L’idée sortie : les zones humides à l’honneur dans le secteur de Morlaix

Le
2 février, c’est la Journée Mondiale des Zones Humides. Pour
l’occasion, de nombreux événements sont organisés ce week end un
peu partout sur le territoire. C’est le cas notamment du côté de
Morlaix, avec plusieurs sorties au programme.

Les
zones humides recouvrent un large panel de milieux. Ruisseaux,
marais, mais aussi prairies humides, estuaires ou tourbières en font
partie. Des milieux qui abritent une biodiversité floristique et
faunistique intéressante. Pourtant aujourd’hui en danger. Depuis
1900, on estime que 64 à 71% des zones humides de la planète ont
disparu. En France, c’est 48% des milieux humides qui se sont
dégradés entre 2000 et 2010. Ces chiffres montrent le danger qui
pèse sur ces milieux, confrontés à l’urbanisation, au
développement des infrastructures, à la pollution, ou encore à
l’intensification de l’agriculture.

Le
2 février, ces milieux sont mis à l’honneur lors de la Journée
Mondiale des Zones Humides. Une date qui rappelle la signature de la
Convention de Ramsar, le 2 février 1971, un traité
intergouvernemental qui sert de cadre à l’action nationale et à
la coopération internationale pour la conservation et l’utilisation
rationnelle des zones humides et de leurs ressources.

En
France, où l’on a ratifié le traité en 1986 et où l’on célèbre
le 2 février depuis 2001, de nombreuses animations sont organisées
à cette occasion.

C’est
le cas notamment du côté de Morlaix, où les associatons
environnementales locales et Morlaix Communauté se mobilisent.

Au programme :

Samedi 1er février, découverte des landes et des tourbières au Cloitre-Saint-Thégonnec, avec Bretagne Vivante. Rendez-vous à Ty Butun, 14h, place de l’église devant la mairie. Plus d’infos au 02 98 79 71 98 – monts-arree@bretagne-vivante.org

Dimanche 2 février : trois sorties sont programmées.

– Lanmeur : Randonnée de 3km (2 heures) à la découverte des zones humides de la vallée du Lapic, avec l’Ulamir-CPIE Pays de Morlaix-Trégor. Rendez-vous à 10h devant la mairie, sur la place de l’église

Plus d’infos au 02 98 67 51 54 – ulamir.association.lanmeur@wanadoo.fr

Locquénolé : sortie ornithologique en baie de Morlaix avec Bretagne Vivante – Rendez-vous place des Otages à Morlaix à 9h15 et à Locquénolé au parking au bord de l’eau à 9h30

Plus
d’infos : 02 98 62 12 42 – morlaix@bretagne-vivante.org

Plourin-Les-Morlaix : « Riboul Potic, découverte dans la vallée du Queffleuth », balade animée par Au Fil du Queffleuth et de la Penzé.

Rendez-vous au parking Pleen 14h ou
au parking de l’église de Pleyber-Christ à 13h45.

Inscriptions obligatoires : 02 98 78
45 69 – eedd.afqp@gmail.com

Prévoir des vêtements chauds et
des chaussures adaptées

Plus d’infos sur https://www.morlaix-communaute.bzh/Actualites/Journees-mondiales-des-zones-humides




Parc de la Métairie de Plougasnou : une meilleure façon d’accueillir la biodiversité

(Plume Citoyenne) Dans le cadre d’un projet tutoré, 4 étudiant.e.s de BTS GPN (Gestion et Protection de la Nature) du lycée agricole de Suscinio de Morlaix ont travaillé avec le service technique de la commune de Plougasnou afin de proposer un plan de gestion différenciée du parc de la Métairie.

Cette
démarche professionnalisante permet aux étudiant.e.s de mener un
projet d’aménagement et/ou de sensibilisation d’un public avec
un commanditaire dans le but de répondre à une demande de ce
dernier. Ainsi, le service technique de la commune de Plougasnou a
demandé aux étudiant.e.s de proposer un plan de gestion
différenciée, accompagné d’une matinée d’animation pour
sensibiliser les enfants des écoles de la commune à la biodiversité
présente sur le site, en particulier les zones humides.

Animation scolaire dans la zone humide du parc de la Métairie.

