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Levain et pain maison (1)

Avoir son propre levain

Le levain est un mélange obtenu à partir de farine et d’eau qui a fermenté grâce à un ensemble de micro-organismes : des levures présentes naturellement dans la farine et des bactéries présentes dans l’air. Avant l’emploi de la levure boulangère, c’est le levain qui était utilisé.

Les pains au levain présentent plusieurs avantages : ils sont plus digestes, se conservent plus longtemps et contiennent plus de nutriments intéressants. De plus, avec votre levain, vous n’avez pas besoin d’acheter de levure chimique ou boulangère. Il suffit d’eau et de farine pour le faire naître et le maintenir en bonne santé.

Le levain doit être entretenu, “rafraîchi”, plus ou moins fréquemment selon vos besoins (si vous faites votre pain de temps en temps ou quasi-quotidiennement). Vous pouvez vous procurez un levain chef dans une boulangerie qui en utilise ou le faire vous-même.

Les étapes qui suivent vous permettront de faire naître votre levain et de le rafraîchir. Il s’agit d’une technique parmi d’autres que vous pouvez trouver sur Internet.

Démarrage :

1) j-0 : commencez par mélanger dans un bocal en verre (type parfait sans le caoutchouc par exemple) 60 g de farine bio T65 à T80 avec 60 g d’eau. Il est conseillé au début d’utiliser de la farine complète ou semi-complète, voire une autre farine (de seigle par exemple). Reposez le couvercle de votre bocal dessus mais ne le refermez pas totalement : de l’air doit pouvoir passer. Vous pouvez le laisser dans votre cuisine là où il n’y a pas trop de courant d’air. Le levain va reposer ainsi 3 jours. 

2) j-3 : rafraîchissez le levain en lui ajoutant 60 g de farine et 60 g d’eau. Mélangez et raclez bien le fond du bocal. Laissez à nouveau reposer 3 jours.

Gavage :

3) j-6 : à partir de ce moment et pendant plusieurs jours, il faudra rafraîchir le levain toutes les 12h soit 2 fois par jour (matin et soir). Pour le rafraîchir :

  • enlevez une grosse partie du levain, en laissant l’équivalent de 2 cuillers à soupe dans le bocal, et transvasez-la dans un autre récipient. Avec ce que vous avez retiré, vous pouvez faire des crêpes, des gâteaux, et autres. Cependant, il ne permet pas encore de faire lever vos préparations à ce stade.
  • ajoutez au levain 2 à 3 fois son volume en farine (environ 100 g) et la masse correspondante en eau (donc 100 g). Mélangez.

4) j-7 à j-11 : rafraîchir matin et soir sans oublier d’enlever une partie de levain avant. Celui-ci devrait commencer à prendre de plus en plus de volume.

5) j-12 (ou plus tard, selon la farine, l’eau, la température, etc.) : si le levain triple de volume, il est prêt et vous l’utilisez pour faire du pain. A partir de là, il suffit de le rafraîchir une fois par jour. Dans le cas d’un usage occasionnel, vous pouvez le rafraîchir un jour ou deux avant le moment où vous comptez faire votre pain. Le reste du temps, vous pouvez conserver le levain au réfrigérateur (il sera alors en dormance).

6) Pour rafraîchir le levain adulte, mélangez 50-60 g de farine et une masse d’eau équivalente ou de moitié inférieure (pour un levain “dur”, moins liquide). Il faut toujours enlever une grosse partie du levain auparavant et bien mélanger levain farine et eau. Utilisez la partie retirée directement pour faire du pain ou plus tard et pour d’autres recettes en la conservant au réfrigérateur.

Utilisation : 

Il est préférable d’utiliser le levain lorsqu’il a atteint son pic d’activité ou juste après, soit, le moment où il a son plus gros volume. Ne prélevez pas tout le levain et rafraîchissez la partie qui reste dans le bocal. Le moment où vous ajoutez le levain dans la pâte dépend des recettes mais cela est précisé à chaque fois.

Sources :

Vous pouvez retrouver cette recette de levain maison sur le site marmiton.org ou bien en suivre une plus détaillée sur le blog Ni cru ni cuit. Retrouvez la recette de pain au levain que nous avons testé en cliquant ici.




