Les étudiants de BTS GPN de Suscinio à la découverte de la ferme pédagogique de Trémargat
Les étudiants de BTS GPN se sont rendus à la ferme pédagogique de Trémargat pour découvrir le projet pédagogique de Leila et Dorig, paysans et animateurs nature!
La ferme à Trémargat, en plus de ses vaches laitières, de ses chevaux, de sa basse-cour, de son rucher, de son jardin, sur 30 ha de champs, de bois de landes et de nombreux chemins, offre : Un gîte de 36 places (chambres de 2 à 7 lits, salon avec cheminée et restauration). Une grande longère, avec four à pain, cheminée, sanitaire, cuisine, salle à manger, sur un terrain permettant d’accueillir des mini camps.
Les paysans, Dorig, Leïla et leur équipe accueillent depuis 28 ans des enfants en séjours scolaires de 2 à 15 jours pour l’éducation à l’environnement et pour les vacances dans le cadre de centre de vacances, ainsi que des séjours de randonnée ou de formation.
L’alimentation est produite pour une grande partie sur la ferme, celle-ci est menée en agrobiologie (sans pesticides et sans engrais chimiques). Les repas sont cuisinés de manière traditionnelle et familiale.
Les compétences de l’ensemble de l’équipe correspondent à des savoir-faire utilisés dans toutes les activités de la Ferme pédagogique à Trémargat. Elles répondent aux différentes normes exigées par l’Inspection Académique, la Cohésion Sociale, la Direction des Services Sanitaires : Agriculteurs, accompagnateur de tourisme équestre, directeur de centre de vacances, animateurs nature et B.A.F.A, cuisinière.
«La ferme à Trémargat» est une association loi 1901, elle a pour but d’offrir aux enfants et aux adultes un lieu de vie privilégié propice à l’écoute, au contact, à l’éveil aux activités de la ferme et de son environnement,mais aussi de rencontre, de découverte et de questionnement.
Bretagne Vivante appelle à une véritable prise de conscience et une mobilisation de tous sur l’importance du bocage breton. Dans un contexte de réchauffement climatique, d’érosion des sols, de pollutions des eaux, de perte d’habitats pour la biodiversité, la disparition du bocage est un enjeu fondamental pour la Bretagne. Force est de constater que les politiques régionales, pourtant dotées de fonds importants, ne suffisent pas à enrayer cette disparition. ». Elle appelle alors, outre les actions individuelles, les acteurs publics, et en particulier les collectivités territoriales, à « de développer de vrais programmes d’action sur le bocage, avec les agriculteurs, les habitants et les associations environnementales, au bénéfice de tous ». De quoi alimenter les réflexions pour le colloque de Lannion ! A Lannion, eau, haies et bocage en discussion
Un week-end autour de la fiction, de la littérature et des déchets à Saint-Brieuc
Le programme détaillé :
De 9h30 à 13h : Premier Set Déchets-Fiction
14h-18h : Deuxième set Déchets-Fiction
20h30-22h : Eves Futures, performance, vidéos et lectures
9h30-13h : Troisième set Déchets-Fictions
Lecture de fragments de Or Comme une ordure, de Frédéric Ciriez, uivie de deux courtes interventions de lecteurs. Contribution des participants et débat.
19h-23h30 : Lecture/Performance des trois nouvelles Déchets-Fictions
20h30 : Déchets-Fiction 2 : Rudimenteurs de Alexis Fichet
22h : Déchets-Fiction 3 : Or comme une ordure de Frédéric Ciriez
Construit par l’association Embarque à Treb, le troisième Festival du film et de l’image des mondes sous-marins s’achèvera le 28 octobre 2018 à Trébeurden, dans les Côtes d’Armor. Le Festival du film et de l’image des mondes sous-marins a pour vocation de sensibiliser à la sauvegarde de la vie sous-marine. Dans les thèmes abordés, on retrouve, par exemple, la pollution plastique. Pour ce faire, samedi et dimanche auront lieu de nombreuses projections de films. Yvan Bourgnon, parrain du festival 2018, sera également présent pour présenter la maquette de son projet : le bateau « nettoyeur des mers ». De nombreuses conférences sont également organisés tout au long du festival. Aline Tribollet, par exemple, chargée de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) et rattachée au laboratoire LOCEAN à Paris, viendra ce week-end présenter les enjeux majeurs en ce qui concerne les récifs coralliens. En parallèle de ces conférences et de ces projections, des expositions sont accessibles, comme « L’Amoco Cadiz, triste souvenir 1978, 40 ans après », « Les inventions des frères Lebrun » et « Voyage au cœur des récifs coralliens ». Un concours pour les jeunes est également organisé, et un salon professionnel et associatif est en place, tout comme un marché alimentaire maritime, une petite restauration, une dégustation d’huîtres et de crêpes et une buvette. L’idée sortie. Le troisième Festival du film et de l’image des mondes sous-marins s’achèvera le 28 octobre 2018 à Trébeurden
Le « nettoyeur des mers »
Le programme du festival est à retrouver ICI. Ci-dessous, un court-métrage humoristique produit par Eric CLUA qui traite de la pollution des océans par l’absurde et projeté lors du festival jeudi 25 octobre :
Ce samedi, pour le Jour de la Nuit, « éteignons les lumières, rallumons les étoiles ! »
Samedi 13 octobre, à l’occasion du Jour de la nuit, plus de 600 événements sont prévus pour sensibiliser la population à la pollution lumineuse, à la protection de la biodiversité nocturne et du ciel étoilé un peu partout en France.
