Un dispositif qui récupère la pluie, l’air, le vent et le soleil pour chauffer l’eau

En prélevant l’énergie à travers différentes sources renouvelables et naturelles ( air, pluie, soleil et vent), le convecteur aérosolaire ®, commercialisé par l’entreprise Costarmoricaine Bernier énergie, permet de chauffer sa maison en limitant l’utilisation d’énergies fossiles. Ce dispositif, on le doit à Jacques Bernier, ingénieur du CNAM en physique du froid et spécialiste mondialement reconnu dans le domaine des pompes à chaleur. Il a inventé, il y a 37 ans, le premier capteur solaire thermodynamique, dans le but de produire économiquement de l’eau chaude sanitaire. Le convecteur aérosolaire ® est le développement abouti de ses différentes expériences et améliorations successives. Ce dispositif s’installe à l’extérieur de l’habitat et est relié à un émetteur de chaleur (de type radiateur à eau, plancher chauffant hydraulique ou ballon d’eau chaude avec échangeur). Son objectif principal est de proposer une solution simple, rapide et économique aux utilisateurs de maisons équipés de chauffage électrique, consommer moins et chauffer mieux. « Mais rapidement, les propriétaires avec des systèmes de combustion fossile ont utilisé l’appareil pour chauffer leur pièce principale et moins solliciter leur chaudière. », rapporte Alain Galmard, actuel dirigeant de Bernier énergie. Il s’agit aussi pour l’entreprise de développer une activité pérenne et solliciter des partenaires de proximité dans la fabrication des composants pour créer de l’emploi à l’échelle locale.

120 installations en Bretagne depuis deux ans

Le système aérosolaire ® a d’abord été présenté au concours Lépine 2011, où il a été récompensé d’une médaille d’argent, et au concours international des innovations à Genève qui lui a attribué la médaille d’or ainsi que le prix spécial INPI. Il a été également présenté aux professionnels du bâtiment à Interclima-Batimat à Paris en février 2012 et novembre 2013. « Mais c’est vraiment au Printemps 2013 grâce à un article régional du Ouest France, que nous avons été enfin découverts par le grand public. », relate Alain. La plus grande partie des premières installations se sont faites dans les Côtes d’Armor puis dans l’ensemble de la Bretagne, permettant à Bernier énergie de conserver un lien avec les utilisateurs. « Souvent, ce sont ces utilisateurs qui nous proposent de faire découvrir notre technologie à travers des portes ouvertes. L’intérêt initial pour l’innovation se transforme rapidement en confort et en économies. », explique le dirigeant. Depuis deux ans, 120 convecteurs ont été installés sur les 4 départements bretons. Au Gouray (Côtes d’Armor), près du siège de l’entreprise, il y a par exemple 9 familles équipées depuis plus d’un an et 4 autres qui vont être équipées en début d’année 2015. L’appareil seul coûte 2799€ HT. Une installation avec un radiateur horizontal hydraulique de 3000W coûte au total moins de 4000€ TTC installé, main d’œuvre comprise. Selon les utilisateurs, l’équipement permet de réaliser une économie annuelle allant de 500€ à 760€, selon les différentes énergies utilisées, la qualité de l’isolation et la température de confort. Tous ont observé et apprécié un confort accru relativement à leur chauffage électrique. Certaines familles utilisant l’aérosolaire ® en chauffage se sont équipées par la suite d’un ballon d’eau chaude réchauffé par ce même système déjà installé.




Négawatt, méga scénario de transition énergétique, sans fossile, ni fissile !

 

Plus d’info

http://www.negawatt.org/association.html

Pour aller plus loin 

Changeons d’énergies : transition, mode d’emploi de Thierry Salomon et Marc Jedliczka – Association Négawatt, éd. Actes Sud, coll. Domaine du Possible, 91 pages, 10 €




Écommana alternatives, faites des énergies !

