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Recette. Cheesecake au lemon curd

Cette recette de gâteau au fromage vous est proposée avec un nappage à la crème de citron. Communément rencontré sous le nom de « cheesecake », ce gâteau trouve son origine dans la Grèce antique et a été diffusé à travers l’Europe lors des invasions romaines. Il s’est notamment imposé en Allemagne et en Pologne, et c’est la communauté juive polonaise qui l’a rendu populaire outre-atlantique dans les années 1900. Depuis, on le décline à toutes les sauces !

Ingrédients

– Pâte :

  • 200g de biscuits à la cannelle, sablés ou biscuits à thé

  • 50g de beurre mou ou margarine

  • 40g de sucre roux

– Crème :

  • 400g de mascarpone ou tofu soyeux

  • 20 cl de crème fraîche ou crème végétale

  • 5 œufs

  • 200g de sucre roux

  • 1 citron bio (jus + écorce râpée)

  • 2 cuillères à soupe rases de farine ou fécule

– Lemon curd :

  • 3 citrons bio (jus et zestes)

  • 2 oeufs

  • 60g de beurre ou margarine

  • 100g de sucre roux

Préparation

– Pâte :

Écraser finement les biscuits, ajouter le beurre et le sucre, puis mélanger. Prendre un moule rond à bords hauts, idéalement avec fond amovible, utiliser une feuille de papier de cuisson, ou graisser le moule. Répartir la pâte avec les doigts en tassant la préparation. Suivant le diamètre du moule, si la quantité est suffisante, habiller les bords. Enfourner 15 minutes à 180° (Th6). Laisser refroidir.

– Crème :

Battre avec énergie le beurre et le sucre. Casser les œufs, battre à nouveau. Ajouter la farine tout en mélangeant, puis le mascarpone, la crème et le citron. Verser le tout sur la pâte et enfourner 1 heure à 100-120° (Th4). Laisser refroidir dans le four avec la porte entrouverte.

– Lemon curd :

Faire cuire au bain-marie, à feu très doux, les œufs préalablement battus, le beurre, les citrons et le sucre. Mélanger avec une cuillère en bois jusqu’à ce que la crème soit onctueuse et épaisse. Laisser refroidir. Napper le cheesecake et réserver au frais au moins 6 heures, idéalement une nuit, ainsi il gagnera en fermeté.

 

Remarques

Pour la crème, on peut aisément utiliser divers fromages frais: fromage blanc, ricotta, fromage cottage… Le citron permet de retrouver l’ancienne saveur aigrelette procurée par la faisselle.

Le cheesecake peut également être servi avec une crème glacée, un nappage au chocolat, un coulis de fruits, ou être décoré avec des fruits frais ou secs

Le lemon curd permet aussi de confectionner des tartes au citron meringuées, ou de garnir des macarons et des gâteaux roulés. Et c’est simplement délicieux sur une tartine!

 

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A vos ciseaux : partez en cueillette avec Esprit Littor’Algues

Elles arpentent l’Estran, les rochers, les flaques à la recherche de mets savoureux, aux propriétés nutritives riches : Martine, Toun et Régine vous parlent des algues !

Les trois femmes ont créé le collectif Esprit Littor’Algues et proposent aux curieux et amateurs de saveurs iodées des rendez-vous entre Carantec et Trevou Treguignec sur la période de mars à septembre. Tout commence armé d’une paire de botte, un seau et un ciseau. Pendant 1h30, la petite troupe crapahute, inspecte le monde des algues, s’initie aux goûts et aux textures. Puis direction les fourneaux pour apprendre à marier les différentes algues à notre cuisine quotidienne.

