En mer, adoptons les bons écogestes : une campagne bretonne qui reprend cette année

Inciter les plaisanciers à adopter des pratiques respectueuses de l’environnement et ainsi réduire les impacts sur la biodiversité marine, c’est l’objectif de la campagne « Ecogestes Manche Atlantique Bretagne . Développée par les CPIE (Centre Permanents d’Initiatives pour l’Environnement) depuis 2002 en Méditerranée, elle se déroule depuis 2022 dans notre région, et est coordonnée par l’Union Régionale des CPIE (URCPIE).

Privilégier les moteurs moins polluants, utiliser les zones de mouillages organisés qui sont équipées de bouées fixes, utiliser les sanitaires du port quand le bateau est à quai, faire un tri sélectif simple à bord (en séparant le recyclable des déchets ménagers)…Autant de gestes, qui, mis en pratique par les nombreux plaisanciers présents durant l’été sur les côtes bretonnes, sont importants pour contribuer à réduire les impacts de cette activité sur l’environnement et la biodiversité marine. C’est ce que veut rappeler la campagne « Ecogestes Manche Atlantique Bretagne ». Coordonnée au niveau régional par l’URCPIE (Union Régionale des Centres Permanents d’Initiative pour l’Environnement), elle mobilise encore cette année des structures d’éducation à l’environnement, des gestionnaires d’Aires Marines Protégées, des agents portuaires, des professionnels du nautisme…Ils et elles seront présent.e.s sur les plages, les ports, en mer…pour aller à la rencontre des plaisanciers et des pratiquants de loisirs nautiques, et les sensibiliser aux gestes à adopter. On pourra également les retrouver lors d’événements locaux.

En 2023, ce sont ainsi huit structures « ambassadrices » qui ont été mobilisés durant 74 jours. 1391 personnes ont pu être informées et sensibilisées. 130 engagements ont été pris. Parmi ceux-ci, « utiliser des produits d’entretien du bateau et d’hygiène coroporelle naturels ou écolabellisés », « rechercher des zones sableuses pour s’ancrer » et «utilisation de lingettes absorbantes pour  limiter les rejets d’hydrocarbures en mer» sont ceux le plus souvent évoqués.

 Exemple dans le Pays de Morlaix, territoire dans lequel l’Ulamir-CPIE anime la campagne. « Près de 150 plaisanciers usagers, des ports de Morlaix, Roscoff et du Diben ont ainsi pu bénéficier des conseils des équipes du CPIE sur la gestion des eaux grises, des déchets, du carénage et d’informations pour réduire les impacts sur les milieux marins », explique l’association. A noter aussi cette année l’extension de la campagne Ecogestes vers les zones de mouillage faisant partie du site Natura 2000 : des interventions seront réalisées à Térénez, au Dourduff, à Locquénolé, Carantec, Sainte-Anne à Saint-Pol-De-Léon, et au Pont de la Corde. « Les échanges avec les médiateurs permettront de recueillir des informations sur les bonnes pratiques pour
mieux cohabiter et limiter le dérangements des mammifères marins et des oiseaux nicheurs de la baie. Les bons gestes pour préserver les herbiers de zostères (localisation disponible sur l’application mobile Nav&Co) de la baie de Morlaix seront aussi au cœur des échanges », précise l’Ulamir-CPIE. Le tout en lien avec Morlaix Communauté, opérateur de la zone Natura 2000, et avec le soutien financier de l’Office Français de la Biodiversité dans le cadre de la stratégie nationale biodiversité.

Pour plus d’infos sur la campagne : ecogestes-amo.fr




La rivière Le Léguer et sa vallée se fêtent dans le Trégor cet été

Depuis le 29 juin et jusqu’au 8 Septembre se déroule la 28ème édition de l’opération « Le Léguer en fête ». Au programme : balades, expositions, conférence, projections et découvertes, pour apprendre à mieux connaître ce cours d’eau costarmoricain labellisé « Site Rivière Sauvage », et son bassin versant, tous deux riches d’une biodiversité remarquable.

