A lire. Pourquoi les cochons d’Inde vont-ils sauver la planète ?
« Pourquoi les cochons d’Inde vont-ils sauver la planète ? ». Une drôle de question à laquelle Christof Drexel, expert reconnu du climat, répond dans un livre du même nom. Il y évoque l’impact de nos gestes sur l’environnement et la manière dont on peut faire évoluer nos pratiques au quotidien afin de rejeter moins de Co2.
« Pourquoi les cochons d’Inde vont-ils sauver la planète ? », voilà un titre qui interpelle tout de suite. C’est le nom d’un ouvrage de Christof Drexel, expert reconnu du climat. Après avoir été leader du marché de la ventilation pour les maisons passives, il est devenu consultant. Dans son livre, d’abord publié en langue allemande et désormais traduit en français, il nous explique que l’on peut agir chacun à notre échelle afin de maintenir le réchauffement climatique sous la barre des 2° à l’horizon 2100.
Selon lui « l’objectif des 2° décidé lors des accords de Paris de 2015 doit impérativement être tenu. Pour cela, le rejet annuel de gaz à effet de serre dans le monde doit passer de 50 milliards de tonnes d’équivalent CO2 actuellement à 10 milliards de tonnes d’ici 2040 ». Il nous explique donc que chacun peut réduire d’un tiers ses émissions de Co2, simplement en adaptant un mode de vie plus responsable. A l’aide de graphiques, il détaille ainsi l’impact de la façon dont nous vivons sur notre environnement : alimentation, mobilité, loisirs, animaux domestiques (c’est là qu’apparaissent les fameux cochons d’Inde du titre!), sports, électricité, habitat… chaque secteur est passé au crible. Dans chaque chapitre, Christof Drexel nous détaille quelle est l’empreinte carbone de nos gestes du quotidien, et ce qu’on peut faire pour la réduire, en faisant évoluer nos modes de vie. Un questionnaire, baptisé « le test du cochon d’Inde », qui permet de se situer dans son émission de Co2.
Dense mais bien présenté, « Pourquoi les cochons d’Inde vont-ils sauver la planète » s’adresse avant tout aux personnes ayant déjà entamé une démarche de réflexion sur leur empreinte carbone et voulant la réduire. Elles y trouveront de nombreuses informations et des conseils pour mettre en œuvre ce qu’on pourrait appeler un « agenda 21 » dans son quotidien.
« Pourquoi les cochons d’Inde vont-ils sauver la planète », de Christof Drexel, 207 pages, éditions Marabout, 16 euros.
A Plougasnou (29), soutenir un collectif citoyen pour transformer un ancien centre de vacances en lieu d’expérimentations fructueuses
Un collectif , dont nous vous invitons à lire le communiqué, s’est constitué sur les communes de Plougasnou et Saint-Jean-du-Doigt (Pays de Morlaix) afin d’envisager l’acquisition de l’ancien centre de vacances de la CCAS*, situé route de la Plage à Plougasnou.
La CCAS a décidé il y a quelques mois de le mettre en vente et plusieurs offres d’achat ont déjà été exprimées. Nous avons ainsi commencé, de notre côté, à élaborer un projet alternatif visant à en faire un espace d’expérimentation sociale, écologique et culturelle, géré collectivement par les habitant.e.s de nos deux communes.
Il serait regrettable à nos yeux que ce lieu emblématique, historiquement voué à l’intérêt général, bascule dans le domaine privé.
Notre projet s’articule au contraire autour de réflexions sur l’autonomie (ateliers de réparation, cantine populaire, transformation en circuit court, recyclerie), la création artistique (mise à disposition d’ateliers, cours et stages de formation, rencontres), les échanges intergénérationnels, l’accueil d’urgence, l’écologie et l’éducation populaire.
Nous souhaitons par là même faire de cet ancien centre de vacances un lieu convivial, permettant au plus grand nombre de profiter de sa situation géographique privilégiée. Il nous paraît essentiel, en effet, en ces temps difficiles, de favoriser l’auto-organisation à l’échelon local, de valoriser nos communs et de resserrer les liens de solidarité.