700 variétés d’algues en Bretagne

Sur 700 variétés d’algues en Bretagne seulement 24 sont autorisées à la commercialisation en France. Cependant toutes sont autorisées à la cueillette avec certaines précautions. Aucune algue n’est nocive pour la santé au contraire néanmoins en quantité raisonnable. Chacune d’elles a des qualités nutritionnelles qui lui sont propres mais d’une manière générale les algues concentrent des protéines et des oligo-éléments. Puisqu’elles se nourrissent de nutriments qu’elles captent de l’eau de mer comme le magnésium, le potassium, le chlorure de sodium, elles en sont aussi un concentré. « Croquer l’algue », comme le dit si bien Martine, permet de profiter de cette richesse nutritive.

Lorsque l’algue devient une épice lointaine et une brosse à dent

Mais avant de les mettre dans son assiette, il faut les connaître. La couleur d’abord : rouge, brune, verte, voire bleue. Puis vient la texture : filandreuse, gélatineuse, croquante, douce. En effet l’algue est souvent utilisée pour conférer une texture plus onctueuse voire épaississante, « Dans les flans de nos grands parents notamment » partage une des participantes. « De E 400 à E 407 ce sont des produits naturels, des épaississants à base d’algues » précise Martine. Elle ajoute cependant que « ce sont les moyens d’extraction qui ne sont quand à eux pas toujours très respectueux ». La Gracilaria, une algue rouge, est notamment utilisée pour faire le gélifiant E406. La Coraline pourrait quand à elle vous servir de brosse à dent en période de pénurie.


à gauche : sargassum japonica, à droite : Rhodomela confervoides

Le goût varie quand à lui : du coquillage au piment à l’iode, plus ou moins prononcé. La Laurencia au goût vraiment parfumé fait penser aux épices des pays lointains, on se prend à rêver d’ailleurs. Pourtant celle-ci n’est pas commercialisée puisque non homologuée par la réglementation française. Seule votre cueillette peut l’amener à vos papilles.


osmundea pinnatifida

Les conditions d’une cueillette saine

La cueillette doit être respectueuse, cela passe par une paire de ciseaux. Les algues doivent être en vie, leur crampon, le pied de l’algue, bien accroché à un support (roche, sable). L’algue échouée sur la plage est une algue vouée à mourir qui perd sa fraîcheur et ses propriétés. Par ailleurs il est souhaitable de prêter attention à la réglementation en vigueur. La période de reproduction varie d’une algue à une autre, ainsi que les hauteurs de coupe, il faut donc rester extrêmement vigilant lorsque l’on part en cueillette.



Tandis que les Japonais en consomment depuis 10 000 ans et mangent une moyenne de 7 à 9 kilo par an et par personne, la consommation française d’algues serait de l’ordre de 100g par personne sur un an. Les organismes de santé conseillent quand à eux d’en manger 20g par jour, c’est à dire de l’ordre d’une poignée. Martine, Toun et Régine proposent donc après la récolte de filer dans la cuisine pour les inviter dans nos plats. Du beurre et du pain aux algues, des tartares de Nori, Bulse et Ulve aromatisés de citron, des tiramisus aux algues….Les idées sont légions et l’ambiance chaleureuse décomplexe toutes les initiatives !

Chacune possède son contact personnel :
Martine avec Escapade Glas
T
oun’ avec TounNature
R
égine avec Algues & Co

 




Deux guides pour mieux consommer et mieux se nourrir

Comment consommer et se nourrir de façon responsable quand on est jeune ? Afin d’obtenir des réponses à ces questions, la Maison de la Consommation et de l’Environnement – Centre Technique Régionale de la Consommation de Bretagne et la Direccte (Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi) ont édité deux livrets, baptisés « Réflexes alimentaires » et « Réflexes conso ».

« Réflexes conso » et « Réflexes alimentaires », c’est le nom de deux livrets issus d’un travail mené par la Maison de la Consommation et de l’Environnement – Centre Technique Régional de la Consommation de Bretagne et la Direccte de Bretagne (Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi). Tous deux à destination des jeunes bretons, qu’ils soient étudiants, demandeurs d’emploi ou jeunes travailleurs, ils ont pour objectif de fournir les clés pour mieux consommer et se nourrir de manière saine équilibrée.