Le Léguer est une rivière bretonne qui s’étend sur près de soixante kilomètres, dans les Côtes-d’Armor. Rejoint par son affluent le Gouic au niveau de Belle-Isle-En-Terre, son embouchure se situe dans la baie de Lannion. C’est aussi la première et la seule rivière de Bretagne a avoir obtenu le label « Site Rivière Sauvage »,une distinction décernée par l’Association du Réseau des Rivières Sauvages et le Fonds pour la Conservation Des Rivières Sauvages. Ce label national vise à récompenser des « rivières joyaux », et est « un outil au service des gestionnaires des milieux aquatiques d’eau courante pour améliorer la protection et la conservation des rivières qui présentent un bon fonctionnement écologique ». On trouve ainsi une biodiversité variée dans la vallée du Léguer, par ailleurs classée zone Natura 2000 : saumons, mais aussi loutres, lamproie marine, escargot de Quimper…

Chaque année, l’opération « Le Léguer en fête » est organisée. Portée pour cette édition 2024 par les collectivités du bassin versant Vallée du Léguer (Lannion-Trégor- Communauté, Guingamp- Paimpol Agglomération, An Dour-Service Public de l’eau de Morlaix Communauté et le syndicat de Goas koll Traou Long), l’Office de tourisme Bretagne – Côte de granit rose et Guingamp-Baie de Paimpol Tourisme, elle se déroule cette année du 29 juin au 8 septembre.

Au programme : plus d’une quarantaine d’animations, pour la plupart gratuite, et qui se déclinent autour de trois grands axes :

  • Des balades patrimoines (11 au total), tous les dimanches jusqu’au 8 septembre, à 17h. Elles auront lieu cette année sur les communes de Pont Melvez, Louargat, Ploumilliau, Loguivy-Plougras, Plounevez-Moëdec, Belle-Isle-En-Terre, Plouaret, Lannion, Pluzunet et Guerlesquin. Les participant.e.s pourront ainsi découvrir le patrimoine bâti de la vallée du Léguer, découvrir la forêt du Beffou, mieux connaître la flore locale, partir à la rencontre des moulins…
  • Des expositions (photos, sculptures, dessins…) depuis le 15 juin et jusqu’au 22 septembre, en intérieur et en extérieur : les arbres du Léguer par le club photo Déclic’Armor à Ploubezre, l’histoire du port de Lannion à la Cidrerie du Léguer, les poissons de nos rivières en sculpture en composite de cellulose par Christelle Mengès à la Biscuiterie Menou de Plougonver…
  • Des découvertes : balade en vélo électrique entre Belle-Isle-En-Terre et Loc-Envel, visite d’une ferme bio à Plounevez-Moëdec, atelier de photographie végétale (anthotype) à Loguivy-Plougras, visite de l’usine de potabilisation de Traou Long au Vieux-Marché, atelier d’écriture partagée dans le cadre de l’Atlas socio-culturel du Léguer, ou encore conférence sur le saumon atlantique…

Tout le programme est disponible sur http://www.vallee-du-leguer.com/Le-Leguer-en-fete-Gouel-al-Leger




L’idée sortie. Le Festival Paysages revient pour une quatrième édition

Le Festival Paysages – Rencontres Poétiques de Motten Morvan, organisé par l’association Ti Milin, revient en centre-Bretagne, du jeudi 4 au dimanche 7 juillet. Au programme : Echanges, conférences, ateliers, concerts…pour mettre à l’honneur les paysages, l’archéologie, la littérature…et faire du lien.