L’événement s’inscrit dans la lutte contre la Centrale à Gaz de Landivisiau, dont les enquêtes publiques se déroulent entre le 15 septembre et le 31 octobre 2014. « Nous préparons cet événement depuis le mois de janvier et à l’époque, nous ne savions pas que l’enquête publique tomberait à ce moment là, » explique Cécile. « En tout cas, cela permet d’apporter des arguments pour l’enquête publique et de débattre avec les citoyens. Nous avions à cœur d’être dans une démarche positive, au sens où l’on propose de réfléchir à des alternatives, et pas seulement en se positionnant contre quelque chose, ce qui peut être perçu comme négatif» ajoute-t-elle.

Le salon, dont l’entrée sera libre, présente des ateliers, des stands d’associations, des spectacles, des animations pour les enfants et des conférences. Ainsi, Jean Claude Pierre, des associations Cohérence et nature & Culture, présentera son « Voyage au pays du futur. » Marc Théry, du pays du Méné, parlera de la transition énergétique sans centrale à gaz, sans pétrole, sans nucléaire… et évoquera l’expérience du Mené, ce territoire breton où les initiatives en matière de transition énergétique sont nombreuses. La biodiversité ne sera pas en reste puisque le naturaliste François de Beaulieu proposera une conférence sur le thème « des loups aux lichens, la nature, une question centrale ». Cette dernière remplace la conférence de Thierry Thévenin sur les lichens, témoins de la qualité de l’air, initialement prévue.

Les enfants présents pourront également participer à des animations ludiques tout au long de la journée. Des jeux sur le thème de l’énergie solaire et des contes seront de la partie. Sans oublier les adultes qui pourront assister au spectacle drôle des marionnettes.

« Nous voulions le faire à Commana qui est plus loin de Landivisiau,  commune où les associations et le collectif sont très occupés aussi, et ainsi proposer quelque chose de différent. » précise Cécile.

Plus d’info

Programme : http://www.nonalacentrale-landivisiau.fr/ecommana-alternatives-faites-des-energies-le-20-septembre-2014/

http://www.nonalacentrale.fr

http://www.nonalacentrale-landivisiau.fr

 




Ils militent pour ne pas oublier le combat de Plogoff

Il y a 40 ans, un projet de centrale nucléaire était lancé à Plogoff, commune de la pointe du Finistère. La mobilisation citoyenne a été telle que le projet fut abandonné en 1981, après sept années de lutte. C’est en souvenir de ce combat qu’a été fondée au printemps, l’assocation « Memor Stourm Plogoñ – Plogoff mémoire d’une lutte », qui fédère aujourd’hui une quinzaine de militants. « L’association est née suite à la rencontre durant quatre jours avec une association, « Chemin de mémoire sociale », qui travaille sur la mémoire des mouvements sociaux en France, et qui est venue à Plogoff rencontrer des anciens militants », raconte Jean Moalic, président de Plogoff Mémoire d’une Lutte. « Nous avons donc décidé de fonder l’association, afin de faire vivre la mémoire de la lutte contre le projet de centrale à Plogoff, par le biais notamment de collectes de témoignages, de photos, d’affiches… retraçant cette mobilisation ». indique Jean Moalic. « C’est un combat qui mérite lui aussi d’être commémoré, et dont l’héritage a été, et reste important, pour la Bretagne et pour la France », estime le millitant qui s’est moblisé « dès le 23 décembre 1974 », à l’annonce du projet de centrale sur la commune.

 

Des projections-débats sur le nucléaire et la transition énergétique

 

L’association a plusieurs projets dans les cartons. D’abord une randonnée à Plogoff, dimanche 31 août, sur le site qui avait été choisi pour la construction de la centrale. « Ce sera notre première manifestation publique : l’occasion de nous faire connaître et de participer au travail de mémoire », précise Jean Moalic. Ensuite, des projections-débats dans le Finistère, autour de la thématique de la transition énergétique. Une première séance aura lieu le 2 octobre à Quimper, avec la projection d’archives de l’INA consacrées au projet de centrale à Plogoff, suivie d’un échange avec le public sur les questions de transition énergétique et du nucléaire. Des thématiques chères à l’association. « Le combat nucléaire est toujours présent, nous voulons nous y inscrire, ainsi que dans le mouvement pour la mise en place d’une autre politique énergétique, un nouveau mode de vie », affirme Jean Moalic. La lutte contre la centrale de Plogoff, restée célèbre dans les mémoires, n’a donc pas fini de résonner en terres bretonnes.

