NATURA, un film qui nous soigne

Co-réalisé par Pascale d’Erm et Bernard Guerrini, le film-enquête international NATURA nous dévoile une nouvelle science en pleine émergence démontrant comment l’expérience de nature soigne la santé physique, mentale et cognitive.

Une tournée bretonne organisée par Femmes de Bretagne mène actuellement Pascale d’Erm dans quatre villes – Lorient, Brest, Morlaix et Rennes – entre le 27 novembre et le 10 décembre, où elle échangera avec le public à l’issue de chacune des projections. A Morlaix, la soirée-ciné sera précédée par une rencontre au lycée de Suscinio, dans le cadre de ses Rencontres Nature, entre Pascale d’Erm et les 25 élèves de la classe de 1ère STAV (sciences et technologies de l’agronomie et du vivant) puis par une séance de dédicace de son livre – du même nom que le film, NATURA (éd Les Liens qui libèrent) – à la librairie La Lettre Thé, entre 18h et 19h30.

Nous savons intuitivement que notre sentiment de bien-être est plus élevé dans la nature. Cela semble même être une évidence. Mais jusqu’à présent, les preuves scientifiques manquaient pour confirmer cette intuition…

Tourné au Japon, aux Etats-Unis (Stanford), au Canada, en Suède, en Allemagne et en Belgique et en France, NATURA raconte le formidable récit de ces chercheurs pionniers – biologistes, neuroscientifiques, médecins, experts en psychologie environnementale – qui sont en train de démontrer que « l’expérience de nature » stimule des ressources biologiques et psychiques insoupçonnées et représente une source inépuisable de bien-être physique et mental.

Trente ans après la première étude qui a révélé l’impact physiologique de la nature sur des patients en milieu hospitalier (Sciences, 1984, Roger Ulrich), les chercheurs possèdent désormais suffisamment de preuves pour affirmer qu’une immersion, même brève, dans des environnements naturels (y compris urbains) régule tous nos paramètres physiologiques liés au stress, renforce notre système immunitaire naturel, nous aide à lutter contre la fatigue mentale, restaure nos capacités intellectuelles, améliore notre humeur, et constitue un puissant antidépresseur.

Ces résultats édifiants, racontés pour la première fois au grand public, pourraient faire évoluer en profondeur nos systèmes de santé publique, notre rapport à la santé, et au monde vivant.

Ce film lance un appel : il est urgent de prendre conscience des liens qui nous unissent au monde vivant, jusqu’au plus profond de notre corps et de notre esprit. La nature ne nous est pas seulement « bénéfique », elle nous est vitale, c’est le message de ces scientifiques qui en étudient l’impact sur les humains depuis 25 ans. Il faut la préserver à tout prix et exiger davantage d’espaces verts dans les villes, où vivent déjà plus de 50% de la population mondiale.

En immersion, le spectateur sera sollicité pour participer à l’expérience du film : la nature,même sur un écran, nous calme, régule notre pouls, réduit l’anxiété, et peut même nous rendre plus heureux !

Les deux co-réalisateurs

Pascale D’Erm est journaliste, réalisatrice, auteur spécialisée dans les questions de nature et d’environnement depuis une vingtaine d’années, elle a travaillé aux côtés de la Fondation Nicolas Hulot, de Yann Arthus Bertrand, de l’ex Cinquième, de France 3 Ouest ou Ushuaïa TV où elle dirigé les enquêtes.

Dans
l’édition, Pascale d’Erm a dirigé la collection « les
Nouvelles Utopies » chez Ulmer où elle a publié « Vivre
ensemble autrement », « Vivre plus lentement », ou « Se
régénérer grâce à la nature ». Elle aussi publié des
ouvrages d’éco-citoyenneté chez Glénat (« Devenir écocitoyen
»…) ou « Ils l’ont fait et ça marche, comment l’écologie
change déjà la France » (les Petits matins, 2014) et « Sœur en
écologie » en 2017 (Editions la Mer Salée).

NATURA, l’expérience de nature, comment elle soigne la santé physique, mentale et cognitive fait l’objet d’un livre paru début 2019 aux Liens qui Libèrent.

Bernard Guerrini est auteur, réalisateur, producteur, Après des études photographiques et cinématographiques, et deux années passées au cinéma des armées, Bernard Guerrini débute en 1983 sa carrière comme assistant réalisateur puis assistant opérateur et opérateur de prises de vues dans le cinéma.

