Fret à la voile entre patrimoine maritime et empreinte carbone moindre : Ty an Holen s’implique

« Je suis actuellement sur le marais salant sans accès internet et ne pourrai vous répondre avant jeudi 8 juin. » répond la messagerie automatique de Stéphane Guichen. Pas facile à joindre. Pourtant l’information circule : la Nébuleuse, un ancien thonier, achemine 10 T de sel dimanche 11 juin au port de Morlaix. Stephane Guichen en est l’instigateur en compagnie du Buzuk la monnaie locale du pays de Morlaix.

Stéphane Guichen : un homme au goût de sel

Stephane Guichen, saunier en vallée de Bourgneuf commercialise son sel dans sa boutique Ty an Holen située rue du bas de la rivière à Morlaix depuis quelques années déjà. Une production entièrement bio qu’il agrémente des plantes aromatiques de son jardin au grès des produits. Il produit chaque année une dizaine de tonnes de sel. Sa démarche porte également une attention au moyen d’acheminement des marchandises et s’est arrêtée sur le moyen de locomotion traditionnel : le fret à la voile. « Le sel a toujours voyagé par bateau, pourquoi ne pas adopter ce moyen de transport ? » déclare le producteur qui explique ce choix comme solution pour réduire l’empreinte carbone du transport des marchandises. Un sujet qui lui tient à cœur.

Impliquer le patrimoine maritime dans l’affrètement des marchandises : entre réduction de l’empreinte carbone et charme de l’ancien

Et puis ce ne sont pas n’importe quels bateaux qui transportent les marchandises ! En 2014, Notre Dame de Rumengol, une gabare (bâtiment maritime dédié au transport de marchandise) de 1945 classée monument historique avait déchargé 10 T de sel à Morlaix, dimanche prochain ce sera au tour de la Nébuleuse, un thonier de 1948 classé bateau d’intérêt patrimonial, des beaux échantillons du patrimoine maritime breton.

« Le Reder Mor, Amzer zo et un yacht serviront d’espace scénique aux animations de la journée. C’est important que les gens présents puissent monter à bord » développe l’audacieux producteur qui garde en mémoire certaines manifestations nautiques qui réservent les bateaux aux propriétaires.

Et le Fret à la voile c’est cher ? « A titre de comparaison par la route c’est 10 ct d’euros par kilomètre pour un kilo tandis que par la mer cela revient à 40 ct d’euros par kilomètre par kilo de sel, c’est à dire 4 fois plus cher. » Sa décision émerge d’une réelle volonté éthique.
A l’aide de l’outil http://voyage.chiffres-carbone.fr nous avons calculé l’empreinte carbone si Ty an Holen avait décidé d’utiliser la route : 26,62 kg eq CO2 pour un aller. Effectivement l’intérêt écologique apparaît clairement, au détriment de l’intérêt économique.

D’autres projets que Stephane Guichen mène avec des bateaux : le transport deux fois par an de 1 à 2 Tonnes de sel par le André-Yvette, une gabare de 1936 qui transportait à l’origine du maërl, des galets et des blocs de ciments pendant la reconstruction de Brest. Un projet qui inclut des jeunes en rupture « depuis 2014, l’objectif de la navigation est de venir chercher ce sel et de le livrer (…) cela donne aux jeunes une approche autre que celle de la navigation croisière, plus concrète ». Le transport est à cet effet offert.

Rendez-vous dimanche 11 juin pour décharger le bateau !

Venez déchargez de manière traditionnelle les sacs de sel dès dimanche matin dans une grande chaîne humaine ! Un marché de commerçants, des concerts, conférences, contes et autres animations accompagneront l’arrivée du chargement. >> LE PROGRAMME DETAILLE ou plus d’informations sur le Facebook du Buzuk.

Réecouter ce petit reportage audio de Stephane Guichen expliquant sa démarche, réalisé par Eco-bretons en 2013.




Mon Restau Responsable, pour une restauration collective plus éco-responsable

L’initiative Mon Restau Responsable a été lancée par la Fondation Nicolas Hulot et le Réseau Restau’Co en 2016. C’est un outil qui permet à toute collectivité qui le souhaite de gérer sa restauration de façon plus éco-responsable. Chloé Le Doledec, service civique au Réseau Cohérence en charge de l’initiative pour la région Bretagne, nous parle de ce que cette initiative apporte à ceux qui travaillent en cuisine tout comme à ceux qui consomment leur production.

