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[Appel à projet] Soyez acteurs des Objectifs de développement durable

Vous avez des projets qui contribuent à répondre aux défis actuels que sont la réduction des inégalités, la préservation des ressources naturelles, le respect de l’environnement, l’atténuation et l’adaptation au changement climatique, le maintien du lien social, le travail décent, etc. ? Vous souhaitez développer ces idées dans votre territoire, les mettre en pratique et les valoriser ? Vous avez des compétences et vous souhaitez vous engager pour la promotion d’un monde plus juste et durable en rejoignant des initiatives existantes?

 Concrétisez votre envie d’agir grâce au projet « Construire une Europe durable pour toutes et tous » ! Mis en œuvre en France par l’Association 4D et WECF France, ce projet européen vise à mieux faire connaître les Objectifs du Développement Durable (ODD). La mise en œuvre de ces objectifs à l’horizon 2030 permettrait de transformer notre monde en assurant sa transition vers un développement soutenable.

Deux possibilités d’action s’offrent à vous :

  • candidatez à un financement de 1000 € si vous avez un projet local à réaliser dans les mois qui viennent,
  • devenez membre de la plateforme « Les ODD et nous » pour profiter des compétences, savoirs et synergies d’acteurs inspirants !

 

 

//  Financez votre projet  //

Un appel à contributions est lancé à destination des associations locales. Les actions proposées devront porter sur la sensibilisation à la réduction des inégalités et/ou à la mise en œuvre d’actions de réduction des inégalités.

Date limite de soumission des dossiers de candidature : 6 mai 2018
Localisation : les activités devront être mises en place au niveau local, en France.
Montant de la subvention : 3 actions lauréates seront soutenues, pour un montant de 1000 euros chacune.
Type d’actions éligibles : événements publics, formations, tables rondes et séminaires, dialogues avec des décideurs, activités éducatives, activités destinées à des jeunes, activités culturelles et créatives, publications (dépliants, productions audiovisuelles, etc.), autres initiatives / projets permettant de contribuer aux ODD.

Candidater

 

// Inscrivez-vous sur notre plateforme collaborative //

4D et WECF France s’associent pour animer la plateforme « Les ODD et nous ». L’objectif de cette plateforme est d’identifier, de valoriser et de mettre en lien les porteurs de projets s’inscrivant dans les ODD. L’inscription est libre et gratuite.

S’inscrire




[Communiqué] BREIZH COP : une ambition à affirmer et à partager.

Le collectif pour une transition écologique et solidaire souhaite une vraie mobilisation

pour l’avenir de la Bretagne.

Notre collectif pour la transition écologique et solidaire soutient l’initiative régionale Breizh COP, ses enjeux et ses ambitions. Mais nous constatons que le document d’orientation présenté aujourd’hui aux élus reste trop timoré et ne transcrit pas suffisamment les ambitions affichées.

Ce jeudi 19 avril, les élus de la Région Bretagne sont réunis à Brest pour une session extraordinaire du Conseil régional sur la Breizh Cop, déclinaison bretonne de la COP 21. Ils vont débattre, à partir d’un document « point d’étape » présenté par le Président, d’une charte des valeurs et des principes ainsi que des trois premières orientations de ce rapport.

De bonnes ambitions sont affichées :

Dans le document « Pont d’étape », le président de la Région écrit : « le changement climatique constitue l’un des enjeux, sinon l’enjeu majeur, requérant des transformations profondes de nos modes de penser et de faire ».

Deux ambitions complémentaires guident cette Breizh Cop :

– développer une vision pour la société bretonne de 2040, et définir un véritable engagement dans la transition.

– mobiliser tous les bretons, citoyens, collectivités, entreprises pour s’engager ensemble avec la Région dans cette transition, en considérant que la principale valeur ajoutée sera d’être transversale et de croiser les approches jusque-là trop segmentées et cloisonnées.

Mais le document d’orientation n’est pas à la hauteur des ambitions affichées :

– Ce document ne s’appuie pas sur un diagnostic partagé. Le réchauffement climatique est déjà là, les atteintes graves à la biodiversité aussi. Pour mobiliser largement, il faut d’abord présenter et expliquer les enjeux et les impacts sur la vie et l’activité économique des bretons.

– Les orientations ne proposent pas d’objectifs ou même de pistes d’objectifs chiffrés qui puissent montrer son ambition d’impulser réellement de fortes transitions. En matière par exemple de réduction d’émission de gaz à effet de serre, de déploiement des énergies renouvelables, d’ambition pour le bio etc…

Ce document ne rompt pas avec « nos modes de penser et de faire ». L’idée d’une « transformation profonde » que le Président appelle de ses voeux, disparaît progressivement à sa lecture alors que réapparaît le productivisme quantitatif. Il continue, de manière dramatiquement classique, à exclure l’environnement du champ de l’économie et du social.

la démarche de mobilisation et de concertation n’est pas suffisamment claire et soutenue. Nous attendons les contributions par exemple du comité scientifique sur la méthode de participation. Aucun moyen financier budgétaire spécifique n’est alloué à la nécessaire participation des citoyens, ni aux futures transitions.

Pour notre collectif, l’enjeu de cette COP est de réunir (enfin !) les conditions de la transversalité et de la mixité entre l’économie, l’environnement, la qualité de vie. Il ne peut pas y avoir d’économie, d’agriculture, de santé durable en Bretagne dans un environnement de mauvaise qualité.

