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Ce week-end, rendez-vous dans les jardins !

Et
si on profitait des éclaircies de ce week-end pour aller faire un
tour au jardin ? Grâce à l’opération « Bienvenue dans
mon jardin en Bretagne», qui se déroule samedi et dimanche, on peut
s’initier aux techniques de jardinage au naturel, sans pesticides
ni engrais chimiques, en poussant gratuitement la porte de170
jardins.

Depuis le 1er janvier 2019, la loi Labbé est entrée en vigueur pour les particuliers : l’achat, l’usage et le stockage des pesticides sont interdits (sauf les produits de biocontrôle, à faibles risques ou utilisables en agriculture biologique). Place donc au jardinage au naturel. Et pour en maitriser toutes les astuces, direction les jardiniers expérimentés, qui partagent leur passion ce week-end en ouvrant gratuitement les portes de leurs jardins, dans toute la Bretagne. L’opération « Bienvenue dans mon jardin en Bretagne », co-pilotée par la Maison de la Consommation et de l’Environnement, les Jardiniers Brétilliens, le Département des Côtesd’Armor, la Maison de la Bio 29, l’Association des Communes du Patrimoine Rural de Bretagne, Le CPIE de Brocéliande et les Bassins Versants de Bretagne. se déroule samedi et dimanche. 170 jardins ouvrent leurs portes dans les quatre départements de la Bretagne administrative.

Les
objectifs de l’événement sont nombreux : informer sur
l’interdiction des pesticides, sensibiliser à leurs dangers, mais
aussi favoriser la rencontre entre jardiniers amateurs ou encore
découvrir l’utilité des déchets verts au jardin (pour le paillage
par exemple).

La liste des jardins ouverts au public est disponible sur https://www.mce-info.org/bienvenue-dans-mon-jardin-bretagne/




Une porte-ouverte à la ferme pour une agriculture plus vertueuse

Ce jeudi, les agriculteurs du Trégor sont invités à participer à une porte-ouverte sur la ferme d’Alan Goaziou, à Ploubezre (22), qui est passé en 4 ans d’un système très intensif à une exploitation basée sur le pâturage d’herbe pour ses vaches. Un événement proposé par les Bassins Versants du Léguer, de la Lieue de Grève et du Jaudy-Guindy-Bizien, avec le Cedapa (Centre d’Etude pour un Développement Agricole plus Autonome).

Dans le cadre des différentes actions d’accompagnement des agriculteurs vers des pratiques plus durables, autonomes et respectueuses de l’environnement, les Bassins Versants du Léguer, de la Lieue de Grève et du Jaudy-Guindy-Bizien invitent, en compagnie du Cedapa, à une porte-ouverte de ferme à Ploubezre, chez Alan Goaziou. Cet agriculteur a un parcours particulier. Il s’installe en 2014 sur la ferme familiale. Il agrandit et intensifie alors l’exploitation que son père conduisait depuis 1979 : il passe de 100 à 160 hectares, dont 70 hectares de maïs dédiés à l’alimentation des 125 vaches. La place laissée au pâturage est à l’époque très peu importante, et le temps de travail élevé. Il vend ainsi 900 000 litres de lait la première année.

Peu de temps après son installation, son père tombe gravement malade d’un cancer lié à l’utilisation des produits phytosanitaires sur la ferme. Alan souhaite alors radicalement changer de système. Il se fait alors accompagné par le Cedapa, visite des fermes herbagères qui ont une surface équivalente à la sienne, ce qui lui donne des idées. Il choisit alors de faire progresser la part des hectares pâturés, de 15 à 35 hectares, et intègre notamment le groupe « Herbe » du Cedapa en 2017. Il diminue sa production de lait de 100 000 litres, ne distribue plus de concentré de mi-avril à mi-août, améliorant de ce fait la santé des vaches et permettant la division des frais vétérinaires par deux. Avec les économies réalisées, il a pu embaucher.

En 4 ans, avec l’appui du Cedapa, l’agriculteur est passé d’une exploitation très intensive basée sur le maïs pour l’alimentation des vaches à une exploitation basée sur le pâturage d’herbe. Il entame également une conversion en agriculture biologique !

Il
invite désormais les agriculteurs du secteur à venir découvrir son
exploitation et son parcours jeudi à Ploubezre, au lieu-dit Guirec,
dès 14h.