“Le
constat est simple : l’espace n’est pas exploitable avec des méthodes
d’entretien traditionnel, beaucoup trop chronophage pour l’équipe
technique. Un programme de gestion différenciée s’impose,
permettant d’ailleurs de créer une cohésion entre les espaces ayant
des vocations diverses (éco-pâturage, pumpark, zone humide, aires
de jeux, proximité Foyer Logement, zones engazonnées, stand de tir
à l’arc, etc.)” déclare David Colcanap, responsable des
services techniques de Plougasnou.

La
gestion différenciée est un concept récent qui consiste à
valoriser les espaces urbains de manière plus écologique et y
favoriser la biodiversité selon différents moyens comme semer des
fleurs mellifères, tondre de manière sélective, etc. Cette
démarche ne peut se concevoir sans une sensibilisation du public,
avec par exemple l’installation de panneaux de sensibilisation.
Telles sont les actions souvent mises en oeuvre lors d’un plan de
gestion différenciée. Plougasnou a souhaité établir le sien pour
favoriser la biodiversité (amphibiens comme le triton palmé,
oiseaux communs comme les grives ou encore des libellules) mais aussi
rendre le parc plus attrayant en y créant un espace
intergénérationnel.

Plan
de gestion auquel ont participé Matteo LE GAC-FRIN (étudiant en BTS
GPN) et Mathys JAOUEN (élève Terminale de Bac STAV) du lycée
agricole de Suscinio dans le cadre de leur stage au service technique
de Plougasnou, en appui du projet tutoré de l’équipe d’étudiants
BTS GPN. Actions qui vont être menées progressivement à partir du
printemps 2020.

Dans
le but d’inaugurer le plan de gestion proposé, les étudiants ont
organisé dans la matinée du 15 janvier 2020 une animation pour les
enfants des classes de CE au CM des deux écoles de la commune afin
de leur faire découvrir la biodiversité du parc de la Métairie et
de sa zone humide.

“Nous
avons choisi de mettre en place cette animation pour amener aux
enfants une nouvelle vision du parc et de la biodiversité à la
Métairie, une façon efficace de sensibiliser également leurs
parents.” “Nous souhaitons solliciter les familles de jeunes
enfants afin de récupérer des petits pots pour bébé nécessaires
à nos animations à partir de récupération et donc limiter les
déchets.” précisent Guillaume Le Guen, Gwendal Kuen, Ambre
Monnet-Carsuzaà et Thomas Signeau, les quatre étudiant.e.s
impliqué.e.s.

Photo de une :

Les étudiant.e.s BTS GPN avec leur référent, David Colcanap, responsable des services techniques de la commune Plougasnou, commanditaire du projet.




Portait de femmes n°1 : Johanne Gicquel, de l’agriculture à la culture

Rencontre avec Johanne Gicquel, ancienne paysanne-boulangère bio, qui travaille actuellement dans une association environnementaliste bretonne, et qui mène en parallèle des projets autour de la peinture et de la photo. Elle est notamment l’auteure d’ouvrages photos autour de l’eau.

C’est à Concarneau que nous rencontrons Johanne Gicquel. La quarantenaire est arrivée là « Grâce au hasard des rencontres ». Celle qui se définit comme « une fille qui aime la nature et pratique la peinture et la photo » travaille aujourd’hui pour une association qui œuvre autour de l’agriculture durable et du développement durable et solidaire en Bretagne, et ce pour quelques mois. Une nouvelle étape dans son riche parcours.

Tout commence dans le Morbihan, où Johanne passe son enfance, entre bois et ferme. Une exploitation porcine, « Une des plus grandes de Bretagne », menée par ses oncles. « Petite, j’avais déjà le goût de la nature », confie-t-elle. « Mais aussi une certaine frustration de ne pas connaître le nom des plantes, des arbres… ». Les années passent, et Johanne part étudier les sciences à Rennes. Cela lui permet d’acquérir un certain nombre de connaissances. Mais c’est surtout le parcours sur le terrain qui la forme : grâce à des lectures, elle apprend le nom des fleurs et des plantes. Après l’obtention d’une maîtrise en environnement littoral, elle entame sa carrière dans le milieu associatif, au sein d’une association de consommateurs., en tant que « conseillère aux économies d’eau ». Après des passages chez Inter Bio Bretagne et dans le Réseau Cohérence, elle change de cap et décide de devenir « faisou ». « Je me sentais très « disou », et j’avais envie d’aller sur le terrain, j’avais envie de me frotter à la réalité d’un métier », explique-t-elle. Son compagnon de l’époque s’engageant alors en agriculture, elle le rejoint pour créer une exploitation bio, dans laquelle elle sera paysanne-boulangère. « Produire du blé, le moudre, faire du pain et le vendre… tout ça en complémentarité avec une activité maraîchère », précise Johanne.

