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[Défi Famille Zéro Déchet] atelier « faites le vous même » : Atelier « boissons fraîches aux plantes »

Nouvelle animatrice pour cet atelier qui se déroule à la micro-brasserie Da Bep Lec’h située dans les centre de Morlaix au pied du viaduc. En effet, c’est Valérie Grosselin, passionnée par les médecines douces et les plantes médicinales et animatrice de l’Herboristerie Airmeth des Chiffonniers de la joie qui a mené la danse.

Au programme, la réalisation de cinq boissons aux plantes : le bissap (hibiscus), le sirop de plantes, le soda au levain de gingembre, le kefir de fruits et la limonade de sureau.

La LIMONADE de Sureau

2 ombelles moyennes de fleurs de Sureau (Sambucus nigra)

1 litre d’eau

100 g de sucre

1 citron bio

Dans un bocal, placer les ombelles de Sureau avec le citron coupé en rondelles et le sucre.

Verser l’eau et mélanger.

Recouvrir d’un linge avec un élastique et exposer au soleil 5 à 6 jours en remuant tous les jours. Des petites bulles vont se former.

Filtrer et verser le liquide dans des bouteilles avec joint à caoutchouc et levier métallique.

Entreposer debout à température ambiante fraîche et à l’abri de la lumière pendant au moins 2 mois avant de boire.

 

 

Le BISSAP (hibiscus)

20 g de feuilles d’hibiscus (Hibiscus sabdariffa)

un peu de menthe fraîche ou sèche (3 ou 4 branchettes)

1 litre d’eau

Eventuellement un peu de sucre non raffiné

Faire chauffer l’eau entre 85 et 95 °c.

Verser sur la plante, couvrir et laisser infuser 10 mn (par exemple dans un bocal fermé).

On peut rajouter de l’eau florale selon les goûts : ex : fleur d’oranger, et le sucre

Filtrer et verser dans une carafe à entreposer au frigo une nuit.

Servir le lendemain très frais.

 

 

Le SIROP de PLANTES

150 g plantes fraîches pour 1 l d’eau

Ou 150 g plantes sèches pour 5 l d’eau

Pour 1 litre d’infusion filtrée : 1,2 kg de sucre non raffiné

Infuser 6 heures pour une plante forte comme la lavande, ou une nuit pour les plantes moins fortes.

Filtrer et peser le liquide. Pour 1 litre, utiliser 1,2 kg de sucre.

Cuire le tout en mélangeant, surtout au début, et bouillir 3 à 4 mn.

Mettre en bouteille. Peut se conserver plusieurs semaines au frigo et s’utiliser pour aromatiser salade de fruits, pâtes à crêpes, ou en boisson avec de l’eau ou limonade (diabolo).

 

 

Le SODA au levain de gingembre

Préparer le levain de gingembre (appelé « Ginger bug ») :

Jour 1 : Mettre dans un bocal 3 c à s de gingembre pelé et si possible hâché, 3 c à s de sucre et 3 c à s d’eau. Mélanger et fermer hermétiquement le bocal. Laisser à température ambiante pendant 24 heures.

Jour 2 à 5 : ajouter 3 c à s de gingembre, 3 c à s d’eau et 3 c à s de sucre. Bien mélanger et fermer.

Entre le 3ème et le 5ème jour, des bulles apparaissent. A la fin du 5ème jour, il peut être utilisé pour préparer des boissons pétillantes.

Le soda : à partir d’un jus de fruits ou d’une infusion, ajouter 5 cl du Ginger bug à 1 litre de boisson. Fermer hermétiquement. Laisser fermenter 2 à 5 jours à température ambiante jusqu’à ce que le jus devienne effervescent. Filtrer, mettre en bouteilles à fermeture mécanique et entreposer au frais. Peut se boire immédiatement après ouverture ou pendant quelques jours en le gardant au frigo.

Le KEFIR de FRUITS

1 figue

1 belle tranche de citron

20 g de grains de kéfir

1 litre d’eau non chlorée

Mettre le tout dans un bocal ou autre contenant. Couvrir d’un linge et laisser à température ambiante de 24 à 48 heures (la figue doit être remontée à la surface). Attendre encore 24 heures pour plus de pétillant.

