Festivals bretons : un plan pour le déplacement du public

80% à 90% du bilan carbone d’un festival provient des transports ! Un impact énorme pour l’empreinte carbone d’une telle manifestation, qui a amené le Collectif des Festivals engagés pour un développement durable et solidaire en Bretagne (Fedds) à réfléchir et lancer en expérimentation un « plan de déplacement des festivaliers ». « Le plan découle directement d’une enquête que nous avions menée en 2011-2012 auprès de 4000 festivaliers sur 20 manifestations, concernant leur déplacements : comment ceux-ci étaient venus, comment comptaient-ils repartir, quels étaient les freins à l’utilisation de tel ou tel type de transport », précise Maryline Chasles, directrice du Collectif. Une enquête qui a permis aussi de mettre en évidence les enjeux liés à la thématique des transports : sécurité routière, mais aussi tourisme, ou encore accessibilité aux personnes à mobilité réduite.

« Suite à cette enquête, nous avons donc construit un plan d’action, en concertation entre les festivals et les partenaires transports en Bretagne, ainsi que l’Ademe », poursuit Maryline. Ce plan d’action a été mis en place pour une durée de 3 ans, de 2013 à 2015. « Il se décline en 4 axes : des dispositifs de transport favorisant la mobilité et l’accessibilité des festivaliers ; l’information et la communication sur les modes de transport ; des services d’accueil pour les festivaliers sur le territoire ; et enfin la coordination des acteurs et des dispositifs de transports », explique la directrice. Un copilotage a été mis en place avec l’Ademe, la Région, les départements, Rennes Métropole, le Comité Régional du Tourisme, la SNCF, ainsi que des acteurs de la prévention routières, qui se réunit 2 ou 3 fois par an.

 
Trois expérimentations

 

Trois festivals bretons, membres du collectif, ont été alors accompagnés plus spécifiquement sur la partie « transports » : Le Festival de Cornouaille à Quimper (29), le Festival Bonus à Hédé (35), et le festival Au Pont Du Rock à Malestroit (56). Pour chaque événement, un diagnostique a été réalisé, inventoriant toutes les possibilités déjà existantes : bus, train, covoiturage, vélo…

Un travail a ensuite été réalisé avec les festivals et les Autorités Organisatrices de Transports (AOT) : « Par exemple, pour le festival Au Pont Du Rock à Malestroit dans le Morbihan, le Département a renforcé la fréquence du passage des bus près du festival. Deux navettes ont ainsi été programmées, ainsi qu’un retour le dimanche midi vers Vannes », indique Maryline. Pour le festival de théâtre « Bonus », les passages des bus ont là aussi été renforcés. « Mais c’est un festival de petite capacité, il a fallu réadapter l’offre, car elle ne correspondait pas forcément à la fréquentation et aux habitudes du public, qui covoiture davantage pour ce gente d’événement », précise la directrice. Du côté du Festival de Cornouaille, un travail de concertation, inspiré du plan de déplacement des festivaliers, a été mis en place à l’échelle du festival. L’accent a été mis sur l’accueil du public, avec la présence de parking-relais pour accéder à la manifestation.

 

« Un travail à mener sur l’information et la communication »

 

Mais d’autres festivals bretons proposent eux aussi des solutions pour les déplacements. C’est le cas par exemple du festival Panoramas à Morlaix, ou Astropololis à Brest, qui, comme d’autres, peuvent être rejoints en TER avec la Région Bretagne qui propose des allers-retours à 15 euros. « Il y a eu aussi des trains dédiés avec des horaires spécifiques pour rejoindre Panoramas », explique Maryline. « Une partie du public de Panoramas et Astropolis vient de Rennes. Le voyage en train marche plutôt bien pour ces festivals », poursuit-elle. D’autres proposent des déplacements en bateau, comme on peut le voir au festival du Bout du Monde à Crozon. Et le covoiturage reste une valeur sûre, « une pratique assez naturelle, notamment pour les jeunes, qui remplissent davantage les voitures », analyse Maryline. En milieu urbain, il est possible aussi de venir en festival à vélo !