 

Plus d’infos

plogoffmemoirelutte(Arobase)orange.fr

A voir ou revoir : Plogoff, des pierres contre des fusils, film documentaire de Nicole et Félix Le Garrec, sorti en 1981. Interview des deux documentaristes sur : http://www.nucleaire-nonmerci.net/interview-nicole-felix-legarrec.html

Le film est visible sur https://www.youtube.com/watch?v=DCt8Pz5THPM

 




Eolien, géothermie, etc… il en faut pour tous les goûts (coûts ?) !

http://www.letelegramme.fr/finistere/j-p-le-gorgeu-a-contre-courant-06-08-2014-10287410.php

Essayons calmement de répondre à ce monsieur qui manifestement fait une petite fixation contre les pales blanches.

Commençons par rétablir quelques vérités dues, non à son fait, mais à celui du journaliste que nous aiderons ainsi à mieux se documenter :

1° Il n’est  pas tout à fait vrai de dire que « il fait partie d’un groupe d’une dizaine de particuliers qui ont fait condamner l’Etat français pour ses pratiques d’achat obligatoire à prix imposé, assimilable à une subvention proscrite par les règles européennes »

Certes, la France a été condamnée pour ses pratiques tarifaires parce qu’elle était considérée comme une aide d’Etat

http://curia.europa.eu/jcms/upload/docs/application/pdf/2013-12/cp130163fr.pdf

Mais ce que condamne la cour de justice de l’Union Européenne, ce n’est pas l’aide en elle-même mais le fait qu’elle n’ait pas été déclarée comme aide d’Etat, ce qui n’est pas tout à fait la même chose

http://energiesdelamer.blogspot.fr/2013/12/la-cour-de-justice-condamne-les-tarifs.html

Quant à la dizaine de particuliers, il s’agit en fait d’une puissante fédération d’associations qui, à en croire la qualité de son site ne semble pas manquer de moyens

http://www.ventdecolere.org/

2° Je ne suis pas sûr que cela serve l’image de Monsieur  Le Gorgeu de rappeler qu’il a rejoint dès 2006 une association s’appelant « Sauvons le climat ». En effet, le nom de cette association peut faire illusion, mais n’allez pas croire que ce soit là une réunion de grands défenseurs de l’environnement. Il suffit pour s’en convaincre d’aller jeter un œil sur la page de présentation du site de cette organisation

http://www.sauvonsleclimat.org/qui-sommes-nous.html

On retrouve dans les différentes instances tout le gratin de la nucléarocratie industrielle, scientifique et parlementaire, pour qui tout ce qui représente une alternative au « tout-nucléaire » est vécu comme l’ennemi à abattre.

Voici pour ce qui est de rétablir quelques vérités primaires.

Venons en maintenant au fond de l’article et commençons par le principal cheval de bataille du monsieur, les coûts. En matière de coûts, publics notamment, je ne connais pas de meilleurs orfèvres que la Cour des Comptes. Or que nous dit la Cour ? Dans un rapport devenu fameux, elle dit ceci http://www.ccomptes.fr/Actualites/A-la-une/Le-cout-de-production-de-l-electricite-nucleaire

Mais comme je veux vous épargner la peine de lire in extenso ce rapport, voici quelques commentaires qui ont accompagné sa sortie

Le Monde, journal de référence : http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/05/27/facture-du-nucleaire-l-alerte-de-la-cour-des-comptes_4426678_3234.html

Les Echos, journal économique de référence http://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/0203525675416-nucleaire-le-cout-de-production-a-progresse-de-20-6-depuis-2010-674005.php

Puis les réseaux militants

http://www.sortirdunucleaire.org/Couts-du-nucleaire

Tous sont d’accord pour dire que le nucléaire N’EST PAS une électricité bon marché. La zone d’ombre concerne l’avenir, c’est-à-dire aussi bien les nouvelles générations de centrales que le démantèlement. Pour les premières, les exemples de Flamanville et de la centrale finlandaise ne poussent pas à l’optimisme. Quant au démantèlement, il suffit d’observer les difficultés que rencontre EDF pour démanteler une toute petite centrale comme celle de Brennilis pour imaginer ce que va coûter en grandeur réelle le démantèlement des dizaines de réacteurs arrivés en fin de vie. Je me garderai bien d’avancer un chiffre en la matière car personne ne sait, hélas, ce que cela va coûter et c’est bien ce qui est inquiétant.