[Défi Familles Zéro Déchet] Atelier shampoing chez les Jeannettes à Morlaix

Le 23 mai, les participants au Défi Familles Zéro Déchet avaient rendez-vous chez les Jeannettes, l’épicerie de vente en vrac de Morlaix, afin d’apprendre à réaliser un shampoing solide avec Claire, de My Little Pineapple, coach en nutrition et animatrice d’ateliers.

Au programme de l’atelier du jour : fabriquer soi-même un shampoing solide et « zéro déchet », adapté à son cuir chevelu. C’est Claire, coach en nutrition et animatrice d’ateliers, qui guide les participants réunis à l’épicerie des Jeannettes.

Avant
de passer à la préparation, il faut d’abord sélectionner les
poudres, huiles végétales et huiles essentielles qu’on veut
utiliser, suivant l’effet qu’on veut obtenir et les caractéristiques
des cheveux. On peut ainsi utiliser de la poudre d’ortie piquante si
on a les cheveux ternes, fatigués, dévitalisés, et gras ou mous,
la poudre d’argile verte pour les cheveux normaux à gras, ou encore
par exemple la poudre d’amla pour tous types de cheveux, et qui
permet de stimuler la pousse.

Du
côté des huiles végétales, on peut choisir de l’huile végétale
de coco qui nourrit et fait briller, de l’huile de chanvre pour les
cheveux secs et crépus, de l’huile végétale d’avocat qui nourrit
et stimule la repousse sur les cheveux secs et ternes, du beurre de
karité pour les cheveux secs et/ou abimés, ou encore de l’huile de
jojoba qui convient à tous.

En
complément, on peut ajouter quelques gouttes d’huiles essentielles :
pour une action antipelliculaire, on préfera le tea tree, le
palmarosa ou le génévrier, pour les démangeaisons, la lavade, pour
les cheveux gras le Petit Grain Bigarade, et pour les cheveux secs,
l’orange douce ou l’ylang-ylang.

Attention
à l’utilisation des huiles essentielles : leur usage est
déconseillé pour les femmes enceintes et les enfants de moins de 6
ans.

Préparation :

La base du shampoing solide est le SCI, ce fameux tensio-actif dérivé de l’huile de coco, qui produit une mousse riche et crémeuse.

-On
va mélanger 30 grammes de SCI dans une petite quantité d’eau et le
faire chauffer au bain-marie. Ne pas hésiter à l’écraser si il ne
fond pas correctement.

-Une
fois bien ramolli, on le mélange avec 10 grammes de l’huile végétale
qu’on a choisi, et avec 10 grammes de poudre au choix.

-On
rajoute ensuite 5 gouttes d’huiles essentielles

-On
verse le tout dans un moule (on peut utiliser des moules à gateaux
individuels ou des moules à glaçons)

-On
laisse sécher quelques jours et c’est prêt !

Pour
l’utiliser, on frotte le shampooing solide directement sur les
cheveux mouillés, puis on répartit en massant le cuir chevelu,
avant de bien rincer.

Pour découvrir les ateliers Eco-Responsables et apprendre à fabriquer soi-mêmes des produits cosmétiques et produits d’entretien de la maison, direction le site de My Little Pineapple : www.mylittlepineapple.com




Trophées du Développement Durable bretons : cinq initiatives récompensées

Cette
année encore, Les Trophées Bretons du Développement Durable ont
récompensés cinq initiatives bretonnes en matière de développement
durable et solidaire. Pour cette treizième édition, ils ont été
remis à Saint-Brieuc, à l’occasion de la semaine dédiée à la
Breizh Cop.

« Encourager
et valoriser les bonnes pratiques ». Tel est l’objectif des
Trophées bretons du Développement Durable, remis tous les ans
depuis 2005 à l’initiative de l’Etat, l’Ademe et de la Région
Bretagne. Cette année, 117 candidatures ont été déposés, dans
quatre catégories : association, entreprise, acteurs publics,
établissements d’enseignement. Le jury a sélectionné un gagnant
dans chaque catégorie, en prenant en compte plusieurs critères :
économique, environnemental, social et qualité démocratique. Le
jury a également décerné un prix « Ensemble », pour
les projets les plus collaboratifs. Pour la deuxième fois,
l’événement était labellisé « Breizh Cop ».