Si les solutions existent, il reste maintenant à amener le public à changer ses pratiques et à passer du « tout voiture » (qui sert d’ailleurs parfois aussi de lieu où dormir durant le festival !) a des transports plus respectueux de l’environnement. « Il y a tout un travail à mener , notamment au niveau de l’information et de la communication, sur la possibilité d’utiliser ces modes de transports. On a assez peu de maîtrise sur le changement de comportement du public dans le domaine des déplacements », explique Maryline. Le développement des technologies du numérique, de plus en plus présentes sur les festivals (paiement dématérialisé, application pour mobiles…), pourrait être un levier pour amorcer ce changement, notamment auprès du jeune public, toujours plus connecté. Toutes ces questions seront abordées à l’automne, après la saison estivale, lors d’un bilan après trois ans de travail et d’expérimentation autour du « plan de déplacement des festivaliers ».

 

Plus d’infos

http://www.lecollectifdesfestivals.org

http://www.lecollectifdesfestivals.org/collectif/2013/09/comment-les-festivaliers-se-deplacent-ils-en-bretagne/

http://www.lecollectifdesfestivals.org/collectif/2013/06/le-collectif-lance-un-plan-de-deplacements-festivalier/

 




Lancement du magazine alternatif pour tous, Demain en mains

Lettre ouverte à la société civile,

 

Notre quotidien c’est l’intolérable domination sur l’opinion des médias aux mains des puissances économiques, bafouant la démocratie en bloquant toutes transitions qui nuiraient à leurs intérêts. Le climat et les damnés de la terre peuvent attendre…

Notre préoccupation, c’est l’incapacité de la presse alternative à toucher le plus grand nombre, là où est le besoin.

Pas de demande exprimée, pas d’offre ? La loi du marché doit-elle s’appliquer à l’information ? Non, la pluralité est un besoin pour tous, même quand il n’est pas ressenti. Il doit être stimulé, notamment par une offre diversifiée facilement accessible.

Difficile ? Même pas. Le lancement du magazine mensuel et national, Demain en mains se fera à 300 000 exemplaires au prix de 20 cts. Petit prix et présentation attrayante, il ne lui manque que d’être bien mis en vue dans les lieux fréquentés par son futur lectorat. Les circuits habituels de diffusion ne sont pas adaptés.

Cette indispensable action complémentaire relève de la responsabilité de la société civile, c’est-à-dire nous. Sinon, qui d’autre ?

Le geste citoyen à accomplir en regard d’un problème aussi grave que le blocage des transitions par la manipulation chronique de l’opinion est d’une facilité surprenante : avancer 6 € pour recevoir 30 magazines chaque mois et les répartir dans 2, 3 ou 4 présentoirs tirelires préalablement disposés dans des endroits passagers : magasins, bars, mairies, salles d’attente, comité d’entreprise… Très peu de temps et d’argent, le projet est accessible à tous !

Il y a bien d’autres manières de diffuser (vidéo) mais celle-là est notre préférée.

Vous êtes invité à coopérer à un projet généreux, émancipateur et fraternel où vous compterez parmi 10 000 pionniers qui vont réussir cette première.

Nous approchons le millier de personnes engagées. Avec vous, nous allons enfin pouvoir faire découvrir à des publics dont nous sommes aujourd’hui coupés qu’il y a d’autres façons de faire de l’économie, équitablement et sans nuire.

Demain en mains a besoin de vous pour se montrer.

www.demain-en-mains.info

 

 

 

 




Les médias libres et inventifs tissent des solidarités

Vous avez été Charlie ? Alors vous serez Meymac ! Le temps d’un week-end et pour la deuxième année consécutive, cette petite ville de Corrèze, en accueillant les rencontres nationales des médias libres et du journalisme de résistance, est devenue la capitale de la liberté de la presse et du pluralisme.