La décision finale devant être prise à brève échéance par le conseil d’administration de la CCAS (CA du mois de mars), nous voulons faire entendre notre voix auprès des habitant.e.s, des élu.e.s de nos deux communes, mais également des élu.e.s de la CCAS, pour que ce lieu s’ouvre à toutes et à tous, et qu’il continue à porter les valeurs de justice, solidarité, dignité sociale, mais aussi de rencontre et de joie, qu’il a incarnées jusque-là.
Pour rejoindre notre collectif ou partager votre expérience, vos envies, vos idées, n’hésitez pas à nous contacter.
* Caisse Centrale d’Activités Sociales des industries électriques et gazières
KuB’tivez-vous ! Sélection de janvier
Capture d’écran Le Monde selon Amazon, d’A. Pinon et T. Lafarge (2019).
Dans le cadre de notre partenariat avec KuB, le Web média breton de la culture, nous vous proposons une nouvelle sélection à découvrir gratuitement sur leur site internet. Au programme ce mois-ci : précarité étudiante, Amazon et Monts d’Arrée.
Pascaline et Klara, par Céline Dréan (2012 – 52’)
Le film de Céline Dréan date d’il y a presque 10 ans mais est toujours d’une frappante actualité, notamment en cette période des plus compliquée pour les étudiants. La réalisatrice retourne à l’Université Rennes 2 pour suivre l’année de Pascaline et Klara qui, comme elle avant, sont inscrites dans la filière cinéma.
Amies, confidentes, engagées, féministes et colocataires, les deux jeunes femmes de 22 ans sont toutes deux issues de classes populaires et sont contraintes de travailler à côté de leurs études pour que la précarité n’ait pas raison d’elles. Céline Dréan nous immerge donc dans leur quotidien.
Une année intense et angoissante qui nous permet de mettre des images sur ce qui est une « réalité souvent réduite aux statistiques : celle des étudiants précaires » comme le note judicieusement la réalisatrice. La situation est saisissante lorsqu’on suit Pascaline désespérée toute une journée à la recherche d’un job dans un restaurant rennais… alors qu’elle doit en parallèle rendre un mémoire et trouver un stage.
Klara vit une année moins angoissante de son côté. Elle commence tout juste sa maîtrise de cinéma et a donc encore deux ans pour rendre son mémoire. Elle en profite pour s’engager pleinement dans le féminisme et l’élection présidentielle de 2012 auprès du NPA.
Bien que très inquiétant sur les conditions de vie des étudiants, le film apporte aussi son lot de sourires et d’espoir. Notamment lorsqu’on voit Pascaline, qui rêve de travailler à France Culture, s’épanouir à Radio Campus.
N’hésitez donc pas à voir cette production qui permet de saisir un des enjeux les plus importants de la crise actuelle.
Le Monde selon Amazon, d’Adrien Pinon et Thomas Lafarge (2019 – 71’)
(À voir jusqu’au 15 février 2021 !)
« Un monde où une entreprise contrôle la distribution de tous les produits de notre quotidien, les infrastructures de notre économie, mais aussi les données qui permettent de faire la guerre », voilà comment les reporters Adrien Pinon et Thomas Lafarge analysent le projet de Jeff Bezos, le patron d’Amazon. Les deux diplômés en Histoire nous embarquent dans un véritable tour du globe sous l’ombre, clairement menaçante, du GAFA (les géants du Web : Google, Apple et Facebook) le plus imposant du moment.
Numéro 1 mondial du commerce en ligne, Amazon propose aussi « de la vidéo à la demande, de la musique en ligne, des jeux vidéo, du stockage informatique, des assurances et des médicaments ». De quoi s’assurer « un monopole dans le sens traditionnel » selon l’analyste financier américain Allen Gillespie. En surface, cela peut ressembler à un incroyable succès pour l’entreprise qui emploie 566 000 employés et compte 300 millions de clients… mais aujourd’hui elle cause beaucoup de dégâts.
