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Kerozar, là où se prépare l’avenir écologique du territoire

Durant toute la journée du jeudi 31 mai, dans le cadre de leur stage collectif sur le développement durable, les élèves de 1ère Sciences et technologies de l’agronomie et du vivant/STAV du lycée de Suscinio sont allés à la découverte d’un lieu et de ses occupants : Kérozar (nom du hameau où il se situe), un endroit où se prépare la transition écologique et l’économie sociale et solidaire du territoire. Ainsi, les jeunes éco-reporters ont pu y rencontrer plusieurs acteurs qu’ils ont interviewés et photographiés.

 

Durant ces 2 jours et demi de stage, les élèves ont été accompagnés par Marie-Emmanuelle Grignon, journaliste au webmédia associatif Eco-bretons, Tanguy Coat, bénévole et ancien service civique de l’association et Laurence Mermet enseignante en éducation socioculturelle.

 

Les 28 élèves présents se sont répartis en sept équipes pour lesquelles ils ont choisi des noms très évocateurs : les protozoaires en colère, les pieds sur la table, le kyste à Nanard, Albert reporter, la secte des fumiers, la 20’ centimes et les Insoumis sauvages !

Ils se sont ensuite répartis les sujets parmi lesquels le magnifique site de Kerozar, écrin de verdure où  derrière le château, se cache presque la Maison de l’Economie sociale et solidaire dont ils ont rencontré des représentants.

 

Les deux vaillantes équipes « La secte des fumiers » et « la 20’centimes » sont parties à la rencontre des habitants chlorophylliens du parc de Kerozar et de son bois.

 

 

Puis, l’ADESS, Association de Développement de l’Economie Sociale et Solidaire du Pays de Morlaix  un réseau qui regroupe  une trentaine d’adhérents dont certains ont leur siège à Kerozar.

Baptiste et Chloé, deux chargés de mission ont présenté aux élèves les missions de l’ADESS, notamment la promotion de l’économie circulaire et l’animation territoriale. Les deux équipes  Les  protozoaires en colère et Les pieds sur la table vous proposent de lire leurs interviews et portraits.

De leur côté, l’équipe Les kystes à Nanard a rencontré Clément et Théo qui effectuent leur service civique à l’ADESS où ils sont chargés de la communication événementielle.

 

Ensuite, l’équipe Les pieds sur la table, a de son côté interviewé Vincent et Damien, deux porteurs de projets accompagnés par la structure TAG29,  un propulseur d’entrepreneuriat collectif qui accompagne à différents stades des porteurs de projet.

 

Enfin, l’équipe des Insoumis Sauvages s’est penchée sur le Buzuk, une monnaie locale complémentaire créée depuis près de deux ans. Ils ont rencontré Vincent et Malo, deux autres personnes en service civique qui leur ont tout expliqué et montré les fameux billets…

 

 

Equipe « Albert Reporter » (Camille Gallou, Gaëdic Duménil, Gwen Robert, Corentine Léon–Bourven, Goulven Mer)

 

A l’occasion de la Semaine du Développement Durable, nous publierons chaque jour un nouvel article écrit par les lycéens.




Apiformes, un réseau au service des abeilles

Le réseau Apiformes a été créé en 2009 par l’INRA d’Avignon. Il y a au moins un lycée agricole par région qui y participe. Ce réseau étudie l’évolution et le comportement de l’abeille grâce au rapport fourni par les établissements d’enseignement agricole en leur apportant des équipements afin d’analyser les apiformes. Les abeilles sont très importantes puisqu’elles sont au centre de la biodiversité.

 

Qu’est-ce que le réseau Apiformes ?

Le réseau Apiformes est un réseau d’observation et de formation sur les abeilles et la pollinisation dans l’enseignement agricole qui a été créé en 2009, par l’INRA à Avignon. Il permet de faire prendre conscience aux enseignants et aux élèves des lycées agricoles de l’importance du rôle des abeilles dans l’environnement et à la création, dans toute la France, d’un réseau d’acquisition de connaissances sur les apiformes, avec des observations répétées dans le temps. C’est-à-dire de récolter un maximum d’informations sur l’évolution des abeilles.

