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A Saint-Avé (56), une « Coop » pour les jeunes demandeurs d’emploi

En quoi consiste la Coop’Jeunes ?

 

Coop’Jeunes est une entreprise collective, qui propose des services. La particularité de la structure est qu’elle est gérée par 11 jeunes de 18 à 25 ans, qui sont en recherche d’emploi. C’est un outil entrepreneuriat collectif qui donne la possibilité à un groupe de tester l’aventure d’une entreprise collective, et ce durant 3 mois.

 

 

D’où est venu le concept ?

 

Nous avions constitué préalablement un groupe, qui travaillait sur l’éducation à l’économie sociale et solidaire (ESS) chez les jeunes, avec des acteurs tels que le Pôle de développement de l’ESS du Pays de Vannes, la Mission Locale, le MRJC, les coopératives d’activité et d’emplois…Dans le même temps, le modèle québécois des Coopératives Jeunesse de Service, réservé aux mineurs, était en train de se développer en Bretagne. Nous avons donc travaillé à l’adapter à un public cette fois-ci majeur.

 

Une partie du groupe de jeunes de la Coop.

 

 

 
Concrètement, comment se passe l’expérimentation ?

 

La Coop’Jeunes a démarré le 1er octobre. Un animateur encadre le groupe, et un comité local (Pôle ESS, Coopérative d’Activité et d’Emploi, MRJC, Familles Rurales, Jeune Chambre Economique du Morbihan, DDCS, ville de Saint-Avé, entreprises locales intéressées…) pilote l’expérience. Les jeunes sont actuellement en train de travailler sur la mise en place de leur stratégie commerciale, et définir ce qu’ils peuvent proposer aux entreprises ou particuliers, en matière de services (distribution de tracts, archivage, peinture…).

 

 

Quelles pourront être les suites ?

 

L’idée, c’est que la Coopérative soit un tremplin pour ces jeunes qui cherchent un emploi. Cela peut les amener aussi à changer leurs regards sur le monde de l’entreprise : ils sont ici leurs propres patrons ! Certains ont déjà manifesté leur désir de créer une activité. Ils pourront se diriger vers les Coopératives d’Activités et d’Emplois, ou prendre connaissances des différents dispositifs d’aides à la création. On espère que certains seront embauchés dans la foulée.

L’expérimentation est également une première dans la région. Nous allons, une fois qu’elle sera terminée, réaliser un bilan et réfléchir à la façon dont elle peut s’articuler avec la Cress (Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire) et le réseau des Coopératives d’Activités et d’Emplois.

 

 

Plus d’infos

http://www.e2s-paysdevannes.fr/




A Saint-Avé (56), une « Coop » pour les jeunes demandeurs d’emploi

En quoi consiste la Coop’Jeunes ?

 

Coop’Jeunes est une entreprise collective, qui propose des services. La particularité de la structure est qu’elle est gérée par 11 jeunes de 18 à 25 ans, qui sont en recherche d’emploi. C’est un outil entrepreneuriat collectif qui donne la possibilité à un groupe de tester l’aventure d’une entreprise collective, et ce durant 3 mois.

 

 

D’où est venu le concept ?

 

Nous avions constitué préalablement un groupe, qui travaillait sur l’éducation à l’économie sociale et solidaire (ESS) chez les jeunes, avec des acteurs tels que le Pôle de développement de l’ESS du Pays de Vannes, la Mission Locale, le MRJC, les coopératives d’activité et d’emplois…Dans le même temps, le modèle québécois des Coopératives Jeunesse de Service, réservé aux mineurs, était en train de se développer en Bretagne. Nous avons donc travaillé à l’adapter à un public cette fois-ci majeur.

 

Une partie du groupe de jeunes de la Coop.

 

 

 
Concrètement, comment se passe l’expérimentation ?

 

La Coop’Jeunes a démarré le 1er octobre. Un animateur encadre le groupe, et un comité local (Pôle ESS, Coopérative d’Activité et d’Emploi, MRJC, Familles Rurales, Jeune Chambre Economique du Morbihan, DDCS, ville de Saint-Avé, entreprises locales intéressées…) pilote l’expérience. Les jeunes sont actuellement en train de travailler sur la mise en place de leur stratégie commerciale, et définir ce qu’ils peuvent proposer aux entreprises ou particuliers, en matière de services (distribution de tracts, archivage, peinture…).

