôle physiologique au cœur d’un accompagnement global
Le pôle physiologique et son univers rassurant constituent le socle essentiel d’une démarche plus large, celle de l’accompagnement global : une seule et même sage-femme est interlocutrice des parents. Référente, elle assure le suivi de la grossesse, de ses débuts jusqu’après la naissance, accouchement compris. Cet accompagnement permet aux parents de préparer leur projet de naissance, c’est à dire d’être acteurs de la naissance de leur enfant. « Il est urgent, quel que soit l’accouchement, de ne plus accoucher les femmes mais de les accompagner, de les aider à accoucher », est-il ainsi écrit sur le site internet de MAISoùnaîtON.
Le pôle physiologique de la maternité La Sagesse accueillera donc bientôt les femmes présentant une grossesse sans risques et souhaitant accoucher autrement. Les premières inscriptions sont prévues mi-novembre, afin de débuter les accouchements à la mi-mai 2017. Une alternative encore minoritaire, mais de plus en plus sollicitée. « C’est compliqué de généraliser mais les gens sont ravis, ça transcende les patientes », témoigne Christiane David.
L’idée sortie. Des animations pour sensibiliser à la préservation du littoral
Cette année, en collaboration avec le réseau Thalasso Bretagne, des nettoyages de plages seront organisés. À Saint-Malo, Dinard, Pléneuf-Val-André, Perros-Guirec, Roscoff, Douarnenez, Bénodet, Concarneau, Belle-Ile-en-mer, Quiberon, Carnac, Port-Crouesty, La Baule et Pornichet, les visiteurs seront sensibilisés aux micro-déchets et à l’impact de mauvais gestes sur le littoral, et particulièrement au fléau des mégots de cigarettes : « Le mégot met jusqu’à 3 ans à se dégrader dans l’environnement en laissant quelques traces : parfois avalé par les oiseaux, souvent retrouvé par nos enfants lors de la construction d’un château de sable ».