Est-ce que l’initiative Mon Restau Responsable est une forme de label, comme par exemple le label bio, et est-ce qu’elle s’appuie de la même façon sur un cahier des charges strict ?
Non, ce n’est pas du tout le but de notre démarche. Il n’y a pas de cahier des charges ni d’organisme extérieur qui vient auditer pour décider si le label doit être accordé. Nous sommes une initiative d’amélioration. Nous fournissons un autocollant « Ici Mon Restau Responsable s’engage » mais ce n’est pas un label ni une certification. C’est la volonté de faire des efforts du restaurant qui est jugée, pas le résultat.
Il y a une garantie à la fin de la période de mise en place des engagements mais c’est une garantie participative sous forme d’un vote du public présent.

Comment se passe la mise en place du projet ?
Pour commencer, nous encourageons les responsables qui s’intéressent à l’initiative à remplir un questionnaire en ligne, qui fait environ 160 questions.
Cela prend approximativement une heure. Ce questionnaire permet d’évaluer de façon claire et rapide l’impact environnemental de l’activité d’une cuisine. Tout est considéré, depuis la nature et la provenance des ingrédients jusqu’aux produits d’entretien. À chaque question correspond une petite jauge. Quand elle est au rouge, cela signifie que l’impact environnemental est plutôt lourd. L’objectif serait de la faire passer au vert. Il n’y a pas de « mauvais élèves », l’idée est d’essayer d’améliorer la situation autant que possible suivant les contraintes auxquelles est soumis le restaurant. Une fois le questionnaire complété, je contacte la personne qui l’a rempli et, si elle souhaite continuer la démarche, une visite technique a lieu. Il est important de souligner encore une fois que cette visite n’est pas un audit. Elle est effectuée bénévolement par un autre acteur de l’initiative, souvent un chef de cuisine qui a lui-même appliqué l’initiative dans son propre restaurant. À l’issue de la visite, ensemble, ils discutent des améliorations possibles.

Comment ces améliorations sont-elles déterminées ?
Il y a quatre piliers autour desquels s’articulent les changements possibles. Le premier est le bien-être. Celui des convives, comme celui du personnel de cuisine. Cela implique les conditions de travail ainsi que l’impact des menus proposés sur la santé des consommateurs. Ensuite, il y a « l’assiette responsable », qui se concentre sur l’impact environnemental des aliments (méthodes de production, empreinte carbone du transport, etc.). Puis il y a les « éco-gestes », à savoir l’impact environnemental de la gestion de la cuisine : il s’agit de regarder si les produits d’entretien sont nocifs, s’il y a beaucoup de gaspillage alimentaire… Enfin, il y a « l’engagement social et territorial ». Cette partie concerne l’égalité d’accès au restaurant (avec par exemple des prix adaptés au quotient familial), l’égalité des opportunités de travail dans les cuisines (embauche de personnel handicapé, etc.), et le soutien de l’activité économique locale dans l’approvisionnement (contrats avec des producteurs locaux, etc.).

Est-ce que le prix du menu est affecté par les objectifs d’amélioration d’un restaurant ?
Beaucoup de leviers peuvent être actionnés pour contrôler les coûts, et le prix du repas n’est que l’un d’entre eux. Il est donc possible d’apporter des améliorations internes sans que les usagers paient plus cher pour autant.

Et après cette visite technique, que se passe-t-il ?
On organise une séance d’engagements publique.
Tout d’abord, les responsables du restaurant vont inviter un public, composé des diverses parties prenantes (usagers, fournisseurs, producteurs, associations locales…) à venir visiter la cuisine. Le personnel de cuisine leur en explique le fonctionnement. Ensuite, il y a une présentation durant laquelle l’impact environnemental actuel du restaurant est expliqué, ainsi que les mesures d’amélioration que le restaurant s’engage à prendre sur la base des quatre piliers. À la fin de la présentation, il y a une session de questions-réponses avec le public.
À l’issue de la prise d’engagements, le restaurant reçoit le logo « Ici Mon Restau Responsable s’engage », qui lui permet de communiquer sur sa démarche. Il a deux ans pour réaliser les objectifs qu’il s’est fixés, puis une autre réunion est organisée et c’est le public qui va garantir, avec un vote, que le restaurant a réellement progressé. Il s’agit d’une garantie participative, qui ne vaut que si le restaurant prend de nouveaux engagements.