 

 

Quelles pourront être les suites ?

 

L’idée, c’est que la Coopérative soit un tremplin pour ces jeunes qui cherchent un emploi. Cela peut les amener aussi à changer leurs regards sur le monde de l’entreprise : ils sont ici leurs propres patrons ! Certains ont déjà manifesté leur désir de créer une activité. Ils pourront se diriger vers les Coopératives d’Activités et d’Emplois, ou prendre connaissances des différents dispositifs d’aides à la création. On espère que certains seront embauchés dans la foulée.

L’expérimentation est également une première dans la région. Nous allons, une fois qu’elle sera terminée, réaliser un bilan et réfléchir à la façon dont elle peut s’articuler avec la Cress (Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire) et le réseau des Coopératives d’Activités et d’Emplois.

 

 

Plus d’infos

http://www.e2s-paysdevannes.fr/




Aujourd’hui restaurons demain

L’ADDA, c’est une épicerie où l’on trouve des produits bio et locaux à des tarifs raisonnables, et aussi de la nourriture gratuite récupérée au MIN, le Rungis nantais. C’est un lieu où l’on peut boire un café, donner ou prendre des objets, partager un repas, participer à des ateliers de cuisine ou de réparation de vélo.

L’ADDA, c’est un local de quartier où l’on peut emprunter du matériel de bricolage, des machines à coudre, où l’on peut s’échanger, donner et prendre des vêtements, proposer des activités, se renseigner sur des thématiques environnementales.

L’ADDA, c’est un local de quartier où chacun peut prendre ses marques et, en fonction de ses envies, agencer, changer, adapter, proposer, créer sur tous les sujets.

– See more at: http://side-ways.net/episode7/#sthash.OKMiF7l2.dpuf

L’ADDA, c’est une épicerie où l’on trouve des produits bio et locaux à des tarifs raisonnables, et aussi de la nourriture gratuite récupérée au MIN, le Rungis nantais. C’est un lieu où l’on peut boire un café, donner ou prendre des objets, partager un repas, participer à des ateliers de cuisine ou de réparation de vélo.

L’ADDA, c’est un local de quartier où l’on peut emprunter du matériel de bricolage, des machines à coudre, où l’on peut s’échanger, donner et prendre des vêtements, proposer des activités, se renseigner sur des thématiques environnementales.

L’ADDA, c’est un local de quartier où chacun peut prendre ses marques et, en fonction de ses envies, agencer, changer, adapter, proposer, créer sur tous les sujets.

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L’ADDA, c’est une épicerie où l’on trouve des produits bio et locaux à des tarifs raisonnables, et aussi de la nourriture gratuite récupérée au MIN, le Rungis nantais. C’est un lieu où l’on peut boire un café, donner ou prendre des objets, partager un repas, participer à des ateliers de cuisine ou de réparation de vélo.

L’ADDA, c’est un local de quartier où l’on peut emprunter du matériel de bricolage, des machines à coudre, où l’on peut s’échanger, donner et prendre des vêtements, proposer des activités, se renseigner sur des thématiques environnementales.

L’ADDA, c’est un local de quartier où chacun peut prendre ses marques et, en fonction de ses envies, agencer, changer, adapter, proposer, créer sur tous les sujets.

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L’ADDA, c’est une épicerie où l’on trouve des produits bio et locaux à des tarifs raisonnables, et aussi de la nourriture gratuite récupérée au MIN, le Rungis nantais.

C’est un lieu où l’on peut boire un café, donner ou prendre des objets, partager un repas, participer à des ateliers de cuisine ou de réparation de vélo. L’ADDA, c’est un local de quartier où l’on peut emprunter du matériel de bricolage, des machines à coudre, où l’on peut s’échanger, donner et prendre des vêtements, proposer des activités, se renseigner sur des thématiques environnementales.

L’ADDA, c’est un local de quartier où chacun peut prendre ses marques et, en fonction de ses envies, agencer, changer, adapter, proposer, créer sur tous les sujets.

 

Aujourd’hui restaurons demain (ADDA), une épicerie participative et bien plus ! from Side Ways on Vimeo.

 

 

 




Aujourd’hui restaurons demain

L’ADDA, c’est une épicerie où l’on trouve des produits bio et locaux à des tarifs raisonnables, et aussi de la nourriture gratuite récupérée au MIN, le Rungis nantais. C’est un lieu où l’on peut boire un café, donner ou prendre des objets, partager un repas, participer à des ateliers de cuisine ou de réparation de vélo.