Les lauréats de l’édition 2019 sont :

  • Catégorie « Etablissements scolaires » : Collège du Val d’Elorn, Sizun (29), pour leurs actions en faveur de la biodiversité.

Les 30 Eco-Délégués du collège ont mené plusieurs actions : création d’un poulailler abritant 2 poules afin de sensibiliser leurs camarades à la réduction des déchets, mise en place d’un système d’éco-paturages avec trois brebis d’Ouessant qui circulent librement dans le parc du Collège.

L’établissement a été également labellisé « Refuge LPO » : des nichoirs ont été installés, permettant aux élèves de suivre au près l’évolution des nids et des population, sur le compte « Oiseaux des jardins » du collège.

  • Catégorie « Entreprises » : Grain de Sail à Morlaix, pour la construction de son premier voilier cargo

L’entreprise
Grain de Sail a été crée il y a 9 ans par trois associés.
Objectif : Coupler une activité de transformation et de
commercialisation de café et de chocolat, à un armement maritime
décarboné, grâce à un voilier cargo.

Le voilier doit être livré en novembre 2019, afin de partir dès mars 2020 de Morlaix pour effectuer sa première boucle Morlaix-New-York, avec exportation de vin bio français à l’aller, et escale dans les caraïbes au retour pour y charger du café vert et du cacao pour les acheminer jusqu’à Morlaix où l’entreprise, qui travaille également avec un Esat, les transformera.

  • Catégorie « Acteur Public » : Mairie de Saint-Sulpice-La-Forêt, pour son « Smart village »

La commune de 1500 habitants expérimente depuis plus de 3 ans l’utilisation de capteurs sans fils et de réseau basse consommation (Lora), qui lui permettent de collecter en temps réel la consommation énergétique de six batiments communaux. Grâce à ces données, la commune a réalisé plus de 20% d’économies sur sa facture énergétique en 3 ans.

  • Catégorie « Association » : L’Elfe (Epicerie Locale Favorisant l’Entraide )

L’association a été créée en mars 2018 par deux travailleurs sociaux, partant du constat du vieillissement de la population en milieu rural, de la disparition des commerces et d’un manque d’informations qui peut toucher et pénaliser certains habitants. Leur idée : la création de l’Elfe, une épicerie solidaire et itinérante. Chaque semaine, ils sillonnent les places et les marchés de 11 communes du Morbihan et d’Ille-Et-Vilaine, et proposent aux habitants des produits alimentaires locaux, de qualité et variés, à des prix modulés selon la capacité financière du foyer.

  • Catégorie « Ensemble » : La recyclerie et tiers-lieux « L’Effet Papillon » à Baud (56)

L’Effet Papillon est basé à Baud dans le Morbihan. Il comprend une recyclerie, un magasin solidaire, et dispose également d’un « tiers-lieux » avec 300m2 d’espaces de travail partagé, un espace enfant, une bibliothèque et une cantine numérique.




[Défi familles Zéro Déchet] Sureau, limonade et sirop

Dans les campagnes, généralement en lisière de forêt, au mois de mai, on voit certains arbustes se couvrir d’étranges ombrelles blanches. Les sureaux sont en fleur, et dans le sureau tout est bon sauf les feuilles.

Mais attention à ne pas se tromper et confondre le sureau avec ses cousins ombellifères, les faux sureaux ou sureau hieble. Les plantes dangereuses poussent sur une tige herbacée alors que le sureau qui est un arbre donne rapidement des branches boisées dont le cœur et remplie d’une moelle blanche.

De ses branches évidées de leur moelle, on peut faire des sifflets, des sarbacanes et pour les plus habiles, des flûtes. C’est d’ailleurs de là que viendrait le nom savant de la plante, Sambucus Nigra, la sambuke étant une flûte de berger.

Mais on ne fait pas que des flûtes de ce sureau puisque l’un de ses surnoms est « le pharmacien de la maison ».En effet, les feuilles séchées sont utilisées pour calmer les toux récalcitrantes et les baies noires crues ont un effet à la fois laxatif et vomitif.

Mais au mois de mai, la partie de la plante intéressante, c’est la fleur, car avec ces ombelles, on fabrique de délicieuses boissons rafraîchissantes, bien agréables en été, de la limonade et du sirop

C’est à la fabrication de ces deux boissons que les familles du défi « zéro déchets »  de Morlaix Comunauté étaient conviées, le samedi 18 mai. La date était bien choisie puisque la floraison du sureau va en général du 15 mai au 15 juin.