Nos nuits sont de moins en moins noires à cause du sur-éclairage. La pollution lumineuse désigne les effets néfastes d’un éclairage artificiel excessif sur notre environnement et la santé et génère souvent des nuisances. Cette pollution est produite par l’éclairage extérieur des collectivités locales, mais également par des enseignes lumineuses, de commerce ou de publicité.
Selon les études de l’ADEME (Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’énergie), « l’éclairage public représente 50 % de la consommation d’électricité des collectivités territoriales et 38 % de leur facture d’électricité ».
La pollution lumineuse impacte la biodiversité et perturbe les écosystèmes,. Le sur-éclairage affecte le rythme biologique des espèces, qui perdent leurs repères. Par exemple, les halos lumineux au-dessus des viles désorientent les oiseaux et les chauves-souris. Ce sur-éclairage rend également difficile l’observation des étoiles par les professionnels et amateurs d’astronomie. De plus, elle entraînerait des troubles du sommeil, et occasionnerait « une baisse de production de mélatonine, hormone vitale au bon fonctionnement de notre organisme ».
« Aujourd’hui, un tiers de la population mondiale ne voit plus la Voie Lactée ! »
Alors, pour favoriser une prise de conscience collective sur les effets néfastes de la pollution lumineuse, de nombreuses animations sont prévues, comme des sorties natures, des observations d’étoiles, des conférences-débat, des expositions, des lectures de contes, et même des représentation théâtrales. Des extinctions auront également lieu un peu partout : certaines villes vont, partiellement ou intégralement, éteindre leurs éclairages publics.
« Cet évènement grand public invite également à retrouver la magie d’une nuit préservée. »
Quelques exemples d’animations en Bretagne
- Plourin-les-Morlaix : l’association ULAMIR CPIE propose une animation sous forme d’une enquête policière (type Murder party). Cette animation ludique permettra de découvrir le monde de la nuit et d’aborder les impacts de la pollution lumineuse. Une animation familiale accessible à partir 8 ans. Plus d’informations ICI.
- Marsac Sur Don : extinction totale de l’éclairage public dans le centre bourg dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 octobre 2018 de 20h à 8h.
- Rennes : coupure des illuminations de bâtiments et de mise en lumière des espaces toute la nuit du samedi au dimanche, de 18h à 8h.
- Au Stade de Corniguel Quimper : soirée observation des étoiles (Loar Gann) et chasse aux papillons nocturnes (Bretagne Vivante). Plus d’informations ICI.
- Pleumeur-Bodou : Observation du ciel nocturne à partir de 21h devant l’entrée du Planétarium avec le club astronomique du Trégor. Plus d’informations ICI.
- Abbaye de Beauport : lecture, jeu de piste, éveil à la nature, fabrication de photophore, projection vidéo et d’autres activités sont à retrouver ICI.
Pour plus d’animations, consultez la carte interactive du Jour de la Nuit ICI.
Avec l’association Eau et Rivières de Bretagne, faites de votre jardin un refuge amphibien !
L’association Eau et Rivières de Bretagne lance une opération visant à créer des refuges amphibiens un peu partout en Bretagne pour sauver les espèces menacées.
D’après l’Union internationale pour la conservation de la nature, environ 41 % des espèces d’amphibiens sont menacées d’extinction dans le monde. Pour enrayer leur déclin, l’association Eau et Rivières de Bretagne lance une opération un peu spéciale : si vous avez une mare, un lavoir, une fontaine, une petite zone humide (même sans grenouilles), vous pouvez faire de votre jardin un refuge amphibien.
Il suffit, pour être labellisé, d’adhérer à la charte ci-dessous :
- Respecter la réglementation dans le domaine de l’eau et des zones humides : ne dévier aucun cours d’eau pour alimenter mon point d’eau et ne déplacer aucune espèce.
- Proscrire les pesticides.
- Ne pas introduire de plantes invasives.
- Permettre l’accessibilité aux animaux, au besoin en aménageant des accès.
- Aménager des berges en pentes douces (au minimum la moitié).
- Installer un tas de pierres ou de bois aux alentours du point d’eau.
- Ne pas introduire de poissons dans le bassin, ceci étant incompatible avec le développement des amphibiens.
- Respecter le calendrier fournir dans votre kit de bienvenue.
- Laisser plus de 50 % de la végétation aquatique chaque année.
- Laisser des végétaux quelques jours sur la berge après chaque opération d’entretien.
Pour vous aider dans la protection et l’observation des amphibiens, l’association fournit une plaque signalétique pour le refuge, un autocollant, un petit guide pour connaître les amphibiens, une fiche pour rapporter les espèces présentes et un calendrier d’entretien de la mare. Chaque trimestre, elle envoie également une fiche conseils, une fiche découverte des espèce et une fiche d’activité pour les enfants.
Si vous souhaitez faire de votre jardin un refuge amphibien, rendez vous ICI.