Espoirs d’un confiné ! Et si cette crise sanitaire nous faisait grandir?

Mise
à part les services vitaux de notre société (services publics, de
santé, alimentation et logistique) , nous autres sommes tous à
l’arrêt ( ceux qui ne peuvent travailler car privés de leurs
sites de travail qui sont fermés!

Pour
les autres, le monde du travail de demain se met en place !

Le
télétravail se sera développé à grande échelle depuis le début
de cette pandémie et avec lui, la visioconférence et bien d’autres
rencontres immobiles !

 En
15 jours nous avons su (par force certes !) changer radicalement
nos habitudes de vie !

Cette
crise va-t-elle nous montrer que nous pouvons faire autrement !


Limiter les déplacements énergétiquement et écologiquement
coûteux pour la planète


Consommer moins, local et de saison !


Privilégier les circuits courts


Être solidaire, s’entraider …..

En
tout cas, c’est ce à quoi nous a contraint cette pandémie !

Et
un tas d’initiatives se sont mis en place, comme pour construire un
autre monde basé sur tout autre chose que l’attrait du gain
financier !

L’arrêt
brutal de la production mondiale à cause de la pandémie de
coronavirus a eu comme effet indirect, la baisse des émissions de
gaz à effet de serre et de la pollution atmosphérique.

Mais
après la fin de cette crise, cette situation va-t-elle provoquer une
prise de conscience générale inédite?

La
planète a pourtant bien bénéficié grâce à cette crise d’un bref
moment de répit.

«
La réduction de la pollution de l’air en Chine a probablement
sauvé bien plus de vie que le coronavirus en a tué » explique le
climatologue Philippe Ciais. La lutte contre le coronavirus a
transformé radicalement l’air respiré par les Chinois. »

 C’est
tout le paradoxe de la situation actuelle. L’épidémie aurait
indirectement sauvé des vies. Par les mesures de confinement et de
ralentissement économique, en Chine , selon le chercheur François
Gemenne «le nombre de vies épargnées grâce à la baisse de la
pollution atmosphérique est plus important que celles qui ont été
perdues à cause du virus »

Marshall
Burke, chercheur de l’université Stanford, en Californie, a fait
différents calculs. Il estime notamment que l’amélioration de la
qualité de l’air en Chine a sauvé la vie de 4.000 enfants de
moins de cinq ans et de 73.000 personnes âgées. « La réduction de
la pollution en Chine a probablement sauvé vingt fois plus de vies
que celles qui ont été perdues à cause du virus », écrit-il sur
le site web G-Feed, un groupe de travail sur la société et
l’environnement.

 Le
climatologue Hervé le Treut, affirme qu’« il y aura un avant et
un après coronavirus d’un point de vue climatique. L’épidémie
et les mesures prises à son encontre vont créer un choc
psychologique dans nos sociétés. L’épisode que nous allons vivre
ne va pas nous laisser indemnes. Il aura des conséquences sur les
politiques environnementales à venir, prévoit-il. Le déni envers
le coronavirus et le changement climatique est finalement assez
similaire, c’est toujours face à la catastrophe que nous
réagissons en urgence. »

Devons-nous
attendre les crises climatiques « annoncées » ?

Alors
?

Repenser
sa manière de se déplacer et limiter le recours à l’avion,
redécouvrir les transports doux et rouler moins de 2.000 km/an en
voiture (hors trajet travail)

Développer
la cuisine végétarienne et se nourrir d’aliments biologiques,
locaux et de saison, avec de la viande maximum 2 fois/semaine,

Réinterroger
ses véritables besoins pour limiter les achats neufs au strict
minimum, réparer et recycler !

Repenser
son mode constructif avec des matériaux locaux, naturels et peu
énergivores.

Agir
collectivement en portant des actes politiques traduisant ces choix à
l’échelle de la société pour obtenir que nos élus prennent
enfin à bras le corps ces attentes ? (*)

En
fait nous y sommes presque !

Va-t-on
laisser passer cette opportunité de grandir?

D’imaginer
les fondations d’une société plus solidaire, moins consommatrice,
plus écologique ?

Pour entrer de plein pied dans la transition que nous devons aux générations futures !

