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Des trophées pour dire « Bravos » aux festivals en transition écologique

Le Collectif des Festivals, qui fédère 33 événements en Bretagne, s’associe au Reeve (Réseau association des éco-événements des Pays de la Loire) et au Pôle (pôle de musique actuelles des Pays de la Loire) pour lancer les « Bravos ». Ces trophées récompenseront le 6 avril les actions entreprises par les festivals bretons et ligériens dans le domaine de la transition écologique. Les candidatures sont à déposer avant le 3 mars.

Algues au Rythme (56), Le Grand Soufflet (35), le festival photo de la Gacilly (56), les Rencontres Transmusicales de Rennes (35) ou encore le Festival Interceltique de Lorient (56)…Ces événements, de taille diverses, et qui rythment l’été breton, font partie du Collectif des Festivals. Une organisation associative qui accompagne les acteurs.rices culturel.le.s depuis 2005 dans leur démarche de transition écologique. « On compte actuellement 33 manifestations adhérentes », précise Raphaëlle Bachelier, chargée de communication au sein du Collectif. Toutes ont adopté une charte, qui stipule leurs engagements en matière de lutte contre le réchauffement climatique, de préservation de la biodiversité et des ressources naturelles, de cohésion sociale et de solidarité entre les territoires et les générations, de consommation responsable et d’épanouissement des êtres humains.

Afin de valoriser les engagements des festivals, le Collectif vient de lancer, en compagnie du Reeve (réseau associatif des éco-événements des Pays de Loire, basé à Nantes) et du Pôle (pôle de musiques actuelles des Pays de Loire) un nouveau projet : Les Bravos. « Ce sont des trophées qui vont récompenser les démarches des festivals bretons et ligériens pour la transition écologique et sociale, et ainsi permettre une mise en avant des actions mises en place pour réduire l’impact environnemental », explique Raphaëlle. Cinq catégories ont été retenues pour cette première édition : démarche globale d’amélioration et de transition du festival, coopération entre festivals, projets inclusifs et accessibles, circuits-cours et approvisionnement, et zéro déchet. Pour chaque catégorie, un jury composé d’organisateurs.rices de festivals, de bénévoles, d’experts, de chargé.e.s de mission départagera les concurrents. Et la remise des trophées aura lieu à Rennes le 6 avril, lors d’une journée spéciale avec également au programme des temps d’échanges. « L’opération est ouverte aux festivals quelque soit leur orientation artistique, et leur taille », ajoute Raphaëlle. Les dossiers sont à déposer jusqu’au 3 mars !

 

Plus d’infos :

https://lesbravos.org/

 




A Morlaix et au delà, on va bientôt croquer du chocolat solaire et solidaire

Installée dans la cité du viaduc, Sunshine Chocolat a pour objectif de fabriquer des tablettes de chocolat à partir de fèves de cacao torréfiées directement par les petits producteurs. Le tout grâce à des torréfacteurs fonctionnant à l’énergie solaire, conçus par l’entreprise elle-même à Morlaix.

6%. C’est ce qui revient au producteur de chocolat, sur le prix final d’une tablette. Un constat qui a interpellé le morlaisien François Liron. Co-fondateur et ancien directeur de la société Grain de Sail, il a lancé en 2021 un nouveau projet, baptisé « Susnhine Chocolats ». Objectif : « Créer le premier chocolat solidaire et solaire ». Solidaire, car le but est d’offrir de meilleures conditions de vie aux petits producteurs de cacao. « Toute la valeur ajoutée de la fabrication du chocolat a été éloignée des territoires », rappelle François Liron. 94% des producteurs de cacao vivent avec moins de 4,50 euros par jour ! Et solaire, car l’entreprise développe des torréfacteurs solaires industriels de cacao, « dont les plans sont créés par nous de A à Z », souligne l’entrepreneur. Les machines mesurent 6 mètres de hauteur, et sont dotées « d’un four qui chauffe grâce à la chaleur du soleil captée par de grands miroirs mobiles ». Elles permettront au producteur de torréfier et broyer les fèves de cacao directement sur place. Et avec celui-ci, qui sera acheté directement au producteur, Sunshine pourra fabriquer une gamme de tablettes de chocolat bio, dans son atelier. Avec d’ici deux à quatre ans un approvisionnement uniquement à base de cacao torréfié grâce au solaire.

