« On refait le climat » avec les festivaliers des Vieilles Charrues

 

 

Plus d’infos

http://www.fne.asso.fr/

 

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Conférence de F. Veillerette : Pesticides, s’informer pour agir au bénéfice des générations futures !

Dans le cadre de la campagne nationale de communication “Printemps Bio”, Initiative Bio Bretagne et ses partenaires (MCE, Eau & Rivières de Bretagne, Vrai / Triballat Noyal, Grillon d’Or / Céréco, Scarabée Biocoop) vous proposent une conférence pour faire le point, avec François Veillerette, porte-parole de Générations Futures (ex-MDRGF).

Au programme :

  • Pesticides : quels impacts sur la santé et l’environnement ? Quelles alternatives ? (François Veillerette – Générations Futures)
  • Illustration des impacts sur l’environnement en Bretagne et intérêt des pratiques Bio (Eau & Rivières de Bretagne)
  • Manger Bio : c’est mieux pour notre santé ! (Rolande Marcou – Diététicienne à la MCE)
  • Clôture conviviale… Buffet Bio et breton et espace d’exposition ouvert aux partenaires

Participation libre intégralement reversée à Générations Futures

Communication participative

Diffusez l’information dans vos réseaux : maisons de quartiers, espaces culturels, magasins, fermes, écoles et universités… Nous mettons à votre disposition les outils de communication nécessaires (à imprimer ou à diffuser par mail) pour communiquer sur la conférence de François Veillerette : Pesticides, s’informer pour agir au bénéfice des générations futures !

 




Décroissance

 

 

La vie de chatô, le journal des élèves du lycée Chateaubriand à Rennes

Le journal de La Vie de Chatô fonctionne sur la base du volontariat. Chacun peut, au lycée, s’il le souhaite, participer, contribuer à rendre le journal de plus en plus consistant, diversifié, plus vivant, que ce soit régulièrement ou occasionnellement. Le journal n’est pas seulement un ensemble de papiers agrafés, c’est un moyen d’expression qui s’offre à tous. Chacun peut mettre ses capacités personnelles à profit pour l’améliorer. De la rédaction des articles à la mise en page en passant par la correction et la mise en ligne des articles, chaque étape est réalisée uniquement par des élèves pour un journal lycéen libre.

Infos techniques :

Actuellement le logiciel employé pour la mise en page papier du journal est le logiciel libre scribus. Nous utilisons par ailleurs une police nommée « spranq », qui a la particularité d’être composée de petits trous qui permettent d’économiser de l’encre, dans une démarche respectueuse de l’environnement.

Récompenses :

En 2012, La Vie de Chatô a été lauréat du concours Bretagne des journaux lycéens, et s’est distingué en remportant le Prix des Lycéens.

Site web: http://www.ver1.viedechato.fr/index.php




Lamballe (22) : Un atlas pour la biodiversité à l’échelle intercommunale

A quoi sert cet atlas intercommunal de la biodiversité ? Quel est son objectif ?

 

Romuald Toussaint : L’atlas est un document de synthèse d’un projet visant à rassembler les connaissances naturalistes sur la biodiversité existante, ici à l’échelle intercommunale. Il est élaboré à partir d’un inventaire précis et cartographié des habitats, de la faune et de la flore.

L’intercommunalité a la responsablité des trames vertes et bleues sur le territoire. Pour faire de bonnes trames, il faut bien connaître la richesse en terme de biodiversité du territoire. D’où le travail que nous menons avec l’association costarmoricaine Viv’Armor.

Les atlas de la biodiversité ont été pensés par le ministère de l’écologie, à l’échelle communale. En Bretagne, l’Atlas de la Biodiversité Intercommunal de Lamballe est une première à cette échelle.

 

 

Quels en sont les enjeux ?

 

Romuald Toussaint : Cela permettra notamment de concilier préservation de l’environnement et de la biodiversité, et projets d’urbanisme et d’aménagement du territoire. Lorsqu’on a un projet en urbanisme, on aura également les données environnementales, cela permettra ainsi une meilleure compatibilité entre ces différentes problématiques.

 

Jean-Luc Balbo : On est également en présence d’un phénomène d’érosion de la biodiversité, notamment concernant les espèces inféodées aux zones humides. Pour arrêter cette érosion, il faut agir localement.

 

 

 
Comment va se dérouler la réalisation de cet atlas ?

 

Jean-Luc Balbo : La réalisation de l’Atlas va se dérouler jusqu’en 2018. Si Viv’Armor coordonne les opérations, les autres associations naturalistes du secteur sont également associées à la démarche : le Geoca (Groupe d’Etudes Ornithologique des Côtes-d’Armor), le GMB (Groupe Mammalogique Breton), les associations de chasseurs, de pêcheurs, les agriculteurs…

Nous avons également la volonté d’associer le grand public. Une démarche participative sera ainsi lancée entre 2016 et 2017. Des actions seront menées durant la semaine du Développement Durable début juin, et nous allons mener un travail avec les scolaires, sur les chauve-souris notamment.