Documentaires, films en avant-première, débats… Avec des figures telles que Denis Robert ou Yannis Youlountas, les Rencontres des médias libres ont attiré plusieurs centaines de personnes. Et, de S !lence à TV Bruits (en passant par les Pieds dans le Paf, Acrimed ou encore la Canarde Sauvage), plus d’une soixantaine de médias associatifs, alternatifs, « pas pareils », libres, citoyens, des journaux papier, des télés participatives, des radios associatives, des sites web, des réseaux et fédérations, des journalistes indépendants… Ce « tiers secteur médiatique » qui représente un journalisme libéré des groupes capitalistes et politiques, relayant cette information que les autres ne font plus, donnant la parole à ce qui ne l’ont pas. Des médias inventifs, innovants, participatifs, horizontaux, citoyens. Des médias qui font autant dans la satire la plus grinçante que dans l’enquête la plus sérieuse. Des médias forcément au bord du gouffre…

Ces rencontres se sont en effet déroulées dans un contexte particulier. Rarement l’hécatombe aura été aussi importante dans le monde des médias. Et, dans ce paysage aux allures de cimetière, les médias libres sont en première ligne. Comment pourrait-il en être autrement puisque ces médias ne bénéficient quasiment d’aucune aide ?

Des aides pour contribuer au pluralisme des médias

Médias de la débrouille, habitués à partager la misère et à jongler avec la précarité, ces derniers se sont récemment organisés afin d’aller taper à la porte des ministères. Mais, si nous avons pris notre bâton de pèlerin pour aller rue de Valois, ce n’est pas pour qu’on nous fasse une fleur. Et encore moins tendre notre sébile. Mais pour que la puissance publique reconnaisse et soutienne la contribution au pluralisme de ces médias qui remplissent de fait une mission d’intérêt général. Pour ne pas dire de service public.

Si nous regrettons que la récente réforme des aides à la presse écrite n’ouvre pas directement celles-ci aux titres de la presse associative, nous nous réjouissons de l’annonce faite par Fleur Pellerin de la création d’un fonds de soutien aux « médias citoyens », objet de longue date de nos revendications collectives. Nous saluons aussi la disparition de la presse de loisirs et de divertissement de la liste des bénéficiaires de ces aides publiques ainsi que la volonté du Ministère de la Culture de redistribuer les économies réalisées notamment vers ce fonds de soutien aux médias citoyens, associatifs, indépendants, « pas pareils ». À Meymac, les médias réunis dans la CPML ont réaffirmé leur volonté de participer à la définition de ce fonds de soutien, en accord avec la proposition qui leur a été faite par le Ministère. Des propositions concrètes seront très prochainement adressées en ce sens à la ministre de la Culture.

Tisser des solidarités

De même, nous ne pouvons qu’exprimer notre satisfaction quant à l’annonce d’un soutien aux nouveaux médias mais souhaitons que les projets de médias non commerciaux ne soient pas oubliés dans ce nouveau dispositif.

L’annonce de la création de ce fonds de soutien est une avancée sans pareille dans l’histoire de nos médias. Mais de quels moyens sera doté ce fonds ? Titres de la presse écrite non éligibles aux aides à la presse, télévisions, web radios, pure players, les médias sont nombreux en France à avoir un besoin vital de ce soutien. Celui-ci devra être à la hauteur de l’enjeu démocratique de l’existence d’une presse libre et indépendante consciente de ses responsabilités citoyennes.

Pour la ministre de la Culture : « Notre mission est de soutenir la presse qui expérimente et invente. » Cette presse, ces médias, ils existent. Ils étaient à Meymac. Où, tout un week-end durant, se sont tissées les nécessaires solidarités entre des acteurs qui ont décidé de mutualiser autre chose que la misère. En clair, leur savoir-faire : mise en place d’une sorte de « compagnonnage » au sein du tiers secteur, réflexion autour d’une Amap des médias libres, coordination de temps forts rédactionnels. Dans une région où l’on produit d’ordinaire du fromage et des présidents, ce sont les médias de demain qui se sont inventés au fin fond de la Corrèze.