De son berceau Seattle où elle a implanté son siège jusqu’à l’Inde des traditionnels et innombrables commerces de rue, en passant par ses propres entrepôts, Jeff Bezos sème aujourd’hui beaucoup de craintes et de désarroi. Les craintes des petits commerçants qui ne peuvent pas lutter contre les prix cassés du géant et le désarroi de ses propres employés « traités comme des robots ».
Visionner ce documentaire est presque un acte citoyen pour prendre conscience de l’ampleur du phénomène Amazon. Comprendre l’importance de continuer d’acheter ses livres à la librairie du coin, de jeter un œil à la petite boutique de mode de la galerie marchande de sa ville… Résister somme toute, comme le fait Catherine Malbranque à Briac (Finistère) par exemple. N’hésitez donc pas à dégager une petite heure dans votre emploi du temps pour regarder ce Monde selon Amazon.
Monts d’Arrée. Terres de Lutte, de Xavier Liébaud (2012 – 20’)
Pour finir cette sélection, nous vous proposons une escapade historique et poétique dans les Monts d’Arrée, dans le Finistère. Dans ce documentaire, le réalisateur nantais Xavier Liébard retrace l’histoire de la population de cet ancien massif à l’aide de vidéos des archives de la Cinémathèque de Bretagne.
Xavier Liébard met l’accent sur le paysage et le patrimoine unique de ce « pays difficile ». Terres acides, pluie, vents… les très rudes conditions d’agriculture ont soudé les locaux. Ils n’avaient en effet pas d’autre choix que de s’unir pour défricher les terres au XIXe siècle pour gagner du terrain sur les landes.
De quoi forger « une sorte de pacte identitaire » qui perdure au fil des décennies et qui permet à la population de toujours sortir vainqueur des périodes de trouble. Ainsi, ni l’occupation nazie, ni l’exode rural de l’Après-guerre, ni le projet d’enfouissement des déchets nucléaires de l’ancien réacteur de Brennelis n’ont eu raison des vaillants citoyens des Monts d’Arrée.
Ce court documentaire peut constituer une pause culturelle agréable, bien qu’il soit peu dynamique et entraînant. À voir pour tous les amateurs d’Histoire de notre belle région.
Ce week-end, comptez les oiseaux dans votre jardin ! Samedi et dimanche, Bretagne Vivante et le Geoca (Groupe d’Etudes Ornithologique des Côtes d’Armor), en partenariat avec la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) proposent aux Bretons de recenser les espèces d’oiseaux présentes autour de chez eux. Le but : sensibiliser, informer, et mieux connaître l’évolution des populations d’oiseaux dans la région.
« Initiée par le GEOCA en 2009 dans le département des Côtes-d’Armor, l’opération « Oiseaux des jardins » vise à recenser de façon ponctuelle, l’abondance des principales espèces d’oiseaux fréquentant les jardins en hiver. Basée sur des expériences déjà réalisées dans des régions et des pays voisins, cette opération se veut à la fois un moment de sensibilisation et d’information sur les oiseaux les plus communs. Elle constitue également un outil de connaissance sur l’évolution des populations de ces espèces qui connaissent, pour certaines, de dramatiques chutes d’effectifs ces dernières années. Elle est donc reconduite chaque année à la même période » , peut-on lire sur le site de l’association Bretagne Vivante.