 

Qu’est-ce qu’un Apiforme ?

Le terme « Apiforme » désigne des abeilles, tout simplement. Il y a 913 espèces d’abeilles en France. Celle-ci est nommée Apis. (Ex : Apis Mellifera)

 

A qui s’adresse le réseau Apiformes ?

Il s’adresse aux enseignants et peut-être aux élèves des lycées agricoles volontaires, au moins un établissement par région, soit à peu près 25 en France, dont un seul en Bretagne, le lycée de SUSCINIO à Morlaix, dans le 29.

 

Comment ça marche?

Les établissements disposent d’une épuisette spéciale pour capturer les abeilles, d’acétate d’éthyl pour les endormir, d’un chronomètre pour ne pas dépasser les 5 minutes de recherche. Une fois les abeilles capturées, ces dernières sont disposées dans un bocal avec un papier où est notée la plante sur laquelle elle a été capturée. Puis on les congèle afin de les observer au microscope.

 

Quel est le but du réseau Apiformes ?

L’objectif du réseau Apiformes est de connaître la fréquence de répartition des abeilles dans toute la France. Cela permet de connaître la biodiversité des régions françaises.

 

Un article écrit par Thibault Brasseur, Thomas Sillau, Grégory Renault, Antoine Sol, Yvann Peden, dans le cadre du projet « Jeunes éco-reporters du développement durable de leur territoire », soutenu par la Drac Bretagne.

 




Eau : Les Iles du Ponant s’organisent pour mieux la gérer et la préserver

Préserver la ressource eau, voilà le nouveau défi auquel sont confrontées les îles. Treize îles du Ponant viennent de mettre en place à cet effet une opération de sensibilisation avec l’appui de l’Agence de L’eau Loire-Bretagne, à destination des habitants et surtout des touristes. Direction Houat, île morbihannaise située au large de Quiberon, où a été lancé le dispositif il y a quelques jours.

2 millions. C’est le nombre de visiteurs sur les Iles du Ponant (Chausey, Ouessant, les Glénan, Houat, Arz, Bréhat, Molène, Groix, Hoëdic, Yeu, Batz, Sein, Belle-Ile, Ile-Aux-Moines, Aix) tous les ans. Une telle fréquentation touristique a nécessairement un impact sur l’environnement et les ressources naturelles locales. C’est notamment le cas pour l’eau. Un bien rare sur les îles, et dont l’approvisionnement représente un enjeu vital. Certaines sont raccordées directement au continent. D’autres en revanche sont indépendantes et doivent s’adapter à ce qu’elles produisent sur leur territoire, avec divers moyens : dessalement d’eau de mer (à Sein), barrages, récupération d’eau de pluie ou forage. C’est le cas par exemple à Houat. L’île morbihannaise, située au large de Quiberon, est habitée par 250 personnes à l’année. L’été, sa population passe à 3000 habitants. Et 100 000 visiteurs viennent s’y promener ! C’est là bas qu’a eu lieu le lancement vendredi 20 avril d’une opération de sensibilisation à la préservation de la ressource eau à destination des habitants et des touristes de 13 iles du Ponant (Bréhat, Batz, Ouessant, Molène, Sein, Saint-Nicolas-Des-Glénan, Belle-Ile, Groix, Ile-Aux-Moines, Arz, Houat, Hoëdic et Yeu). Un dispositif lancé par l’Association des Iles du Ponant et par l’Agence de l’eau Loire-Bretagne. Objectif « Renforcer le sensibilisation à la question de la vulnérabilité de la ressource en eau et responsabiliser les citoyens. L’enjeu est de favoriser le développement local des îles tout en sécurisant l’accès à l’eau potable », explique l’Association des Iles du Ponant, qui travaille depuis de nombreuses années autour du développement durable sur ces territoires particuliers.