Mais, parce qu’on ne rit de bon cœur que dans les cimetières, nous avons décidé de frapper un grand coup. Puisqu’il semble y avoir quelque fonds en faveur de la création de nouveaux médias, puisque l’heure est à la défense du pluralisme et à la dénonciation de la concentration des médias et des puissances d’argent, nous avons décidé de lancer une offre alternative à celle du groupe de luxe LVMH en décidant de racheter la partie « libérée » du « Parisien libéré ».

L’occasion de nous faire connaître de ces lecteurs, de ce public, qui, quoique ayant été « Charlie » (comme tout le monde, ou presque), ignorent encore trop souvent notre existence. Nous sommes les médias inventifs et créatifs, nous mettons en place les nécessaires solidarités entre nous. Mais nous n’existerons pas sans vous. Et, même si vous ne savez pas encore, nous sommes vos médias.

La Coordination des médias-libres

 

Signataires (au 12/06/15) :

À Contre Courant, Acrimed, Adiu Sud Gironde, Adiu TV, Airelles Vidéo, Aldudarrak Bidéo, Bastamag, BateauBasta, Cafaitdesordre.com, Campagnes Solidaires, CASA (association), Cassandre/Hors Champs, DRLP, Citizen Nantes, Cram Cram Editions, Demosphere Ariège, Demosphere Toulouse, Fakir, Fokus21, Friture Mag, Hexagones, L’âge de faire, L’Insatiable, La Canarde Sauvage, La Fédération des Vidéos des Pays et des Quartiers, La Lettre à Lulu, La Lorgnette.info, La Maison écologique, Le Lot en Action, Le Nouveau Jour J, Le Ravi, Le Sans Culotte 85, Les Amis de la Cathode, Les Pieds dans le PAF, Les Rencontres Médiatiques, Lutopik, Médias Citoyens, Montpellier Journal, Pierre Merejkowsky, Plus Belles les Luttes, Politis, Pumpernickel, adio MNE, Radio Zinzine, Reporterre, Rezonances-Tv, Riv’Nord, SideWays, S !lence, Télé Sud-Est, TV Bruits, ZdF, Zelium




 » Flux « , une exposition inspirée par la nature, le corps et le mouvement

Du 18 juin au 14 juillet, Bruno Guihéneuf, plasticien sculpteur, expose « Flux », à l’éco-domaine de l’Etrillet (35). « Flux » est un ensemble d’oeuvres en trois et deux dimensions, inspirées par la nature, le corps et le mouvement. « Ces dessins inscrits dans la matière, ces  » Flux  » laissent deviner des liens avec la nature: l’imaginaire y perçoit tour à tour l’écorce des arbres vigoureux et la sève qui les irrigue, les rides et les plis malicieux de nos peaux, le sang qui circule, les courants d’une rivière, les ondes laissées sur le sable par la mer, les sillons de la terre, promesses de moissons, les plissements géologiques millénaires… », rapporte l’artiste. Ce travail a commencé il y a cinq ans. Bruno Guihéneuf a sculpté les premières pièces dans le granit et a poursuivi avec l’acier, avant d’utiliser le papier. « Les sculptures en pierre sont marquées d’un graphisme profond, piège à ombre et miroir à lumière, alternance de surfaces brutes, lisses ou polies. L’acier offre sa souplesse, les graphismes y deviennent très libres et ouverts, telles des calligraphies métalliques. La recherche se continue sur papier, avec des empreintes-moulage ou des estampages, les « Papiers de Granit » et les « Papiers d’Acier » », précise-t-il. L’exposition s’établit en harmonie avec l’esprit du lieu. Disposées dans une ancienne grange rénovée de l’éco-domaine, les oeuvres dialoguent entre elles et laissent percevoir l’évolution artistique. Les formes et objets naturels évoqués par leurs silhouettes, offrent au visiteur la sensation d’une promenade en extérieur.