Pour participer à l’opération, c’est simple : il suffit de choisir un lieu d’observation (son jardin, un parc, son lieu de travail, une école…) et de choisir une journée, le samedi ou le dimanche. Il faut ensuite observer durant une heure et noter tous les oiseaux observés dans ce lieu, grâce à un formulaire disponible sur internet. Pour ne pas comptabiliser deux fois le même oiseau, il suffit de ne compter que le nombre maximal d’oiseaux vu en même temps (exemple : si on voit 2 mésanges, puis 4, puis 2, il faut noter 4). Si l’on ne peut pas identifier un oiseau, pas de panique : il ne faut pas le noter, mais on peut néanmoins le prendre en photo et la poster sur la page Facebook de l’opération. Un lexique illustré est également à disposition, sur le site de Bretagne Vivante, pour reconnaître facilement les oiseaux,
Une fois les oiseaux observés, plusieurs possibilités pour renvoyer les résultats :
– Soit par courrier postal : Geoca, Espace Keraïa, 18c Rue du Sabot, 22440 Ploufragan
L’an dernier, ce sont plus de 5720 personnes qui ont participé à ce grand comptage, un chiffre en augmentation. L’opération a permis de recenser 179 000 oiseaux. Les trois espèces qui occupent le haut du tableau sont dans l’ordre le rouge-gorge, suivi par la mésange charbonnière et la mésange bleue. Le podium sera t-il le même cette année ? Pour le savoir il faudra compter !
L’association « Caravane de Permaculture » organise une Introduction à la Permaculture, les 15 et 16 février 2021 et permaculture appliquée au jardin le 17 février au Centre de Séjour Le Fosso à Gomené (22)
En s’inspirant de la nature, la Permaculture est un ensemble de méthodes et de pratiques permettant de concevoir des systèmes stables et autosuffisants. Pendant ces deux jours, à partir des principes éthiques : prendre soin de l’homme, prendre soin de la terre, produire et partager équitablement les ressources, nous aborderons l’histoire, les principes et les stratégies de la Permaculture autant sur le plan technique que sur le plan humain.
Programme du stage :
Définition et historique de la permaculture
Ethique et principes de conception
Méthodologies de conception
Les modèles naturels
Stratégies au jardin
Le sol, les forêts comestibles
La permaculture sociale
Applications de la permaculture et exemples de techniques, atelier conception et pratique
Présentation des réseaux de permaculture
Pour favoriser l’apprentissage, nous allons utiliser des méthodologies participatives, des ateliers théoriques et pratiques et créer une dynamique de groupe pour vivre des moments conviviaux ensemble.
Le lieu :
Au coeur de la Bretagne, sur un site entouré de grands arbres, riche d’une biodiversité préservée, nous profiterons de la belle énergie du Fosso pour ces deux jours de stage.
Formateur de permaculture sociale, en 2010 il obtient son Certificat de Permaculture Appliquée à Kerzello, Plufur avec Steve Read.
Etudiant de l’Université Populaire de Permaculture, il intervient lors de Cours de Conception en Permaculture pour présenter les méthodologies, outils et les principes de conceptions de permaculture.
L’éducation non formelle, l’apprentissage inter-culturel, les outils participatifs le passionne. Il a organisé et animé des échanges de jeunes, formations, rencontres de réseaux en Europe depuis 2005. Il a participé à la coordination du projet European Permaculture Teachers qui a donné suite au réseau européen de permaculture.
Co-fondateur de l’association « Caravane de Permaculture », il développe des outils de permaculture sociale pour le design de vie, des formats de stages et formations innovants, des formations de facilitateurs, des forums d’éco projets, la conception et l’accompagnement de projets collectifs et l’émergence d’éco communautés.
Ella Townsend
Passionnée par la nature et sensible aux ressources qu’elle nous offre, elle s’investit pour une éducation à la nature et une alimentation locale saine et savoureuse accessible à tous.
La découverte de la permaculture se fait par le biais du jardinage qu’elle pratique au cœur des Jardins de Faix, ferme maraîchère en traction animale.
Inspirée par les relations humaines et la force du collectif, elle se forme aux outils de facilitation des dynamiques de groupes et d’intelligence collective.
Elle obtient son Certificat de Conception en Permaculture en 2019, avec Yves Joignant de l’Escargotier.
Les principes de conception en permaculture et la force d’inspiration de la nature deviennent avec évidence pour elle des outils pour concevoir autrement la relation à soi, la relation à la nature et le vivre ensemble.
Olivier Vachez
Animé par la passion de l’écologie, il se sent concerné par le rapport de l’humain à la nature depuis son plus jeune âge.
Voyageur franco-australien, il part à la découverte de l’Australie et de la Tasmanie où il travaille plus de 10 ans en tant que guide nature.