L’association Ti Milin a été créé avec des élèves de Bac professionnel au lycée agricole du Gros Chêne à Pontivy, en mars 2002 sous l’impulsion de Françoise Ramel, alors enseignante en éducation socio-culturelle, avec l’appui d’un service régional en charge de la Jeunesse (ex DRJS). Elle organise depuis 2021 le Festival « Paysages – Rencontres poétiques de Motten Morvan », qui se déroule cette année à Quintin (22). Un événement pour « moudre ensemble » et qui fait la part belle « à la convivialité et l’interconnaissance », explique Françoise Ramel, fondatrice du festival, sur son blog, qui y défend aussi sa vision : une large place de la programmation consacrée aux femmes, et la même visibilité et légitimité pour tou.te.s les intervenant.e.s à « partager un savoir ».

Au programme de cette nouvelle édition, qui démarre ce jeudi et se poursuit jusqu’à dimanche : des rencontres entre chercheurs, chercheuses, doctorant.e.s, artistes, poètes…pour « voyager dans l’espace temps depuis la préhistoire jusqu’à aujourd’hui ».

Ce jeudi 4 juillet :

  • De 10h à 16h : Stage et atelier « Ca cartonne » : Atelier de pratiques artistiques avec la plasticienne Stéphanie Matéos, autour du thème des émotions liées aux paysages, en utilisant le carton.

  • De 17h30 à 19h30 : Conférence avec Stéphanie Olliver, chanteuse, qui viendra présenter son travail de collectage dans le repertoire chanté pour un voyage au fil de l’eau entre les paysages armoricains et les rives de la Manche, Caroline Guittet, cheffe du Pôle Environnement à l’Observaoire de l’Environnement en Bretagne, qui présentera les résultats de l’enquête régionale « Bien-être et paysages bretons », et Damien Deville chercheur à la Sorbonne qui apportera son éclairage sur l’identité des territoires et notre rapport aux lieux, aux liens, au cadre de vie et au civant.

  • A 20h : Concert à « Chais les Garçons », Robbe/Gloaguen

Le vendredi 5 juillet :

  • De 14h à 17 h : Projection-débat à la MJC de Quintin avec le film « Misaotra » de Maël Lucas, en présence du réalisateur. Atelier podcasts et jeux, sur le thème de la jeunesse et de la solidarité internationale.
  • 17h30 : Conférence de Daniel Leboucher sur l’histoire des courses hippiques en Bretagne, au lycée Jean Monnet, suivi d’une lecture-dédicace à 18h30
  • 20h30 : Concert accoustique « Trois Rives » à la Chapelle Saint-Yves

Le samedi 6 juillet :

  • Dès 14h : Conférence sur l’organisation de Saint-Brieuc au Haut Moyen-Age avec Gérard Matser
  • 16h-17h : Carte blanche à Anthony Reiff , dessinateur, archéologue, poète
  • 17h-18h30 : Conférence d’Alwena Queillé « Ce que révèle la littérature américaine contemporaine de notre rapport au monde »
  • 18h30 : Rencontre avec Watson Charles, auteur haitien, prix Léopold Senghor
  • 14h _-18h : Découverte du jeu de plateau multijoueurs de l’association An Argader, sur le paysage rural breton
  • Dès 20h30 : Concert Hofmann Family Blues Experience

Le dimanche 7 juillet :

  • 11h, 14h, 16h et 17h : Echanges avec Claire Artemiz, invitée d’honneur du festival, artiste photographe, qui met en images des pièces préhistoriques issues de collection muséales. Echanges aussi avec Celine Kergonnan, présidente du Musée de l’Archéologie du Plussulien, et David Duvollet, prospecteur agréé.

Plus d’infos sur https://festivalpaysages.org/festival-regional-en-zone-rurale-paysages-4-7-juillet-2024/




La recette. Sucette au citron et pétale de coquelicot

Une recette originale qui mêle une fleur comestible et de l’huile essentielle de citron… A savourer à tout âge ! Une formule sans lactose et sans gluten.

On peut utiliser le coquelicot en cuisine. On pourra retrouver par exemple ses pétales en salade ou en décoration, et ses graines (qui ont un petit goût de noisettes) dans du pain. On peut également faire avec cette jolie fleur rouge des infusions ou des sirops. Le coquelicot a notamment des propriétés antitussives.

