Jouez aux « détectives nature » avec le guide « Traces et indices »

Le
guide nature « Traces et Nature » est disponible. Edité
par La Salamandre, il propose de décrypter les traces laissées par
la faune et la flore, en forêt, à la mer ou à la montagne. A
emporter dans son sac à dos !

Et
si on profitait des vacances pour faire une balade en forêt, à la
montagne ou à la mer, en famille ou entre amis ? L’occasion
d’emmener avec soi le « Guide nature – traces et indices »
, édité par La Salamandre, la revue nature bien connue.

« Traces
et indices » est le neuvième tome de la collection, qui a déjà
traitée des insectes, des plantes sauvages, des oiseaux…Ici, le
guide a pour ambition de « donner au lecteur le savoir-faire
d’un détective « , et de répondre aux questions du
promeneur face à l’observation d’empreintes, d’indices, et autres
pistes laissés par les animaux et plantes derrière eux. En effet,
qui ne s’est pas déjà intérrogé face à la découverte d’une
plume, d’une trace de patte, d’une coquille d’oeuf ou encore d’un
fruit d’arbuste ?

Conçu
pour tenir dans la poche, le guide est découpé en plusieurs
parties. Avoir avoir prodigué quelques conseils de base, notamment
concernant le matériel nécessaire pour mener à bien les
investigations (jumelles, loupe, appareil photo, carnet et crayon
entre autres…), les auteurs ont choisi d’entrer directement dans le
vif du sujet avec les mammifères. On apprend ainsi à identifier les
empreintes et les poils des ongulés, les indices laissés par les
carnivores, les signes de présence des rongeurs, ou encore repérer
les traces du castor, le plus grand rongeur d’Europe ! Ensuite,
place aux oiseaux, avec les nids, les œufs, les plumes et les
pelotes de rapaces, suivi des arbres et arbustes, avec là encore
toutes les informations pour les identifier : bourgeons,
écorces, baies et petits fruits, galles…Le livre s’achève sur une
partie dédiée à la forêt et aux galeries, loges et autres traces
d’animaux qui habitent les vieux arbres, suivi d’un chapitre sur la
« laisse de mer », afin d’identifier coquillages et
algues.

Riche
de nombreuses informations et avec de belles illustrations, le guide
« Traces et indices » est dense ! Mais il peut
s’emporter facilement et sera très utile lors des balades. Une
vraie mine d’or pour connaître, apprécier, mais aussi protéger
la biodiversité qui nous entoure !

Guide nature « Traces et indices », éditions La Salamandre, 175 pages, 17 euros.

Plus d’infos

salamandre.net




Le long métrage Warrior Women en avant première à Rennes

Le long-métrage Warrior Women sortira en salles le 16
octobre et sera diffusé en avant première au cinéma Arvor de
Rennes le mardi 15 octobre. L’occasion unique de rencontrer une
femme exceptionnelle, Madonna Thunder Hawk, qui se bat depuis plus
de 50 ans pour les droits des autochtones, des femmes et de la terre.

Warrior Women est le portrait d’une femme, Madonna Thunder Hawk,
née en 1940, au travers de ses nombreux combats pour les droits des
peuples Amérindiens depuis les années 1960. Elle est l’une des
fondatrices de l’American Indian Movement et à menée différents
combats tels que l’occupation de la prison d’Alcatraz en 1969 ou
encore la lutte contre le pipe-line de Standing Rock en 2016. Au
travers d’un style de récit circulaire propre aux contes racontés
par les amérindiens, Warrior Women navigue entre l’activisme
politique et le fait d’être mère – et nous montre comment les
outils militants sont transmis de génération en génération dans
un contexte particulièrement agressif, où le gouvernement
colonisateur rencontre la résistance amérindienne.

Pour cette avant première, Madonna Thunder Hawk sera
exceptionnellement présente au Cinéma Arvor de Rennes. Sa fille
Marcy, co-protagoniste du film, et Elisabeth Castle coréalisatrice
seront également présentes pour rencontrer le public.

Cet événement est organisé est co-organisé par l’association
Attac Rennes, le Comité De Solidarité avec les Indiens d’Amériques,
Lardux films et Warrior Women, le film.

Bande annonce du long métrage :

Où ? cinéma d’art et essai Arvor, 29 rue d’Antrain

Quand ?
mardi 15 octobre à 20h15

Durée :
1h04, version originale sous-titrée français

Tarifs habituels :

  • Tarif plein: 9,00 €
  • Tarif réduit: 7,50€
  • Etudiants, lycéens, collégiens: 6,60€
  • Demande d’emploi: 6,80€
  • Moins de 14 ans: 4,50€

  Pour plus d’informations: https://www.facebook.com/events/317225125778845/




« Bulles de vie », une ode à l’eau en photos

« Saut(e)
dans l’eau ! » et « Chante la mer » sont les
titres des deux derniers tomes de « Bulles de vie », une
collection d’ouvrages photographiques publiés par Johanne Gicquel.
Photographe, peintre et ancienne paysanne bio, elle a pour objectif,
à travers ces ouvrages, de « montrer à voir la nature toute
proche, celle sous nos pieds ». Mais aussi « interpeller,
interroger, faire rêver aussi…Susciter l’intérêt et dès lors,
donner envie de connaître . ».