Il
se passionne très vite pour les films documentaires à caractère
animalier, nature et ethnologique. Il réalise une quarantaine de
films, entre 1985 et 2014. Il collabore également en tant que
réalisateur à différentes émissions de télévision
comme :
 « Adventure » présenté par Christopher Reeve
(M6), « Dans la nature » avec Stéphane Péron (Canal+),
« E=M6 » avec Caroline Avon (M6), « Ushuaïa Nature »
avec Nicolas Hulot (TF1), « Voyage en terre inconnue » avec
Frédéric Lopez (France 2)…

Une
enquête menée entre Asie, Amérique du Nord et Europe

Au Japon, Bains de forêts. Site de shinrin yoku, Forêts d’Okutama, d’Hinohira.

Ecole
Japonaise de médecine Tokyo

Centre pour les sciences de l’environnement, de la santé et de la Terre de l’Université de Chiba, Tokyo Nous rencontrons le professeur Qing LI, docteur en immunologie et le professeur Miyazaki, deuxpionniers de l’étude des Bains de forêts depuis une vingtaine d’années…

A l’Université d’Uppsala, Suède. Nous découvrons ensuite les travaux de Terry Hartig, professeur de psychologie environnementale, pionnier des recherches sur l’environnement restaurateur et l’impact de l’expérience de nature sur nos fonctions cognitives et la lutte contre la fatigue mentale.

A l’Institut central pour la santé mentale de Mannheim, Allemagne. Pour comprendre l’impact de la nature versus du milieu urbain sur le cerveau nous allons à la rencontre du professeur Andreas Meyer-Lindenberg neuroscientifique de renommée internationale spécialisé dans l’étude de l’imagerie cérébrale. Il est l’auteur de l’étude publiée dans la revue Nature en 2011, au cours de laquelle il a utilisé l’IRM fonctionnel pour comparer les effets sur notre cerveau de la fréquentation de la ville versus de la nature.

A Stanford, Californie Etats-Unis. Nous nous rendrons aussi en Californie, pour rencontrer Gretchen Cara Daily, professeur de Biologie à l’Université de Stanford, et Gregory Bratman, diplômé de Stanford, professeur à l’Université de Washington. Ils sont les co-auteurs de l’étude pionnière qui a révélé l’impact de la nature sur les pensées « ruminatoires » précurseurs de dépression (« Nature experience reduces rumination and subgenual prefrontal cortex activation)

A l’Ecole Polytechnique Chalmers Göteborg, Suède. Rencontre avec Roger Ulrich. En 1984, Roger Ulrich, géographe et spécialiste de psychologie environnementale, publie un article scientifique qui a fait date dans le magazine Science : View through a window may influence recovery from surgery. Le chercheur y démontre que les patients de l’hôpital de Pennsylvanie dont la fenêtre donnait sur une vue arborée ont récupéré plus vite et avec moins d’antidouleurs que ceux dont la chambre donnait sur un mur ou une cour. Nous rencontrons cet homme visionnaire…

A l’Hôpital de la Pitié Salpêtrière, Pavillon de pédopsychiatrie, Paris, France. Anne Ribes a créé le premier jardin thérapeutique au pavillon des enfants et adolescents autistes de l’Hôpital de la Pitié Salpêtrière…

A Louvain-La-Neuve (Belgique). Le professeur Eric Lambin est géographe, enseignantchercheur à l’Université de Louvain-la-Neuve, affilié à l’Université de Stanford, en Californie,membre de l’académie des sciences des Etats Unis et de Belgique. Il a consacré la plus grande partie de ses travaux à étudier les relations entre les hommes et leur environnement. Il revient sur la quête de sens dans la nature, et la théorie de la Biophilie (Wilson).

En Colombie – Britannique, Vancouver, Stanley Parc, Vancouver Université de Colombie Britannique, Vancouver

Rencontre avec Cecil Konijnendijik enseignant-chercheur au département des ressources forestières de l’UBC, spécialiste international des forêts urbaines. Avec ses étudiants, il réalise la première carte d’expérience au Stanley park.

Rencontre avec Matilda van den Bosh, professeure à la School of Population and Public Health de l’University of Bristish Colombie (UBC). Elle démarre un projet qui utilise des données géospatiales précises, croisées avec des données de santé publique pour évaluer le rôle de la biodiversité sur des maladies comme le stress ou le stress chronique.

Ecole forestière Fresh Air learning, Tricia Edgar dirige cette école forestière où les enfants reçoivent les enseignements en pleine forêt. Elle
nous résume sa philosophie et sa pédagogie pour reconnecter les
enfants à la nature.

