[Défi Familles Zéro Déchet] Adieu couches jetables, bonjour couches lavables !

Louise nous explique comment bien utiliser des couches lavables

Outre la présentation de différents modèles de couches lavables, Louise nous a également appris à réaliser facilement un liniment maison.

Voici la recette :

  • 100 ml d’huile d’olive ou de tournesol (éviter les huiles potentiellement allergènes pour les bébés, comme l’huile d’amande douce)

  • 100 ml d’eau de chaux

Préparation (en 4 minutes)

  1. Mesurer 100 ml d’huile, ajouter tranquillement 100 ml d’eau de chaux en fouettant simultanément le mélange jusqu’à ce qu’il soit homogène.

  2. Verser dans un contenant. Optez pour un contenant à pompe ou un tube que vous pouvez presser afin de faciliter l’utilisation lors des changements de couches.

Notez que cette version peut se séparer puisqu’elle ne contient pas d’épaississant. Il Suffit d’agiter le contenant avant l’utilisation pour redonner une homogénéité au liniment. Cette version ne contient pas non plus de conservateur ni d’antioxydant. Pour prolonger la durée de vie, vous pouvez ajouter 5 gouttes d’extrait de pépins de pamplemousse.

Fabrication de liniment maison, simple et rapide à réaliser.

Autre recette : le macérat huileux spécial erythème fessier (Irritations/Excéma)

  • Dans un bocal, hachez les feuilles de plantain ou/et les fleurs de Calendula (Si possible fraiches) et recouvrez d’huile végétale (de préférence olive ou germe de blé).

  • Tassez bien les plantes et ajoutez un objet lourd (un galet par exemple) pour que l’huile recouvre les plantes entièrement.

  • Laissez infuser au soleil (au minimum 3 semaines et jusqu’à 2 mois).

  • Filtrer à l’aide d’une étamine ou d’un tissu fin. Bien presser.

  • Utiliser l’huile pour la fabrication du liniment ou appliquer directement à l’aide d’une lingette lavable sur la région irritée. Ne pas recouvrir de talc, laisser sécher à l’air.

 

 

Et en bonus, une recette de lessive maison pour prendre soin de ses couches lavables :

  • Râpez 50g de savon de Marseille

  • 1 cuillère à soupe de bicarbonate de soude.

  • 1 Litre d’eau

  • 10 gouttes d’huile essentielle (facultatif) de lavande (la meilleure pour les peaux sensibles)

Faire chauffer le litre d’eau et ajouter les copeaux de savon de Marseille. Mélangez doucement jusqu’à la totale dissolution des copeaux dans l’eau.

Laissez tiédir et ajoutez la cuillère à soupe de bicarbonate de soude et les gouttes d’huile essentielle. Laissez refroidir une quinzaine de minutes avant de verser le tout dans un bidon de lessive ou un contenant en verre.

Ajoutez une cuiller à soupe de vinaigre de pomme en adoucissant dans le tambour.

Des kits de couches lavables prêtés par Morlaix Communauté

http://www.morlaix-communaute.bzh/Reduire-trier-les-dechets/Comment-reduire-mes-dechets/Utiliser-des-couches-lavables

Les Sardines ouvrent leur Cantine à Morlaix




Défi « familles zéro déchets » : soigner les bobos de l’été ( et même après)

Aujourd’hui, les ateliers du défi des « familles zéro déchets » nous amène à Penzé, où officie Sabrina Kriel dans son Kabaret des Simples. Cela s’écrit comme cela car ce nom a une histoire.

 

En effet, la langue bretonne présente la particularité d’avoir des lettres ou des groupes de lettres qui lui sont propres, comme le « n tildé » qu’on ne peut pas écrire sans un clavier spécial, ou c’h, qu’on ne saurait prononcer sans l’avoir déjà entendu. Le « K barré » fait partie de ces particularités : il s’écrit en barrant perpendiculairement la jambe inférieure du K. Comme le clavier ne permet pas cela, on l’écrit parfois ainsi k’ ou k/ et cela se prononce « Ker ». C’est pourquoi dans cet atelier, nous sommes accueilli par Sabrina KERIEL et non Sabrina Kril.