Pour 6 sucettes
Temps de préparation : 15 min
Temps de cuisson : 10 min

Ingrédients

  • 200 g de sucre
  • 100 g d’eau
  • 1 CS de vinaigre d’alcool
  • 5 gouttes d’huile essentielle de citron
  • 1 CS d’huile d’olive
  • pétales de coquelicot

Préparation

  • Dans une casserole mettez le sucre, l’eau, le vinaigre d’alcool. Faites chauffer jusqu’à 137°C. (Il vous faudra une sonde ou un thermomètre à sucre pour cette recette)
  • Ôtez aussitôt du feu et ajoutez l’huile essentielle de citron. Attendez 5 minutes que le sucre refroidisse un peu.
  • Huilez les moules à sucettes et remplissez à moitié le moule de sucre. Posez délicatement un pétale de coquelicot et versez du sucre par dessus. Ajoutez le bâtonnet et laissez durcir au frais.

 

Recette issue du site www.cuisine-libre.org




Eau Fête : Retour sur une journée dédiée à l’eau à Morlaix

Le 7 juin, les acteurs et actrices de l’eau, du littoral et de la biodiversité du Pays de Morlaix étaient réunis à la Manu à Morlaix pour la deuxième édition de l’événement « Eau Fête ». Cette année, l’accent était mis sur la qualité des eaux littorales. Au programme : stands, expositions, ateliers, fresque océane…mais aussi une table-ronde avec des scientifiques sur la pollution des eaux.

Après une première édition 2023 sur la presqu’île Saint Anne à Saint-Pol-De-Léon autour de la thématique de la sobriété en eau, la deuxième édition de « Eau Fête », organisé par le Sage Léon-Trégor et co-porté cette année avec le Sage Baie de Lannion et An Dour, a pris ses quartiers à Morlaix, au sein de la Manu. « L’objectif, c’est de communiquer et de vulgariser les connaissances, montrer et démontrer ce qui se fait sur notre territoire concernant l’eau », a expliqué Guy Pennec, président du Sage Léon-Trégor, en ouverture.

Près d’une trentaine de structures (associations, collectivités, établissements publics…) étaient présentes : Sage Léon-Trégor, Sage Baie de Lannion, An Dour, Ulamir-CPIE, Au Fil du Queffleuth et de la Penzé, Station Biologique de Roscoff, Eau et Rivières de Bretagne…Toutes étaient réparties dans quatre espaces thématiques : usages, recherches, actions bassin-versant, et faune-flore.

Il était ainsi possible de découvrir la mulette perlière, bivalve d’eau douce en danger, à travers une expo présentée par Bretagne Vivante ; de découvrir les poissons et s’initier à la pêche avec l’AAPMA ; de prendre connaissance des différentes actions des deux Sage, sur trois baies, notamment concernant la lutte contre les algues vertes ; de participer à une « fresque des océans », de mieux comprendre l’impact des pollutions sur la qualité des eaux littorales avec Lannion Trégor Agglomération….Des outils tels que des aquariums, un scaphandre, et même des casque des réalité virtuelle pour plonger au cœur des herbiers littoraux de la baie de Morlaix, étaient disponibles.

Des scolaires sont également venus sur la journée. Ils ont pu participer à divers ateliers, comme par exemple celui animé par Bretagne Vivante : il s’agissait pour les élèves de se mettre dans la peau d’un scientifique, et d’identifier sur de grandes photos de nids d’oiseaux marines des macro-déchets.