Des scientifiques internationaux en pointe sur ce sujet

Les scientifiques pionniers rencontrés dans ce film se sont encore rarement exprimés sur le sujet dansles médias et leurs résultats sont largement inédits pour le grand public.

Yoshifumi Miyazaki. Directeur adjoint du Centre pour les sciences de l’environnement, de la santé et de la Terre de l’Université de Chiba, à Tokyo (Japon). L’un des premiers scientifiques à avoir étudié et quantifier les effets des « bains de forêts » sur les paramètres physiologiques liés au stress.

Qing Li. Professeur en immunologie, Ecole Japonaise de médecine, Tokyo (Japon). Le premier scientifique à avoir révélé le pouvoir des arbres sur l’immunité naturelle.

Andreas Meyer-Lindenberg. Directeur de l’Institut Central pour la Santé Mentale de Mannheim(Allemagne). Neuroscientifique de renommée internationale sur les liens neurologiques entre la nature et
notre cerveau.

Terry Hartig. Professeur de psychologie environnementale, Institute for Housing and Urban Research, Université d’Uppsala (Suède). Scientifique pionnier de renommée. Spécialiste de la notion « d’environnement restaurateur », de la régénération cognitive dans la nature dans la ligne des travaux des Kaplan sur l’attention dirigée.

Gretchen Daily. Professeur de sciences environnementales au département de biologie de Stanford. Co-auteur de l’étude « Nature experience reduces rumination and subgenual prefrontal cortex activation ». Co-directrice du Natural Capital Project, membre de l’académie nationale des sciences, récompensée par de nombreux prix (Blue Planet Prize, International Cosmos Prize, etc), auteur de plus de 200 publications scientifiques.

Gregory Bratman, Professeur de Nature, Santé et Loisirs, Université de Washington (EU). Coauteur de l’étude « Nature experience reduces rumination and subgenual prefrontal cortex activation »coordonnée avec une équipe de psychologues environnementaux, géographes, et chercheurs en sciences sociales.

Eric Lambin, Enseignant-chercheur de géographie environnementale à l’Université de Louvain-la-Neuve (Belgique) affilié à l’Université de Stanford (Department of Environmental Earth System
Science). Auteur notamment d’« Une écologie du bonheur »
(éditions le Pommier).

Roger Ulrich, Professeur senior d’architecture à l’Ecole polytechnique Chalmers Göteborg (Suède). Géographe, spécialiste de psychologie environnementale, le premier scientifique à avoir mis en évidence scientifiquement l’impact positif d’une vue arborée sur l’état médical des patients en milieu hospitalier (View through a window may influence recovery from surgery, Sciences, 1984).

Anne Ribes, infirmière-jardinière, association Belles Plantes.Pionnière dans la création de jardins de soin thérapeutiques en France. Créatrice et animatrice de l’atelier
de jardinage thérapeutique du service de pédopsychiatrie de
l’hôpital de la Pitié Salpêtrière.

Cécil Konijnendijik. Professeur de foresterie urbaine à l’Université de Colombie Britannique, Vancouver (Canada).

Matilda
Van den Bosh, Docteur en médecine et aménagement du paysage à
l’Université de
Colombie
Britannique,
Vancouver
(Canada).




Le Festival des Solidarités en pays de Morlaix dédié aux droits des mineur.e.s

Du 15 novembre au 1er décembre, le collectif La Maison du Monde vous invite à sillonner les chemins de la solidarité lors du Festisol. Pour cette édition, les droits de mineur.e.s dans le monde seront mis en lumière et abordés autour de ciné-débats, diverses expositions et animations.

Lancé
il y a plus de 20 ans, Le
Festival des solidarités, connu
également sous l’appellation Festisol est le rendez-vous annuel de
promotion des solidarités d’ici, mais surtout d’ailleurs. Il
est organisé chaque année au mois de novembre en pays de Morlaix
par La Maison du Monde.
Ce collectif, animé par le Réseau d’Échanges
et de Services aux Associations du pays de Morlaix regroupe une
quarantaine
d’associations de la solidarité Internationale, de la mobilité
internationale et de l’échange interculturel.

Pendant
quinze jours, des événements conviviaux et engagés
sont organisés
pour faire
connaître l’engagement de ces acteurs et actrices du territoire en
faveur d’un monde plus juste, solidaire et durable. Le
Festisol
propose
à
chacun et chacune à agir concrètement pour porter haut et fort la
défense des droits humains,
notamment celle des droits des enfants, qui seront mis à l’honneur
au niveau national à l’occasion des trente ans de la Convention
internationale des droits des enfants (CIDE). De
plus, des
thématiques autour
du climat, des migrations et des inégalités seront également mises
à l’honneur.