*Le Sénat a récemment rejeté la mise en place d’une consigne sur les bouteilles verre, plastique et canettes aluminium (dernière Loi sur l’économie circulaire) alors que 10 pays européens l’ont mis en place et 5 autres s’y préparent !!!




Financement participatif : Des « cagnottes solidaires » sur Kengo

La
plateforme bretonne de financement participatif Kengo propose durant
cette période de crise un dispositif de « cagnotte
solidaire », pour venir en aide aux acteurs locaux qui
rencontrent des difficultés.

Zéro commission prélevée (hors frais techniques incompressibles de 3%), et chaque euro reversé. Voilà le fonctionnement des « cagnottes solidaires » mises en place par la plateforme bretonne de financement participatif Kengo. A destination des acteurs locaux en difficultés, elles peuvent permettre à des commerces locaux, des structures médicale ou paramédicale, des associations, ou encore des organisateurs d’événements de récolter des fonds, essentiels en cette période délicate. Les citoyens peuvent également lancer des cagnottes pour des tiers, qui recevront directement les fonds récoltés.

Parmi les cagnottes solidaires déjà en place, on peut signaler la cagnotte de la fondation SolidaRen, qui veut offrir des colis solidaires pour aider les rennais démunis, ou encore celle de la Cabane A Manger, un restaurant nature mobile qui est basé 6 mois dans l’année sur les bords de la Rance à Saint-Suliac et qui aurait dû ouvrir le 4 avril.

Pour en savoir plus : https://kengo.bz




Surf et environnement : un tour d’horizon du surf en Bretagne depuis votre canapé

Ils allient passion et études

(Plume Citoyenne) Vendredi 17 avril prochain à 20h apparaîtra en direct live sur la plateforme YouTube un reportage sur la pratique du surf en Bretagne.

Baptisé
« HORIZON » il se veut un recueil d’idées, de pensées,
d’innovation et de témoignages sur le thème du surf et de
l’environnement. À l’initiative de ce projet, trois surfeurs,
étudiants en BTS Gestion et Protection de la Nature au lycée de
Suscinio à Morlaix (Finistère) . Depuis 5 mois, ils se sont lancés
dans la réalisation de ce reportage vidéo dans le cadre du module  »
Projet Initiative et Communication  » de la formation. Ce dernier
leur offrant le loisir d’organiser un évènement sur le thème de
leur choix, ils décident donc d’approcher le sport qui les
passionnent sous un aspect plus environnemental.

Un reportage inédit

Sillonnant les côtes Nord Sud et Ouest, les trois amis ont interviewé différents acteurs du surf en Bretagne, dont Ewen Le Goff, du trio de surfeurs explorateurs  » Lost In The Swell  » , Thomas Joncour, champion de France Masters en 2019, ou encore Erwan Simon, écrivain, reporter et chasseur de vagues. Une quinzaine d’interviews au total, durant lesquelles on s’interroge sur les impacts du surf sur l’environnement, l’explosion du nombre de pratiquants ces dernières années, et les dernières innovations comme les planches bio-sourcées. Il en ressort une approche inédite à ce jour des enjeux de la démocratisation de ce sport sur le territoire breton.

Jean Guiavarch et Matteo Le Gac-Frin en interview avec Sam Lagadec

Des imprévus causés par le COVID 19

Face à la fermeture des établissements scolaires et l’annulation de la journée de restitution des projets, les trois réalisateurs se sont vus contraints, comme le reste des étudiants, d’annuler la première projection publique prévue initialement le 11 avril au lycée de Suscinio. Les étudiants ont décidé malgré tout d’assurer la diffusion du reportage en direct sur YouTube le 17 avril à 20h. Une cagnotte participative “ Ulule HORIZON reportage ” a été mise en place pour permettre aux intéressés de soutenir le projet.




Idée recette : le « miam ».

Idéal pour vos petits déjeuners, goûters ou desserts le « miam » est une recette vegan pleine de bonnes choses, modulable selon vos envies.

Dans un bol, écrasez une banane. Ajoutez une ou deux cuillère à café d’huile (de préférence une huile sans trop de goût). Versez, dans la mixture, le jus d’un demi citron. Réduisez en poudre, à l’aide d’un moulin ou d’un mixeur, deux cuillères à café de graines (de sésame, de chia, de lin etc) et deux autres cuillèrées d’une autre variété de graines puis incorporez les à la préparation.