Cette opération de sensibilisation à l’eau sur les îles s’appuie notamment sur deux kits. Le kit « économiseur d’eau » est à destination des habitants. Il est vendu 2 euros, et contient 3 économiseurs d’eau pour robinet, et un autre pour la douche. Le deuxième kit est pour les acteurs touristiques, et contient notamment des adhésifs et affiches à poser dans les lieux stratégiques de consommation d’eau. C’est le cas par exemple au Fort d’En Tal, un ancien fortin du XIXème siècle aménagé en gîte et chambres d’hôtes, à Houat. May De Fougerolles, la propriétaire, joue le jeu des économies d’eau. Elle explique « avoir toujours été sensibilisée à l’importance de la préservation de l’eau depuis toute petite ». Elle a notamment installé des toilettes sèches en plus des toilettes traditionnelles dans le fort.

Sur l’île, la municipalité va encore plus loin dans la démarche. Elle a pris des mesures réglementaires afin de protéger et d’économiser l’eau. « Nous avons fait inscrire dans le PLU (Plan Local d’Urbanisme, ndlr) l’interdiction de la construction de piscines sur le territoire, et l’interdiction de l’artificialisation des sols pour les parcelles de plus de 400 m2, ceci afin de permettre les infiltrations d’eau pluviales dans le sol », précise Andrée Vielvoye, maire de Houat. De même, l’installation de citerne de collecte d’eau de pluie, comme cela a toujours été le cas traditionnellement sur les îles, est fortement recommandée. « On va revenir à des pratiques ancestrales », estime d’ailleurs Denis Palluel, maire de Ouessant et président de l’Association des Iles du Ponant. « Les insulaires ont de toute façon depuis toujours des pratiques économes concernant l’eau », commente-il. Reste à convaincre les « continentaux » qui s’aventurent le temps d’une journée ou plus sur ces terres, et qui entre passage à la douche, bain, ou lavage en tout genre, ne se rendent pas toujours compte que l’eau courante est de l’or sur ces territoires, bien qu’ils soient entourés…d’eau !

Plus d’infos

http://www.iles-du-ponant.com/

 




L’idée sortie. Le marché du terroir et de l’artisanat à Concoret (56).

La seizième édition du Marché du Terroir et de l’Artisant, organisé par le CPIE Forêt de Brocéliande, aura lieu mardi 1er mai. Au programme de cette édition 2018 consacré à l’arbre et l’eau : 170 exposants, animations, musique…

L’arbre et l’eau. C’est la thématique choisie pour cette nouvelle édition du Marché du Terroir et de l’Artisanat, organisé par le CPIE Forêt de Brocéliande et qui se tient comme d’habitude le 1er mai dans le bourg de Concoret.

Cette année, 170 exposants seront présents : gastronomie, bijoux, artisanat, maraichage, art, cosmétiques…Le four à pain de Concoret sera également allumé pour l’occasion, par l’association d’Arbre et de Pierre Rouge, et du pain sera cuit sur place.

De nombreuses animations auront lieu sur le marché : table-ronde avec la radio associative locale Timbre Fm, ateliers poterie, vannerie, tournage sur bois et maquillage pour enfants et adultes, manège à pédale, espace ludothèque, expositions…

Sans oublier les animations liés à la thématique : bourse aux plantes, stand « observatoire local de la biodiversité », rencontre-débat « us et coutume du bocage », balade botanique au bord de l’eau, balade au bord du talus, expositon « Water », exposition « arbres remarquables de Bretagne », atelier artistique « l’Arbre et l’Eau, bien commun », atelier papier recyclé.

La journée s’achèvera en musique par un apéro-concert à partir de 18h.