Les deux livres ont pour dénominateur commun l’eau. Préfacé par Jean-Claude Pierre, militant de longue date et co-fondateur de l’association Eau et Rivières de Bretagne, « Saut(e) dans l’eau » est consacré aux zones humides. A travers l’œil de Johanne, on découvre ainsi des frayères, des tourbières, des zones humides, mais aussi des libellules, des plantes (la balsamine, plante ornementale devenue envahissante, ou encore l’osmonde), des traces de passages de mammifères…Beaucoup de photos ont été prises du côté de Saint-Nicolas-Des-Eaux, village traversé par le Blavet, dans le Centre Morbihan. D’autres proviennent du Finistère, vers le Moros, cours d’eau qui rejoint la mer vers Concarneau.

Préfacé
par Pascale d’Erm, auteur et réalisatrice, « Chante la mer ! »
est dédié quant à lui au littoral. Dunes, laisse de mer, sable,
orchidées, griffes de sorcière…sont ainsi à l’honneur.

Chaque ouvrage, édité en format « à l’italienne » comprend entre 200 et 300 photos, de tailles différentes, et dont la plupart prises en « macrophotographie », au plus près de la nature. A la fin des deux livres, Johanne explique sa démarche, et propose aussi un glossaire se rapportant aux thématiques des photos.

La rédaction d’Eco-Bretons vous conseille les deux ouvrages, qui donnent à voir, via de magnifiques photo, toute la beauté, la richesse, et la fragilité des milieux liés à l’eau en Bretagne !

Pour commander les ouvrages et découvrir le travail de Johanne : https://www.johannegicquel.com/




Un guide pour jardiner bio dans sa maison !

Agrémenté de jolies photos, le guide « un potager bio dans ma maison » explique tout sur le jardinage intérieur. Vraiment très complet, il prodigue de nombreuses informations et conseils. A conseiller cependant aux initiés, ayant déjà un peu de pratique, même si les explications sont très claires.




Le festival de films Pêcheurs du Monde revient le 24 mars pour sa 11e édition

Le festival de films Pêcheurs du Monde revient pour sa 11e édition du 24 au 31 mars, à Lorient et dans plusieurs communes du Morbihan. 43 films seront projetés, 7 prix seront distribués, une quinzaine de rencontres sont prévues et 3 000 personnes sont attendues.

Le festival de films Pêcheurs du Monde est « toujours au cœur des actualités qui secouent notre planète, avec la mer comme approche et le cinéma comme vecteur pour changer les regards ». En donnant à voir des fictions et documentaires de plus d’une quinzaine de pays, le festival souhaite aborder les misères, les révoltes, les mouvements migratoires engendrés pas des pressions écologiques, climatiques, politiques qui bouleversent les sociétés littorales.

Les pêcheurs et les migrations

Cette année, quelques nouveautés seront proposées au public. Face à la proportion croissante de films consacrés aux pêcheurs face à la tragédie des migrants, une soirée entière sera consacrée à l’Afrique et aux migrations. Des documentaires produits en Algérie, Tunisie et Turquie seront également diffusés. Pour les plus pressés, de nombreux films ultra-court de dix minutes maximum seront proposés.

De nouveaux thèmes sont à retrouver lors des nombreuses séances, comme la jeunesse, car la mer attire de plus en plus les jeunes, ainsi que les liens entre terre et mer.

« Le festival de films Pêcheurs du Monde est un rendez-vous unique pour découvrir en images d’autres regards sur l’Homme et la mer. »

Pour seulement 6 euros (tarif plein), de nombreux films sont à découvrir dans les villes-escales : Lanester, Larmor-Plage, Ploemeur, Riantec, Pontivy et Vannes. Des expositions sont également proposées, tel que « Pêcheurs d’Iroise, mémoire des métiers de la mer ».

Plusieurs prix seront décernés à l’issu de ce festival, à la salle Ricoeur au Lycée Dupuy de Lôme : 2 prix du long-métrage et 2 prix du court-métrage, décernés par le jury professionnel et le jury jeune, le prix des collégiens, le prix Chandrika Sharma (récompensant un film mettant en valeur le rôle des femmes dans la pêche) et le prix du public.

En ce qui concerne les prix, le pass festival est à 28 € (16 € en tarif réduit), le pass journée est à 12 € (8 euros en tarif réduit), et la séance est à 6 € (4 € en tarif réduit). Retrouvez la programmation sur le site internet www.pecheursdumonde.org.

 




A voir. « Les invisibles », une comédie sociale et humaniste

Après « Discount » sur les méthodes de la grande distribution et le gaspillage alimentaire, et « Carole Mathieu » sur la souffrance au travail, « Les invisibles », le nouveau film de Louis-Julien Petit, est sur les écrans de cinéma. Il met en lumière des femmes SDF qui vont lutter contre se réinsérer, accompagnées par des assistantes sociales, alors que le centre social qui leur est dédié est en passe de fermer. Une comédie dramatique sociale dans laquelle on passe du rire aux larmes.