L’ADDA, c’est un local de quartier où l’on peut emprunter du matériel de bricolage, des machines à coudre, où l’on peut s’échanger, donner et prendre des vêtements, proposer des activités, se renseigner sur des thématiques environnementales.

L’ADDA, c’est un local de quartier où chacun peut prendre ses marques et, en fonction de ses envies, agencer, changer, adapter, proposer, créer sur tous les sujets.

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L’ADDA, c’est une épicerie où l’on trouve des produits bio et locaux à des tarifs raisonnables, et aussi de la nourriture gratuite récupérée au MIN, le Rungis nantais. C’est un lieu où l’on peut boire un café, donner ou prendre des objets, partager un repas, participer à des ateliers de cuisine ou de réparation de vélo.

L’ADDA, c’est un local de quartier où l’on peut emprunter du matériel de bricolage, des machines à coudre, où l’on peut s’échanger, donner et prendre des vêtements, proposer des activités, se renseigner sur des thématiques environnementales.

L’ADDA, c’est un local de quartier où chacun peut prendre ses marques et, en fonction de ses envies, agencer, changer, adapter, proposer, créer sur tous les sujets.

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L’ADDA, c’est une épicerie où l’on trouve des produits bio et locaux à des tarifs raisonnables, et aussi de la nourriture gratuite récupérée au MIN, le Rungis nantais. C’est un lieu où l’on peut boire un café, donner ou prendre des objets, partager un repas, participer à des ateliers de cuisine ou de réparation de vélo.

L’ADDA, c’est un local de quartier où l’on peut emprunter du matériel de bricolage, des machines à coudre, où l’on peut s’échanger, donner et prendre des vêtements, proposer des activités, se renseigner sur des thématiques environnementales.

L’ADDA, c’est un local de quartier où chacun peut prendre ses marques et, en fonction de ses envies, agencer, changer, adapter, proposer, créer sur tous les sujets.

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L’ADDA, c’est une épicerie où l’on trouve des produits bio et locaux à des tarifs raisonnables, et aussi de la nourriture gratuite récupérée au MIN, le Rungis nantais.

C’est un lieu où l’on peut boire un café, donner ou prendre des objets, partager un repas, participer à des ateliers de cuisine ou de réparation de vélo. L’ADDA, c’est un local de quartier où l’on peut emprunter du matériel de bricolage, des machines à coudre, où l’on peut s’échanger, donner et prendre des vêtements, proposer des activités, se renseigner sur des thématiques environnementales.

L’ADDA, c’est un local de quartier où chacun peut prendre ses marques et, en fonction de ses envies, agencer, changer, adapter, proposer, créer sur tous les sujets.

 

Aujourd’hui restaurons demain (ADDA), une épicerie participative et bien plus ! from Side Ways on Vimeo.

 

 

 




La Zad de Notre-Dame-Des-Landes, le « Dernier Continent »

« Je souhaite que le film permette au spectateur de vivre un moment aux côtés des zadistes ». Telle était la volonté de Vincent Lapize, en réalisant son film « Le Dernier Continent ». Consacré à la Zad (Zone à défendre) de Notre-Dame-Des-Landes, il propose de plonger avec lui dans ce monde encore méconnu de l’extérieur. Tourné entre le printemps 2012 et le printemps 2014, il met en lumière une galerie de portraits : occupants de la Zad, plus ou moins anciens, riverains, agriculteurs engagés dans la lutte, ainsi qu’opposants historiques. Jeunes et moins jeunes évoquent ainsi leur vision de la société et leur recherche d’un autre mode de vie et d’un autre modèle économique, qu’ils peuvent expérimenter en vivant sur la Zone à Défendre. Construction de cabanes, aménagement du terrain, cuisine, culture potagère…rythment ainsi le film, et illustrent les témoignages. Les affrontement avec les forces de l’ordre sont également au programme, filmés notamment lors de l’opération César d’octobre 2012, durant laquelle de nombreuses habitations ont été déruites.

Plus que la lutte contre l’aéroport en elle-même, le film, qui s’est « créé grâce aux rencontres qui ont jalonné mon séjour à la Zad », explique le réalisateur, met avant tout en avant la recherche par les occupants de la Zad d’un nouveau monde. «En vivant sur place et en partageant des momens avec les opposants, j’ai tenté de percevoir l’articulation entre utopie et réalité et vie quotidienne. Comment chacun évolue en fonction des raisons d’agir, des nouveaux choix de vie et de l’émulation collective », indique-t-il.

