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Natur’Armor, un festival pour tout savoir sur la biodiversité bretonne

Des requins, des plantes carnivores, des pingouins en Bretagne ? Eh bien oui, contrairement à ce que l’on pourrait penser, ces espèces sont bel et bien présentes sur notre territoire. Ce week-end, les visiteurs pourront découvrir l’existence du requin pèlerin (qui ne se nourrit heureusement que de plancton!), de la drosera ou du pingouin torda, et de bien d’autres espèces lors du festival Natur’Armor. Une manifestation, itinérante dans le département des Côtes d’Armor, dont l’objectif est, chaque année, de faire connaître au maximum la biodiversité de la région Bretagne au grand public, et de faire avancer les connaissances sur le patrimoine naturel, la faune et la flore.

C’est ainsi que de nombreuses associations naturalistes locales seront présentes : Bretagne Vivante, l’Association pour l’Etude et la Conservation des Sélaciens (Apecs), Eau et Rivières de Bretagne, le Groupe d’Etudes des Invertébrés Armoricains, (Gretia), Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO), Centre Forêt-Bocage…ainsi que des maisons nature et réserves naturelles, des établissement publics, des collectivités, et des artistes naturalistes et animaliers. Sont programmées également des séances de projection de films, des sorties nature (autour de la géologie, des falaises, de la forêt, des landes, des oiseaux…). Sans oublier des ateliers pour les enfants. Le tout dans une ambiance qui se veut familiale et intergénérationnelle !

 

Tout le programme est téléchargeable ici

 
 
Plus d’infos

http://www.vivarmor.fr




Suivez la « voie des chevriers » !

Cécile et Nicolas sont un jeune couple. Il y a 10 ans, ils décident de s’installer pour élever des chèvres, dans la Drôme. Une exploitation à taille humaine, une production raisonnée, voilà leur volonté. C’est alors que le parcours du combattant commence : une fois leur formation obligatoire achevée et leur diplôme obtenu (B.P.R.E.A, Brevet Professionnel Responsable d’Exploitation Agricole), le couple cherche un lieu pour s’installer. Ils repèrent une ancienne ferme abandonnée. Mais pour l’acquérir, y a faire des travaux, acheter du matériel et mettre en place la future fromagerie, il faut solliciter un prêt auprès des banques…Une fois toutes ces étapes franchies, le grand moment tant attendu arrive : l’installation et le démarrage de l’exploitation, avec un troupeau de chèvres du Rove, une race rustique locale.

C’est toute cette aventure qui est racontée dans la bande-dessinée « Les voies des chevriers », parue aux éditions Warum. L’auteur, Samuel Figuière, est un ami personnel de Cécile et Nicolas, qui sont bel et bien installés avec leurs chèvres dans la Drôme ! C’est donc à un vrai « reportage » qu’on a affaire ici, on suit de près le travail et la vie au quotidien du couple dans l’exploitation. Une exploitation où le travail est artisanal, avec une partie de la traite à la main et où l’utilisation des antibiotiques est très rare. Et militant : le couple refuse le puçage de ses bêtes, et manifeste contre.

« La voie des chevriers » est une bande-dessinée agréable à lire, et pédagogique : elle permet de bien saisir les enjeux liées à l’élevage, l’agriculture, et les difficultés inhérentes aux petites exploitations à taille humaine aujourd’hui. Les deux héros, engagés et militants, nous embarquent avec eux dans leur péripéties, et on prend ainsi plaisir à les suivre et à découvrir leur travail respectueux de l’humain et de l’environnement.

 

La voie des chevriers, reportage hors des sentiers battus, de Samuel Figuières, 112 pages, éditions Warum, 18 euros.

 

Plus d’infos

http://www.warum.fr




Suivez la « voie des chevriers » !

Cécile et Nicolas sont un jeune couple. Il y a 10 ans, ils décident de s’installer pour élever des chèvres, dans la Drôme. Une exploitation à taille humaine, une production raisonnée, voilà leur volonté. C’est alors que le parcours du combattant commence : une fois leur formation obligatoire achevée et leur diplôme obtenu (B.P.R.E.A, Brevet Professionnel Responsable d’Exploitation Agricole), le couple cherche un lieu pour s’installer. Ils repèrent une ancienne ferme abandonnée. Mais pour l’acquérir, y a faire des travaux, acheter du matériel et mettre en place la future fromagerie, il faut solliciter un prêt auprès des banques…Une fois toutes ces étapes franchies, le grand moment tant attendu arrive : l’installation et le démarrage de l’exploitation, avec un troupeau de chèvres du Rove, une race rustique locale.

