Manifestation contre les Grands Projets Inutiles et Imposés

Nos dirigeants présentent ces projets comme étant au service de l’intérêt général : il s’agirait de développer les emplois, d’aménager le territoire, de moderniser les infrastructures, d’assurer un approvisionnement des matières premières…

Ces discours masquent pourtant une tout autre réalité : destruction de terres agricoles, absence de démocratie, destruction de l’environnement et de lieux de vie… Loin d’être au service de l’intérêt général, ces projets s’inscrivent en fait dans une logique purement financière.

Face à de tels miroirs aux alouettes, nous ne devons pas nous taire : c’est nous qui sommes concerné-e-s, c’est à nous de décider !

STOP, ON ARRÊTE TOUT ET ON RÉFLÉCHIT !

Départ 11h00 place de la Liberté à Brest, puis rassemblement (stands, cabane, pique-nique…) en bas de la place de la Liberté, à partir de12h00.
Cette action s’inscrit dans le cadre de la Journée Mondiale du Climat.

Contact : pii-7decembre@riseup.net




Manifestation contre les Grands Projets Inutiles et Imposés

Nos dirigeants présentent ces projets comme étant au service de l’intérêt général : il s’agirait de développer les emplois, d’aménager le territoire, de moderniser les infrastructures, d’assurer un approvisionnement des matières premières…

Ces discours masquent pourtant une tout autre réalité : destruction de terres agricoles, absence de démocratie, destruction de l’environnement et de lieux de vie… Loin d’être au service de l’intérêt général, ces projets s’inscrivent en fait dans une logique purement financière.

Face à de tels miroirs aux alouettes, nous ne devons pas nous taire : c’est nous qui sommes concerné-e-s, c’est à nous de décider !

STOP, ON ARRÊTE TOUT ET ON RÉFLÉCHIT !

Départ 11h00 place de la Liberté à Brest, puis rassemblement (stands, cabane, pique-nique…) en bas de la place de la Liberté, à partir de12h00.
Cette action s’inscrit dans le cadre de la Journée Mondiale du Climat.

Contact : pii-7decembre@riseup.net




Manifestation contre les Grands Projets Inutiles et Imposés

Nos dirigeants présentent ces projets comme étant au service de l’intérêt général : il s’agirait de développer les emplois, d’aménager le territoire, de moderniser les infrastructures, d’assurer un approvisionnement des matières premières…

Ces discours masquent pourtant une tout autre réalité : destruction de terres agricoles, absence de démocratie, destruction de l’environnement et de lieux de vie… Loin d’être au service de l’intérêt général, ces projets s’inscrivent en fait dans une logique purement financière.

Face à de tels miroirs aux alouettes, nous ne devons pas nous taire : c’est nous qui sommes concerné-e-s, c’est à nous de décider !

STOP, ON ARRÊTE TOUT ET ON RÉFLÉCHIT !

Départ 11h00 place de la Liberté à Brest, puis rassemblement (stands, cabane, pique-nique…) en bas de la place de la Liberté, à partir de12h00.
Cette action s’inscrit dans le cadre de la Journée Mondiale du Climat.

Contact : pii-7decembre@riseup.net




Des outils d’animation de collectifs inspirés de l’éducation populaire

Après avoir réfléchi ensemble à la notion même de collectif, nous vous proposerons de choisir entre deux ateliers, l’un concernant l’animation d’une réunion et l’autre concernant les manières de prendre des décisions ensemble…

Venez partager vos questions et expériences en découvrant des outils inspirés de l’éducation populaire, que vous pourrez réutiliser ensuite dans vos associations.
Samedi 30 novembre – 14h/18h30 – Traon Nevez, Le Dourduff en Mer, Plouézoc’h

La formation est organisée par le RESAM, elle est gratuite et s’adresse à tous les bénévoles et membres de collectifs du Pays de Morlaix…

 

Plus d’infos

www.resam.net/




Crise économique : par ici la sortie ! sur Tébéo

En période d’incertitude, de manque de repères et de sens, certaines valeurs montantes en faveur d’une économie plus humaine reprennent du galon. Dès 2014, le projet de loi dédié à l’économie sociale et solidaire suffira-t-il à irriguer l’ensemble des entreprises, pour remettre l’homme au cœur de l’économie territoriale ?

Le dossier "Crise économique : par ici la sortie !" est à lire dans le dernier numéro du magazine Bretagne Durable, disponible en version PDF et disponible dans toutes les bonnes librairies, Biocoop, kiosques… N’hésitez pas à vous abonner et à en faire profiter vos amis !




« Compenser, c’est donner de la valeur au Co2 »

C’est le protocole de Kyoto qui institue la notion de quota de Co2 à ne pas dépasser pour tous les pays signataires. Le Co2 devient ainsi une matière première immatérielle et intellectuelle, répartie entre tous les individus de la planète. Nous pouvons alors, dès qu’il possède de la valeur marchande, considérer le Co2 comme une nouvelle monnaie d’échange.

 

En compensant leurs émissions, les entreprises donnent de la valeur aux réduction d’émissions de Co2. En effet, il s’agit, pour la compensation volontaire, d’acheter -à coût donné- des réductions d’émissions, comme la plantation d’arbres ou le développement de projets éoliens. Il s’agit de financer des réductions ailleurs que celles qu l’on peut faire soi-même. La compensation volontaire peut donc permettre, si elle se généralise, de baisser les émissions de Co2.

 

Parmi les différents produits de compensation volontaire, nous sommes les seuls à proposer du local, c’est-à-dire des réductions réalisées en France. Car si les compensations volontaires se font généralement dans le sens Nord/Sud, cela ne va pas sans poser quelques problèmes, comme ceux de la corruption ou un défaut de contrôle par exemple. Avec notre compte épargne Co2, agréé par l’Onu et l’Etat français, les échanges se font ici, en France. Ainsi, un ménage qui réduit ses émissions, par l’achat d’une nouvelle chaudière par exemple, recevra sur son compte la quantité de Co2 évitée par ce nouvel achat. De cette façon, un foyer chauffé au fioul qui achète une chaudière au bois reçoit sur son compte entre 5000 et 10 000 kg de Co2 chaque année jusqu’en 2020. Un autre qui achète une voiture électrique reçoit 2000 kg de Co2. Les personnes qui covoiturent pour se rendre à leur travail peuvent ainsi recevoir jusqu’à 1000 kg par an.

 

Une entreprise qui souhaite compenser ses émissions pourra alors racheter ces kg de co2 aux ménages, ou leur proposer des réductions sur certains de ces produits à la vente. Certaines entreprises proposent de racheter ces kg de Co2 à 52,64 euros les 1000  kg. Ce prix très incitatif, qui encourage les ménages à réduire leurs émissions de Co2, est fondé sur le prix recommandé par les économistes pour maintenir la concentration de Co2 dans l’atmosphère sous le seuil de 450 parties par millions. Et ainsi limiter la hausse de température à 2°C. Compenser devient donc un moyen concret et efficace de lutte contre le changement climatique. C’est la fin du "greenwashing" !

 

Le Co2 devient une nouvelle monnaie qui incite aux réductions des émissions. Ecologie et économie se rejoignent dans ce système : réduire ses émissions de CO2 et augmenter son pouvoir d’achat. Révolutionnaire !

 

 

Plus d’infos

compteepargneco2.com/