Pour finir, ajoutez les fruits frais et les fruits secs que vous aimez.

Cette recette est une adaptation de la « Crème Budwig » du Docteur Catherine Kousmine à retrouver sur ce site.




Mobilisation générale contre le Covid19 en Bretagne !

Ici, vous trouverez quelques initiatives dans la lutte contre le Covid19 qui ont retenu notre attention…Cette sélection n’est pas exhaustive, nous vous invitons à nous faire remonter les informations de votre territoire !

Dans les Côtes-d’Armor

L’hopital Yves-Le-Foll de Saint Brieuc lance un appel à la création de masques et propose un tuto

Avis
aux passionné.es de couture ! L’hopital de Saint-Brieuc a
lancé il y a quelques jours un appel à la confection de masques,
afin d’équiper le personnel non soignant de masques en tissu. On
peut les déposer à l’hopital, du lundi au vendredi, entre 10h et
16h, aux points de filtrage mis en place. (Il faut cocher sur son
attestation dérogatoire la case « aide aux personnes
vulnérables »). Un tuto est également mis à disposition sur
le site de l’hopital, pour fabriquer les masques en tissu.

Infos et tuto sur https://www.ch-stbrieuc.fr/Tutoriel-masques-en-tissu

Le collectif Transition Saint-Brieuc lance une action citoyenne de sécurisation alimentaire locale

Le collectif Transition Saint Brieuc invite les habitants du territoire à se mobiliser pour assurer l’autonomie alimentaire. Chacun est invité à planter dans son jardin des arbustes, légumes, arbres fruitiers, pour « pallier à l’éventualité d’une rupture partielle ou totale des chaînes de transport et d’alimentation. », peut-on lire sur la page Facebook de la Brasserie des Alternatives, qui relaie l’initiative. Un groupe facebook privé vient d’ouvrir sur le sujet : https://www.facebook.com/groups/264216501262742

Dans
le Finistère

L’association Goupil fournit des ordinateurs aux élèves

L’association morlaisienne Goupil, que nous avons déjà présentée dans cet article, prête des ordinateurs aux élèves du secteur qui en ont besoin pour suivre les cours à distance. Plus d’infos et contact : http://www.goupil-ere.org/

Les citoyens se mobilisent partout dans le Finistère

Des
groupes de citoyens se mobilisent pour venir en aide aux habitants
qui en besoin pendant le confinement. Courses, entraide morale,
diffusion d’information, aide aux plus démunis…les actions sont
variées, quelque soit la taille de la commune, que ce soit à Brest,
Morlaix, Plouegat-Guerrand, Plouigneau, le Guilvinnec… Là encore,
le réseau social Facebook est utilisé.

La
page Covid
Entraide Morlaix

Le
groupe Solidarité
Coronavirus Brest

Le
groupe spécial
quartier de Recouvrance à Brest

Le
groupe Solidaires
à Plouigneau

Le
groupe Solidarité
Coronavirus Guilvinec

Le groupe Entraide à Plouegat-Guerrand

Dans
l’Ille-Et-Vilaine

Une carte collaborative pour recenser les lieux encore ouverts à Redon

Des bénévoles du pays de Redon ont créé une carte collaborative sur OpenStreetMap, baptisée « Ca reste ouvert ». Elle permet de rencenser les lieux encore ouverts en ville pendant le confinement. Elle est accessible ici : https://www.caresteouvert.fr/@47.650616,-2.082795,15.69/place/n4225591292

Une distillerie fabrique du gel hydroalcoolique

La
distillerie Awen Nature, basée à la Bouexière non loin de Rennes,
et dont on vous avait déjà parlé dans un article ici, s’est
lancée dans la production de gel hydrolalcoolique. Au lieux des
habituels spiritueux, Julien Fanny fabrique du gel en suivant la
recette fournie par l’OMS. Il est ensuite offert aux Ehpad
notamment.