 

 

 

Bruno Guihéneuf est un plasticien sculpteur breton. Né en 1968, il grandit sous les influences croisées de la nature, la campagne, les marais et la mer, d’un grand-père peintre et d’un père voyageur, des chantiers navals et des carrières de granit. Il se forme aux Arts Appliqués à Paris puis aux Arts Plastiques à Rennes avant de se former à la scénographie pour le théatre. L’artiste apprécie le temps passé dans son potager où il puise certaines inspirations. Il aime aussi s’en éloigner pour voyager, pour vivre autrement et rencontrer, pour revenir différent: la Scandinavie en stop, des bribes de Sahara à pied, l’Ecosse pour la brume et le whisky, l’Italie et la Sardaigne pour les pierres, « la famiglia » et sa cuisine.

Son site web: http://bruno-guiheneuf.eu

 

 

 




Une Fête de la Bretagne sous le signe du développement durable et solidaire !

La Manu, l’ancienne manufacture de tabacs de Morlaix, s’apprête encore cette année à voir de nombreux visiteurs parcourir ses cours et couloirs lors de la nouvelle édition de la Fête de la Bretagne, qui aura lieu samedi 16 et dimanche 17 mai. Un événement à l’initiative de l’association les Moyens du Bord, qui s’attache à faire vivre un projet dédié aux arts visuels sur le Pays de Morlaix et au delà. L’objectif est de proposer, grâce à une entrée libre et gratuite, la découverte d’une multitude de disciplines artistiques et culturelles : musique, arts visuels, danse, théâtre, gastronomie, vannerie, jeux traditionnels, ateliers graphiques…

Mais aussi, selon l’association « de découvrir des initiatives d’éducation à l’environnement et d’offrir des pistes de réflexion et d’échanges autour d’alternatives citoyennes ou sociales ».

 

 

 

Jardinage, bar à eau, monnaie locale…

 

C’est dans ce cadre que plusieurs acteurs locaux proposeront des activités autour de la thématique du développement durable. L’association Au Fil du Queffleuth et de la Penzé proposera ainsi une exposition sur l’histoire de la fabrication du papier dans la région de Morlaix, et présentera le livre « Moulins à papiers et familles papetières de Bretagne du 15ème au 20ème siècle ». Les Jardins Solidaires de Morlaix seront également présents et réaliseront des animations autour de la problématique « Comment nourrir les auxilliaires de jardin ? ». Dans le même esprit, une causerie sera animée par Eco Bretons, autour de la thématique des « jardins alternatifs ». Et le CPIE de Morlaix fera goûter au public différentes eaux et  deviner leur origine grâce à leur « bar à eau ». L’association pour une Monnaie Locale dans le Pays de Morlaix sera également présente et animera une discussion sur l’utilisation des monnaies complémentaires, et un atelier « graphisme » autour des futurs billets. Les visiteurs pourront d’ailleurs s’initier à la monnaie locale par le biais de l’Heol de Brest, qu’ils pourront exceptionnement utiliser sur l’événement !

Sans oublier l’exposition « Portraits d’Eco-Bretons » par l’association Bretagne Durable et Solidaire, qui présente des portraits de breton(ne)s engagés dans des initiatives en faveur du développement durable et solidaire !

 

L’exposition « Portraits d’Eco-Bretons » se tiendra tout le week end à la Manufacture.

La causerie sur les « jardinages alternatifs » aura lieu le samedi 16 mai à 16h.

 

Tout le programme est disponible en PDF

 

Et ailleurs…

 

Tout le programme de la fête de la Bretagne, et la liste des événements organisés dans la région, en France et dans le monde est disponible sur le site http://www.fetedelabretagne.bzh/

 




Fête de la Bretagne : Participez à notre exposition photo!

