Agenda
Voici l’agenda des évènements tout près de chez vous en Bretagne: sortie botanique, festival, exposition, conférence, laissez-vous inspirer par ces idées sorties 100% éco-responsable !
Pour sa réouverture, la Galerie du Dourven célèbre la nature!
Après plus d’un an de fermeture, la Galerie du Dourven rouvre ses portes le 22 mars prochain, avec l’exposition « la nature elle-même », consacrée à herman de vries.
En partenariat avec l’@espaceartconcret, le @musee_gassendi et la @galeriealinevidal, cette exposition s’inscrit dans une rétrospective en quatre volets dédiée à l’artiste hollandais.
L’exposition « la nature elle-même » a été conçue spécifiquement pour le Dourven par herman de vries et la commissaire Nadine Gomez-Passamar, ancienne directrice de AMBULO – pôle artistique et muséal de Digne-les-Bains (Musée Gassendi – le CAIRN – Maison Alexandra avid-Neel – Collection d’art en montagne) qui a collaboré plus de 30 ans avec l’artiste à Digne-les-Bains. Elle présentera des œuvres inédites, issues du site du Dourven, aux côtés d’œuvres existantes.
Depuis les années 1970, @hermandevries108 explore l’esthétique du monde végétal, intégrant des éléments naturels dans ses œuvres pour révéler la beauté du vivant. Son travail interroge notre lien à la nature, sa disparition et l’impermanence du monde. Par collages, sculptures et prélèvements, il nous invite à contempler et respecter la biodiversité, affirmant : « je ne fais que des citations de la nature ».
herman de vries, « la nature elle-même »
Commissariat artistique : Nadine Gomez-Passamar
Du 22 mars au 21 septembre 2025
Ouverture du mercredi au dimanche, de 14h00 à 18h30. Entrée libre.SAVE THE DATE
Vernissage le samedi 22 mars à 11h00.
Visite commentée le dimanche 23 mars avec Nadine Gomez-Passamar, commissaire de l’exposition. Gratuit.

Qu’est-ce que le journalisme d’investigation ? Quels en sont les enjeux ? Comment mène-t-on une enquête sur le terrain ?
Nolwenn Weiler, journaliste à « Splann ! » vous dévoile les dessous de sa dernière enquête made in Bretagne sur le bocage.
Entrée libre dans la limite des places disponibles. Billetterie gratuite à l’accueil 1h avant.

Rejoignez-nous le samedi 29 mars 2025 en rade de Brest pour la 5ème édition du Défi Plastique-2H pour l’Océan !
Cette grande collecte participative et citoyenne de déchets est organisée par Océanopolis Acts, en présence de plusieurs partenaires scientifiques (Océanopolis, Syndicat du Bassin de l’Elorn, Ifremer, Cedre) et associations environnementales (Surfrider Finistère, MéGO !, 4P, Biodiverstissons, Ma Pince Responsable). Deux heures de collecte/tri et de sensibilisation accompagnés de scientifiques pour agir concrètement et collectivement contre la pollution plastique présente dans notre belle rade de Brest.
Cette année, le ramassage se fera sur plusieurs lieux en rade de Brest : Centre ville de Brest, Plage du Moulin Blanc, Plage du Passage à Plougastel, Centre-bourg de Plougastel, Anse de Camfrout au Relecq Kerhuon. Pour des questions d’organisation, merci de bien respecter le lieu choisi lors de l’inscription.
Rendez-vous directement sur place à partir de 9h45 au barnum pour vous remettre le matériel de collecte (gants, sacs…).
La collecte de déchets sera suivie d’un pot de remerciement offert à tous. Il aura lieu uniquement au Moulin Blanc, à Camfrout et à la plage du Passage au niveau des barnums. Cela sera également l’occasion de prendre une belle photo de groupe devant les déchets collectés et de faire le bilan des pesées de détritus.
Pour cette 5ème édition, différentes animations autour des mobilités douces vous seront également proposées afin de vous sensibiliser à ces nouveaux modes de locomotion plus respectueux de notre environnement par TiMobzh, BAPAV et le service Usages et promotion des mobilités de Brest métropole.
Rejoignez le mouvement en faveur de la préservation de notre océan !
Pensez à bien prendre des chaussures fermées et imperméables, un vêtement de pluie confortable et chaud, vos propres gants, si vous le souhaitez, ainsi que votre tasse/verre pour le pot de remerciement !
Gratuit : inscription obligatoire.



L’événement aura lieu le dimanche 30 mars de 10h à 18h à la ferme de Traon Nevez sur la commune de Plouezoc’h.
Journée animée par un marché d’artisans, de producteurs locaux et un forum d’associations de protection et de sensibilisation à la nature.
Parlons-en ! Clim’actions Bretagne organise le 1er avril à Vannes une rencontre autour des 10 ans de l’encyclique Laudato Si’, mis en perspective avec les 10 ans de l’accord de Paris.
Notre association est non-confessionnelle mais le texte du pape – largement reconnu comme une source d’inspiration universelle – invite au re-questionnement.



