Excursion sur la pointe du Bellec et coups de pagaies dans la baie de Douarnenez

© Carré d’As

Après une première journée des plus intenses, le groupe encadré par Wilbert Belin et Patrice Cadin a connu un deuxième jour un peu plus tranquille. Après une promenade matinale pour découvrir l’environnement telgrucien, les jeunes volontaires ont eu l’opportunité de faire du kayak, guidés par Matthieu du Centre Nautique.

La soirée a été bien animée, une partie du groupe a veillé tard au fil de parties de cartes endiablées, et c’est au compte-goutte que chacun vient prendre son petit-déjeuner. Au programme ce matin : une balade sur la côte et dans les hauteurs de Telgruc-sur-Mer. De quoi découvrir le site d’accueil de la troupe.

De la pointe du Bellec au moulin de Luzéoc, miradors et autres vues panoramiques sur la baie de Douarnenez se succèdent, toujours plus saisissants. Les 1500 mètres de sable de la plage de Trez-Bellec semblent infinis et ouvrent sur une mer calme et limpide. Un régal, que ce soit pour les habitués des côtes bretonnes ou pour les non-Bretons du groupe.

La pointe du Bellec © Carré d’As

Une sortie kayak entre les roches

Toujours dans l’ambiance rieuse qui la caractérise depuis le départ, la troupe, combinaisons enfilées et pagaies équipées, rejoint Matthieu du Centre Nautique après un bon déjeuner. Il est l’heure d’aller fendre les eaux douarnesiennes en kayak. Sans trop de mal, chacun parvient à s’installer dans son monocoque et à passer le premier obstacle de vagues pour prendre la direction de la pointe Pen ar Vir.

© Carré d’As

Malgré quelques carambolages, chavirages et échouages dans les rochers, tout le monde a pris plaisir à pagayer dans une eau translucide et sous un beau soleil. Certains, comme Enaïm et Sylvano découvraient même cet agréable loisir.

Les ressentis de :

Maëlle : « J’ai été la comédienne et humoriste du jour ! J’ai beaucoup aimé le kayak mis à part que demain je ne pourrai plus marcher ! ».

Sylvano : « J’ai passé une super journée ! Déjà le matin nous sommes allés au moulin, c’était top. Après, le meilleur moment, quand nous avons fait du kayak. J’en avais jamais fait… je suis tombé deux fois avant de réussir à monter ! Mais j’ai vraiment aimé le faire avec tout le monde, tout le long ».




Premier jour à Crozon et découverte des fonds marins pour les jeunes du projet « D’une mer à l’autre » !

Quelques instants avant le baptême de plongée © Enaïm Platon

Tout juste arrivés à leur camp de base du Centre Nautique de Telgruc-sur-Mer, le groupe de volontaires du Pays de Morlaix, menés par Carré d’As, a eu la chance de faire leur baptême de plongée. Entre excitation et légère appréhension, une journée riche en émotions et en rencontres.

Alors que les rayons du Soleil ont encore du mal à percer les nuages, une joyeuse bande s’attroupe sur le parking du centre social Carré d’As à Morlaix autour de deux belles fourgonnettes. 10h30, il est grand temps de mettre le cap sur la presqu’île de Crozon pour les cinq prochains jours. Les coffres sont remplis, Wilbert et Patrice prennent les volants… voilà les neuf jeunes en direction du Grand Ouest !

Une bonne heure de route plus tard, la troupe découvre avec joie le très grand « QG » qui a été réservé. Six chambres, dont un dortoir de dix lits, deux grandes salles de vie, un city stade et la splendide plage de Trez-Bellec à leurs pieds… en bref, le site rêvé pour conclure un Service Civique en beauté et découvrir un nouvel environnement.

La vue depuis le Centre Nautique © Enaïm Platon

Baptisés !

À peine le temps de s’installer qu’il faut déjà se hâter pour se rendre à l’Atlantis Bretagne Plongée de Roscanvel pour pique-niquer avant le grand baptême de plongée. Bien que l’activité suscite quelques peurs, le groupe est plutôt enthousiaste à l’idée de découvrir la faune et la flore de la rade de Brest.