Le lieu de l’atelier était également bien choisi : la vallée de Trobodec sur la commune de Guimaëc.

En partant du « Musée rural des vieux outils du Trégor », on descend par le chemin côtier qui, un kilomètre plus loin, amène jusqu’au rivage.Au cours de cette courte promenade, on peut entendre les grenouilles coasser au bord du ruisseau, apercevoir de loin, une paire de magnifiques vaches Highland Cattle et tomber nez à nez avec un moulin à eau parfaitement restauré. Sur le chemin, les sureaux tendent leurs branches afin que chacun puisse faire sa petite récolte de fleurs. La balade à elle seule est un plaisir.

Au bout de cette balade, il y avait l’atelier de fabrication de boissons, animé par Geraldine Gabillet, animatrice nature au CPIE du Pays de Morlaix

La limonade de sureau

Pour faire de la limonade, il faut très peu de matériel : une bouteille vide, de l’eau un peu de sucre, du citron, une larme de vinaigre de cidre et bien entendu des fleurs de sureau.

Dans une bouteille d’un litre, à goulot large de préférence, mettre 3 fleurs de sureau. Il faut faire attention à ne pas y ajouter les quelques insectes qui auraient trouver refuge dans l’ombelle. Le moyen le plus sûr est encore de détailler chaque ombelle et ne garder que la partie blanche des fleurs, les tiges vertes ayant un goût plutôt désagréable. Rajouter 120 à 150 grammes de sucre, selon que vous aimez boire plus ou moins sucré, un citron coupé en morceau (comme on garde la peau, il vaut mieux le choisir bio) puis 80 à 85 centilitres d’eau. Et pour finir, une petite cuillerée à café de vinaigre de cidre. Si vous n’avez pas de bouteille à col large, indispensable pour faire entrer les morceaux de citron, le jus d’un citron fera aussi bien l’affaire. Et c’est tout pour le moment.

Il faut laisser macérer ce mélange dans un endroit à bonne température (20° environ) pendant 3 jours en ayant pris soin de couvrir le goulot afin d’éviter toute intrusion étrangère. N’oubliez pas de remuer votre bouteille chaque jour Normalement des bulles devraient apparaître sur les bords au troisième jour ; les levures de la plante auront joué leur rôle.

Il ne reste plus qu’à mettre en bouteille, c’est à dire filtrer le mélange et le mettre dans une bouteille fermant hermétiquement mais capable de résister à une certaine production gazeuse. En effet, la réaction se poursuit encore pendant 1 ou 2 jours à condition de laisser la bouteille au soleil. C’est pourquoi il est conseiller d’utiliser des bouteilles à fermeture mécanique telle que les bouteilles de limonade ou certaines bouteilles de bière grand format. Afin d’éviter les mauvaises surprises, il vaut mieux ne pas remplir la bouteille complètement et laisser un petit espace d’expansion.

Voilà la limonade est prête. Elle se conserve parfaitement pendant au moins 6 mois ; A servir frais, bien entendu.

Nota : si on a une grande famille ou qu’on attend du monde cet été, il peut être utile de faire la préparation par 5 litres à la fois. Dans ce cas un grand saladier pour le mélange convient parfaitement et les proportions sont 10 ombelles pour 4,5 litres d’eau, 600 à 750 grammes de sucre, 4 citrons et une cuillerée à soupe de vinaigre. Ne pas oublier de brasser tous les jours les trois premiers jours, en utilisant une cuiller en métal stérilisée.

Le sirop de sureau

Il faut un peu plus de matériel puisque il est nécessaire de faire bouillir de l’eau puis le mélange.

Pour le reste, les ingrédients sont les mêmes, seules les proportions changent.

Pour faire 75 cl de sirop, il faut 7 ombelles de fleurs de sureau , 50 cl d’eau , 450 à 600 grammes de sucre selon que vous aimez le sirop plus ou moins sirupeux et deux citrons, bio naturellement.

Etape 1 : bien détailler les ombelles dans un récipient ouvert, en éliminant les insectes et les petites tiges vertes. Couvrir ces fleurs avec le premier citron coupé en rondelles. Verser là-dessus le demi-litre d’eau, bouillante. Laisser infuser puis macérer pendant 48 heures en prenant bien soin de couvrir le récipient d’un linge propre.