Quel est votre rôle tout au long de la mise en place de l’initiative ?
Nous fournissons les outils comme le questionnaire de départ ou la visite technique, ainsi qu’un conseil sur les engagements si nécessaire. Ensuite, pendant la séance d’engagement, nous pouvons apporter notre aide dans l’organisation de la présentation. Certaines personnes peuvent ne pas savoir comment faire un powerpoint ou ne pas aimer parler en public par exemple, nous sommes là pour les aider s’ils le souhaitent. Mais cela demeure leur projet, sous leur contrôle.
Nous pouvons aussi proposer d’inviter des associations locales, comme par exemple des producteurs bio qui souhaiteraient travailler avec le restaurant, ou d’autres responsables de restaurants alentour qui sont tentés par l’initiative mais souhaitent observer d’abord une prise d’engagements. Nous facilitons la mise en place du projet et fournissons les outils mais ce sont les responsables qui décident de jusqu’où ils veulent aller, et ce sont les usagers qui décident si l’initiative a été suivie. L’idée est de mettre en place une dynamique vertueuse pour que les restaurants essayent constamment de s’améliorer, de façon autonome et suivant leur bon vouloir.

Pouvez-vous nous décrire une séance d’engagement publique ?
Dernièrement, j’ai assisté à une prise d’engagement pour une cantine scolaire. Le maire était là, ainsi que les professeurs, les parents et les élèves. Un petit goûter était organisé avec des gâteaux faits en cuisine, c’est très convivial. Les parents d’élèves étaient intéressés par la visite de la cuisine de l’école. Cela leur a permis d’échanger avec le personnel de cuisine. C’était également intéressant et valorisant pour le personnel de cuisine.
D’une manière générale, cette initiative crée du lien social.

Pour aller plus loin
www.restauration-collective-responsable.org

Grand jeu, projections et ateliers : Morlaix Communauté s’agite pour la semaine du développement durable

Comme chaque année la semaine du développement durable est l’occasion de sensibiliser les citoyens aux enjeux des transitions, à l’importance de gestes simples et d’un mouvement commun. A cet égard les citoyens sont aussi invités à échanger sur les avancées de leurs territoires et leurs attentes.  Morlaix Communauté investit le territoire d’animations du 31 mai au 5 juin.

Un grand jeu interactif au roudour le 31 mai

Le lancement de la semaine du développement durable se fera au Roudour de 18h à 20h avec un grand jeu interactif sur le thème « Connaissez vous votre territoire ? ». Les participants seront répartis par équipe et s’affronteront sur un quiz à l’aide d’une zapette. L’occasion de tester ses connaissances sur les différentes actions du territoire : biodiversité, consommation, déchets, énergie…

Cette compétition amicale sera suivie d’un pot préparé par l’association des Temps-Bouilles !

Projections et ateliers à Pleyber Christ et au cloître Saint Thégonnec le 2 et 3 juin

Des temps d’échanges seront organisés à Pleyber Christ et au cloître Saint Thégonnec sur la journée du samedi. Sur le thème des « Plantations partagées » au Parc de Lostwithiel à Pleyber Christ à 11h et à la salle multifonctions (près de la mairie) au cloître Saint Thégonnec avec pour sujet « Quelles mobilités pour les territoires ruraux ? Quelles alternatives au tout voiture individuelle pourraient être mises en place ? » à 18h. Entrée Libre

Ecobretons animera également un ciné causerie sur le film « Demain » dans chacune des deux communes, le 2 juin à Pleyber Christ et le 3 au cloître Saint-Thégonnec. Les séances débuteront à  20h00. Gratuit

Une exposition de Yann Arthus Bertrand

En parallèle une exposition de Yann Arthus Bertrand sera dévoilée à la salle Anjela Duval à l’Espace Porz Ruz de Pleyber-Christ sur les horaires d’ouverture de la médiathèque jusqu’au 9 juin.

Le programme est également à retrouver ICI




Centrale de Landivisiau : Appel à la manifestation suite à la décision de la Commission européenne

Le projet de la centrale à gaz de Landivisiau soutenue par la municipalité, la région, l’Etat français est à présent soutenu par l’Europe. La Commission européenne vient en effet d’accepter ce lundi 15 mai le versement par l’Etat français d’une aide annuelle  sous certaines conditions. Cette décision relance sérieusement le projet de la centrale et a surpris les associations. Landivisiau doit dire Non à la centrale et Force 5 appellent à se rassembler samedi 20 mai à 10h sur le champ de foire à Landivisiau.