Pour
plus d’infos, la page Facebook d’Awen Nature :
https://www.facebook.com/awennature/

En
Loire-Atlantique

« Où acheter durable, solidaire et confiné sur la métropole nantaise ? » avec le magazine carto-graphique Les Autres Possibles

Nos confrères du magazine carto-graphique Les Autres Possibles, bimestriel édité d’habitude en format papier, se transforme exceptionnellement en webzine durant cette période particulière. Ils propose un article présentant une sélection de commerces encore ouverts sur la métropole nantaise, où l’on peut acheter local, en vrac, commander des paniers…Une mine de bon plans. Et on peut en profiter pour découvrir leurs autres articles ! A voir sur https://lesautrespossibles.fr/

Dans
le Morbihan

Malgré le confinement, l’entraide alimentaire continue

Des associations morbihannaises se mobilisent durant cette période particulière afin de fournir une aide alimentaire aux personnes qui en ont besoin. C’est le cas des Cuisiniers Solidaires, qui agissent sur Vannes et alentours depuis 2015 pour lutter contre le gaspillage alimentaire, en cuisinant notamment en groupe des repas à base de produits invendus. Elle a aussi pour objectif de recréer du lien social dans les quartiers prioritaires, grâce à la cuisine. Actuellement, les bénévoles de l’association et les deux salariés distribuent des paniers de fruits et légumes frais aux plus démunis.

Plus
d’infos :
https://www.facebook.com/groups/lescuisinierssolidaires/

L’association Les Robins des Bennes, qui gère une recyclerie à Ambon, redistribue elle des denrées alimentaires collectées auprès de la grande distribution. Les habitants du secteur susceptibles d’en bénéficier sont invités à contacter l’association par sa page Facebook : https://www.facebook.com/Les-Robins-des-Bennes-recyclerie-189358777839103/

Du théâtre par téléphone !

La
compagnie « Les Arts Paisibles » de Melrand propose, à
défaut de jouer sur les planches en live, du théâtre par
téléphone ! Le mode d’emploi est simple : il suffit de
se rendre sur le site de la compagnie, de réserver un créneau via
le Doodle mis à disposition, puis confirmer par email ou sms à la
compagnie son choix, accompagné de son nom et du numéro de
téléphone sur lequel appeler. Sketch, lecture, chant…sont au
programme.

Pour réserver son créneau, rendez-vous sur le site de la compagnie : http://www.lesartspaisibles.net/

Un
peu partout dans la région…

Les producteurs et les commerces locaux s’organisent

On
peut continuer à acheter local et à soutenir les commerçants et
producteurs ! La plupart ont mis en place des solutions qui
permettent un accueil optimisé : prise de commande par internet
ou téléphone, système de « drive », horaires
aménagés…Certains marchés sont également ouverts par
dérogation.


encore, la cartographie collaborative est un outil très utilisé. On
peut citer les cartes :

Mangeons
local : https://www.mangeons-local.bzh/

Bon
Plan Bio : https://bonplanbio.fr/

Les monnaies locales sont également d’excellents relais : elles mettent en avant régulièrement les commerçants de leurs réseaux, que ce soit via leur site ou leur page Facebook.

Les « Makers » fabriquent des visières pour les soignants

Les
« Makers », ces spécialistes de l’impression3D et du
« faire soi-même », se sont lancés, à travers toute la
France, dans la conception et la fabrication de visières de
protection en plastique à destination des soignants. Les FabLabs et
Makers bretons sont mobilisés. Une
plateforme spécifique a été mise en lien sur ce sujet par Bretagne
Developpement Innovation, afin de mettre en lien offre et demande :
https://www.bdi.fr/fr/publications/covid-19-entreprises-unies-en-bretagne/

Le
lycée Jeanne d’Arc-Saint Ivy de Pontivy s’est également lancé :
quelques membres du personnel fabriquent des visières grâce à
l’imprimante 3D du lycée, expliquent nos confrères de Pontivy
Journal :
https://actu.fr/bretagne/pontivy_56178/coronavirus-pontivy-lycee-fabrique-visieres-protection-sur-imprimante-3d_32728594.html

Plus
d’infos :
https://www.bdi.fr/fr/covid-19-un-reseau-dacteurs-bretons-pour-repondre-aux-besoins-dimpression-3d/

Ou http://www.labfab.fr/blog/

A noter aussi…

La
liste des groupes d’entraide sur les réseaux sociaux :
https://covidentraide.gogocarto.fr