A voir. « Vivre avec les loups » de Jean-Michel Bertrand

En 2015, il part à la découverte du loup, avec « La Vallée des loups », qui sera suivi en 2020 par « Marche avec les loups ».

Le film « Vivre avec les loups » est encore diffusé en Bretagne :

 

  • Le samedi 16 Mars à 14h30 au Cinéma La Club à Douarnenez (29)
  • Le mardi 19 mars à 20h30 au Cinéma Des Familles à Groix (56)
  • Le mercredi 20 mars à 20h30 au Cinéma Beaumanoir à Josselin (56)
  • Le mardi 26 mars à 16h15 au Cinéma Le Club à Douarnenez (29)
  • Le mercredi 3 avril à 20h30 au Cinéma Les Korrigans à Romillé (35)
  • Le mercredi 10 avril à 15h00 au Cinéma Le Celtic à Saint-Méen-Le-Grand (35)

 

Plus d’infos

https://vivre-avec-les-loups.lefilm.co

 

 

La bande-annonce du film :

 




KuB’tivez vous. Sélection de janvier.

Pour voir le film :

https://www.kubweb.media/page/mael-et-la-revolution-conscience-politique-jeunesse-celine-thiou/

 

 

Pour voir le film :

https://www.kubweb.media/page/enez-ile-sein-montee-eaux-emmanuel-piton/

 

 

Plus d’infos :




Les Utopiennes, voyage contre l’éco-anxiété en direct de 2043

Quel est le point commun entre Dominique A (chanteur et poète), Charlotte Marchandise (candidate à la Primaire Populaire), Damien Deville (géographe et auteur), Louise Browaeys (essayiste et auteure), Jean-Marc Gancille (essayiste et défenseur de la cause animale, Timothée Parrique (spécialiste de la décroissance) ? Toutes et tous ont participé au recueil « Les Utopiennes, des nouvelles de 2043 », paru aux éditions La Mer Salée, basées à Rezé en Loire-Atlantique.

Les Utopiennes – Des nouvelles de 2043, Editions La Mer Salée, 24 euros.

https://www.lamersalee.com/les-livres/les-utopiennes-des-nouvelles-de-2043




« La Vie profonde », une plongée dans les abysses avec David Wahl

La vie profonde – Une expédition dans les abysses, David Wahl, Editions Arthaud, 171 pages, 22 euros.

 

 

https://davidwahl.fr/

 

Le programme du Carrefour des Transitions à Plounéour-Lanvern : https://paysbigoudenentransition.fr/evenements-a-venir/




Paysômes : les hommes en agriculture sous l’oeil de l’artiste-photographe Johanne Gicquel

Après « Paysâmes », ouvrage de photos et de rencontres consacré aux femmes en agriculture, Johanne Giquel lance un nouveau livre, cette fois-ci dédié aux hommes. Baptisé « Paysômes », il retracera en photo et textes le parcours de neuf paysans bretons, de tous âges et à tous les stades de leur carrière. Un « outil de vulgarisation agricole, et aussi de réflexion citoyenne », selon Johanne, qui a été par ailleurs elle aussi paysanne-boulangère. Interview.

 

Quelle a été la genèse du projet ?

Hormis le sujet, quelles sont les différences avec ton précédent projet « Paysâmes » ?

 

Je me suis rendue compte aussi, en allant à la rencontre de tous ces hommes, que les femmes agricultrices étaient hyper engagées dans leur travail, et ressentaient une certaine charge mentale. Elles ont de nombreuses responsabilités. Pour les hommes, cela semble plus léger, plus simple à gérer.

 

Paysômes, en pré-commande

A découvrir ici : https://www.johannegicquel.com/boutiklivres/paysomes-soutien/

 

 

A lire aussi

Le portrait de Johanne, dans le cadre de notre série « Portraits de femmes »

Paysâmes : Aller à la rencontre des femmes qui ont « épousé la terre »




Aux arts citoyens et citoyennes !

Laure, Plume Citoyenne, nous fait un retour sur sa lecture de « Pour une insurrection des sens » de Jean-Philippe Pierron, paru dans la collection « Voix de la terre » aux éditions Actes Sud.

Et si nous vivions une huitième extinction, celle de nos sens, celle de notre rapport au sensible et cette extinction aurait pour conséquence notre insensibilité au naufrage du vivant, au changement climatique, au cataclysme des insectes et des oiseaux qui disparaissent.

Les arts alors auraient une vocation : nous aider à retrouver ce lien avec nos sens et donc à nous rendre à nouveau sensibles au sens philosophique du terme.

Voilà bien une approche passionnante portée par une écriture simple, humaine, à portée de tous. Cet ouvrage aborde tous les arts : les jardins, la cuisine, l’art de « cabaner », la danse, la musique et bien évidemment la littérature. Chacun a sa pierre à apporter à notre « re-connexion » à la nature. Que ce mot est laid tant il a pu être galvaudé par des marchands de bien-être. « Ma thèse se tient là. La crise écologique envisagée comme une crise de la sensibilité appelle une réponse en termes de cultures sensibles. ». Nous aurions développé « un rapport anesthésié à la nature par une civilisation hantée par la maîtrise, le contrôle et la gouvernance par des chiffres et des indicateurs ». Comment le nier ? L’auteur nous invite à retrouver le lien avec les choses de l’ordinaire, du minuscule, du « juste à côté ». Repenser notre rapport au monde par une recrudescence de la simplicité, loin de l’omniprésence de « l’image fabriquée de vie guidée par la consommation ».
> Le lecteur sort de ce livre galvanisé, prêt à se jeter sur les livres, les saisons culturelles dans tous les lieux de culture, prêt à échanger autour d’un bon repas. Voltaire ne fait-il pas dire à Candide « il faut cultiver notre jardin » ce lieu de culture, de toutes les cultures où l’homme retrouve, préserve et enrichit la nature. Chiche.