Ainsi, le guide « Réflexes conso », qui a été conçu également avec le Crij (Centre Régional d’Information Jeunesse Bretagne) présente de nombreuses informations pour être un « consommateur averti et informé ». Recherche de logement, choix de l’énergie, accès à internet, achats en ligne, permis de conduire, voyages, banques, assurances…font parties des rubriques présentes dans le livret.

Le guide « Réflexes alimentaires «  donne quand à lui les clés pour se nourrir de façon équilibrée, plus sainement et sans se ruiner. Il fait le point sur les sources d’énergie, les compléments alimentaires, la gestion du budget, la cuisine respectueuse de l’environnement et « responsable »…Il donne également des informations pour mieux décrypter les étiquettes, ranger de façon judicieuse ses denrées dans le frigo, et éviter le gaspillage alimentaire.

Destiné en priorité aux jeunes (mais pas que!), ces guides sont disponibles en téléchargement sous forme de livrets interactifs sur le site de la Maison de la Consommation et de l’Environnement et de la Direccte Bretagne.

Pour aller plus loin

http://www.mce-info.org/




COP Bretagne : quels enjeux? Entretien avec Laurent Labeyrie

«  Cette COP Bretagne est une grosse ambition pour la région »

 

Laurent Labeyrie est géochimiste, paléo-océanographe, membre du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) et coprésident de l’association « Clim’action Bretagne Sud ». Il nous confie ses impressions concernant la COP (Conférence des Parties) Bretagne.

 

Eco-Bretons : Quelle était votre impression en sortant de la COP ?

Laurent Labeyrie : Cette COP Bretagne est une grosse ambition pour la région et a donc suscité espoirs et regrets. Il ne faut pas s’arrêter en 2018, le vrai challenge se présentera en 2030. Le message doit être : Attention, 2018 est la date du premier texte mais pas de la fin de l’exercice.

 

EB : Pourquoi une COP régionale ?

L.L. : L’échelle nationale n’est pas adaptée car l’impact du changement climatique n’est pas le même suivant les régions. Même au sein de la Bretagne, le changement ne sera pas le même en Bretagne Nord, Centre et au Sud.

Autre exemple, la région péri-méditerranéenne qui sera soumise, entre autres, à des problèmes de sécheresse (les scénarios optimistes prévoient une augmentation de 2 à 2,5°C d’ici 2070, ndlr), et à des problèmes humains liés aux mouvements migratoires provoqués par le changement climatique dans les pays alentour. Ceci alors que, d’une manière générale, la façade Atlantique sera moins impactée par le changement climatique.

 

EB : Pensez-vous que tous les acteurs étaient bien représentés ? Les industriels aussi ?

L.L. : L’industrie française est en train de rater le virage économique (lié à la transition environnementale, ndlr). L’économie bretonne continue à s’appuyer sur de grosses industries conventionnelles. Il n’y a pas assez d’initiatives pour soutenir les PME et les financer.

 

EB : Quelles sont vos impressions sur la table ronde à laquelle vous avez participé ?

L.L. : Les gens sont conscients du problème mais ne partagent pas forcément la même vision sur les moyens d’agir. Le problème de la Bretagne est l’aménagement du littoral et l’agriculture, au sujet desquels les positions des divers acteurs sont tranchées et parfois contradictoires.

 

EB : Quelle est l’étape suivante ?

L.L. : Les acteurs sont venus par curiosité, mais les grands choix économiques sont déjà faits. Le travail à long terme est important, et beaucoup de participants, particulièrement les politiques, sont susceptibles de ne penser qu’en court terme.

Il s’agit dont de continuer à informer, rassembler, innover, afin de mitiger les impacts du changement climatique sur la région, et s’ouvrir aux opportunités offertes par la transition.

 

EB : Quel sera l’impact des changements climatiques en Bretagne ?