Nouveau rebondissement dans l’affaire de la centrale à gaz de Landivisiau lundi 15 mai dernier puisque la « Commission européenne vient de valider, sous certaines conditions, la prime de capacité annuelle qui sera versée à la Compagnie Electrique de Bretagne (…) dans le cadre de la construction et l’exploitation d’une centrale à gaz à Landivisiau (Bretagne) »1 annonçait le communiqué de presse de Direct Energie -Siemens, en charge du projet, ce lundi 15 mai.

Le lancement du chantier avait été suspendu en novembre 2015 suite au lancement d’une enquête par la Commission européenne. Celle ci souhaitait quantifier les besoins réels de la région Bretagne en énergie et vérifier que le principe de libre concurrence était respecté.  L’analyse est visiblement concluante puisqu’elle a décidé d’appuyer la construction de la centrale à gaz à Landivisiau.

800 millions d’euros de subventions publiques par l’Etat français

La décision de la commission européenne octroie à l’Etat français le droit de verser un montant de 94 000 euros/Mégawatt sur une durée de 20 ans. Financée par le consortium privé Direct Energie- Siemens pour un montant compris entre 300 et 400 millions d’euros, cette centrale de 450 mégawatt sera soutenue de 42 millions par an, c’est à dire un montant total de subventions publiques approchant 800 millions sur 20 ans.

Ce versement s’effectuera sous réserve d’une condition établie par la Commission Européenne : le CEB ne doit pas vendre l’électricité produite dans la centrale sur la base « contrats à long terme à des entreprises détenant plus de 40% du marché français de la capacité de production électrique » ce qui revient à parler d’EDF sur le territoire français.

Cinq recours encore en attente dont l’ICPE seront traités par le tribunal administratif de Rennes

Un des recours mené par l’association de Plougasnou Force 5 a été rejeté ce lundi par la cour administrative d’appel de Nantes. Jean Yves Quéméneur, président de l’association Force 5 s’interroge sur la décision de la cour et estime « que la décision joue sur les statuts alors les statuts sont très clairs ». Ce recours visait à annuler l’accord ministériel autorisant Direct Energie -Siemens à exploiter la centrale. La cour a estimé que les statuts associatifs de Force 5 ne légitimitaient pas ce recours. Selon Jean Yves Quéméneur « Force 5 en a pourtant le droit, c’est une association d’environnement qui défend l’environnement ».

Cinq autres recours sont également en attente de jugement. Quatre d’entre eux passeront devant le tribunal administratif de Rennes le mercredi 24 mai : le permis de construire, le petit gazoduc, le grand gazoduc et la ligne à Très Haute Tension.  Jean Yves Quéméneur précise que le recours ICPE (Installation classée pour la protection de l’environnement) à subitement été retiré et sera traitée à part « pour une raison qui n’est pas claire ».

Le président regrette un manque de transparence sur certaines décisions mais il appui la détermination du mouvement « Nous restons confiants sur les différents recours et nous restons des opposants fermes et solides » . En effet la mobilisation tient bon du côté de Landivisiau qui s’est solidarisée pour récolter des fonds depuis l’annonce du projet en 2012 : Fest-Noz, Crowndfunding à raison de 8 000 euros, ce qui leur permet d’assurer leur défense par Alexandre Faro, ancien avocat de Greenpeace. « Les actions de terrain, le courage de tous, Landivisiens, gens des Monts d’Arrés et gens du territoire fédèrent le mouvement » se félicite Jean Yves Quéméneur, qui appelle par ailleurs à continuer à se mobiliser de manière respectueuse.

Dans le cas où les recours seraient rejetés, Les Landivisiens épaulés des associations auraient deux mois pour estimer si oui ou non l’action vaut la peine d’être continuée et menée en pourvoi en cassation au Conseil d’Etat, une des solutions envisagée par l’avocat du dossier.

Appel à Manifestation

Landivisiau doit dire Non à la centrale et l’association Force 5 appellent à se rassembler ce samedi 20 mai à 10h00 sur le champs de foire à Landivisiau.

Les associations appellent également à la mobilisation le 24 mai à 10h30 devant le tribunal administratif de Rennes, jours où seront traités quatre des recours encore en attente. Les organisateurs appellent à une manifestation respectueuse qui ne doit pas entraver le jugement du tribunal administratif.