Concours de ricochets pendant le pique-nique © Enaïm Platon

Accueillis par la joie contagieuse de Pascal, Marie, Christian, Denis, Alan et Mathias, l’équipe est rapidement mise à l’aise. Chacun enfile sa combinaison, teste ses palmes et son masque avant de descendre en direction d’une crique des plus secrètes. Trois par trois, les jeunes sont pris en charge par les moniteurs.

Respiration sous l’eau avec détendeur, gestion du masque, utilisation des palmes, « manœuvre de Valsalva » (respiration par les oreilles pour rééquilibrer les tympans sous pression) et plongée jusqu’à 6 mètres de profondeur, en l’espace de vingt minutes chacun, tout le monde est donc baptisé de cette belle discipline.

Les dernières « grenouilles » remontent à la surface © Enaïm Platon

Un bel exposé pour conclure

Les néo-« grenouilles » ont ainsi exploré une parcelle de la baie brestoise, l’occasion d’observer de belles créatures et plantes marines. Mais pas facile de mettre des noms sur chaque espèce ! Heureusement, Mathias, spécialisé dans la photographie sous-marine, avait prévu une sélection de ses meilleurs clichés pris dans le coin pour présenter sa population.

Spirographe, ver tubicole, pontes, tacaud… la jeune équipe découvre avec intrigue les noms des bêtes qu’elle a croisées pendant son escapade subaquatique. Un instant privilégié dans la salle des fêtes de la mairie de Roscanvel au cours duquel chacun fait preuve de curiosité.

Mathias présente son diaporama de photos au groupe © Théo Duchet

Le séjour commence tambour battant pour ce groupe qui apprend aussi à se connaître et à vivre ensemble. L’ambiance est excellente et tout est réuni pour que ce projet se déroule à merveille !

Les ressentis de…

Lucien : « Aujourd’hui, nous sommes arrivés à midi. Cet après-midi on a fait de la plongée, je n’étais pas confiant, j’appréhendais un peu. Mais franchement, ça s’est bien passé ! J’ai un peu paniqué, mais ça allait. Et ce soir j’ai cuisiné une bolognaise… un bon moment de partage ! ».

Maéva : « Ce matin j’étais très motivée car j’avais hâte d’être là. Après on est partis un peu en retard, mais ce n’est pas grave ! Puis le pique-nique s’est bien passé, on a pu se mettre dans l’ambiance du groupe. Ensuite la plongée m’a beaucoup stressée quand même… ce sont un peu mes deux phobies mélangées. Mais le moniteur était super sympa donc ça s’est très bien passé et j’ai réussi mon baptême. J’en suis très contente et fière de moi ! L’ambiance est cool, on rigole tous ensemble, il n’y a pas du tout de gêne donc je me sens très bien ! ».




Cap volontaire sur Crozon pour Carré d’As & Cie !

La Tour Vauban à Crozon © Viviane Lapous

La fin de l’année scolaire approche et avec celle-ci se terminent aussi plusieurs engagements en Service civique dans le Pays de Morlaix. Pour sept volontaires (anciens et actuels) du centre social Carré d’As, ainsi que deux autres de l’ULAMIR-CPIE et du MAJ et Enaïm et moi, engagés à Eco-Bretons depuis octobre 2020,  un séjour sur la presqu’île de Crozon  du 21 au 25 juin viendra clôturer cette étrange année confinée. Ce qui promet de beaux moments de partage collectif, mais aussi de rencontres, entre volontaires et avec Crozon.

Tout a commencé par un projet monté par l’équipe de Carré d’As, financé par le Fonds Européen pour les Affaires Maritimes et la Pêche (FEAMP) et créé en 2020 à destination de l’île de la Réunion, dont est originaire l’un des encadrants de Carré d’As – Wilbert Belin – pour les volontaires de l’époque. Mais il avait été annulé à cause des mesures de confinement et des restrictions de sortie du territoire.