Deuxième cheval de bataille, l’intermittence de la source. Certes, on ne peut pas souhaiter que le vent souffle en permanence à force 3 à 5 pour assurer la continuité de la ressource mais je voudrais juste signaler à Monsieur Le Gorgeu qu’il y a juste un an, la centrale de Fessenheim tombait en panne et que si on avait fait un relevé de production le 2 juillet 2013, on aurait constaté que sur 900 MW installés, la production de ce jour avait été de 0 Kw. Par décence, je ne parle même pas de Fukushima.

La meilleure réponse à l’intermittence, ce n’est justement pas l’exclusion d’une source mais la combinaison de toutes les sources possibles : éolienne bien sûr, photovoltaïque, biomasse, hydrolienne et..géothermie. Mais toutes ces sources ne sont utilisables avec le même bonheur partout. Il faut donc faire des choix judicieux : la Bretagne, terre de vents, est peut-être plus indiquée pour l’énergie éolienne que pour le photovoltaïque car ce n’est pas tous les ans qu’elle présente un bilan d’ensoleillement à faire pâlir les Catalans. Quant à l’intérêt de la géothermie en, Bretagne ou ailleurs en France, je ne suis pas suffisamment frotté de sciences pour avoir un avis pertinent mais mon bon sens me dit qu’il ne faudrait pas se fonder sur la performance de la géothermie islandaise pour bâtir des châteaux en Espagne dessous nos pieds.

Vous avez peut-être remarqué que dans mes propos, je ne cite ni le fuel, ni le gaz, encore moins le gaz de schiste. C’est que pour moi, il s’agit là des vrais fausses solutions du passé.

A cet égard, je me rallie à l’opinion de mon excellent camarade Gérard Borvon qui dans un communiqué s’étonne que cet excellent défenseur du climat que prétend être Monsieur Le Gorgeu ne s’insurge pas contre le projet de centrale à cycle combiné gaz de Landivisiau qui est le véritable point noir du pacte électrique breton car il contribue fortement à la production de gaz à effet de serre (Imaginez 450 MW crachant à longueur d’année). En outre puisqu’on parle de coûts cachés, on aura du mal à cacher ce coût exorbitant pour la collectivité : une subvention de 40 M€ versée TOUS les ans pendant 20 ans à l’opérateur de la centrale qu’elle fonctionne ou pas ! Si vous trouvez que ce projet est délirant, Monsi
eur Gorgeu, rejoignez-nous ! C’est avec plaisir que nous accueillerons ce nouveau renfort !

Enfin, dernier point à évoquer. Monsieur Le Gorgeu se demande où sont passé les ingénieurs des Mines. La réponse est pourtant à côté de lui : ils sont nombreux dans les instances de  « Sauvons le climat ! » et peut-être même dans « Vent de colère » mais s’il pensait à leurs activités professionnelles, qu’il aille donc regarder l’organigramme de la Direction Générale de l’Energie et du Climat : ils y règnent en maîtres du haut en bas de la hiérarchie. Ceci explique peut-être cela et s’ils ne s’intéressent pas à la géothermie, c’est peut-être parce que cela fait longtemps qu’ils ne s’intéressent plus à ce qui se passe sous terre.

Le vrai conflit n’est donc pas entre éolien et géothermie mais entre sources renouvelables et sources fossiles (ce nom, « fossiles » suffit déjà à qualifier la qualité de la source). Or le nucléaire fonctionne à partir d’uranium qui sauf preuve du contraire est un minerai, donc fossile.




Pour que la vie ne manque pas de sel, le vent nous le portera !