Au programme à Morlaix

Vendredi 22 novembre à l’Auberge de Jeunesse, dès
18h30

Food Coop, et si un supermarché coopératif se créait en
Pays de Morlaix ?

Dans le cadre du mois de
l’Économie
Sociale et Solidaire, un temps d’échanges et d’information sera
proposé autour de la création d’un supermarché coopératif dans le
centre-ville de
Morlaix. Pour cette occasion, des ateliers ludiques et
pratiques seront animés par les Familles Zéro Déchets et le
collectif « En vrac à l’ouest ». S’ensuivra un repas
sous forme de plateaux-ciné proposé par la ressourcerie alimentaire
les Temps Bouilles ainsi que la projection de Food Coop, un
documentaire retraçant
l’histoire et le fonctionnement de la Park Slope Food Coop, un
supermarché coopératif
ouvert
dès 1973
aux
États-Unis.
Pour conclure la soirée, les membres de Ti Coop, le supermarché
coopératif de Brest, seront présents pour un temps d’échange.

Jeudi 28 novembre à 18h

Ciné-débat-goûter « Cacao, les enfants pris au piège »

© Premières Lignes Télévision / France 2

Ce documentaire nous emmène en Côte d’Ivoire, premier exportateur mondial de cacao. Malgré des mesures prises ces dernières années pour endiguer ce phénomène, l’exploitation infantile est toujours d’actualité. Après la projection, un débat sera animé par l’association Bretagne Cens, une association d’information et de promotion du commerce équitable Nord/Sud.




Déchets : Une semaine pour se mobiliser !

La
Semaine Européenne de Réduction des Déchets vient de débuter.
Comme tous les ans à la même époque, l’objectif est de
sensibiliser le grand public à la nécessité de diminuer le volume
de déchets générés…

97,26 kg. C’est
le volume d’emballages et de papiers triés par les bretons en
2017. Avec 27 kg de plus que la moyenne nationale, nous sommes
champions de France en la matière ! Mais on peut toujours
progresser. La Semaine Européenne de Réduction des Déchets peut
nous donner l’occasion d’améliorer nos pratiques. En effet, de
nombreux ateliers, animations, temps d’échanges…sont organisés
jusqu’au 24 novembre. Et la région est particulièrement active
dans le domaine.

Ainsi,
on pourra participer à une grande collecte de jouets baptisée
« Laisse parler ton cœur » avec Emmaüs, dans les
Côtes-d’Armor, jusqu’au 24. Des ateliers de relooking et
réparation de meubles, de fabrication de sapins de Noël en
palettes, ou encore de décoration de Noël en récup’ sont organisés
à Plédran le 20 novembre, Saint-Brieuc le 21 ou encore Trégueux le
20.

Dans le Finistère, une soirée «Ecolo et solidaire » est organisée le vendredi 22 novembre à l’Auberge de Jeunesse. avec au programme un atelier DIY animé par l’association En Vrac à l’Ouest, dans le cadre du Défi Familles Zéro Déchet, un « repas-récup ‘ » sous la forme de plateaux-ciné par l’association les Temps Bouilles, et la projection du documentaire Food Coop suivi d’un débat sur un projet d’ouverture de supermarché coopératif avec le témoignage de Ti Coop de Brest.

Le dimanche 24 novembre, on pourra participer à une gratiferia à Guilligomarc’h, à la Salle Polyvalente.

Dans
le Morbihan, à Belle-Ile, une collecte exceptionnelle de téléphones
mobiles sera mise en place durant toute la durée de la SEURD.
Mercredi 20 novembre, les habitants d’Evellys et alentours sont
invités à venir découvrir différents jeux de société autour de
la réduction des déchets, au bar Florion d’Or.

En
Ille-Et-Vilaine, un grand événement autour des Repair Cafés est
organisé le 27 novembre à la Halle Martenot. Baptisé « La
Bretagne répare ! », il met en valeur les acteurs bretons
de la réparation et du réemploi. Un grand Repair Café aura lieu
l’après-midi.

Le samedi 23, une opération « Stop au jetable dans les fast-foods » est organisée. Il s’agit de manger dans une des enseignes de restauration rapide de la Place du Colombier avec sa propre vaisselle réutilisable.