Le soir, une table-ronde, animée par Denis Cheissoux, animateur bien connu de « Co2 Mon Amour » sur France Inter, a réuni plusieurs scientifiques : Philippe Potin, de la Station Biologique de Roscoff, Luc Aquilina, du laboratoire Géosciences de l’Université de Rennes, titulaire de la chaire « Eau et territoire », Jean Laroche, de l’UBO (Université de Bretagne Occidentale), et Alix Levain, du CNRS. Les échanges ont porté sur la caractérisation d’un bassin versant et la provenance de l’eau qui circule dans les rivières, sur les pollutions qui s’y diffusent, sur les algues et leur rôle, et sur l’histoire des marées vertes. De quoi disposer de toutes les informations nécessaires pour, à son tour, prendre soin de la terre et des eaux en amont, avant que cela ne touche les eaux littorales en aval.




L’idée sortie. Le Festival Les Palourdes met en lumière les habitats légers

Le Festival Les Palourdes, organisé par l’association Hameaux Légers, revient ce week-end pour une troisième édition à Saint-André-Des-Eaux (22). Au programme : trois jours d’échanges, de table-rondes, d’animations, d’ateliers, de concerts et de spectacles…autour de l’habitat léger et de l’éco-construction.

L’association Hameaux Légers est née en 2017. « Elle accompagne, en partenariat étroit avec des communes rurales, le développement de projets dʼhabitats participatifs, abordables et écologiques, avec un montage anti-spéculatif garantissant une accessibilité financière sur le long terme. Ses missions : sensibiliser, transmettre et accompagner autour du modèle des hameaux légers. ».

Pour la troisième fois, elle organise son festival Les Palourdes, du vendredi 14 juin au dimanche 16, à Saint-André-Des-Eaux (22), dans les Côtes-d’Armor. Un lieu emblématique pour l’association, car c’est là que se situe le premier projet d’écohameau réalisé (Le hameau léger du Placis), et l’écocentre, qui est à la fois un tiers-lieu et le siège de la structure.

Au programme de cette édition 2024 : trois jours de tables-rondes, ateliers, conférences, autour de l’habitat alternatif et collectif, mais aussi spectacles et concerts.

L’événement s’articule autour de six thématiques : logement, éco-construction, autonomie, collectif, territoire, et connexion.

Pour le thème « logement », on pourra par exemple assister vendredi à une conférence sur « la place de la maison individuelle dans une ruralité sobre en foncier », samedi à un échange autour de l’habitat léger à vocation sociale, ou encore visiter les stands de la Coopérative Oasis et du Mouvement Colibris.

Concernant le thème « Eco-construction », on pourra rencontrer de nombreux artisans et specialistes des matériaux écologiques et compostables, ou des constructeurs d’habitats légers et réversibles (KerTerre, Tiny House…), et participer à des échanges avec le Collectif Paille Armoricain, visiter l’écohameau du Placis…

Pour le thème « Autonomie », place à une Fresque du Climat, à une présentation du scénario NegaWatt, à un atelier low tech, à un cercle de parole sur les toilettes sèches…le samedi.

Si on suit le thème « Collectif », on pourra assister aux retours d’expérience d’un montage de projet collectif avec des habitant.e.s du Hameau de la Bigottière, de la Marcotte, ou du Placis, et s’interroger sur les différents modes de gouvernance, le samedi.

Pour le thème « Territoire », on pourra réfléchir le vendredi à l’importance des projets en économie sociale et solidaire sur un territoire, ou participer à un débat mouvant « la Pop Culture au service de la décroissance ? », avec les Colibris.

Le thème « Connexion » proposera quant à lui divers ateliers : yoga, cercle de parole sur la parentalité, balade ornithologique, consentement…

En soirée auront lieu des concerts (chanson française, électro, percussion, solo piano-chant…).

L’organisation du festival est basée sur l’autogestion : chacun.e est invité.e à participer, à s’inscrire sur différentes tâches et missions, telles que tenir le bar, ranger, prendre soin des autres…

Des créneaux seront aussi libres dans la programmation pour que les volontaires puisse proposer une animation/activité.

Tout le programme détaillé est sur le site de l’association Hameaux Légers, ainsi que le lien vers la billetterie.