Reconduit avec succès au début de cette année scolaire 2020/2021, pour les encadrants de Carré d’As, le projet a été remis sur la table pour cette année 2021. Cette fois-ci, le projet, toujours soutenu par le FEAMP, était plus ambitieux avec l’intégration des volontaires d’ULAMIR-CPIE, de Morlaix Animation Jeunesse (MAJ) et d’Éco-Bretons, en plus des anciens de Carré d’As en 2020. 21 personnes faisaient alors partie du plan.

Des montagnes russes d’émotions

Annoncé officiellement aux jeunes dans l’euphorie le 27 mars, le « campement » était déjà réservé, pour un séjour sur deux semaines fin mai-début juin, le voyage a hélas été annulé le 10 avril, au moment de réserver les billets d’avion. La situation sanitaire se dégradant alors de nouveau, les cinq encadrants ont décidé, fort logiquement, de ne pas risquer la perte d’un budget de plus de 10 000€ de billets sans l’assurance d’un remboursement en cas d’annulation de dernière minute.

Mais cette fois-ci, pas d’abandon en vue. Wilbert Belin et ses collègues encadrants ont décidé malgré tout de mener à bien le projet mais sur le côtes métropolitaines. Le budget est réduit à 240€ par personne et le séjour raccourci à cinq jours. Et cette fois-ci, ce sont les jeunes qui prennent en main l’organisation ! Destination, logement, activités, transports… les volontaires s’organisent ensemble depuis, au fil de plusieurs réunions en présentiel ou à distance sur l’application Discord (« service de communication par chat vidéo, vocal et textuel »).

Réunion Crozon
Le groupe se rencontre pour la 1ère fois au centre social Carré d’As le 27 mars. © Gaël Lehmann

Les jeunes aux commandes !

Après un premier mois de concertation, l’équipe s’est réduite à quinze personnes : onze jeunes, trois encadrants et Gaël Lehmann (vidéaste indépendant). Le décalage du séjour d’un mois, allié à des désistements d’ordre professionnel notamment, ont créé un groupe un peu plus intime. Les volontaires ont donc choisi d’établir le camp de base au Centre Nautique de Telgruc-sur-Mer pour les quatre nuits.

Bien que le thème du projet « D’une mer à l’autre » prend un peu de plomb dans l’aile, les perspectives restent les mêmes. Rencontre du personnel du Centre, découverte de la côte et de l’environnement crozonnais (randonnée, kayak), exploration de la faune sous-marine (plongée) et nettoyage de plage sont au programme. Les ambitions et activités sont certes moins « scolaires » que ne l’étaient celles prévues initialement à la Réunion, mais l’esprit de rencontre et de découverte reste le même.

Enaïm et moi-même avons donc la chance de participer à cette aventure avec notamment ce très beau groupe de volontaires de Carré D’As que nous avons déjà rencontré à l’occasion des Assises départementales de l’Alimentation et lors de leur émission radio sur le Zéro déchet ! Nous avons aussi hâte de vous en raconter la suite à travers des récits type carnet de voyage et des entretiens avec les acteurs de ce projet !

Un séjour à suivre de près, donc…

Le groupe du projet Crozon :
3 encadrants : Wilbert Belin
Patrice Cadin
Andrea Lauro
1 caméraman : Gaël Lehmann
5 volontaires 2021 de Carré d’As : Dylan
Léa
Lucien
Maeva
Sylvano
2 volontaires 2020 de Carré d’As : Magalie
Mélissa
1 volontaire du MAJ : Maëlle
1 volontaire ULAMIR-CPIE Théo
2 volontaires d’Eco-Bretons Enaïm
Théo




Un auteur du prochain rapport Giec à Vannes !

(Plume citoyenne) Ce vendredi 4 juin 2021, la conférence de Christophe Cassou sur « le Climat, comment agir ? » a fait le plein.

Habitants, élus, représentants d’entreprises et d’associations étaient nombreux pour écouter Christophe Cassou, climatologue, chercheur CNRS au CERFACS à Toulouse (Centre européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique) et un des auteurs principaux du prochain rapport du Giec dont la publication est prévue au mois d’août de cette année. Cette conférence était animée par Beatrice Korc co-initiatrice des Trains du climat.