 

Plus d’infos

http://www.vivarmor.fr/

http://www.lamballe-communaute.fr/accueil_lamballecommunaute/actualites/644_46354/signature_de_latlas_de_la_biodiversite_intercommunale




Un week-end pour la permaculture

La permaculture a été théorisée dans les années 70 en Australie par Bill Mollison et David Holmgren, deux scientifiques engagés dans la protection de l’environnement. On peut définir la permaculture comme étant un véritable art de vivre, qui mêle art de cultiver la terre avec art d’aménager le territoire. La prise en compte des écosystèmes est également très importante. C’est « une science et un art qui visent à aménager des écosystèmes humains éthiques, durables et robustes qui s’intègreront harmonieusement avec la nature » », selon Steve Read, fondateur de l’Université Populaire de Permaculture.

La permaculture ne se limite pas seulement à l’agriculture, elle rejoint aussi d’autres domaines comme l’économie, la technologie, la santé, l’habitat…

 

Les 12 piliers de la permaculture sont :

Les douze piliers de la permaculture

  1. Observer et interagir

  2. Collecter et stocker l’énergie

  3. Créer une production

  4. Appliquer l’auto-régulation et accepter la rétroaction

  5. Utiliser et valoriser les services et les ressources renouvelables

  6. Ne pas produire de déchets

  7. Partir des structures d’ensemble pour arriver aux détails

  8. Intégrer plutôt que séparer

  9. Utiliser des solutions de petites échelles et avec patience

  10. Utiliser et valoriser la diversité

  11. Utiliser les interfaces et valoriser les éléments en bordure

  12. Utiliser les changements et y réagir de manière créative

 

En Bretagne, des stages et formation en permaculture sont régulièrement organisés à Plufur, dans les Côtes-d’Armor, avec l’association Dynamie.

http://www.permaculturefrance.org/

 

Des journées d’initiation à la permaculture sont mises en place également à Hénon, toujours dans les Côtes d’Armor, au jardin « La pâture Es Chènes ».

http://www.lapatureeschenes.fr/

 

Pour connaître les animations organisées, ce week-end, rendez-vous sur le site http://www.permaculture-incroyables.org/jip2015/

 

« La même planète, un autre monde – la permaculture et une évolution sociologique », brochure de Steve Read consacrée à la permaculture, est disponible en téléchargement sur son site : http://www.steveread.fr/

 

 

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Une journée consacrée à l’éco-pastoralisme

Le contexte

 

L’éco-pastoralisme est une solution alternative de gestion écologique des milieux par des herbivores issus de races rustiques locales ou non autochtones

La journée est mise en place au Lycée de L’Aulne à Chateaulin (29), par une classe de BTS D.A.T.R (Développement et animation des territoires ruraux). Elle est organisée en partenariat avec le Parc Naturel Régional d’Armorique, et la Fédération des Races Anciennes de Bretagne. Dans le cadre de la Charte 2009‐2021, le Parc Naturel Régional s’intéresse à la conservation et la valorisation de la biodiversité domestique. En partenariat avec la Fédération des Races de Bretagne, il a défini une stratégie et mène un ensemble d’actions dont la valorisation non alimentaire des races domestiques Bretonnes par leur utilisation dans la gestion des espaces naturels sous l’angle de l’éco‐pastoralisme.

La Fédération des Races de Bretagne, elle, fédère l’ensemble des éleveurs de onze races locales bretonnes, dans un but de sauvegarde, promotion et valorisation de ces races et de leurs produits.

 

 

Objectif de la journée

 

« Les rencontres de l’éco-pastoralisme en Bretagne » ont pour objectif de valoriser et mettre en avant les pratiques d’éco-pastoralisme, et de mettre en avant l’utilisation des races locales bretonnes dans les pratiques d’entretien des espaces naturels au sens large. « Nous voulons également mettre en contact entre eux les professionnels du secteur », assure Ange Rollet, étudiant dans la classe qui organise la journée.

 

 

Le programme

 

Au programme de la journée :

  • Pour les professionnels : débats sur l’intérêt de l’éco-pastoralisme dans la gestion des espaces naturels, ainsi que des témoignages sur l’utilisation des races locales. Des ateliers d’échanges entre acteurs seront également organisés.

  • L’après-midi est ouverte au grand public, avec au programme : des expositions, des présentations d’animaux (moutons « lande de Bretagne », de « Ouessant », chèvres des fossés…), présence de fermes pédagogiques, chasse de trésor…

 

 

 

Plus d’infos

www.cmk29.educagri.fr/le-lycee-de-laulne/les-evenements.html