L’entreprise, et son équipe d’une dizaine de personnes, s’est installée dans les locaux de l’ancienne Imprimerie du Viaduc, à Morlaix. Elle ambitionne maintenant d’expédier son premier torréfacteur solaire au premier semestre 2023, en République Dominicaine. Une campagne de prévente de tablettes de chocolat a eu lieu sur la plateforme Ulule, qui permettra grâce aux fonds récoltés de démarrer la production dans la future chocolaterie en cours d’installation. La commercialisation en magasins devrait débuter quant à elle en avril 2023.

 

 

Plus d’infos

https://www.facebook.com/sunshinechocolats




Etre éco-délégué.e au collège Tanguy Prigent « Ca prend du temps mais on apprend énormément ! »

(Rediff) Au collège Tanguy-Prigent de Saint-Martin-Des-Champs, huit éco-délégué.e.s sont élu.e.s chaque année depuis 2019, soit un.e par classe. Ils participent à de nombreuses actions au sein de l’établissement, et essaient de sensibiliser leurs camarades à la protection de l’environnement.

Lalie, Marius, Liza, Chloé, Milan, Akmal et Hugo sont éco-délégués au collège Tanguy Prigent à Saint-Martin-Des-Champs. Tous et toutes (un.e représentant.e par classe) ont été élu.e.s par leurs camarades. « Et sans programme obligatoire », précise Marius, en classe de 3ème. Pourquoi avoir choisi de se présenter, ou de se représenter le cas échéant ? Liza, en 4ème, avoue « être préoccupée par l’écologie ». Pour Milan, en 4ème, et Lalie, qui est en 3ème,  c’est la disparition de la biodiversité, et notamment des animaux, qui a pesé dans la balance. « C’est une façon d’agir à notre échelle », renchérit Liza. « Et de continuer des projets mis en place l’année dernière », commente Milan.

Et des projets, les éco-délégué.e.s en ont beaucoup. Les actions sont nombreuses. « On travaille sur la réduction des déchets, notamment alimentaire, avec notre ferme pédagogique », explique Liza. « On fait aussi du plogging, on ramasse les déchets lors de marches. On a déjà ramassé 42 kilos ! ». « On a aussi collecté des bouchons pour l’association un bouchon, un sourire », ajoute Chloé, en 5ème. « Et dans tout le collège, on utilise désormais des crayons Woody, un crayon qui remplace les feutres Veleda, et qui est sans déchet plastique », détaille Akmal, élève de 6ème.

L’énergie et l’eau ne sont pas oubliées. « Notre consommation d’énergie a déjà diminuée d’un tiers », souligne Lalie, « Et on peut encore progresser ! ». « Les luminaires ont été remplacés par des panneaux led, et des mousseurs ont été installés sur les robinets », ajoute Liza.

Si être éco-délégué « Prend quand même du temps », aucun.e d’entre eux/elles ne regrettent. « On apprend énormément de choses », confirme Hugo, élève de 6ème. Pour Milan, « Ca permet de montrer aux autres ce qu’il faut faire pour être un peu plus écolo, et le collège devient plus vert ». Même si sensibiliser ses pairs n’est pas toujours chose facile. « Il faudrait qu’on explique davantage nos actions, certain.s.s ne se rendent pas toujours compte de ce qu’on fait », estime Marius. Lalie a quand même, avec son mandat, « l’impression d’agir ». « Quand ça marche, on est fier ! », affirme Chloé, qui avoue prendre davantage conscience désormais du changement climatique. Un engagement au collège qui se répercute aussi dans leur quotidien. « J’arrête pas de parler de ça ! », s’amuse Lalie, qui va même participer à un jardin partagé dans son quartier. Elle se voit d’ailleurs dans le futur «investie dans une association écologiste ». Marius, quand à lui, voudrait « travailler au contact de la nature, de la biodiversité ». Et Chloé « auprès des animaux, notamment des chevaux ». Les petites graines semées par leur expérience d’éco-délégué.e.s ne demandent qu’à germer !