Filtrer, presser le citron dans la boisson, utiliser la figue dans un jus de fruits ou légumes ou autre (cake, salade de fruits), réserver les grains de kéfir.

Placer ensuite la boisson au réfrigérateur. Elle peut se conserver plusieurs semaines mais elle deviendra de plus en plus acide.

Les grains de kéfir se conservent au réfrigérateur dans de l’eau sucrée. Les rincer au moins une fois par semaine, et rajouter du sucre. Ils vont se multiplier.

2ème fermentation :

Au bout de 24 à 48 heures, filtrer le tout et ajouter de quoi aromatiser : purée de fruits, jus de fruits frais, plantes fraîches ou sèches, aromates, épices…. pour encore 24 heures à température ambiante en fermant le bocal, filtrer puis mettre au réfrigérateur. Peut se boire pendant plusieurs jours selon les goûts de chacun car devient de plus en plus pétillant et acide.

Ex : citron, gingembre, curcuma, banane, agrumes, menthe, verveine, poire, pommes, eau ou lait de coco, etc…..

Focus sur la brasserie Da Bep Lec’h

Da Bep Lec’h, « Toutes directions » en Breton, c’est une petite brasserie ouverte par Marine et Adrien en 2016, quelque temps après leur retour d’un voyage au Canada durant lequel ils ont expérimenté le brassage de bière. En effet, « au Canada le brassage de bière c’est un hobbie, tous le monde ou presque brasse, c’est très formateur » indique Marine. Ils ont voulu poursuivre l’expérience en France.

La brasserie propose une gamme de quatre bières différentes ainsi que des éditions limitées, le tout bio à 95 %. Pourquoi 95 % et pas 100 % ? « Il est difficile de trouver du houblon en bio » explique Marine.

La brasserie travaille en partenariat avec des artistes, notamment « Le Graphistier » qui réalise les jolies étiquettes qui ornent les bouteilles de verre.

Des initiatives alternatives

La brasserie a mis en place une opération de brassage participatif, le « Front Houblonnier Morlaisien ». Le principe est assez novateur, Marine et Adrien vendent des rhyzomes de houblon que les volontaires font pousser dans leurs jardins. Après récolte, chacun ramène ses fleurs de houblon cultivées en Pays de Morlaix et c’est parti pour l’atelier brassage de bière artisanale.

Da Bep Lec’h fait également partie du dispositif de réemploi des bouteilles en verre, mis en place par l’association Distro.

Pour en savoir plus sur la brasserie :

La microbrasserie Da Bep Lec’h : une nouvelle bière artisanale à Morlaix !

 

http://www.eco-bretons.info/da-bep-lech-portrait-dune-microbrasserie-a-morlaix/




Festivals bretons : une étude pour évaluer leur utilité sociale

Qu’apportent les festivals à leurs publics, au territoire, à la société ? Pour tenter de répondre à cette question, le Collectif des Festivals a finalisé en mai une étude synthétisant les travaux de huit festivals bretons sur leurs impacts positifs. Il en ressort que les festivals, loin d’être juste un lieu de rassemblement festif, ont un impact fort sur la société et leurs territoire.

Le Collectif des Festivals, association créée en 2009, regroupe aujourd’hui 30 festivals bretons signataires d’une charte précisant leur engagement en terme de développement durable et solidaire en Bretagne. Le Collectif accompagne ainsi depuis dix ans les festivals bretons dans la mise en place de leur démarche dans le domaine, et à vocation à être un lieu d’échanges, et de mutualisation et de partage des expériences, sur des thématiques telles que l’accessibilité, l’alimentation, le bénévolat, l’énergie, les déchets, les transports, la santé…

Depuis 2012, le Collectif et Hélène Duclos, experte en impact social, ont accompagné huit festivals dans une démarche d’évaluation de leur utilité sociale, avec l’aide d’un DLA (Dispositif Local d’Accompagnement, qui permet de travailler sur le besoin de consolidation des activités des associations, avec l’aide d’un professionnel). Les huit festivals engagés dans la démarche sont :