Issue elle aussi de l’école d’herboristerie de CAP Santé, à Plounéour-Menez, elle développe une activité multiforme autour de son atelier d’herbaliste, nom qu’elle préfère à celui d’herboriste. Elle cultive quelques plantes comme la calendula, qui est une sorte de souci, la consoude, la camomille mais surtout, elle récolte dans la nature beaucoup d’autres plantes que nous appelons volontiers mauvaises herbes comme l’ortie, l’achillée, le millepertuis ou l’aunée.

Et si vous le souhaitez, elle organise des ateliers de découvertes de ces plantes et de leurs usages, y compris lors de ballades botaniques.

Son attrait pour les plantes et leurs bienfaits lui vient de ses parents et grands-parents qui, naturellement, connaissaient les vertus de ses plantes. Mais c’est un événement heureux qui a véritablement déclenché sa vocation, car pendant la grossesse, elle s’est rendu compte qu’ il devient difficile de soigner avec la pharmacopée que nous propose l’industrie chimique.

Son souhait, dans le prochaines années, serait de pouvoir développer une action de sensibilisation auprès des jeunes scolaires, car, comme elle le dit « finalement, ce sont eux notre avenir et l’avenir de notre planète. »

 

Avec l’été qui s’est bien installé, arrivent aussi les petits bobos qui accompagne cette période où nous vivons beaucoup plus dehors, où nos enfants sont plus turbulents, où quelques excès alimentaires nous causent des petits soucis. Cet atelier tombe donc à point nommé pour nous permettre de nous constituer une petite trousse de premiers soins parfaitement naturelle.

On va donc parler coups et bosses, petites plaies, petits saignements, brûlure et coups de soleil, ballonnements et nausées.

Principalement, il y a quatre modes d’utilisation simples de ces plantes :

-fraîches ou séchées, en application directe en cataplasme ou en tisane selon qu’il s’agit d’un usage externe ou interne

-en teinture-mère en laissant ces plantes développer leurs vertus dans un bain d’alcool pendant 2 ou 3 semaines. A l’idéal, il faut utiliser de l’alcool à 90° mais en France du moins, celui qu’on trouve en pharmacie notamment est dénaturé au camphre pour éviter des utilisations que la morale réprouve. Mais n’importe quel alcool qui titre au moins 55° peut faire l’affaire

-en macération dans une huile pendant 2 ou 3 semaines. Préférez des huiles stables comme l’huile d’olive ou l’huile de tournesol.

-en onguent, qui est un macérat qui a été stabilisé sous forme d’une pâte épaisse et lisse avec de la cire d’abeille.

Voici donc des préparations que chacun peut faire chez soi. Par contre dès qu’on aborde les huiles essentielles, il vaut mieux laisser faire les spécialistes car ils connaissent le dosages et surtout il disposent des équipements coûteux nécessaires.

Lors de cet atelier, il était proposé de faire une teinture-mère de plantain :

cela se fait en trois temps

1°temps : hacher le plantain le plus finement possible ; un bon couteau suffit,

2° temps : remplir un petit bocal avec ce hachis

La plupart des plantes se prêtent volontiers à ces deux types de préparations

quelles plantes pour quels bobos ?

Coups:bosses et hématomes

 

Hélicryse

 

Arnica des montagnes

 

Plaies et saignements

 Achillée millefeuille

 

 

 

Une fois la plaie nettoyée et la douleur apaisée, il faut aider à la cicatrisation : Là vous avez le choix

Pour eux on préférera un baume de calendula.

Consoude

 

 

Brulûres et petits coups de soleil

L’été, c’est la période des barbecues et des bains de soleil et la peau souffre un peu . Dans votre trousse de premiers soins, vous devez avoir du milleperrtuis que vous pouvez utilisez en macérat huileux ou en onguent. Mais il faut faire attention, le mille pertuis est photosensible donc évitez de vous mettre au soleil après une application.

Millepertuis

 

Le millepertuis se trouve assez facilement sur les bords de nos chemins. Bizarrement, il a l’air d’apprécier aussi les voies d’accès aux autoroutes et voies express. Dans ce cas, il est déconseillé d’aller le cueillir, d’une part parce que c’est dangereux et d’autre part parce que les plants sont évidemment très pollués.