« Au comptoir de l’herboriste », un guide pour soigner les maux du quotidiens grâce aux plantes

Alors que se déroule dimanche 20 novembre « L’automnale », le marché des paysan.ne.s « du Bout du Monde » à Saint-Cadou (29), coup de projecteur sur le guide « Au comptoir de l’herboriste », paru aux éditions Terre Vivante. Christine Cieur, docteure en pharmacie et phyto-aromatérapeuthe, y propose de nombreuses recettes de tisanes, baumes, élixirs, sirops…à base de plantes et d’huiles essentielles, afin d’aider à soigner les maux du quotidien.

60, c’est le nombre de recettes que contient le guide « Au comptoir de l’herboriste », paru aux éditions Terre Vivante. Ecrit par Christine Cieur, docteure en pharmacie et phyto-aromathérapeute, il a pour objectif de « parer à l’urgences » des petits maux du quotidien, d’aider à mieux passer l’hiver et le refroidissement des températures, et aussi d’apporter une aide à la détente. « Quoi de plus naturel et simple que de s’engager activement au maintien de sa propre santé ? » s’interroge ainsi l’auteure en introduction.

Elle nous propose donc un large éventail de tisanes, baumes, élixirs, sirops, teintures mères ou encore cataplasme, à réaliser de façon simple avec des ingrédients qu’on peut trouver auprès de boutiques spécialisés et/ou d’herboristes. Les recettes sont regroupées dans le guide selon trois grandes thématiques : « parer à l’urgence et aux douleurs », « traverser la saison froide et les épisodes infectieux » et « se détendre et retrouver l’équilibre du corps ». En utilisant huiles essentielles, hydrolats, plantes séchées ou fraîches, on pourra fabriquer par exemple un cataplasme de consoude pour aider à la réparation des tissus durs ou mous, créer un complexe aromatique anti-nausées à base d’huiles essentielles de citron et de gingembre, réaliser un sirop de coquelicot pour aider à soigner la toux, ou encore une onction « calmante et relaxante pour les adultes » à base d’huiles essentielles d’orange douce, de lavande officinale et de marjolaine…

Agréable à lire, le guide « Au comptoir de l’herboriste » est agrémenté de très belles photos de la finistérienne Athina Canevet, également créatrice dans le contenu de l’alimentation. Un livre qui sera particulièrement utile pour celles et ceux qui souhaitent se faire du bien au quotidien, renouer avec la nature, et être acteur de leur santé, sans pour autant remplacer la médecine traditionnelle quand elle est nécessaire.

« Au comptoir de l’herboriste  – 60 recettes pour les maux du quotidien », Dr Christine Cieur, éditions Terre Vivante, 117 pages, 15 euros.

 

 


« L’automnale » des paysan.ne.s-herboristes du Bout du Monde

Les paysan.ne.s-herboristes du Finistère se rassemblent trois fois par an pour faire découvrir leurs métiers et leurs produits. « L’autonmale » a lieu le dimanche 20 novembre, à Saint-Cadou, dans les Monts d’Arréé. Au programme : de nombreux ateliers (confection de baumes, alimentation et émotion, initation à l’auto-massage, balade botanique…), marché des paysan.ne.s-herboristes, bar à tisanes…

L’entrée est libre et gratuite, une participation est demandée pour les ateliers.