Une aventure de 10 ans, qui s’arrêtera en 2015-16, qui lui a apporté « beaucoup de satisfaction personnelle ». Ayant en parallèle depuis longtemps des projets de livres avec photos, elle décide alors de se lancer dans cette activité d’artiste, à la fois peintre et photographe.

Quelques réalisations de Johanne

Johanne se définit comme quelqu’un « ayant conscience des enjeux environnementaux et intéressée par la nature ». « Dès lors qu’on commence à se poser des questions, on a plus envie de se cacher les yeux. Et on essaie de se mettre un peu en adéquation avec un certain nombre d’idées ou de convictions, telle que préserver la nature ». Son engagement pour la préservation de l’environnement a toujours été présent, depuis son plus jeune âge. « J’ai toujours eu une curiosité pour les choses de la nature ». Ayant grandi sur une grande exploitation agricole, elle a vu des pratiques qui « posent question ». « C’est vraiment la base de ma réflexion intellectuelle ». Elle se remémore ainsi une pratique étonnante : la section des queues des porcelets ainsi que le meulage des dents, qu’elle trouvait à l’époque « normal ». « Un jour, j’ai compris que si on coupait leur queue, c’était pour éviter le cannibalisme, chose qui peut arriver car ils grandissent dans des conditions qui sont concentrationnaires . Forcément, à ce moment là, c’est le déclic ».

« Je n’ai pas de réponse théorique sur ce qu’est la transition, mais beaucoup de questionnements, et envie d’interpeller les élus sur ces sujets »

De rencontres en rencontres, comme par exemple avec Jean-Claude Pierre, l’un des fondateur d’Eau et Rivières de Bretagne et actuel porte-parole du réseau Cohérence, son engagement mûrit. « Tout cela participe d’un cheminement intellectuel, qui consolide des convictions autour de la nature ». L’aménagement du territoire, la consommation de l’espace agricole, les déplacements… sont autant de problématiques qui lui posent question aujourd’hui. « Je n’ai pas de réponse théorique sur ce qu’est la transition, mais beaucoup de questionnements, et envie d’interpeller les élus sur ces sujets ». Autre sujet qui la passionne : la culture. « Il y a énormément de choses à faire concernant l’accès à la culture. Il faut penser aux auteurs, aux artistes, et qu’on arrête d’y voir quelque chose d’accessoire. ». « Il faut de la culture, de la magie, de la poésie, notamment au niveau de la protection de l’environnement », soutient-elle.

« Pas mal d’hommes me l’ont dit, c’est grâce à elles ou par elles qu’arrivera la transition écologique. Mesdames, faites-vous connaître, faites savoir que vous êtes là, et faites connaître vos initiatives  »

Autre constat au niveau de l’environnement et des transitions écologiques : que les femmes y prennent leur place. « Pas mal d’hommes me l’ont dit, c’est grâce à elles ou par elles qu’arrivera la transition écologique. Mesdames, faites-vous connaître, faites savoir que vous êtes là, et faites connaître vos initiatives », exhorte-elle. Johanne a par ailleurs dans les cartons un projet d’ouvrage, mêlant texte et photos, autour des femmes paysannes. Nous ne manquerons pas d’en reparler !

Pour le moment, on peut retrouver les deux ouvrages qu’elle a créés, rassemblant ses photos autour de l’eau, baptisés « Saut(e) dans l’eau » et « Chante la mer ». Dans ses ouvrages, elle a pour objectif, de « montrer à voir la nature toute proche, celle sous nos pieds ». Mais aussi « interpeller, interroger, faire rêver aussi… Susciter l’intérêt et dès lors, donner envie de connaître. ». On peut découvrir son travail sur son site web : https://www.johannegicquel.com/


Ecoutez l’interview audio de Johanne

Autre série de réalisations de Johanne




Emploi mutualisé : Le Geai 29 prend son envol

Le Groupement d’Employeurs
Geai 29 est né il y a maintenant deux ans, adossé aux trois Points
d’Accueil à la Vie Associative (Pava) que sont le Resam sur le
Pays de Morlaix, Sema’For sur le Pays de Brest, et L’Espace
Associatif de Quimper-Cornouaille. Il met à disposition des
associations non fiscalisées qui y adhèrent les salarié.e.s qu’il
emploie. Explications.