Les occasions sont trop rares pour entendre des scientifiques reconnus internationalement sur des sujets essentiels pour notre avenir commun. Christophe Cassou considère qu’il est de son devoir de « sortir de son laboratoire pour expliquer la situation climatique urgente mais pas encore désespérée si nous agissons maintenant ». Il a insisté sur la place du scientifique qui est là pour produire la connaissance mais aussi être utile à la société en lui apportant des informations scientifique, objectives, rigoureuses et fiables.

De manière claire il a donné des réponses précises sur ce à quoi nous préparer dans un futur proche en matière de changement climatique ainsi que les cadres à mettre en place pour respecter la limite de réchauffement global à 2 degrés et pourquoi nous mobiliser individuellement et collectivement.

Joel Labbé Sénateur du Morbihan, a souligné l’importance de bien faire comprendre la situation sans détour avec l’aide des scientifiques et qu’il est urgent qu’ils informent directement les parlementaires dans un contexte où les freins de nature très diverse sont encore puissants.

Des grands témoins ont présenté les actions locales qu’ils ont engagées avec l’accompagnement de Clim’actions : Boris Le Maire, Vice-Président de Questembert Communauté, Thierry Eveno, Vice-Président de Golfe du Morbihan et Sébastien Favre, Fondateur et Président d’Optic performance. Dominique Pirio, Présidente de Clim’actions, a annoncé le prochain projet de l’association : le lancement du réseau des Ambassadeurs du climat qui vont être formés pour démultiplier les actions de sensibilisation aux questions climatiques.

Merci à Christophe Cassou et aux intervenants pour cette belle conférence claire et positive qui insuffle beaucoup d’optimisme aux participants qui ont quitté la salle avec une bonne dose d’espoir en un futur désirable.


Christophe Cassou est climatologue, Directeur de recherche CNRS au CERFACS à Toulouse (Centre européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique). Son expertise porte sur la compréhension de la variabilité climatique et de sa prévisibilité. Il a co-initié l’opération du Train du climat, initiative d’éducation de la citoyenneté climatique. Il est auteur principal du prochain rapport du Giec (goupe 1) qui sera publié en Août 2021, ainsi que du résumé pour les décideurs.

Christophe Cassou est aussi l’auteur de Météo et climat : ce n’est pas la même chose (Paris, Le Pommier, 2013) et Parlons climat en 30 questions (Paris, La documentation française, 2015). Il intervient régulièrement dans les médias. (cf : https://www.franceinter.fr/emissions/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-06-avril-2021).

Clim’actions Bretagne Sud est un laboratoire d’idées et de projets pour anticiper et agir face au changement climatique. L’association a pour objectif de mobiliser citoyens, associations, collectivités, entreprises afin d’adapter notre territoire aux conséquences du changement climatique. www.climactions-bretagnesud.bzh




A vélo au boulot, le retour !

Et si on allait au travail en pédalant ? C’est l’objectif du challenge « A vélo au boulot ! » qui va démarrer sa nouvelle édition le 10 mai dans des villes comme Brest, Quimper, Morlaix ou encore Lorient. Objectif : faire découvrir les avantages du vélo pour les trajets entre le domicile et le travail, mais aussi plus largement dans la vie quotidienne.

D’après des chiffres de l’Insee, seulement 3 % des français utilisent le vélo pour leur trajet au quotidien, et 2 % pour les trajets domicile-travail (ce qu’on appelle le « vélotaf »). Un score bien loin des pratiques en vigueur dans d’autres pays d’Europe, tels que l’Allemagne ou les Pays-Bas. Même si, depuis quelques mois, on constate un engouement nouveau pour la bicyclette, et notamment le vélo électrique, dont les ventes sont en augmentation. Mais aller au boulot à vélo n’est pas encore si répandu que ça dans l’hexagone…

