[Défi familles zéro déchet]: atelier « pâte à tartiner »
Dans ce lieu où il se passe quelque chose au moins une fois par semaine, les familles du défi « zéro déchet » étaient réunies sous la houlette de Géraldine, animatrice « nature » du CPIE du Trégor pour apprendre à fabriquer de la pâte à tartiner à la noisette et au chocolat.
La recette express avec la purée de noisettes Les ingrédients : 120 grammes de purée de noisette 120 grammes de chocolat à pâtisser (70% de cacao au moins) 40 grammes de sucre blond en poudre Dans un récipient creux allant au bain marie, mélanger la purée de noisette et le chocolat cassé en petits morceaux, Laisser fondre doucement au bain-marie Quand les deux préparations sont arrivées en température et que votre mélange noisette-chocolat présente un aspect onctueux, retirez les du feu Voilà, votre pâte à tartiner est prête. A conserver à réfrigérateur et à consommer dans le courant de la semaine (si du moins vous arrivez à tenir 7 jours)
la recette complète Les ingrédients -160 grammes de noisettes entières décortiquées -200 grammes de chocolat à pâtisser (70% de cacao au moins)
La préparation des noisettes : Torréfier les noisettes au four (le plat à lèche-frite est fait pour cela) mais attention ne pas laisser trop longtemps, car une noisette un peu trop brunie donne un goût amer à la préparation.
Préparation de la pâte -Placer cette poudre de noisette dans un plat à bain-marie -Y ajouter le chocolat réduit en morceaux -Voilà votre pâte est prête. A conserver au frais. Mais en aucun cas ne déroger à la règle des trois tiers.
Une cabine téléphonique transformée en « cabane à dons » à Kersaint-Plabennec
Incité : Festival de Street art écologique à Carhaix
Un air marin a traversé une petite ville du Centre Ouest Bretagne la semaine dernière. Curieux non ? En effet, l’association la Fourmi-e a organisé la 3ème édition du festival de Street Art écologique de Carhaix qui s’est déroulé du 16 au 24 juin. Tout au long du festival la Fourmi-e et les collectifs d’artistes présents ont proposé divers activités, des ateliers, des prestations, mais également la projection de documentaires.
Dans l’optique de faire découvrir une multiplicité de formes artistiques la Fourmi-e a invité deux collectifs d’artistes en résidences à s’emparer de la ville de Carhaix : le collectif XYZ originaire de Brest et le collectif ABC (Les Ateliers du Bout de la Cale) originaire de Locmiquelic.
Clés de la ville en main ils ont œuvré toute la semaine à magnifier les rues du centre éveillant ainsi l’esprit d’observation des passants. En somme, un bon moyen de redécouvrir la ville de Carhaix.
Le thème de la mer
Le collectif ABC a soufflé l’idée d’une édition 2018 sur la thématique de la mer. Et ce n’est pas un hasard. En effet, choisir cette thématique c’était une façon d’aborder le sujet on ne peut plus actuel de la montée des eaux engendrée par le réchauffement climatique. Un phénomène qui a déjà des répercussions sur la biodiversité marine. En effet, de nombreuses espèces sont en voie de disparition :(Le pingouin lutte face à la fonte des pôles, l’ours blanc face au réchauffement des pôles, les poissons et coraux face au réchauffement de l’eau)
Et si la ville de Carhaix était submergée par la montée des eaux ? Et si Carhaix devenait un port ?
Crédit photo : Hugo Ringenwald
Des questions qui amènent à la réflexion et à l’éveil des consciences tout en restant ludique.
Crédit photo : Hugo Ringenwald
Razzle Dazzle
Dès le 16 juin le collectif XYZ a travaillé sur une fresque inspirée du Razzle Dazzle.
Mais qu’est ce que c’est ? Et bien c’est une technique de camouflage basée sur les illusions d’optiques et utilisée durant la Première Guerre Mondiale sur les navires afin de tromper les sous marins ennemis en créant de faux effets de perspective.
Un ciné débat itinérant
Qu’est ce que le Street art ? Où et quand ce mouvement artistique est il né ? Quel est son histoire ?