Mettre à disposition pour ses associations adhérentes les salarié.e.s qu’il emploie, et accompagner les associations dans la gestion de leur ressources humaines. Voilà les deux objectifs du Geai 29, le Groupement d’Employeurs Associatif Intersectoriel en Finistère. Il est né il y a maintenant deux ans, de la volonté et du travail de l’Espace Associatif Quimper Cornouaille, du Resam (Morlaix), et de Sema’For (Brest). « En tant que Point d’Accueil à la Vie Associative, nous étions souvent sollicités, chacun sur nos territoires, par des associations qui avaient des demandes en soutien administratif, ou comptabilité », explique Karine Vaillant, chargée de mission « Mutualisation de l’emploi » au Resam. En 2015, une étude sur les l’emploi au sein des associations du Finistère a été menée, mettant alors en évidence leur besoin en temps partiel, un besoin de compétences, tout en ayant comme spécificité le portage de la fonction employeur par des dirigeants bénévoles. C’est pour répondre à ces problématiques que le Geai 29 a été mis sur pied, à destination des associations non fiscalisées, et de tous secteurs d’activité.

Concrètement, comment cela fonctionne ? Les associations sont d’abord accueillies au sein des PAVA (Points d’Accueils à la Vie Associative), pour faire le point sur leurs besoins, et déterminer quel outil il vaut mieux utiliser en terme de partage d’emploi : Geai, mais aussi prestations, mise à disposition… « L’idée, c’est vraiment de répondre aux besoins des structure, de les orienter selon leurs besoin et leur spécificité », commente Karine Vaillant. Si l’association est orientée vers le Geai, un point est réalisé sur le profil de poste, les compétences recherchées, le volume horaire…Une fois que tout est validé, l’association adhère au Groupement d’Employeurs. Celui-ci propose alors la mise à disposition d’un.e de ses salarié.e.s, ou créé un nouveau poste si besoin. L’association accueille le/la salarié.e, dont la prise de poste est accompagnée par le Geai, qui facture la structure mensuellement pour la mise à disposition du/de la salarié.e, sur la base du coût horaire du poste, majoré d’une contribution au fonctionnement du groupement.

Un système qui a des avantages
aussi bien pour les associations, que pour les salarié.es.. Pour les
associations, les formalités administrative liées à l’embauche
sont prises en charge par le Groupement d’Employeurs, qui
accompagne aussi sur la fonction employeur. Pour les salarié.e.s, la
possibilité d’accéder à un emploi à temps plein ou à temps
partiel choisi, avoir un employeur et des fiches de paies uniques,
évoluer dans un cadre sécurisé.

C’est ainsi que neuf contrats ont été signés depuis la création du Geai, dont quelque CDD. « L’objectif, c’est d’atteindre 20 Equivalent Temps Plein (ETP) dans 3 ans », affirme Karine Vaillant. Seize associations adhèrent déjà au dispositif, sur les trois territoires couverts. Sur le Pays de Morlaix, l’Adess, ou Le Buzuk (la monnaie locale, ndlr), ont recours actuellement au Groupement d’Employeur. Le signe que la mutualisation de l’emploi se développe petit à petit dans le secteur associatif finistérien !




Morlaix (29) : Retour en photos sur Faites Noël

Samedi 7 décembre après-midi, aux Chiffonniers de la Joie, s’est tenu le salon Faites Noël. L’occasion pour une quinzaine d’associations du Pays de Morlaix de partager savoir-faire et astuces pour préparer les fêtes soi-même.

Faire le plein de recettes avec les infusions et autres boissons chaudes de Cap Santé.

Gourmandises 100% végétales avec Graines de vie.

Et pour le salé, préparation de tartares d’algues avec Toun Nature

Des recettes moins comestibles, également avec le baume pour le corps proposé par Zéro Déchet Trégor et le baume à lèvres de BeCosmetics.

Pour en apprendre plus sur le Noël sans déchets, Morlaix Communauté proposait un atelier pour mieux trier et Éco-Bretons un quizz et un atelier porteur de paroles avec l’ULAMIR CPIE !