  • Les Bordées de Cancale (35)
  • Le festival de Bugélès (Penvénan,-22)
  • La Gallésie en Fête (Monterfil – 35)
  • Le Grand Soufflet (Ille-Et-Vilaine)
  • Mythos (Rennes-35)
  • Quartiers d’Eté (Rennes-35)
  • Les Rencontres Trans Musicales de Rennes (35)
  • Les Tombées de la Nuit (Rennes-35)

Cette étude transversale est aujourd’hui disponible. Selon le Collectif des Festival, « Les résultats sont encourageants et démontrent que les festivals ont bien plus à offrir qu’un temps de spectacle et de loisirs festifs ». En effet, l’étude montre que « Leur utilité sociale est large et concerne la sphère culturelle (accessibilité pour tous, soutien à la création, diversité culturelle…), le territoire (impact économique, attractivité…), mais également le lien social (convivialité, sentiment d’appartenance, citoyenneté…) ou même la construction des individus (engagement, insertion, expression…) », explique le Collectif dans un communiqué.

Pour en savoir plus sur l’impact social des festivals à travers l’exemple des 8 manifestations, l’étude transversale est disponible sur le site du Collectif des Festivals.




[Défi Famille Zéro Déchet] Comment sont triés nos déchets ? Visite au centre de tri TriGlaz à Plouedern (29)

Que deviennent nos déchets une fois déposés dans des conteneurs de tri sélectif ou dans les sacs jaunes ? Pour le Nord Finistère, ils sont envoyés au centre de tri TriGlaz, à Plouédern. Visite en compagnie d’un groupe de participants du Défi Famille Zéro Déchets.

 

Le centre de tri TriGlaz est installé à Plouédern (29). Mis en service depuis 2013, il couvre 9 communautés de communes du Nord Finistère, soit une population de 540 000 habitants. Il est dimensionné pour valoriser 30 000 tonnes d’emballages ménagers par an (sacs jaunes). Le centre a ouvert ses portes à un groupe de citoyens participant au « Défi Famille Zéro Déchet » mis en place par Morlaix Communauté. Céline, chargée de communication à TriGlaz, nous a fait visiter le centre et nous a décrit le processus de tri :

 

1ere étape : L’alimentation

Les camions contenant les déchets recyclables arrivent sur un pont-bascule sur lequel ils sont pesés. On identifie en même temps leur provenance. Ils déchargent ensuite leurs bennes. Les déchets sont alors orientés suivant leur nature (en sac, en vrac déjà triés…).

27 000 tonnes sont ainsi traitées par an, et 100 tonnes sont triées par jour.

 

2ème étape : le Trommel

Les déchets tombent sur un tapis roulant, et remontent jusqu’à un grand tube, appelé « Trommel », qui va faire un premier tri. Les trous du Trommel permettent de trier les déchets suivant leur taille et leur forme.

 

 

 

3ème étape : le tri balistique

La machine de tri balistique permet de séparer les corps creux des corps plats. Les déchets y rebondissent comme sur un trampoline.

 

4ème étape : la presse à paquets

Tout ce qui est en acier va être attrapé par un aimant « overband », pour être ensuite amassés en paquets. Les paquets vont par la suite être transformés en aciérie.

 

5ème étape : le tri optique

L’étape de tri optique, qui est constituée de 3 machines, permet de reconnaître, grâce à des caméras, la densité de plastique des bouteilles suivant leurs couleurs. L’objectif est qu’à l’arrivée en cabine de tri, il n’y ait plus que deux types de bouteilles à tirer.

 

6ème étape : La cabine de tri

14 trieurs se relaient par équipe dans cet espace qui permet d’affiner le tri des bouteilles (bouteilles épaisses, bouteilles transparentes…) et du papier. Ce sont ainsi 600 kilos/heure/trieur qui y défilent !

 

7Ème étape : Les alvéoles

Les déchets triés sont classés dans de grandes alvéoles qui permettent de les regrouper par famille de matériaux (PET, Alu, PEHD…). 10 matières sont ainsi traitées.

 

8ème étape : La presse à balles

Les déchets ainsi récupérés vont être agglomérés en grande balles. Les balles de bouteilles sont ainsi constituées de 6000 à 12000 bouteilles suivant la matière, et peser environ 400 kilos.