Pour la première fois, l’association Bretagne Durable et Solidaire se joint à l’association Les Moyens du Bord pour faire de la Fête de la Bretagne, un moment dédié à la fois à l’expression artistique et aux Transitions. L’exposition « Portraits d’Eco-bretons » vous permet d’exprimer votre vision de la Bretagne en marche vers un développement durable grâce à la photographie.

 

 

  • Envoyez le à : marie@eco-­bretons.info, accompagné d’un ou plusieurs de vos clichés où est (sont) explicitement représenté (s) un(e) breton(ne) engagé (e) dans le développement durable. Illustrez votre photographie d’une phrase courte si vous le jugez nécessaire, mais ce n’est pas obligatoire : le cliché doit parler de lui-même.

 

  • Votre photographie sera exposée* lors de l’événement « Tous à la Manu », à la Manufacture des Tabacs de Morlaix du samedi 16 mai de 14 h à 22 h au dimanche 17 mai de 11 h à 17.

*Nous faisons tout pour que l’exposition « Portrait d’Eco-bretons » fasse son petit bout de chemin en Bretagne. Ainsi, l’association Bretagne Durable et Solidaire se réserve le droit d’exposer les photographies à l’occasion de divers événements consacrés au développement durable dans notre région, et s’engage à en informer systématiquement les auteurs.

 

Vous pouvez également télécharger le réglement ici

 

 

« Tous à la Manu », le programme !

 

  • L’exposition Herbaria en collaboration avec la galerie Réjane Louin (du 2 avril au 24 mai)

  • L’exposition photos « Portraits d’Eco­-bretons »

  • Un marché d’artistes dans la cour d’honneur

  • Des concerts, du théâtre, de la danse

  • Des animations d’éducation à l’environnement

  • Une causerie dédiée à la Bretagne en Transition

  • Des stands des associations du territoire avec des ateliers, des débats, des échanges…

  • Buvette, restauration.

  • Entrée gratuite et ouverte à tous !

 

Le saviez vous ?

La Fête de la Bretagne (Gouel Breizh, en breton) a vu le jour il y a plus de 80 ans sous l’impulsion d’associations bretonnes. Organisée depuis 2009 par le Conseil Régional, cette période de festivités consiste en des activités culturelles dédiées à la culture bretonne et organisées par centaines en Bretagne et dans le monde.

 

A propos de l’association Les Moyens du Bord…

 

Initiée par un artiste plasticien, l’association s’attache depuis 1998 à faire vivre un projet dédié aux arts visuels sur le Pays de Morlaix et au-delà. Elle s’applique à favoriser l’accès du plus grand nombre à des formes d’expressions artistiques contemporaines, notamment à travers des ateliers, des expositions, l’accueil des artistes en résidence, et une artothèque. Pour sa 7ème édition de la Fête de la Bretagne, l’association Les Moyens du Bord a choisi d’investir la Manufacture des Tabacs de Morlaix, lieu au sein duquel elle est installée depuis l’été 2012.

 

A propos de l’association Bretagne Durable et Solidaire …

 

Née en 2009 à Morlaix (29), cette association édite un site web collaboratif : eco-bretons.info.

Son but ? Diffuser de l’information sur les Transitions en Bretagne et permettre aux citoyen(nes), de publier leurs articles, photos ou témoignages. Elle valorise également les initiatives engagées dans le développement durable sur le territoire breton à travers des conférences, ciné débats ou encore des concours. Cette année, Bretagne Durable et Solidaire célèbre sa première édition de la Fête de la Bretagne et met sur le devant de la scène, ces portraits d’Eco-bretons.

 

Contact

Association Bretagne Durable et Solidaire

10, rue de la Tannerie, 29600 Plourin-Lès-Morlaix

info@eco-bretons.info

09 81 92 98 60 ou 06 52 85 27 48