L.L. : Il n’y aura pas d’impact dramatique, contrairement au Sud et aux milieux continentaux. Par contre, il y aura une exacerbation des problèmes actuels : des tempêtes de plus en plus fréquentes et violentes (autour de 220 km/h), des pics de froid autour de -15/-20°C (ils seront très rares, mais restent possibles, bien que moins fréquents que dans l’Est de la France et en Allemagne), des coups de chaud autour de 40°C, des sécheresses, la montée des mers.

Ces problèmes sont gérables si l’agriculture réduit ses besoins en eau pendant l’été, si les villes aménagent plus d’espaces verts, si les zones de cultures sont situées plus à proximité des centres pour éviter le transport…

D’une manière générale, la Bretagne a cette chance de subir un impact plus modéré que d’autres régions, ce qui permet d’investir les moyens dans l’adaptation au changement et non dans la gestion de catastrophes.

En ce qui concerne la montée du niveau des mers, elle risque d’aller jusqu’à un mètre en moyenne (sans compter les surcotes de tempête) avant la fin du siècle. Les villes côtières doivent donc réfléchir localement à l’adaptation de leurs structures en zones dangereuses et ne pas délivrer de permis de construire pour des zones à moins de 80 cm au-dessus du niveau de haute mer.

Il y a encore des municipalités qui ne prennent pas en compte ces directives et pensent installer des digues. Cette solution est chère et peu fiable puisqu’elles sont susceptibles de céder ; de plus elles demandent de très grosses dépenses de fonctionnement et entretien. La concertation locale est importante pour éviter les drames comme celui de la Faute-Sur-Mer. Je suis pour que les citoyens puissent poursuivre les élus qui n’ont pas pris les bonnes décisions, car ils ont toutes les informations pour le faire.

 

Pour aller plus loin :

 

Présentation de la COP régionale Bretagne

L’événement a eu lieu à Saint-Malo le jeudi 9 mars. Il a démarré par une table ronde et s’est poursuivi l’après-midi par des ateliers sur six thématiques différentes. De nombreux acteurs locaux étaient réunis lors de cet événement baptisé Carrefour des Transitions. Il faisait suite aux quatre conférences environnementales co-présidées par l’Etat et la Région. Les spécialistes ont échangé librement afin de dresser un tableau de la situation actuelle et réfléchir à des solutions à court et long terme. « Comme la COP21, qui avait réuni les acteurs du climat pour un accord historique entre 195 États, la COP régionale a pour ambition d’associer, en Bretagne, toutes les parties prenantes, de la transition écologique et énergétique », explique le site de l’événement.

Concrètement, le but est d’ouvrir un cahier des engagements, accessible aux Bretonnes et aux Bretons, qui proposera des actions, réalisable par tout un chacun. Un comité scientifique suivra l’ensemble de la démarche. Un événement citoyen est aussi envisagé fin 2018.




L’ide sortie. Un repas « Récup’festif » avec les Temps-Bouilles à Lanmeur

Les Temps-Bouilles, association morlaisienne qui travaille sur un projet de mise en place d’une ressourcerie alimentaire, organise ce samedi un « Repas Récup’ Festif » à la Salle Steredenn à Lanmeur. Objectif : récolter des fonds afin de financer une étude de faisabilité pour le projet.

L’association Les Temps-Bouilles est née en mai 2016, avec pour objectif de sensibiliser et lutter contre le gaspillage alimentaire. Elle porte un projet de mise en place de ressourcerie, autour de quatre axes : un « restau’ récup » le midi intégrant la casse des producteurs et des supermarchés, une « cantine solidaire » le soir avec les excédents des cantines collectives, une épicerie à prix libre avec les surplus et produits transformés sur place, et un atelier de transformation s’appuyant sur un chantier d’insertion. Le tout avec un fonctionnement participatif : il est prévu que les adhérents, en échange de trois heures de bénévolat par mois en collecte, cuisine, gestions des stocks ou service accèdent en échange à des tarifs préférentiels pour les restaurant et les autres services.