En
Loire-Atlantique, on pourra visiter l’Ecocyclerie du Pays d’Ancenis
du jeudi 21 au samedi 23 novembre, aux Vallons-de-l’Erdre. Et le
vendredi 22, direction les bords du Canal à Blain pour une
rando-écolo afin de nettoyer la nature !

Tout le programme (non exhaustif) est disponible sur le site https://serd.ademe.fr




Novembre, mois des films documentaires !

En ce mois de novembre, direction les salles obscures, les bibliothèques, les salles des fêtes…pour le Mois du Film Documentaire. Dans toute la Bretagne, des projections sont organisées.

Coordonné
au niveau national par l’association « Images en
Bibliothèque », le Mois du Doc reprend le chemin des salles
obscures (mais pas que!) pour sa 19ème édition. En Bretagne, quatre
associations coordonnent l’opération : Cinécran pour le
Morbihan, Comptoir Du Doc pour l’Ille-et-Vilaine, Daoulagad Breizh
pour le Finistère, Ty Films pour les Côtes-d’Armor. En
Loire-Atlantique, c’est la Bibliothèque Départementale de
Loire-Atlantique à Carquefou qui relaie l’opération.

Cette
année, plus de 400 séances sont programmées, aux quatre coins du
territoire breton, dans les cinémas, mais aussi bibliothèques,
centres culturels, centres sociaux, salles des fêtes…. Afin
d’aller au plus près des habitants.

Des
tournées avec des réalisateurs sont aussi organisées : on
retrouvera ainsi pour plusieurs projections Mathieu Bareyre avec son
film « L’époque », Marion Gervais avec « Louis
la vie », ou encore Liza Le Tonquer avec « Les corps
soignants ».

Voici
une petite sélection (non exhaustive) de films à voir :

  • Permaculture, la voie de l’autonomie, le 14 novembre à Gourin (56)
  • Food Coop, le 14 novembre à Fougères (35)
  • Les coriaces sans les voraces, le 15 novembre à Etel (56)
  • L’intelligence des arbres, le 15 novembre à Carquefou (44)
  • Dans les bois, le 16 novembre à Questembert (56)
  • Le temps des forêts, le 16 novembre au Croisic (44)
  • Trashed, le 20 novembre à Guémené-Sur-Scorff (56)
  • Le jardin en mouvement, Gilles Clément, le 20 novembre au Domaine Départemental de La Roche Jagu à Ploëzal (22)
  • Le pays au pied d’argile, le 22 novembre à Camoël (56)
  • Océans, le mystère plastique, le 22 novembre à Nozay (44)
  • Burkinabe Bounty, agroécologie au Burkina Faso, le 24 novembre à Etel (56)
  • La pluie et le beau temps, le 24 novembre à Goulien (29)
  • Feuilles libres, le 27 novembre à Vannes (56)
  • La bataille du libre, le 27 novembre à Saint-Lunaire (35)
  • Sacré Village, le 29 novembre à Hémonstoir (22)
  • Grande Synthe, la ville où tout se joue, le 29 novembre à Saint-Carreuc

Toute la programmation est à découvrir sur le site http://www.moisdudoc.com




Mois de l’ESS 2019 : C’est parti !

C’est parti pour le mois de l’Economie Sociale et Solidaire ! Comme tous les ans, novembre lui est dédié. De nombreuses manifestations sont organisées un peu partout en Bretagne à cette occasion. A suivre aussi sur Eco-Bretons tout au long du mois, des articles consacrés à des acteurs locaux, en partenariat avec l’Adess du Pays de Morlaix !

« L’économie
sociale et solidaire n’est pas un secteur d’activité, mais une
façon de faire et d’entreprendre qui rassemblent des organisations
alliant performances, démocratie et utilité sociale ». Telle
est l’ESS définie par la Cress (Chambre Régionale de l’Economie
Sociale et Solidaire) de Bretagne. Dans la région, l’ESS est un
secteur fort puisqu’elle représente pas moins de 15% des emplois
bretons. Elle est même la première région de France pour la place
de l’ESS dans l’économie, avec la présence de nombreuses
associations, coopératives, mutuelles et fondations.

Durant tous le mois de novembre, l’ESS est à l’honneur, dans toute la France, avec « le mois de l’économie sociale et solidaire » dont on fête la douzième édition. En Bretagne, de nombreuses manifestations sont ainsi organisées, afin de sensibiliser le grand public à cette économie plus respectueuse de l’humain, et de montrer la diversité des acteurs de l’ESS dans la région.