C’est toute cette aventure qui est racontée dans la bande-dessinée « Les voies des chevriers », parue aux éditions Warum. L’auteur, Samuel Figuière, est un ami personnel de Cécile et Nicolas, qui sont bel et bien installés avec leurs chèvres dans la Drôme ! C’est donc à un vrai « reportage » qu’on a affaire ici, on suit de près le travail et la vie au quotidien du couple dans l’exploitation. Une exploitation où le travail est artisanal, avec une partie de la traite à la main et où l’utilisation des antibiotiques est très rare. Et militant : le couple refuse le puçage de ses bêtes, et manifeste contre.

« La voie des chevriers » est une bande-dessinée agréable à lire, et pédagogique : elle permet de bien saisir les enjeux liées à l’élevage, l’agriculture, et les difficultés inhérentes aux petites exploitations à taille humaine aujourd’hui. Les deux héros, engagés et militants, nous embarquent avec eux dans leur péripéties, et on prend ainsi plaisir à les suivre et à découvrir leur travail respectueux de l’humain et de l’environnement.

 

La voie des chevriers, reportage hors des sentiers battus, de Samuel Figuières, 112 pages, éditions Warum, 18 euros.

 

Plus d’infos

http://www.warum.fr




Défense de l’environnement et des droits humains : les femmes en première ligne


Solidarité internationale: Vandana Shiva (Inde) par BD_info

 

 


CASI2014 Silvia LAZARTE Bolivie par ecobretons

 

 

 

 

 

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Une entreprise rennaise « anti-gaspi »

En quoi consiste « Breizh Phenix » ?

 

« Breizh Phenix » est une entreprise sociale, basée à Rennes. Sa mission est de valoriser tous types de produits invendus, alimentaires ou non-alimentaires, à destination notamment des acteurs associatifs. Elle accompagne à donner et revaloriser, plutôt que jeter, notamment les grandes surfaces. Elle veut être un intermédiaire entre les producteurs, les vendeurs et les associations.

 

 

Concrètement, comment cela fonctionne ?

 

Nous sommes d’abord une solution industrielle. Après avoir réalisé un état des lieux dans le magasin, nous formons les équipes en place et celles des circuits logistiques afin qu’il puissent « isoler » les produits invendus. En aval, un circuit de ramassage est créé, ce qui permet de donner tous les jours des produits invendus. Cela permet d’optimiser et de rationaliser au mieux le flux.

Nous avons également greffé à ce système une plate-forme numérique qui permet aux managers de rayons d’ajuster leurs commandes, d’éviter ainsi le gaspillage dès le départ.

 

 

Quels sont les résultats ?

 

Nous avons permis la valorisation de 360 tonnes de produits alimentaires, soit entre deux tonnes et deux tonnes et demie par jour. Ce qui représente un peu plus de 400 000 repas. Lorsque chaque kilo de produits individus est orienté vers une destination qui a du sens, cela est une petite victoire.

Aujourd’hui, une vingtaine de magasins en Bretagne font appel à nous. Nous comptons développer l’activité, et recruter deux personnes cette année. Et nous travaillons sur plusieurs projets, notamment avec la ville de Rennes autour du gaspillage, et autour de l’économie circulaire : on essaie de faire en sorte que chaque magasin ne produisent aucun biodéchets, et s’ils en produisent, qu’ils soient tous valorisés.




La recette. Curry de lentilles corail aux épinards

 

 

 

 

Éplucher l’ail, le gingembre et l’oignon. Mixer l’ail et le gingembre, puis l’oignon à part.

Ingrédients pour 4 :
  • 240 g de riz complet
  • 150 g de lentilles corail
  • 5 à 6 cubes d’épinards congelés
  • 1 oignon
  • 2 gousses d’ail
  • 2 à 3 tranches de gingembre frais
  • 1 c. à soupe de curry
  • 1 c. à soupe bombée d’huile de coco
  • 5 cups d’eau
  • 25 cl de coulis de tomates
  • 1 à 2 c. à soupe de crème fraîche ou végétale

 

Préparation

 

Faire fondre l’huile de coco dans une casserole. Ajouter l’ail et le gingembre mixés. Laisser dorer. Ajouter l’oignon et le curry. Laisser dorer. Ajouter le coulis de tomates.

Mettre le riz et les lentilles rincées dans une casserole ou un cuiseur à riz (rice cooker). Ajouter la sauce obtenue lors de l’étape précédente. Ajouter les épinards et l’eau. Bien mélanger.

Laissez cuire 30 minutes et déguster votre apéro en attendant que ce soit prêt (facultatif !).

Une fois cuit, ajoutez la crème pour avoir plus de liant…