Plus exotique que le millepertuis, il y a l’aloé vera, difficile à trouver sous sa forme naturelle, qui ressemblent à une grosse feuille de cactus charnue et inerme. On utilisera donc les gel qu’on trouve dans le commerce, de préférence bio, sans ajout aromatique ou alcoolique.

L’argile verte est aussi souveraine utilisée en pâte très fluide enveloppée dans une gaze stérile.

Les ballonnements et état nauséeux

Souvent après le barbecue, la digestion est difficile. Il y a bien sûr la cuillère à café (en bois) de charbon végétal activée, diluée dans un peu d’eau. Mais c’est une substance tellement active qu’elle peut annuler les effets d’un traitement médicamenteux, suivi par ailleurs.

Dans ce cas, une bonne infusion de menthe poivrée, de gingembre ou de mélisse fera très bien l’affaire pour permettre une sieste digestive agréable ;

Passez un bel été.

 

 

Pour aller plus loin :

la page facebook du Kabaret des simples : https://www.facebook.com/kabaretdessimples/

à lire sur la plage ou allongée sur sa pelouse : les alcoolatures de Christian Escriva

 




[Défi famille zéro déchet] Pour des règles plus écologiques !

Les serviettes lavables :

Les serviettes hygiéniques lavables et réutilisables.

On peut également fabriquer sa serviette soi-même, avec du tissu en coton pour le contact avec la peau, de la microfibre pour la partie absorbante, et des chutes de rideau de douche ou de tissu de parapluie pour le côté imperméable ! Beaucoup de tutos sont disponibles sur internet.

  • Exemple d’éponge naturelle utilisable pendant les règles

    • La Cup

    Un modèle de cup menstruelle, de plus en plus utilisée.

    Après la présentation de ces différentes alternatives, Louise nous a également prodigué quelques recettes pour mieux vivre son cycle menstruel et lutter contre les désagréments qui vont avec (douleurs, règles irrégulières notamment) :

    Recette de la « Tisane onirique des femmes »

    • Feuilles de framboisier

    • Feuilles de cassis ou de fraisier

    • Achillée

    • Alchémille ou sauge

    Tisane contre les crampes menstruelles :

    • 1 phalange de gingembre rapé

    • 5 fleurs de camomille

    • En cas de grosses douleurs : rajouter 20 g de houblon

     

     

    La barre moussante intime (recette pour 100g)

    • 50g de SCI (tensioactif doux, qui va servir à mousser)

    •  

      Préparation de la barre moussante intime

      On emballe ensuite une petite dose de ce mélange dans un film alimentaire transparent. On laisse sécher, et on enlève ensuite le film. Les ovules peuvent ensuite se conserver au frigo.




[Défi familles zéro déchet]: atelier « pâte à tartiner »

Dans ce lieu où il se passe quelque chose au moins une fois par semaine, les familles du défi « zéro déchet » étaient réunies sous la houlette de Géraldine, animatrice « nature » du CPIE du Trégor pour apprendre à fabriquer de la pâte à tartiner à la noisette et au chocolat.

La recette express avec la purée de noisettes

Les ingrédients :

120 grammes de purée de noisette

120 grammes de chocolat à pâtisser (70% de cacao au moins)

40 grammes de sucre blond en poudre

Dans un récipient creux allant au bain marie, mélanger la purée de noisette et le chocolat cassé en petits morceaux,

Laisser fondre doucement au bain-marie

Quand les deux préparations sont arrivées en température et que votre mélange noisette-chocolat présente un aspect onctueux, retirez les du feu

Voilà, votre pâte à tartiner est prête.

A conserver à réfrigérateur et à consommer dans le courant de la semaine (si du moins vous arrivez à tenir 7 jours)

la recette complète

Les ingrédients

-160 grammes de noisettes entières décortiquées

-200 grammes de chocolat à pâtisser (70% de cacao au moins)

La préparation des noisettes :

Torréfier les noisettes au four (le plat à lèche-frite est fait pour cela) mais attention ne pas laisser trop longtemps, car une noisette un peu trop brunie donne un goût amer à la préparation.