Au rayon jouets : lance-pierres et autres jouets buissonniers du Kabaret des Simples, la pâte à modeler naturelle d’En Vrac à l’Ouest et les boules à neige et les jouets collectés de l’ULAMIR CPIE.

Côté déco entre les bougeoirs en bois de récup du Repair, les sapins en papier de l’ULAMIR CPIE (encore eux !)? l’atelier transfert de photos sur bois de Don Bosco et les cartes de voeux d’AU Fil du Queffleuth et de la Penzé, il y avait de quoi faire !

Et pour emballer tout ces cadeaux avec sobriété et originalité les furoshiki d’Au Fil du Queffleuth et de la Penzé.

Toutes nos excuses aux Temps Bouilles qui? malgré leur délicieux pain perdu n’ont pas été photographiés …

Sur ce, Éco-Bretons vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année et espère vous voir aussi nombreux au prochain salon Faites Noël !




Morlaix (29). Faites Noël :le salon malin, responsable et solidaire.

Samedi 7 décembre se
tiendra le salon Faites Noel aux Chiffonniers de la Joie (74 route de Callac),
de 14h à 18h.

110 tonnes. C’est le nombre de déchets supplémentaires que
traitent les incinérateurs de Brest et de Carhaix la semaine de Noel.

C’est en partant de ce constat que Morlaix Communauté (https://www.morlaix-communaute.bzh/) et Les Chiffonniers de la Joie (http://chiffonniersdelajoie.e-monsite.com/) ont décidé d’organiser pour la 4ème année consécutive Faites Noel.

Ce salon qui se déroulera à la ressourcerie des Chiffonniers
de la Joie, a pour vocation de sensibiliser à cette consommation excessive
d’emballages (entre autres) et d’inviter chacun à réduire ses déchets, de façon
ludique.

Le faire soi-même à
l’honneur

Cette année une quinzaine d’ateliers ouverts à tous vous seront proposés. Ainsi vous pourrez apprendre à réaliser des furoshiki (papiers cadeaux en tissus) et des cartes de vœux avec l’association Au fil du Queffleuth et de la Penzé (http://aufilduqueffleuthetdelapenze.over-blog.com/), des cadres photos avec Don Bosco (https://www.donbosco.asso.fr/) ou encore des bougeoirs  en bois de récup avec Le Repair (https://www.facebook.com/lerepairrecyclerie/). Morlaix Communauté proposera un jeu pour tout savoir sur le tri des déchets.

Parce que le zéro déchet c’est aussi le zéro gaspillage, vous pourrez apprendre à faire vos chocolats avec Hêtre et Lavoir (https://www.gralon.net/mairies-france/finistere/association-l–hetre-et-lavoir-plouneour-menez_W293003212.htm), des gourmandises 100% végétales avec Graines de vie et des tartares d’algues avec Tounn Nature (http://entrepreneurs.cae22.coop/-tounn-richard-.html). Cap Santé (http://www.capsante.net/wordpress/?page_id=357) vous proposera d’apprendre à reconnaitre les plantes sèches.

Et parce que l’hiver arrive, Be Cosmétics (https://www.becosmetics.fr/) vous montreront comment fabriquer vos baumes à lèvres, tandis que Zéro Déchet Trégor (https://www.zerodechet-tregor.com/) vous donneront la recette d’un baume pour le corps !

Et si avec tous ces ateliers vous n’avez toujours pas trouvé d’idées cadeaux, l’ULAMIR CPIE (http://www.ulamir.com/) vous propose de découvrir les cadeaux dématérialisés.

Et les enfants dans
tout ça ?

Pas de panique, le Kabaret des Simples (https://www.facebook.com/kabaretdessimples/) et En Vrac à l’Ouest (https://www.letelegramme.fr/finistere/garlan/l-association-en-vrac-a-l-ouest-veut-sensibiliser-au-zero-dechet-02-12-2019-12447511.php) n’ont pas oubliés les plus jeunes ! Un atelier zéro déchets est prévu spécialement pour les enfants, ainsi qu’une fabrication de jeux buissonniers (à partir de branches, de plantes, etc). Tout les autres ateliers seront également ouverts aux enfants.

Une collecte de jouets a également été organisée au
préalable avec les éco-écoles du territoire pour être redistribués le jour J. Vous
êtes invités à déposer les jouets dont vous ne plus samedi.

Quant à Éco-Bretons nous proposerons un quizz spécial Noël zéro déchets ainsi qu’un atelier porteur de parole… !

A demain !