La Fourmi-e a organisé un cycle de documentaires itinérant entre Carhaix, Gourin, Callac et Huelgoat afin de mieux comprendre ce mouvement artistique contemporain :
Le temps fort du festival
Tout au long de la journée du samedi, divers activités ont été mises à la disposition des curieux et curieuses : les jeux en bois de Mad-eo-Jeu, les ateliers pochoir et tampons avec le collectif XYZ.
V-Drips Crew
Focus sur la Fourmi-e
La Fourmi-e est une association organisatrice d’événements culturels ayant pour vocation de développer des projets gravitant autour de la recherche artistique et de la création contemporaine.
Depuis sa naissance il y a six ans, l’association organise des résidences accueillant des artistes d’art visuel, notamment des plasticiens. Elle invite des artistes à s’interroger sur le territoire, qu’il soit urbain ou rural.
Pratique :
Expo Razzle Dazzle jusqu’au 31 décembre au musée national de la Marine à Brest.
[Défi Famille Zéro Déchet] Comment sont triés nos déchets ? Visite au centre de tri TriGlaz à Plouedern (29)
27 000 tonnes sont ainsi traitées par an, et 100 tonnes sont triées par jour.
2ème étape : le Trommel
3ème étape : le tri balistique
La machine de tri balistique permet de séparer les corps creux des corps plats. Les déchets y rebondissent comme sur un trampoline.
4ème étape : la presse à paquets
Tout ce qui est en acier va être attrapé par un aimant « overband », pour être ensuite amassés en paquets. Les paquets vont par la suite être transformés en aciérie.
5ème étape : le tri optique
6ème étape : La cabine de tri
7Ème étape : Les alvéoles
8ème étape : La presse à balles
Les déchets ainsi récupérés vont être agglomérés en grande balles. Les balles de bouteilles sont ainsi constituées de 6000 à 12000 bouteilles suivant la matière, et peser environ 400 kilos.
La caractérisation
Comment innover, diversifier et faciliter la mobilité pour tous en Pays de Morlaix ? C’est la question à laquelle s’attaquent le Pays de Morlaix, l’ADESS (Pôle de l’économie sociale et solidaire), les trois intercommunalités (Haut Léon Communauté, Communauté de Communes du Pays de Landivisiau et Morlaix Communauté) mais aussi des associations dans le cadre du lancement d’un appel à expérimenter des formes de mobilités alternatives sur le Pays de Morlaix. Il s’adresse aux communes, aux entreprises, aux structures publiques et privées et aux habitants du territoire. D’un point de vue socio-professionnel, les espaces ruraux sont largement concernés par la problématique de la mobilité. Faciliter l’accès à la mobilité, c’est agir en faveur de l’accessibilité à l’emploi, aux services publics mais également aux équipements touristiques. Développer différents mode de mobilité c’est donc un moyen de favoriser le maintien de la population en zones rurales. L’accès à la mobilité est donc primordiale dans des zones relativement enclavées. C’est pourquoi un appel à expérimenter des dispositifs de déplacement complémentaires à la voiture est désormais lancé. Mais pour inciter à expérimenter des modes de déplacement alternatifs, il faut sensibiliser la population et les acteurs du territoire à de nouveaux outils, notamment dans une dynamique solidaire, d’intérêt collectif. Expérimenter, tester des modes de déplacement novateurs ou déjà existant c’est une façon concrète et efficace d’ insuffler l’envie de changer ses habitudes au quotidien. En effet, « contrairement aux études qui sont chronophages et coûteuses » explique Bernard Floch, référent cadre de vie au niveau du Pays de Morlaix, l’objectif de ces expérimentations, c’est de tester un projet en l’adaptant si besoin aux spécificités locales. L’idée serait également de coordonner les territoires. Des modes de déplacement déjà expérimentés ailleurs pourraient être testés sur le territoire, par exemple des trajets de pedibus ou vélo-bus, c’est à dire un mode de déplacement encadré, en groupe, pour aller d’un endroit à un autre (d’un quartier d’habitation à l’école par exemple). Mais aussi, un test d’applications numériques favorisant la mise en relations des particuliers pour covoiturer. Des tests de lieux, comme par exemple les espaces de coworking pour éviter de se déplacer. Toutes idées sera la bienvenue si elle est réalisable par le réseau de partenaires du Pays de Morlaix.