Pari réussi, car le film, loin de montrer seulement les tenants et les aboutissants de la lutte anti-aéroport, donne à voir une belle galerie de portraits. On comprend ainsi mieux les aspirations des habitants de la Zad, grâce aussi à des images particulièrement intéressantes. Un film qu’on pourra retrouver en salles à sa sortie nationale dès le 11 novembre !

 

La bande-Annonce du documentaire :

 

 

 

 

 

Des avants-premières en Bretagne

Le film sera projeté en avant-première dans certains cinéma bretons !

Carhaix le 01/11 au Cinéma Le Grand Bleu
Gourin le 02/11 au Cinéma de Gourin
Vannes le 03/11 à l’IUT
Questembert le 04/11 à IRIS Cinema
St Brieuc le 05/11 au Club 6
La Turballe le 06/11 au Cinéma Atlantic
Belle-Ile-en-Mer le 07/11 au Cinema Le Rex,Le Palais,Belle-Île
Pouliguen le 08/11 au Cinéma Pax Le Pouliguen
Nozay le 09/11 au Cinéma Le Nozek
St Nazaire le 10/11 au cinéma Jacques Tati

 

 

Plus d’infos

http://lederniercontinent.tumblr.com/




La Zad de Notre-Dame-Des-Landes, le « Dernier Continent »

« Je souhaite que le film permette au spectateur de vivre un moment aux côtés des zadistes ». Telle était la volonté de Vincent Lapize, en réalisant son film « Le Dernier Continent ». Consacré à la Zad (Zone à défendre) de Notre-Dame-Des-Landes, il propose de plonger avec lui dans ce monde encore méconnu de l’extérieur. Tourné entre le printemps 2012 et le printemps 2014, il met en lumière une galerie de portraits : occupants de la Zad, plus ou moins anciens, riverains, agriculteurs engagés dans la lutte, ainsi qu’opposants historiques. Jeunes et moins jeunes évoquent ainsi leur vision de la société et leur recherche d’un autre mode de vie et d’un autre modèle économique, qu’ils peuvent expérimenter en vivant sur la Zone à Défendre. Construction de cabanes, aménagement du terrain, cuisine, culture potagère…rythment ainsi le film, et illustrent les témoignages. Les affrontement avec les forces de l’ordre sont également au programme, filmés notamment lors de l’opération César d’octobre 2012, durant laquelle de nombreuses habitations ont été déruites.

Plus que la lutte contre l’aéroport en elle-même, le film, qui s’est « créé grâce aux rencontres qui ont jalonné mon séjour à la Zad », explique le réalisateur, met avant tout en avant la recherche par les occupants de la Zad d’un nouveau monde. «En vivant sur place et en partageant des momens avec les opposants, j’ai tenté de percevoir l’articulation entre utopie et réalité et vie quotidienne. Comment chacun évolue en fonction des raisons d’agir, des nouveaux choix de vie et de l’émulation collective », indique-t-il.

Pari réussi, car le film, loin de montrer seulement les tenants et les aboutissants de la lutte anti-aéroport, donne à voir une belle galerie de portraits. On comprend ainsi mieux les aspirations des habitants de la Zad, grâce aussi à des images particulièrement intéressantes. Un film qu’on pourra retrouver en salles à sa sortie nationale dès le 11 novembre !

 

La bande-Annonce du documentaire :

 

 

 

 

 

Des avants-premières en Bretagne

Le film sera projeté en avant-première dans certains cinéma bretons !

Carhaix le 01/11 au Cinéma Le Grand Bleu
Gourin le 02/11 au Cinéma de Gourin
Vannes le 03/11 à l’IUT
Questembert le 04/11 à IRIS Cinema
St Brieuc le 05/11 au Club 6
La Turballe le 06/11 au Cinéma Atlantic
Belle-Ile-en-Mer le 07/11 au Cinema Le Rex,Le Palais,Belle-Île
Pouliguen le 08/11 au Cinéma Pax Le Pouliguen
Nozay le 09/11 au Cinéma Le Nozek
St Nazaire le 10/11 au cinéma Jacques Tati

 

 

Plus d’infos

http://lederniercontinent.tumblr.com/