Brest, Camaret, Audierne, Concarneau, Lorient, Belle-Île, Yeu, Pornic, Noirmoutier, Nantes, le Crouesty, Lorient, Concarneau, Roscoff, Morlaix, l’Aber Wrac’h, Camaret, Brest, Plougastel et Landerneau, autant d’escales où sont chargées et livrées plus d’une vingtaine de tonnes de produits tels que des vins, du sel, des produits de la ferme, des conserves de légumes, de poissons de fruits de mer, ou de porc, des cidres, du safran, du miel, des tisanes, des confitures, des algues, des bières, des pâtes ou des pommes de terre. Selon un cahier des charges précis, quelque 700 milles sont ainsi parcourus, en une quinzaine d’escales, pour livrer 150 références de produits locaux et bios bretons à des partenaires distributeurs, de la Vendée au Trégor.

« La saline de La Galopinière a été la première au milieu des années 90 à faire revivre la grande aventure de la saliculture dans le marais breton », indique Stéphane Guichen qui a ouvert son atelier-boutique voici un an aux écluses de Morlaix (1). « Travaillée dans le respect des traditions et de l’environnement elle offre le meilleur d’une nature exceptionnellement préservée. En choisissant de produire et de transporter du sel sans émission de co², Ty an Holen se veut aussi l’ambassadeur d’un mode de vie plus durable et d’une consommation plus responsable. », poursuit-il.

Des valeurs partagées par Guillaume Legrand avec TOWT – Transport à la voile qui travaille à une meilleure connaissance de ce mode de transport, propre et durable (2). En effet, le trajet, accompli sans pétrole, ne contracte pas la dette environnementale que les transports classiques creusent chaque jour. Towt – Transport à la voile entend ainsi proposer une réponse concrète et immédiate.

Livraison et vente directe de sel, mercredi 9 juillet aux écluses du port de Morlaix

Le sel Ty an Holen arrivera à Morlaix à bord de la gabare Notre-Dame-de-Rumengol  mercredi 9 juillet prochain, aux alentours de 16h-16h30. Dix tonnes qui auront fait le tour de la Bretagne à la voile depuis Pornic (44) afin que leur empreinte carbone ne soit pas supérieure à celle des tomates du jardin sur lesquelles elles finiront !

Stéphane Guichen et l’équipage invitent  le public à venir accueillir le bateau aux écluses du port de Morlaix et à les aider à débarquer le sel en participant à une mini-chaîne humaine. Chaque participant se verra restituer sous forme d’un sac de bon sel gris l’ensemble des minéraux qu’il aura transpiré pendant l’opération.  « Il sera également possible de venir en bateau accompagner l’énorme gabare dans sa remontée de la baie et de la rivière de Morlaix. Ou amener des instruments de musique. Ou une bilig. Ou les quatre, c’est-à-dire avec une bouteille bien entendu ! », précise Stéphane Guichen. « Pour celles et ceux qui voudraient faire leur réserve à cette occasion (conserves, bains, cochons, biquettes, restaurants, boulange, fromage…) le sel sera proposé au prix de 1.10€ le kilo / sac de 25-30kg ».
 

Il ne tient qu’à nous tous d’aider à pérenniser cette ligne nord-sud-sud-nord Bretagne à la voile (3ème édition en 2 ans) pour engager notre région sur la voie de la transition énergétique.

(1)http://www.nordbretagne.fr/Ty-an-Holen-Dans-le-marais-salant-de-Stephane-Guichen_a2134.html
(2)http://www.towt.eu/par-la-seule-force-du-vent-de-nantes-a-morlaix/

 

 

Transportant du temps de son activité de gabare : bois, oignons, fraises, sel et vin, Notre-Dame-de-Rumengol, ce travailleur de la mer, est un témoin de sa mission première au 21ème siècle. Propriété de l’association An Test, le bateau transmet une culture, un patrimoine. Une souscription spéciale (1), pour la restauration du bateau est lancée auprès du grand public et des entreprises.

 

Ce transport à la voile est organisé par TOWT avec le soutien du Conseil Régional de Bretagne, dans le cadre du dispositif de modernisation de l’offre des voiliers de Bretagne.

 

  1. http://www.fondation-patrimoine.org/fr/bretagne-6/tous-les-projets-335/detail-bateau-notre-dame-de-rumengol-14483