Créé à Lannion en 2015 avant d’essaimer sur Brest et Quimper en 2018, le challenge « A vélo au boulot ! » ( Marc’h Houarn en Breton), met en avant ce type de déplacement, et veut encourager les habitants à développer la pratique du vélo au quotidien. Il est organisé par des associations locales de promotion des déplacements doux et de la mobilité active, comme Bapav (Brest à Pied ou à Vélo), Trégor Bicyclette, Kern’A Vélo, avec le soutien de l’Ademe et de collectivités. Cette année, Morlaix, avec l’association Apav (A Pieds ou à Vélo), rejoint le peloton des villes bretonnes participantes.. On peut même commencer un « tour de chauffe » depuis lundi, et jusqu’au 7 mai, et commencer à pédaler et se familiariser avec le site internet (https://morlaix.challenge-velo.bzh). Ce sont donc au total 7 villes qui vont officiellement participé au challenge : Brest, Quimper, Lannion, Concarneau, Lorient, Carhaix et donc Morlaix.

Le fonctionnement du challenge, qui dure cette année 6 semaines, est simple : il faut s’inscrire sur le site internet dédié (par exemple https://brest.challenge-velo.bzh/ , https://lannion.challenge-velo.bzh/ , https://quimper.challenge-velo.bzh/). On peut alors rejoindre une équipe existante, ou en créer une nouvelle. Une fois inscrit, il faut alors s’identifier sur le site pour pouvoir déclarer ses kilomètres utilitaires effectués dans la journée (trajets domicile-travail, mais aussi les déplacements pour faire les courses etc..). Tous les trajets « utilitaires » peuvent être comptabilisés.

Il y a trois types de défis : un défi collectif, qui comptabilise le nombre de kilomètres réalisés par tous les participants, un défi par équipes, et un défi individuel, qui comprend deux tirages au sort qui récompenseront les participants grâce à des défis suivant leur expérience en vélo. De quoi se motiver pour dérouiller les guiboles !

Pour retrouver toutes les pages d’inscription aux challenges, dirigez-vous vers le site http://www.challenge-velo.bzh/




EcoLowGie, Une websérie sur les low tech en Bretagne

La Région Bretagne, avec le Low Tech Lab et le youtubeur Evan de Bretagne, a lancé une websérie baptisée « EcoLowGie ». Elle fait la part belle aux « Low Tech », des technologies qui se veulent accessibles à tous, utiles et durables.

Les Low-Techs, kezako ? Les low tech, ou « basses technologies » s’opposent aux « high-tech » , les hautes technologies. La construction de ces dernières nécessite des ressources naturelles, dont des métaux rares, qui se recyclent mal, alors que les low-tech sont issues de matériaux recyclés et sont peu gourmandes en énergie. Elles répondent aussi à des besoins essentiels de l’individu ou du collectif.

Depuis 2013, le Low Tech Lab, porté notamment par Corentin De Chatelperron, auteur du livre « Nomades des Mers », « souhaite contribuer à l’émergence de modes de vie, de production ou de consommation plus sobres, plus respectueux et plus résilients, in fine à l’avènement d’une société plus soutenable et surtout, plus désirable ». Hébergé par Explore, un « incubateur d’explorations à impact positif », basé à Concarneau, le Low Tech Lab est partenaire depuis l’année dernière de la région Bretagne. Celle-ci vient de lancer une websérie autour des low tech, en lien avec la BreizhCop, et avec le youtubeur Evan de Bretagne à la réalisation.

Le principe de la webésérie, baptisée « EcoLowGie », est simple. Elle se décline en 7 épisodes, qui abordent chacun un aspect de notre vie quotidienne : la cuisson, la gestion de l’eau, le chauffage, le numérique, les déchets, la conservation, le jardin, et ce, en s’inspirant de l’utilisation des low-techs, sur 3 niveaux d’implication. Les trois premiers épisodes sont à présent disponibles sur les différents réseaux sociaux de la Région Bretagne (Facebook, Instagram, Linkedin, Twitter) du Low Tech Lab (Facebook, Instagram, Linkedin, Twitter), et d’Evan de Bretagne (Facebook, Instagram). Sans oublier Youtube.

Découvrez la première vidéo, autour de la cuisson

Plus d’infos

https://lowtechlab.org/

https://www.bretagne.bzh/

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