À l’occasion de l’Année de la mer 2025 et de la troisième conférence des Nations Unies pour l’océan, le Musée national de la Marine s’associe au musée d’Orsay dans le cadre de l’opération « 100 oeuvres qui racontent le climat ».
De Brest à l’Arctique
Le musée national de la Marine présente sur son site du Château de Brest, une oeuvre exceptionnelle : Les Glaciers, mer de Kara, un tableau réalisé en 1906 par Alexandre Sergejewitsch Borisoff (1866-1934), peintre russe, écrivain et explorateur des régions polaires.
Dans un dialogue avec plusieurs oeuvres du Musée national de la Marine et de la Marine nationale, exposées spécifiquement pour l’occasion, cet accrochage éphémère invite à redécouvrir le rôle majeur du port de Brest dans l’exploration polaire, hier comme aujourd’hui.
Port polaire depuis les années 1930 avec les expéditions du Commandant Charcot, Brest est encore aujourd’hui le siège de l’Institut polaire français Paul-Émile Victor (IPEV), qui perpétue l’excellence maritime du port dans ce domaine en assurant la responsabilité des bases scientifiques françaises en Arctique et en Antarctique.
La rade est également le port d’attache du bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain (BSAM) Rhône de la Marine nationale, qui a mené des missions dans le Grand Nord et a sillonné la mer de Kara depuis 2018, ainsi que du navire océanographique polaire Persévérance, destiné à l’avitaillement de la station polaire dérivante Polar Pod, conçue par Jean- Louis Étienne.
Des glaciers bleutés d’Alexandre Borisoff, vides de toute présence humaine, à la silhouette élancée du trois-mâts barque Le Pourquoi Pas au mouillage dans l’arsenal de Brest, peint par Pierre Péron en 1935, quelques mois avant le naufrage du navire et la perte de l’expédition en Islande, c’est aussi l’occasion de s’interroger, à travers une programmation variée, sur ce que les œuvres d’art peuvent dire de la transformation du climat et des enjeux environnementaux, économiques et géopolitiques en mer de Kara, et plus largement en Arctique.
La programmation autour de l’exposition proposera notamment des visites contées et des visites-ateliers à destination des enfants, des visites-ateliers thématiques « Le musée, le climat et moi ? » à destination des élèves du cycle 3 et du secondaire, ainsi qu’une conférence grand public intitulée « Brest, port d’exploration polaire » avec des représentants de l’Institut polaire français Paul-Émile Victor et de la Marine nationale.
Une opération nationale de mars à juillet 2025
Des prêts exceptionnels
Le musée d’Orsay a sélectionné 100 chefs-d’oeuvre de sa collection « qui racontent le climat » et invite, de mars à juillet 2025, les musées de toutes les régions à accueillir une ou plusieurs de ses oeuvres. Sculpture, arts graphiques, peinture, photographie, dessins d’architecture et arts décoratifs… Ces 100 oeuvres emblématiques racontent l’histoire du climat depuis le milieu du xixe siècle. Parmi elles, 49 seront présentées dans 31 institutions réparties sur 12 régions de France, à travers des expositions thématiques, des visites, des conférences et des ateliers ouverts à tous les publics.

» Pays du Léon, Cornouaille, Trégor, … les pays historiques bretons sont la trace de réalités tant géographiques que culturelles, à cheval sur les limites administratives.
Les biorégions sont des territoires délimités par des caractéristiques écologiques relativement homogènes et autonomes « en cohérence avec la population, sa culture et son histoire » (Latouche, 2019).
Une nouvelle génération d’activistes, chercheurs, urbanistes défendent la biorégion comme échelle d’action pour penser des territoires vertueux et résilients de manière à enfin « habiter la Terre ».
Après un Quiz Biorégional, nos invités échangeront sur ce qu’est (et n’est pas) une biorégion puis partageront leurs travaux de recherche et d’action. Enfin, nous tenterons tous ensemble d’esquisser le potentiel de nos territoires à devenir des biorégions… s’ils ne le sont pas déjà ? »
Sont invités pour cet évènement :
– Agnès Sinaï, directrice de l’Institut Momentum, titulaire d’un doctorat en aménagement de l’espace et urbanisme (Université de Paris Est), développe une réflexion sur les biorégions comme lieux d’hospitalité terrestre, notamment dans l’ouvrage « Réhabiter le monde. Pour une politique des biorégions » (Seuil, coll. Anthropocène, 2023). Elle participe aujourd’hui à la définition d’une biorégion par l’étude de cas du bassin versant du Gouët (Côtes d’Armor).
– Jeanne Vincent et Théo Mondot sont titulaires du dîplome d’Etat en Architecture. Après quelques années de pratique, elle et il décident de faire un pas de côté, avec le projet « Nous sommes né·es Urbain·es », une étude itinérante en France de 9 mois, à vélo, à la rencontre des territoires, de personnes qui les inspirent, et d’un courant : le biorégionalisme. »
Cet évènement est organisé par l’association Objectif Mars en coopération avec la Maison de l’Architecture et des Espaces en Bretagne.