En 2016, Les Temps-Bouilles ont participé à plusieurs évenements sur le territoire : fête de lancement de la monnaie locale Le Buzuk, « Faites Noël » aux Chiffonniers de la Joie, Forum Zéro Déchets Zéro Gaspi…Ce sont ainsi près de six tonnes d’aliments détournés des poubelles qui ont été collectés de 17 structures, pour concocter plus de 500 repas, servis par quelques 120 poubelles. Pour permettre à l’association de poursuivre son action, un « repas récup’ festif » est organisé samedi 25 mars à Lanmeur, afin de récolter des fonds pour financer l’étude de faisabilité de la ressourcerie alimentaire. Au programme de la soirée : un repas essentiellement végétarien, servi de 19h à 21h, avec des animations musicales et une scène ouverte. Le prix du repas est fixé à 10 euros pour les adultes et à 4 euros pour les moins de 16 ans. Une marmite-tirelire sera également à disposition pour récolter des dons, et ainsi aider un peu plus l’association qui espère ainsi pouvoir démarrer l’étude de faisabilité, nécessaire à l’obtention de financements pour pouvoir installer la ressourcerie de façon pérenne.

Plus d’infos sur la page facebook des Temps Bouilles : https://www.facebook.com/LesTempsBouilles/?fref=ts




« A livre ouvert » : un ouvrage sur le Groupe d’entraide Mutuelle de Redon

Alors que la Semaine de la Santé Mentale se déroule jusqu’au 26 mars, Le Groupe d’Entraide Mutuel (Gem) de Redon est à l’honneur dans un ouvrage intitulé « A livre ouvert », réalisé à l’occasion des dix ans de la structure. Il regroupe les témoignages d’adhérents et de leur famille, de salariés du Gem, et de personnels médicaux.

Créé grâce à la loi du 11 février 2005, Les Groupes d’Entraide Mutuelle (Gem) ont pour objectif de permettre aux personnes en situation de fragilité psychologique de se rencontrer et éviter ainsi l’isolement, de sortir du tout-médical et d’organiser ensemble des activités. Il y a actuellement en France près de 400 Groupes, répartis sur toute la France. En Bretagne, on en trouve 23, répartis sur les quatre départements.

Pour son dixième anniversaire, qui a eu lieu en novembre 2016, le Groupe d’Entraide Mutuelle de Redon (35) a souhaité faire paraître un livre de témoignages, afin de mettre en lumière l’expérience de la structure, son utilité, et aider à mieux comprendre en quoi consiste un Gem. Pour cela, le groupe a été accompagné par Singuliers Collectifs, une structure du Pays de Redon qui « accompagne les associations, les entreprises et les collectivités dans leurs projets, avec l’objectif de valoriser les organisations par le récit de celles et ceux qui les font vivre, et ce sous différentes formes : ouvrages, expos, causerie, ciné-débats… ».

Résultat : l’ouvrage retrace l’historique du Groupement d’Entraide de Redon, sur dix ans, à travers de nombreux témoignages collectés lors d’entretiens individuels ou de tables-rondes, par les membres du Gem eux-même. Les adhérents, mais aussi leur famille, ainsi que le personnel médical (psychologues notamment), sans oublier les salariés actuels et anciens du Gem, y apportent souvenirs et anecdotes. Accompagné de photos, le livre offre un éclairage sur le fonctionnement d’un Gem et sur les personnes qui sont les chevilles ouvrières de ce type de structure. Il donne également à voir le ressenti des adhérents qui y sont accueillis. Catherine, Thierry, Philippe, Danielle et les autres y racontent leur arrivée, leur premiers pas dans le groupe, l’accueil des nouveaux venus, les sorties en groupe…L’extrême richesse des rencontres, l’importance du « partage » et la création du lien social transparaissent dans tous les témoignages. C’est une véritable aventure humaine qui est ainsi mise à l’honneur par le biais de l’écrit, et qui permet d’en savoir plus sur les Gem, structure encore trop peu connues du grand public.

Plus d’infos

http://cae35.coop/coopentrepreneurs/2112/singuliers-collectifs