Tout le programme détaillé est disponible sur http://cpie-broceliande.pagesperso-orange.fr/animation/manifestations.html




Défi famille zéro déchets. Les conserves lactofermentées

Samedi 14 avril, les familles du territoire de Morlaix Communauté participant au « défi famille zéro déchets » étaient invités à un atelier autour de la conservation des aliments par lactofermentation. L’occasion, avec l’association Cap Santé d’en savoir un peu plus sur ce mode de conservation et d’apprendre à faire ses bocaux de légumes fermentés ! (Recettes et informations de Catherine Le Tacon).

Les aliments fermentés, qu’est ce que c’est ?

Un aliment fermenté est un alimenté qui a eté transformé par des micro-organismes : bactéries, levures, moisissures, champignons.

La fermentation se déroule le plus souvent sans oxygène (en anaérobie). En présence d’oxygène, les microbes se multiplient. En anaérobie, ils sont stressés et luttent pour survivre en fabriquant des molécules destinées à tuer les microbes concurrents : alcool, acide lactique, etc. Il se trouve que durant cette action, ils fabriquent également des substances aromatiques, des vitamines et des centaines d’autres molécules que nous jugeons utiles pour transformer le goût, la texture et la conservation de nos aliments.

Les aliments fermentés, il ne faut pas manger que ça ! Ils doivent faire partie d’une alimentation variée et équilibrée. Le mieux est d’en consommer de petites quantités tous les jours ou régulièrement, et ce n’est pas difficile : quelques légumes fermentés ajoutés dans une salade, un peu de jus mis au dernier moment dans une soupe, quelques cornichons ou pickles pour accompagner une viande, un peu de chutney avec le fromage… au lait cru bien sûr. Un yaourt en dessert, du pain au levain, une bière non pasteurisée de temps en temps, une rondelle de saucisson, un verre de kéfir ou de kombucha, le choix est vaste et il y en a pour tous les goûts !

1 —Ils facilitent la digestion

2 —Ils sont une source de vitamine C

3 —Ils sont une source de vitamines K, PP et B

4 —Ils sont une source de choline

5 —Ils sont riches en minéraux

6 —Ils sont antiseptiques

7 —Ils détoxifient la nourriture

8 —Ils participent au bon fonctionnement de l’intestin

9 —Ils renforcent notre système immunitaire

10 —Ils nous apportent de l’énergie

Attention : ils sont déconseillés avec les maladies auto-immunes

En pratique !

Les légumes en général

 Épluchez-les (facultatif s’ils sont bios, lavez les) et râpez-les, ou bien détaillez-les en fine julienne.

Pesez vos légumes et préparez 10 g de sel par kilo.

Mélangez dans un récipient les légumes et le sel, éventuellement des aromates, en pressant bien avec les mains pour faire sortir le jus des légumes.

Une fois que c’est fait, tassez-le tout dans le bocal, en pressant fortement avec la main ou avec un pilon, afin de chasser les poches d’air et d’exprimer le jus des légumes.

Fermez ensuite hermétiquement le bocal, avec son caoutchouc. Posez-le sur une assiette, car si vous avez trop rempli le bocal, il se peut que cela déborde lorsque la fermentation va commencer.

Gardez-le à température ambiante pendant 1 semaine. Si un débordement se produit, contentez-vous de vider le liquide de l’assiette, et essuyez le bocal, ne l’ouvrez surtout pas !

Au bout de quelques heures, le légume va libérer son eau, et le bocal va se remplir de liquide. Après 1 jour ou 2, vous allez constater une effervescence, ça va faire des bulles et même cela peut chuinter ou siffler autour de l’ouverture. Ce n’est pas le légume qui se plaint, c’est le gaz carbonique produit par la fermentation qui chasse l’air situé entre le niveau du liquide et le couvercle : ainsi l’air extérieur ne pourra plus entrer dans le bocal : la fermentation pourra se dérouler en parfaite anaérobie comme il se doit.

Après la première semaine à température ambiante, mettez le bocal au frais, soit au réfrigérateur, soit dans une pièce fraîche (15-20 °C suffisent). N’oublions pas que la fermentation a été inventée à une époque où les frigos n’existaient pas, c’est donc un mode de conservation qui se passe très bien de frigidaire, du moment qu’on n’entrepose pas les bocaux dans des pièces surchauffées !