Pratique Réunion d’information le 5 juillet 2018, de 18h à 19h à la Maison des Services au Public de St Pol-de-Léon. Candidature à déposer : Pour la Communauté de Communes du Pays de Landivisiau, avant le 13 juillet 2018 Pour Haut-Léon Communauté avant le 3 septembre 2018 Pour Morlaix Communauté au second semestre 2018 (date à préciser ultérieurement).
A cet atelier, participaient 8 femmes et aucun homme faisant ainsi mentir la chanson « papa pique et maman coud ».
Petite astuce de réglage ensuite : une fois que vos deux fils, celui de la bobine du haut et de la cannette du bas sont bien en place et noués entre eux : plus votre tissu est épais, plus vous devez choisir un point long. Quant à la largeur, droit ou plus ou moins en zig-gaz, cela dépend de la finition que vous voulez obtenir.
2°.Découpez un carré de même dimension dans un tissu quelconque, de récupération de préférence et si possible très coloré qui servira de doublure à la lingette.
6° Quand vous arrivez au 4° côté, arrêtez-vous à environ trois centimètres du bord et faites une petite marché arrière afin de bien stopper votre couture. 7°. Dégagez la pièce et coupez le fil.
10°. Remettez la pièce sou le pied-presseur et faire une surpiqûre à deux millimètres du bord sur les 4 côtés. Voilà, votre lingette est terminée. Fini les lingettes en papier qui remplissent inutilement nos poubelles !
https://www.youtube.com/watch?v=lX4WgEVMs8Q https://www.youtube.com/watch?v=kfbwFbN-jfg https://www.pratique.fr/enfiler-machine-coudre.html https://fr.wikihow.com/enfiler-une-machine-à-coudre Les chiffonniers de la joie, c’est une association qui évolue dans une dynamique d’innovation sociale, solidaire et durable. Créée en 1984, cette association située 74 Route de Callac à Morlaix a pour vocation première de favoriser la socialisation en fusionnant vie collective et activités professionnelles. Lieu d’échange et de cohésion sociale, les chiffonniers contribuent grandement à la réinsertion socio-professionnelle de personnes fragilisées. « L’activité de Ressourcerie c’est l’outil de cette dynamique de socialisation » explique Isabelle Ogès directrice de l’association et éducatrice.
Transmettre, apprendre, partager son savoir, grâce aux divers ateliers proposés par Les chiffonniers de la joie. Restauration et création de mobilier, tapisserie d’ameublement, couture, et atelier numérique et mécanique, autant d’ateliers éclectiques et accessibles à tous. Abondance d’idées et de projets pour les dynamiques chiffonniers de la joie, en effet l’association prévoit la création d’un hébergement collectif pour les personnes qui ne peuvent vivre seule, qui ont besoin de vivre en collectif. Le futur lieu d’hébergement sera rénové avec des techniques d’écoconstruction. Une formation d’écoconstruction sera alors mise en place l’année prochaine. * à l’ancienne Pratique : 74 Route de Callac, 29600, Morlaix 02 98 62 18 60 Horaires ressourcerie : lundi – fermé mardi – 14h-18h mercredi – 10h-12h / 14h-18h jeudi – 14h-18h vendredi – 14h-18h samedi 10h-12h / 14h-18h Horaires ateliers : Atelier tapisserie d’ameublement – mercredi après midi Atelier couture – mercredi 10h-12h Atelier numérique et mécanique samedi 10h-12h / 14h-18h Atelier restauration et création de mobilier samedi 10h-12h / 14h-18h Youna FornerUn appel à expérimenter des modes de déplacement alternatifs sur le Pays de Morlaix
Défi « famille zéro déchet » : atelier « faites-le vous-même » : la couture pour les débutants