Pour lui, la découverte des forêts primaires conservées est une source d’inspiration pour l’homme, qui en imitant la nature et ses processus, gagnerait en viabilité et résilience.
La permaculture fait lien pour lui entre la nature sauvage et le fonctionnement des eco-systèmes humains.
En 2012, c’est à Milk Wood Farm, en Australie, qu’il suit son Cours de Conception en Permaculture et une formation de formateurs, avec Rosemary Morrow & Geoff Lawton.
Installé depuis peu en Bretagne, il souhaite transmettre et partager ses réflexions et expériences sur la conception de son site.
Infos Pratiques :
Horaires, dates et lieu : De8h45 à 12h30 et de 14h00 à 18h30
les 15, 16 et 17 février 2021, au Centre de Séjour Le Fosso à Gomené.
Repas : nous proposons une auberge espagnole pour les repas et le petit déjeuner, une grande cuisine sera à votre disposition pour réchauffer les plats.
Nuitée : Il est possible d’être hébergé sur place :
– en chambre partagée (2 ou 3 lits) : 22€/nuit
– en chambre seule avec salle de bain privative : 40€/nuit
En raison de la situation sanitaire, le format du stage et des ateliers sera adapté en accord avec les mesures conseillées par le gouvernement, afin de permettre à tous de profiter pleinement de la rencontre et des deux jours d’introduction.
Coût du stage :
Pour donner la possibilité à tous de participer nous avons choisi un prix libre et conscient avec un repère de 100€ pour les deux jours.
La participation consciente comprend la part pédagogique (préparation et communication, honoraires des facilitateurs, matériel pédagogique et location de la salle).
Nous demandons une adhésion de 10€ à l’association Caravane de Permaculture pour soutenir ses projets pour un monde plus beau.
inscription en ligne :
Certains ateliers ayant lieu au sol, n’hésitez pas à emmener tapis de sol, coussin…
N’oubliez pas de prendre une clé USB / disque dur pour copier le matériel pédagogique, crayons, cahier, des informations sur votre projet.
N’hésitez pas à emmener des graines pour un troc et vos instruments pour la soirée du samedi.
Envie de découvrir comment mieux manger tout en n’augmentant pas son budget ? Alors les « Défis Foyers à Alimentation Positive » sont fait pour vous ! A Rennes et sur le territoire de Redon Agglomération, de nouvelles opérations sont lancées en ce début 2021.
Depuis plusieurs années, les « Défi Foyers à Alimentation Positive » essaiment dans toute la France. En Bretagne, au fil des ans, il y en a eu dans tous les départements. L’objectif de ces opérations : relever pendant plusieurs mois le défi d’augmenter sa consommation de produits locaux et de saison, tout en conservant un budget équilibré et en se faisant plaisir. Le tout en étant accompagné par des associations, et en participant à des animations et temps d’échange. Les Défis s’adressent à tous : familles, personnes seules, retraités, étudiants…
En ce début d’année , c’est à Rennes et sur le territoire de Redon Agglomération que vont être lancées les prochaines opérations.
A Rennes, c’est la Maison de la Consommation et de l’Environnement qui anime le défi, dans le quartier de Bréquigny. Le principe : les foyers participants seront répartis en deux équipes, l’une accompagnée par la MJC Bréquigny, l’autre par la MJC Maison de Suède. Durant six mois, chacune des équipes devra relever le défi « Alimentation positive ». De janvier à juin 2021, les foyers seront invités à participer gratuitement à un programme d’animations et de rencontres : visite de ferme afin de connaître des producteurs locaux, échanges avec une diététicienne, cours de cuisine, atelier jardinage, partage de trucs et astuces…ainsi qu’à des moments informels : repas partagés, achats groupés…
Deux temps de lancement du défi sont organisés le 23 janvier, à 10h à la MJC de Suède (préinscriptions au 02 99 51 61 70 ) et à 14h à la MJC de Bréquigny (préinscriptions : accueil@mjcbrequigny.com )