La fermentation totale dure environ 3 à 6 semaines. (Plus c’est au froid, plus c’est long). Après ce délai, on peut passez à la dégustation !

A vous d’inventer des mélanges : carottes + chou, radis blanc + céleri, ou navet + betterave, ou chou + pomme verte…

Mettez les aromates que vous aimez : fines herbes, ail, oignon, poireau, ciboule, persil, coriandre, estragon, basilic, bâton de cannelle, girofle, genièvre gingembre…

Les légumes fermentés peuvent se manger chauds, en soupes ou en garniture d’un plat principal, mais c’est également délicieux froid en salade. C’est ainsi qu’on profite au mieux de leurs vitamines et probiotiques bienfaisants. Égouttez-les simplement avant de les utiliser, et ne resalez pas le plat, ou au moins goûtez avant de saler !

Par Catherine Le Tacon, pour l’association Cap Santé




DIY : Un classique, la table basse en touret

©C’est bon c’est le printemps ! Les oiseaux chantent, les odeurs de barbecue se font de plus en plus fortes, la soif se fait ressentir… ! Alors sortez vos outils on continue à équiper votre salon de jardin pour « chiller » encore un peu plus !

Matériel :

  • Une scie sauteuse ou non ça dépend de votre huile de coude (non non on ne va pas faire de frites)
  • Un jeu de clés plate ou à pipe
  • Une ponceuse et papier émeris, Grains 80 donne un bon rendu (la ponceuse n’est pas une obligation, tout dépend de vos biscottos)
  • Une scie à métaux
  • Un serre joint (Optionnel)

Durée  : Environ 2h sans l’étape de peinture (Dépend du type de revêtement et du nombre de couche  que vous souhaitez mettre)

  • Démontage touret : 10mn
  • Traçage + Découpage (avec scie sauteuse) : 20mn
  • Ponçage (avec ponceuse) : 40mn
  • Remontage : 30mn

1. Procurez-vous un touret, les prix s’échelonnent entre 15€ et 40€ sur les sites de petites annonces pour ne pas le citer.

2. Mesurez la hauteurde votre touret.

3. Placez vos assises (ici un  Pnouf) à coté du touret pour définir la hauteur idéale de votre table.

4. Retirez les 4 écrous et leur «coupelles» à l’aide d’une clé plate.

5. Retirez le plateau, attention à vos pieds, toutes les planches du tronc vont se désolidariser.

6. Retirez les 4 tiges filetées, écrous et coupelles

7. Tracez sur une planche l’excédent à retirer pour obtenir votre hauteur de table.

8. Coupez la planche et servez vous en comme modèle pour tracer votre découpe sur les autres planches.

9. Coupez les autres planches

10. (Finition) Poncez les planches et les deux plateaux pour obtenir une surface lisse, sans éclis.
J’ai poncé seulement les parties visibles, n’oubliez pas la tranche du plateau

11. Appliquez un verni, peinture ou lasure ou rien du tout.

12. Replacez les 4 tiges filetées, leurs coupelles et écrous sur un des plateaux.

13. (Attention complication !  un coup de main n’est pas de refus) Enfilez le second plateau, les coupelles et les écrous en faisant en sorte (grossièrement) que l’entraxe entre les deux plateaux soit légèrement plus important que la longueur des planches.

14. Placez la première planche en face d’une tige filetée puis serrez son écrou pour assurer le maintient de cette planche.

15. Ajoutez successivement de part et d’autre les  planches en serrant petit à petit les écrous pour assurer le maintient de l’ensemble.

16. Mesurez l’excédent de tige filetée.

17. Démontez puis remontez les tiges filetées l’une après l’autre pour découper l’excédent à l’aide de la scie à métaux.

18. Décapsulez une petite bière au soleil et ne pensez à rien, profitez quoi !