Plus d’infos : https://www.paysannesherboristesduboutdumonde.fr

 


A lire aussi, notre portrait d’Arlette Jacquemin, paysanne-herboriste à Plouigneau à côté de Morlaix




Un film pour montrer qu’on agit « autant que faire se peut » du côté de Loudéac

(Rediff) Le documentaire du réalisateur breton Neven Denis, baptisé «Autant que faire se peut », nous emmène à la découverte d’initiatives inspirantes sur le territoire de Loudéac Communauté Bretagne Centre. D’un chantier de construction en paille à une ferme lombricole, d’une recyclerie à une séance de plantation d’arbres, la caméra part à la rencontre de femmes et d’hommes et de leur relation au vivant, à la terre, et aux autres.

« Ce film est une proposition de voyage, sur le territoire communautaire de Loudéac, à la rencontre de celles et ceux qui renouent du lien avec le vivant. Une manière de découvrir des personnes qui entretiennent un rapport sensible à leur terre, en privilégiant la résilience, l’émancipation et la joie ». Voilà comment Neven Denis, cinéaste et photographe breton, présente son documentaire « Autant que faire se peut ». Un film qui nous emmène à la rencontre à la rencontre de femmes et d’hommes qui « inventent leur territoire ». On part ainsi à la découverte d’un bouilleur de crus, d’une chorale de femmes, d’une éleveuse de vers de terre dans une ferme lombricole, des planteurs et planteuses d’arbres, un fabricant de moulin, et des bénévoles d’un chantier de construction en paille et d’une recyclerie.

Durant une année, Neven, qui « arpente le territoire depuis trois ans en tant que collecteur de photographies et de mémoire », est parti filmer ces hommes et femmes, afin de « valoriser ces métiers artisanaux, qui ont un ancrage fort avec le territoire », explique-t-il. Le tournage a démarré en avril 2021, suite à une proposition de l’Office de Développement Culturel du Mené, de réaliser un long-métrage documentaire sur la manière dont « se fabrique le territoire ». « J’avais de mon côté envie de réaliser un film sur la manière dont on réinvente nos communs et nos imaginaires collectifs. J’ai donc relié cette commande à mes questionnements. », précise Neven. Le film s’inscrit aussi dans un projet, plus large, baptisé « Là-bas d’ici », qui bénéficie de financements issus du fonds européen Leader, et qui comprend également une exposition itinérante qui se déroule sur neuf communes du territoire.

Sans voix off, le documentaire « Autant que faire se peut » permet ainsi de découvrir au plus près des initiatives inspirantes, et qui donnent lieu, selon Neven, à de nombreuses discussions lors des projections. Optimiste, le film nous amène aussi bien à nous interroger sur notre rapport au vivant et à la terre qu’à celui avec nos semblables. Comment habite-on le territoire ? Comment s’y nourrit-on ? Comment s’y organise-t-on ? Tous ces questionnement, et d’autres, nous traversent lors du visionnage. On pourra tenter d’y répondre lors des prochaines projections du documentaire, notamment à Rennes au cinéma Arvor le 29 septembre.

 

 

 

 

 

Bande-annonce du film :




En Bretagne Nord, le «zéro déchet » ou « presque » se développe dans les foyers

Marre de voir les poubelles d’ordures ménagères et de recyclables se remplir ? Envie de réduire les déchets chez vous au quotidien ? Certaines collectivités, mais aussi certain.e.s citoyen.e.s, se mobilisent pour inciter les habitant.e.s de leur territoire à y arriver. C’est le cas du côté de Saint-Brieuc avec l’association Zéro Waste Baie de Saint-Brieuc, de Lannion avec Lannion Trégor Communauté, et du côté de Morlaix avec Morlaix Communauté.

 

Dans la baie de Saint-Brieuc

Pour la troisième année, l’association Zéro Waste Baie de Saint-Brieuc organise le défi zéro déchet « A la conquête de l’Waste ». Il est ouvert à tous les habitant.e.s de l’agglomération briochine, habitant seul.e ou à plusieurs, en famille…50 foyers sont recherchés pour participer à l’aventure. Pendant six mois, les familles regroupées en équipe, chapeautées par un.e capitaine, seront accompagnées et participeront à des ateliers réguliers autour de la réduction des déchets, et suivant la règle des 5 R : Refuser, Réduire, Réutiliser, Rendre à la terre, Recycler. L’objectif est de divier par deux la production de déchets, à savoir ordures ménagères, recyclables et verres. Un premier entretien individuel sera proposé aux familles avant le lancement officiel du défi le 14 janvier, qui se poursuivra jusqu’en juin. Attention, les inscriptions sont désormais closes.