 

 

 

Après tout ce processus de tri, on pourra recycler les déchets, qui seront ensuite expédiés dans des usines de traitement, et transformés en paillette, lingot d’acier, rouleau de papier…qui donneront naissance par la suite à d’autres objets. Ainsi, un lingot d’acier pourra permettre de fabriquer des canettes, des boites de conserves, des outils, des casseroles, des clés…Le papier recyclé pourra servir à l’impression de nouveaux journaux. On retrouvera des bouteilles colorées dans le tissu polaire, les intérieurs de doudoune, de couettes…

 

 

La caractérisation

18 fois par et par communautés de commune, on va analyser le contenu d’une tournée de collecte. Cela permet de constater les erreurs de tri, et de travailler avec les collectivités sur plus de sensibilisation et d’information des publibs. Les erreurs plus fréquentes : le verre. On trouve également beaucoup de couches jetables dans les collectes de tri sélectrif, alors que les couche ne sont pas recyclables ! Plus étonnant, ont été déjà retrouvés parmi les déchets des pneus, des voiles de planche à voile, des câbles eléctriques…et beaucoup de cassettes vidéo.Ce qui peut entrainer de gros problèmes pour les chaines de tri.




L’idée sortie. Fêtez l’été au jardin !

Ce week-end, rendez-vous dans deux jardins partagés bretons, à Lorient et Yffiniac, afin de découvrir le jardinage au naturel et des animations autour des jardins partagés, avec notamment l’association bretonne Vert Le Jardin.

Vert Le Jardin est une association qui a été créée en 2010 en Bretagne afin de « développer et promouvoir les jardins et composts partagés en Bretagne », peut-on lire sur le site internet de l’association. Elle accompagne les porteurs de projets de jardins ou composts partagés, organise des formations, des animations sur le jardinage…Elle se décline en 4 antennes : Finistère, Ille-et-Vilaine, Côtes d’Armor et Morbihan.

Elle propose ce week-end, en compagnie d’autres acteurs locaux, deux fêtes de l’été, à Yffiniac dans les Côtes d’Armor, et à Lorient dans le Morbihan.

Au programme de la Fête de l’Ete du samedi 23 juin à Lorient, qui se déroulera de 14h à 18h:

  • Visite du jardin partagé « Graines Solidaires » où se déroulera la fête

  • Atelier hôtel à insectes

  • Atelier paillage et potion naturelle

  • Stand jardinage au naturel

  • Goûter partagé

Du côté d’Yffiniac, rendez-vous dimanche 24 juin à partir de 14h au parc Au Fil de l’Eau. Au menu :

  • Ateliers apiculture et semis/plantations

  • Exposition photo sur la biodiversité

  • Atelier hôtel à insectes

  • Jeux en bois

  • Goûter partagé

Pour plus d’infos, direction le site de l’association Vert Le Jardin, qui propose également une carte référençant les jardins et composts partagés en Bretagne.




L’idée sortie. L’opération « Bienvenue dans mon jardin au naturel »

Et si on profitait des éclaircies de ce week-end pour aller faire un tour au jardin ? Grâce à l’opération nationale « Bienvenue dans mon jardin au naturel », qui se déroule samedi et dimanche, on peut s’initier aux techniques de jardinage au naturel, sans pesticides ni engrais chimiques, grâce à 600 jardiniers amateurs qui ouvrent leurs portes aux visiteurs, avec la participation des CPIE (Centre Permanent d’Initiatives pour l’Environnement). En Bretagne, il sera possible d’en visiter dans le Morbihan, en Ille-Et-Vilaine et Loire-Atlantique.

Pour cette sixième édition de l’opération qui se déroule ce week-end, 600 jardiniers amateurs ouvriront les portes de leurs jardin au naturel (sans pesticides ni engrais chimiques), dans plus de 60 départements français. Ils seront accompagnés par près de 60 CPIE (Centre Permanent d’Initiatives pour l’Environnement), qui les aideront à accueillir au mieux le public et à faire connaître leurs pratiques. Car l’un des objectifs de l’opération est de « créer du lien entre les habitants en favorisant le partage d’expérience et de techniques vers un jardinage sain et favorable à l’environnement. ». Les visiteurs pourront alors découvrir les différentes techniques : paillage, compostage, récupération d’eau, utilisation d’insectes auxiliaires…

En Bretagne, des jardins seront ouverts dans le Morbihan : sur Belle-Ile-En-Mer, à Palais, Bangor, Locmaria, Sauzon, et à Guénin et Concoret. Et en Ille-Et-Vilaine : à Paimpont, Boisgervilly, et Saint-Thurial. Ainsi qu’en Loire-Atlantique : à Saint-Nazaire, Monnières, Saint-Molf, Donges, Guérande et Herbignac.