Etape 2 : filtrer cette macération et la verser dans une casserole. Rajouter le jus du second citron. Pour avoir un sirop bien lisse, il peut être utile de filtrer très fin l’ensemble afin d’éliminer toute particule solide mais ce n’est pas obligatoire. Ajouter alors le sucre et faire chauffer l’ensemble. Si nécessaire, écumer en cours de cuisson. Quand le sucre est dissout, le sirop est prêt. Le mettre en bouteille stérilisée. Bien fermer et mettre au frais.

Attention, le sirop ne dure en général que 2 à 3 mois.

Si vous attendez encore quelques temps, vos fleurs de sureau vont mûrir et de magnifiques fruits rouges sombres ou noirs vont apparaître. Ce sera le temps des confitures, mais ceci est une autre histoire.




En route pour la Semaine Européenne du Développement Durable !

La Semaine Européenne du Développement Durable démarre le 30 mai, et se poursuit jusqu’au 5 juin. Comme chaque année, son objectif est de promouvoir les enjeux du développement durable de façon concrète. Dans toute la Bretagne, de nombreuses manifestations sont organisées. Eco-Bretons vous propose d’ailleurs à cette occasion avec Morlaix Communauté trois projections du film « Velotopia ».

Expositions, conférences, ateliers, projections de films…les évènements sont nombreux pour la Semaine du Développement Durable 2019. En Bretagne, collectivités, associations, citoyens, entreprises…se mobilisent.

Le Musée National de la Marine de la Citadelle de Port-Louis (56) proposera ainsi une programmation spéciale, avec notamment une balade à la découverte de la faune et de la flore de la Citadelle, la réalisation d’une fresque sur la mer, un atelier de fabrication de bateaux à base de bouteilles recyclées…A Plougoumelen, toujours dans le Morbihan, le Camping La Fontaine du Hallate organisera une journée de fabrication d’une éolienne de 1,8 mètres, qui sera ensuite reliée au réseau.

A Lorient, le restaurant solidaire et éphémère « L’effet Mer » sera de retour, porté par l’association Les Claques Dents. Le principe : des repas servis gratuitement, à base de produits de récupération. Cette année, le restaurant se tiendra sous un grand chapiteau, planté sur l’annexe 2 du Moustoir. Il accueillera également des projections, des débats, des concerts…

A Saint-Brieuc, le 4 juin, un marché bio et local sera mis en place devant l’hopital Yves-Le-Foll, à destination des patients, visiteurs et employés de l’hôpital. On pourra y trouver notamment des cosmétiques et de l’alimentaire.

Le même jour, toujours à Saint-Brieuc, les Trophées Bretons du Développement Durable 2019 seront remis à cinq initiatives bretonnes.

Dans l’Ille-et-Vilaine, on pourra assister à un ciné-débat sur l’éco-construction et l’éco-rénovation à Redon, autour du film « Ne retournons pas à la caverne ! », qui sera projeté au Cinemanivel le 3 juin.

A Rennes, le 4 juin, le public pourra participer à un « Plogging », une course qui a pour but de récolter un maximum de déchets.

Du côté de la Loire-Atlantique, le film « Demain » de Cyril Dion et Mélanie Laurent sera projeté à Nantes, le 5 juin. A Clisson, c’est le documentaire « On a 20 ans pour changer le monde » qui sera présenté le 4 juin. A Saint-Nazaire, la recyclerie sera mobilisée, avec des ateliers et une expo « consommer mieux pour dépenser moins ».

Dans le Finistère, on pourra participer à opération « Taulé sans ma voiture » le samedi 1er juin, avec une rando à pied et à vélo, un marché de producteurs locaux, des animations autour du vélo…Le dimanche 2 juin, la gare du Kermeur à Plougonven sera en fête, avec une rando vélo partant de communes environnantes pour rejoindre l’ancienne gare, des balades buissonnières à la découverte des plantes sauvages et comestibles, des animations autour du vélo électrique…

Sans oublier les trois projections du film « Velotopia » le mercredi 29 à Taulé, lundi 3 juin à Plourin-Les-Morlaix et mercredi 5 juin à Pleyber-Christ !

 

 

Bande annonce du film Velotopia :

Velotopia – Bande-annonce from sylvain_61 on Vimeo.