Plus d’infos : https://conquetedelwaste.wordpress.com/

 

 

Sur Morlaix Communauté

Depuis 2017 et un premier test sur la commune de Locquénolé, Morlaix Communauté incite et accompagne les habitant.e.s du territoire dans la réduction de leurs déchets. En 2018, le « Défi Famille Zéro Déchet » était lancé sur la communauté de communes. Cette année là, plus de 100 familles y avaient participé, coachées de façon individuelles lors de rendez-vous avec des spécialistes, et durant de nombreux ateliers (dont vous avez pu lire les nombreux comptes-rendus sur Eco-Bretons, ndlr).

Nathalie Barnet, conseillère communautaire déléguée à la transition écologique, et Camille Bonnet, responsable prévention et réduction des déchets à Morlaix Communauté.  

 

Après la poursuite de l’opération essentiellement en visioconférence du fait de la crise sanitaire, la formule est revue à partir de cette année 2022. « Aujourd’hui, les inscriptions ne se font plus au fil de l’eau, mais nous avons deux promotions, une en octobre et l’autre janvier, qui accueillent chacune 30 personnes, sur une durée de six mois », expliquent Nathalie Barnet, conseillère communautaire déléguée à la transition écologique et Camille Bonnet, responsable prévention et réduction des déchets à Morlaix Communauté. Désormais, quatre rendez-vous de « coaching » sont au programme. Et un atelier mensuel est proposé, « où l’on découvre à chaque fois deux éco-gestes autour d’une thématique », indique Camille. « Par exemple, pour un atelier autour de Noël, les participant.e.s découvrent comment décorer zéro déchet, et apprennent la technique du furoshiki pour l’emballage des cadeaux ». « L’idée, c’est vraiment d’être dans des moments conviviaux », insiste Nathalie Barnet. Autre nouveauté : le nom a changé. On ne parle plus de « familles » mais de « foyers », afin de donner envie « aux personnes seules de participer ». Et l’objectif est le « Presque zéro déchet ». « La marche semble moins haute à atteindre », souligne Camille Bonnet. « On souhaite démocratiser la démarche, s’adresser notamment à des personnes au budget serré, et repartir sur des gestes basiques à faire au quotidien », renchérit Nathalie Barnet. A noter aussi, l’opération « bienvenue dans ma maison zéro déchet », porté par le Symeed 29, qui aura lieu les 1er et 2 avril 2023. Une dizaine de foyers du territoire devraient ouvrir leur portes pour présenter leurs éco-gestes, à la fois à la maison et au jardin. Tous les participant.e.s des différentes éditions du défi peuvent s’inscrire pour partager leur quotidien sans (ou presque) déchets.

Plus d’infos : https://www.morlaix-communaute.bzh/

 

 

Dans l’agglomération de Lannion

Le premier défi familles zéro déchet sera lancé officiellement en janvier 2023 sur le territoire de Lannion Trégor Communauté. Quarante familles volontaires ont été sélectionnées pour participer à l’opération, qui est coordonnée par Laëtita Crnkovic, spécialiste du zéro déchet. Jennifer Pellan et Sabrina Toudic, elles aussi animatrices en ateliers éco-responsables et zéro déchet, font aussi partie de l’équipe de l’animation. Durant six mois, les participant.e.s seront accompagné.e.s par des coachs, pour se former à de nouvelles pratiques. Des pesées de déchets vont également venir ponctuer le défi. De janvier à mai 2023, des ateliers pratiques seront organisés (cuisine anti-gaspi, cosmétiques et produits ménagers au naturel, compost, tri, upcycling…). Les inscriptions sont là aussi déjà closes.

Plus d’infos : https://www.lannion-tregor.com/