Préparation de la pâte

-Placer cette poudre de noisette dans un plat à bain-marie

-Y ajouter le chocolat réduit en morceaux

-Voilà votre pâte est prête. A conserver au frais.

Mais en aucun cas ne déroger à la règle des trois tiers.

[Défi Famille Zéro Déchet] atelier « faites le vous même » : Atelier « boissons fraîches aux plantes »

Nouvelle animatrice pour cet atelier qui se déroule à la micro-brasserie Da Bep Lec’h située dans les centre de Morlaix au pied du viaduc. En effet, c’est Valérie Grosselin, passionnée par les médecines douces et les plantes médicinales et animatrice de l’Herboristerie Airmeth des Chiffonniers de la joie qui a mené la danse.

Au programme, la réalisation de cinq boissons aux plantes : le bissap (hibiscus), le sirop de plantes, le soda au levain de gingembre, le kefir de fruits et la limonade de sureau.

La LIMONADE de Sureau

2 ombelles moyennes de fleurs de Sureau (Sambucus nigra)

1 litre d’eau

100 g de sucre

1 citron bio

Dans un bocal, placer les ombelles de Sureau avec le citron coupé en rondelles et le sucre.

Verser l’eau et mélanger.

Recouvrir d’un linge avec un élastique et exposer au soleil 5 à 6 jours en remuant tous les jours. Des petites bulles vont se former.

Filtrer et verser le liquide dans des bouteilles avec joint à caoutchouc et levier métallique.

Entreposer debout à température ambiante fraîche et à l’abri de la lumière pendant au moins 2 mois avant de boire.

 

 

Le BISSAP (hibiscus)

20 g de feuilles d’hibiscus (Hibiscus sabdariffa)

un peu de menthe fraîche ou sèche (3 ou 4 branchettes)

1 litre d’eau

Eventuellement un peu de sucre non raffiné

Faire chauffer l’eau entre 85 et 95 °c.

Verser sur la plante, couvrir et laisser infuser 10 mn (par exemple dans un bocal fermé).

On peut rajouter de l’eau florale selon les goûts : ex : fleur d’oranger, et le sucre

Filtrer et verser dans une carafe à entreposer au frigo une nuit.

Servir le lendemain très frais.

 

 

Le SIROP de PLANTES

150 g plantes fraîches pour 1 l d’eau

Ou 150 g plantes sèches pour 5 l d’eau

Pour 1 litre d’infusion filtrée : 1,2 kg de sucre non raffiné

Infuser 6 heures pour une plante forte comme la lavande, ou une nuit pour les plantes moins fortes.

Filtrer et peser le liquide. Pour 1 litre, utiliser 1,2 kg de sucre.

Cuire le tout en mélangeant, surtout au début, et bouillir 3 à 4 mn.

Mettre en bouteille. Peut se conserver plusieurs semaines au frigo et s’utiliser pour aromatiser salade de fruits, pâtes à crêpes, ou en boisson avec de l’eau ou limonade (diabolo).

 

 

Le SODA au levain de gingembre

Préparer le levain de gingembre (appelé « Ginger bug ») :

Jour 1 : Mettre dans un bocal 3 c à s de gingembre pelé et si possible hâché, 3 c à s de sucre et 3 c à s d’eau. Mélanger et fermer hermétiquement le bocal. Laisser à température ambiante pendant 24 heures.

Jour 2 à 5 : ajouter 3 c à s de gingembre, 3 c à s d’eau et 3 c à s de sucre. Bien mélanger et fermer.

Entre le 3ème et le 5ème jour, des bulles apparaissent. A la fin du 5ème jour, il peut être utilisé pour préparer des boissons pétillantes.

Le soda : à partir d’un jus de fruits ou d’une infusion, ajouter 5 cl du Ginger bug à 1 litre de boisson. Fermer hermétiquement. Laisser fermenter 2 à 5 jours à température ambiante jusqu’à ce que le jus devienne effervescent. Filtrer, mettre en bouteilles à fermeture mécanique et entreposer au frais. Peut se boire immédiatement après ouverture ou pendant quelques jours en le gardant au frigo.