Dans les Côtes-d’Armor, on pourra participer à une réunion à la Roche-Derrien autour du projet de monnaie locale pour le Trégor et le Goëlo, le mardi 5 novembre à 19h, à une soirée autour de la transmission dans l’agriculture à Plouaret le 26 novembre, ou encore découvrir de nouvelles manière d’entreprendre avec les Coopératives d’Activités et d’Emploi à Guingamp le 7 novembre.

Dans
le Morbihan, on pourra assister à la projection du film « Les
coriaces sans les voraces » et échanger autour du statut de
coopérateur au cinéma La Rivière à Etel le 15 novembre,
participer à un « marché de la gratuité »
(vide-grenier sans argent ni contrepartie) le 16 novembre à Guer, ou
encore visiter le chantier d’insertion par la production maraichère
Rebom à Sarzeau le 8 novembre.

Dans
le Finistère, on pourra découvrir le passage au numérique de la
monnaie locale Héol, sur le village «Climat Déclic » à
Brest, les 16 et 17 novembre, discuter atour de la Nef et de la
finance éthique le 8 novembre à Quimper, et présenter son ou ses
projet(s) lors d’une opération « Cigales cherchent Fourmis »
le 7 novembre à Morlaix, au sein des locaux de l’Adess à Kerozar.

En
Ille-Et-Vilaine, on pourra déposer déposer ses livres pour un
« Troc’O’Livres » à Saint-Aubin-Du-Cormier le 16
novembre, écouter Bea Johnson lors d’une conférence autour du Zéro
Déchet à Vitré le 15 novembre, ou encore embarquer dans un bus
pour un « ESS Tour » à la découverte de plusieurs
acteurs locaux de l’ESS, le 20 novembre à Rennes.

En Loire-Atlantique, on pourra prendre part à un forum-débat « Et si la Sécu disparaissait ?’ le 19 novembre, customiser son vélo lors d’un atelier spécial à Clisson le 9 novembre, ou encore découvrir le café La Connexion Paysanne à Saint-Nicolas-De-Redon lors de son ouverture officielle le 15 novembre à 17h.

Tout le programme est disponible sur le site de la Cress Bretagne et sur lemois-ess.cncres.fr




L’idée sortie. Le Festival du Film de l’Aventure Océanographique à Océanopolis

La 19ème édition du Festival du Film de l’Aventure Océanographique se déroule du 19 octobre au 3 novembre à Brest. Pour les vacances de la Toussaint, venez découvrir les Tropiques et la fragilité de ses fonds marins au travers différentes conférences, courts et longs métrages, expositions et animations.

Océanopolis est le parc de découverte des océans de référence
depuis les années 90 en France et en Europe. Cet aquarium dénombre
près de 1000 espèces : phoques, manchots, loutres, requins,
poissons et crustacés, répartis dans trois pavillons. En plus
d’être un lieu de médiation scientifique pour le grand public et
les scolaires, Océanopolis organise depuis 2000 le Festival du Film
de l’Aventure Océanographique. Après une 18ème édition sur les
débuts de la vie animale marine, ce sont les Tropiques et leurs
écosystèmes menacés sont seront au cœur de cette édition.

Durant ces 12 jours de festival, les visiteurs pourront découvrir des documentaires de haute qualité avec images à couper le souffle sur les récifs coralliens face au changement climatique. Parmi les temps forts de cette édition, une conférence sur l’expédition océanographique contemporaine Tara Pacific aura lieu le jeudi 31 octobre. Elle sera animé par Xavier Bougeard, chargé d’actions d’éducations de la fondation Tara-Océans Paris et Guillaume Iwankow, technicien de recherche au CNRS et chef de plongée scientifique de Tara Pacific- Perpignan. La conférence sera suivie de Tout (ou presque) sur le corail. De plus, le documentaire Under the pole 5, l’odyssée polynésienne : la quête des coraux profonds sera également diffusé en fin d’après-midi. Divers documentaires, films d’animations et de jeunesse seront projetés tout au long du festival de 11h à 18h.

En pratique :

  • Horaires: 9h30 – 18h
  • Tarifs: de 3 à 13 ans, 13,40 €; de 14 à 17 ans et étudiants, 16 €; adultes, 21,20 €, gratuit pour les moins de 3 ans.

Le programme détaillé:
https://fr.calameo.com/read/004315606c1b13c07295a

Pour plus d’informations concernant le festival:
https://www.oceanopolis.com/festival-du-film-daventure-oceanographique