L’entrée sur tous les sites est gratuite.

Tous les horaires et tous les lieux précis sont disponibles sur le site de l’opération : http://mon-jardin-naturel.cpie.fr




En route pour le Tour Alternatiba 2018 !

Cet été, enfourchez votre vélo et participez à la lutte contre le changement climatique ! « Changeons le système, pas le climat », c’est la devise du mouvement Alternatiba, qui part sur les routes de France et des pays frontaliers pour mettre en lumière les initiatives locales, via le Tour Alternatiba. Au programme : 5800 km à vélo, du 9 juin au 6 octobre, et plus de 200 territoires traversés par la cohorte de cyclistes, dont la Bretagne, où se déroule d’ailleurs un « tour étendu » du 23 juin au 1er juillet.

Depuis le 9 juin, le Tour Alternatiba 2018 s’est élancé sur les routes de France. Objectif de ce tour cycliste : aller «  à la rencontre de celles et ceux qui construisent et s’indignent, se rencontrent et bâtissent ensemble les chemins qui permettront aux alternatives de devenir des normes ». Parti de Paris, le Tour parcourra pas moins de 5800 kilomètres à vélo, jusqu’à l’arrivée prévue à Bayonne le 6 octobre. Chaque jour, le Tour fait deux étapes, une le midi et une le soir. Les citoyens sont invités à participer via les « vélorutions » qui ont lieu à chaque fois à quelques kilomètres de l’arrivée. Une fois le Tour arrivé à son lieu d’escale, différents évènements sont organisés par les acteurs locaux : forums, projections, réunions…Et le lendemain, deux personnes restent sur place et proposent une formation publique à l’action non-violente.

Le Tour Alternatiba s’arrêtera ainsi en Bretagne pour plusieurs étapes :

  • Il arrivera à Nantes le 1er juillet. Au programme : « journée populaire et militante » au cours Saint-Pierre, avec grande parade, stands, conférences, tables-rondes, petit marché paysans avec produits éthiques et locaux…

  • Le 3 juillet, il s’élancera entre Savenay (44) et Redon (35). Le 3 juillet au soir à Redon est organisé un village des alternatives, qui accueillera plusieurs associations locales

  • Le 4 juillet midi, direction Augan (56), là où se situe le Champ Commun. Puis, arrivée à Concoret (56) le soir, avec au programme une conférence-débat sur les enjeux climatiques et les alternatives concrètes.

  • Le 5 juillet, le Tour fera étape le midi à Langouet, commune rurale engagée depuis 15 ans dans la transition écologiques. Puis direction Rennes (35) pour l’étape du soir, avec concerts, ateliers, cuisine alternative…

  • Le 6 juillet, la troupe de cyclistes s’élancera pour Bain-De-Bretagne (35) le midi, pour atteindre Derval (44), où là encore diverses animations seront proposées.

  • Les 7 et 8 juillet, l’étape se déroulera à Notre-Dame-Des-Landes, avant de filer vers le Maine-Et-Loire.

A noter aussi, les « Tours étendus Alternatiba ». En Bretagne, le Tour Etendu a été lancé par des membres du groupe local Alternatiba Abers et de Brest à Pied ou à Vélo. Ce périple cycliste va partir de Brest le 23 juin, pour rejoindre Nantes et le Tour Alternatiba le 1er juillet. Au menu du Tour étendu, 9 étapes : Brest-Landivisiau le 23 juin, Locquénolé-Morlaix le 24 juin, Plestin-Les-Grèves-Lannion le 25 juin, Loc-Envel-Trémargat le 26 juin, Silfiac-Pontivy le 27 juin, Grand-Champ-Vannes le 28 juin, Questembert-Béganne le 29 juin et Severac-Fay-De-Bretagne le 30 juin.

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