Le KEFIR de FRUITS

1 figue

1 belle tranche de citron

20 g de grains de kéfir

1 litre d’eau non chlorée

Mettre le tout dans un bocal ou autre contenant. Couvrir d’un linge et laisser à température ambiante de 24 à 48 heures (la figue doit être remontée à la surface). Attendre encore 24 heures pour plus de pétillant.

Filtrer, presser le citron dans la boisson, utiliser la figue dans un jus de fruits ou légumes ou autre (cake, salade de fruits), réserver les grains de kéfir.

Placer ensuite la boisson au réfrigérateur. Elle peut se conserver plusieurs semaines mais elle deviendra de plus en plus acide.

Les grains de kéfir se conservent au réfrigérateur dans de l’eau sucrée. Les rincer au moins une fois par semaine, et rajouter du sucre. Ils vont se multiplier.

2ème fermentation :

Au bout de 24 à 48 heures, filtrer le tout et ajouter de quoi aromatiser : purée de fruits, jus de fruits frais, plantes fraîches ou sèches, aromates, épices…. pour encore 24 heures à température ambiante en fermant le bocal, filtrer puis mettre au réfrigérateur. Peut se boire pendant plusieurs jours selon les goûts de chacun car devient de plus en plus pétillant et acide.

Ex : citron, gingembre, curcuma, banane, agrumes, menthe, verveine, poire, pommes, eau ou lait de coco, etc…..

Focus sur la brasserie Da Bep Lec’h

Da Bep Lec’h, « Toutes directions » en Breton, c’est une petite brasserie ouverte par Marine et Adrien en 2016, quelque temps après leur retour d’un voyage au Canada durant lequel ils ont expérimenté le brassage de bière. En effet, « au Canada le brassage de bière c’est un hobbie, tous le monde ou presque brasse, c’est très formateur » indique Marine. Ils ont voulu poursuivre l’expérience en France.

La brasserie propose une gamme de quatre bières différentes ainsi que des éditions limitées, le tout bio à 95 %. Pourquoi 95 % et pas 100 % ? « Il est difficile de trouver du houblon en bio » explique Marine.

La brasserie travaille en partenariat avec des artistes, notamment « Le Graphistier » qui réalise les jolies étiquettes qui ornent les bouteilles de verre.

Des initiatives alternatives

La brasserie a mis en place une opération de brassage participatif, le « Front Houblonnier Morlaisien ». Le principe est assez novateur, Marine et Adrien vendent des rhyzomes de houblon que les volontaires font pousser dans leurs jardins. Après récolte, chacun ramène ses fleurs de houblon cultivées en Pays de Morlaix et c’est parti pour l’atelier brassage de bière artisanale.

Da Bep Lec’h fait également partie du dispositif de réemploi des bouteilles en verre, mis en place par l’association Distro.

Pour en savoir plus sur la brasserie :

La microbrasserie Da Bep Lec’h : une nouvelle bière artisanale à Morlaix !

 

http://www.eco-bretons.info/da-bep-lech-portrait-dune-microbrasserie-a-morlaix/




[Défi Famille Zéro Déchet] Comment sont triés nos déchets ? Visite au centre de tri TriGlaz à Plouedern (29)

 

27 000 tonnes sont ainsi traitées par an, et 100 tonnes sont triées par jour.

 

2ème étape : le Trommel

 

 

3ème étape : le tri balistique

La machine de tri balistique permet de séparer les corps creux des corps plats. Les déchets y rebondissent comme sur un trampoline.

 

4ème étape : la presse à paquets

Tout ce qui est en acier va être attrapé par un aimant « overband », pour être ensuite amassés en paquets. Les paquets vont par la suite être transformés en aciérie.

 

5ème étape : le tri optique

6ème étape : La cabine de tri

7Ème étape : Les alvéoles

8ème étape : La presse à balles

Les déchets ainsi récupérés vont être agglomérés en grande balles. Les balles de bouteilles sont ainsi constituées de 6000 à 12000 bouteilles suivant la matière, et peser environ 400 kilos.

 

 

 

La caractérisation