 

Rappel du projet de construction d’une centrale à gaz en Bretagne

L’origine du projet remonte à la signature entre l’Etat et la région Bretagne du Pacte électrique Breton, en 2010, reposant sur trois axes majeurs  dont celui de la « La sécurisation de l’approvisionnement » avec « l’implantation d’une unité de production électrique à l’Ouest de la Bretagne ». Le 29 février 2012, Eric Besson, ministre de l’industrie a annoncé que le choix de l’Etat se tournait vers la commune de Landivisiau. Si la construction aboutit, la centrale serait alimentée grâce à l’importation de gaz venu de pays étrangers puisque la France ne dispose pas de réserves naturelles. La construction de la centrale s’accompagne donc d’une succession d’aménagements comme un petit et un grand gazoduc ainsi qu’une ligne à Très Haute Tension qui devrait traverser la vallée de l’Elorn, une vallée classée zone nature 2000.




Reportage vidéo : Mon logement dans tous ses états #3

Fabriquer ses produits cosmétiques naturels, c’est ce que Céline vous enseigne au travers de ses ateliers !

Organisé par le CCAS, la journée « Mon logement dans tous ses états » a pu voir le jour le 28 mars dernier afin d’informer ses adhérents sur les astuces à mettre en place au quotidien pour améliorer son logement et son cadre de vie, les différentes associations brestoises ont émis le souhait de mettre en place ce temps fort logement.

Les structures associatives et institutionnelles brestoise se sont concertées dans le cadre du RésO, afin de mettre en place des actions pour résoudre les difficultés rencontrées par leurs adhérents. Pilotés par le CCAS de Brest , les groupes de travail s’articulent autour de 8 thématiques (Communication, Accompagnement Vers et Dans le Logement, bien-être, prévention des conduites à risque, la place de l’animal dans l’accueil et l’accompagnement, développement de la vie associative, vieillissement et précarité, accès aux soins).

Le groupe AVDL « Accompagnement Vers et Dans le Logement » ont fait remonter les différents problèmes sur la thématique du logement afin de mettre en place des pistes de travail et des actions comme : un atelier de fabrication de produits ménagers, une exposition itinérante sur les Eco-gestes, une plaquette d’aide à l’installation dans le logement. Vient s’ajouter à ces actions, le temps fort logement : « Mon logement dans tous ses états ».

Nous avons couvert cette journée pour vous et avons parcouru les différents ateliers de ce temps fort logement : S’informer pour réduire sa consommation d’énergie et ses déchets, Réaliser sa peinture naturelle d’intérieur, Fabriquer sa lessive, Créer son luminaire, Fabriquer sa jardinière, Apprendre à réparer. Durant 6 semaines, nous allons publier tous les mercredis une interview vidéo des intervenants.

 




Reportage vidéo : Mon logement dans tous ses états #2

3:30 pour promouvoir les jardins et le compost partagés, l’association bretonne « Vert le Jardin » vous présente ses actions !

Organisé par le CCAS, la journée « Mon logement dans tous ses états » a pu voir le jour le 28 mars dernier afin d’informer ses adhérents sur les astuces à mettre en place au quotidien pour améliorer son logement et son cadre de vie, les différentes associations brestoises ont émis le souhait de mettre en place ce temps fort logement.

Les structures associatives et institutionnelles brestoise se sont concertées dans le cadre du RésO, afin de mettre en place des actions pour résoudre les difficultés rencontrées par leurs adhérents. Pilotés par le CCAS de Brest , les groupes de travail s’articulent autour de 8 thématiques (Communication, Accompagnement Vers et Dans le Logement, bien-être, prévention des conduites à risque, la place de l’animal dans l’accueil et l’accompagnement, développement de la vie associative, vieillissement et précarité, accès aux soins).

Le groupe AVDL « Accompagnement Vers et Dans le Logement » ont fait remonter les différents problèmes sur la thématique du logement afin de mettre en place des pistes de travail et des actions comme : un atelier de fabrication de produits ménagers, une exposition itinérante sur les Eco-gestes, une plaquette d’aide à l’installation dans le logement. Vient s’ajouter à ces actions, le temps fort logement : « Mon logement dans tous ses états ».

Nous avons couvert cette journée pour vous et avons parcouru les différents ateliers de ce temps fort logement : S’informer pour réduire sa consommation d’énergie et ses déchets, Réaliser sa peinture naturelle d’intérieur, Fabriquer sa lessive, Créer son luminaire, Fabriquer sa jardinière, Apprendre à réparer. Durant 6 semaines, nous allons publier tous les mercredis une interview vidéo des intervenants.