Nous demandons que les élus :

– écoutent l’appel des 15000 : il y a URGENCE pour le climat, l’environnement et l’Homme ;

– écoutent les citoyens et la société civile bretonne, par exemple le CESER (Conseil Économique, Social et Environnemental de la Région) dont nous soutenons l’avis, voté à l’unanimité des représentants :

« Dans son rôle de stratège et de fédérateur, c’est au Conseil régional de Bretagne d’impulser, de se donner les moyens, avec ses partenaires, de mettre en oeuvre le grand projet régional, de créer les conditions de sa réussite. Des orientations fortes auraient ainsi pu être soumises à la concertation et au débat telles que : la Bretagne en 2040 : territoire zéro carbone, territoire zéro chômeur, territoire à énergie positive ? »

– mettent en place des modalités et des moyens suffisants pour informer, sensibiliser et mobiliser les bretonnes et les bretons autour de ces enjeux qui engagent l’avenir de notre région

La voie est loin d’être toute tracée, c’est certain, mais de nombreux projets et actions existent déjà en Bretagne, qui doivent permettre de s’engager dans cette expérimentation, cette transition dans les territoires, dans les entreprises, dans les associations, dans les collectivités territoriales.

Notre collectif est, pour reprendre là encore les mots du Président, le symbole même « du volontarisme, de la responsabilité et de l’engagement ». C’est pourquoi le collectif appelle tous les acteurs à se mobiliser et à contribuer. Nous appelons tous les citoyens, les collectivités et entreprises à nous faire part de leurs idées,

leurs réflexions, leurs actions pour continuer d’alimenter les expertises et expérimentations que nous avons déjà recensées depuis de longues années. Nous présenterons avant l’été nos 10 priorités partagées pour une BRETAGNE A VIVRE ECOLOGIQUE ET SOLIDAIRE.

Rejoignez nous !

@collectiftransition

Les signataires : Energies Citoyennes en Pays de Vilaine, Fédération Bretagne Nature Environnement, Maison de la Consommation et de l’Environnement, Réseau Cohérence, Eau et Rivières de Bretagne, Alternatiba Rennes, Coben (Confédération Bretonne pour l’Environnement et la Nature), Bretagne Vivante-SEPNB, Nature et Culture.




L’idée sortie. Le marché du terroir et de l’artisanat à Concoret (56).

La seizième édition du Marché du Terroir et de l’Artisant, organisé par le CPIE Forêt de Brocéliande, aura lieu mardi 1er mai. Au programme de cette édition 2018 consacré à l’arbre et l’eau : 170 exposants, animations, musique…

L’arbre et l’eau. C’est la thématique choisie pour cette nouvelle édition du Marché du Terroir et de l’Artisanat, organisé par le CPIE Forêt de Brocéliande et qui se tient comme d’habitude le 1er mai dans le bourg de Concoret.

Cette année, 170 exposants seront présents : gastronomie, bijoux, artisanat, maraichage, art, cosmétiques…Le four à pain de Concoret sera également allumé pour l’occasion, par l’association d’Arbre et de Pierre Rouge, et du pain sera cuit sur place.

De nombreuses animations auront lieu sur le marché : table-ronde avec la radio associative locale Timbre Fm, ateliers poterie, vannerie, tournage sur bois et maquillage pour enfants et adultes, manège à pédale, espace ludothèque, expositions…

Sans oublier les animations liés à la thématique : bourse aux plantes, stand « observatoire local de la biodiversité », rencontre-débat « us et coutume du bocage », balade botanique au bord de l’eau, balade au bord du talus, expositon « Water », exposition « arbres remarquables de Bretagne », atelier artistique « l’Arbre et l’Eau, bien commun », atelier papier recyclé.

La journée s’achèvera en musique par un apéro-concert à partir de 18h.

Tout le programme détaillé est disponible sur http://cpie-broceliande.pagesperso-orange.fr/animation/manifestations.html




Défi famille zéro déchets. Les conserves lactofermentées

Samedi 14 avril, les familles du territoire de Morlaix Communauté participant au « défi famille zéro déchets » étaient invités à un atelier autour de la conservation des aliments par lactofermentation. L’occasion, avec l’association Cap Santé d’en savoir un peu plus sur ce mode de conservation et d’apprendre à faire ses bocaux de légumes fermentés ! (Recettes et informations de Catherine Le Tacon).

Les aliments fermentés, qu’est ce que c’est ?

Un aliment fermenté est un alimenté qui a eté transformé par des micro-organismes : bactéries, levures, moisissures, champignons.

La fermentation se déroule le plus souvent sans oxygène (en anaérobie). En présence d’oxygène, les microbes se multiplient. En anaérobie, ils sont stressés et luttent pour survivre en fabriquant des molécules destinées à tuer les microbes concurrents : alcool, acide lactique, etc. Il se trouve que durant cette action, ils fabriquent également des substances aromatiques, des vitamines et des centaines d’autres molécules que nous jugeons utiles pour transformer le goût, la texture et la conservation de nos aliments.

Les aliments fermentés, il ne faut pas manger que ça ! Ils doivent faire partie d’une alimentation variée et équilibrée. Le mieux est d’en consommer de petites quantités tous les jours ou régulièrement, et ce n’est pas difficile : quelques légumes fermentés ajoutés dans une salade, un peu de jus mis au dernier moment dans une soupe, quelques cornichons ou pickles pour accompagner une viande, un peu de chutney avec le fromage… au lait cru bien sûr. Un yaourt en dessert, du pain au levain, une bière non pasteurisée de temps en temps, une rondelle de saucisson, un verre de kéfir ou de kombucha, le choix est vaste et il y en a pour tous les goûts !

1 —Ils facilitent la digestion

2 —Ils sont une source de vitamine C

3 —Ils sont une source de vitamines K, PP et B

4 —Ils sont une source de choline

5 —Ils sont riches en minéraux

6 —Ils sont antiseptiques

7 —Ils détoxifient la nourriture

8 —Ils participent au bon fonctionnement de l’intestin

9 —Ils renforcent notre système immunitaire

10 —Ils nous apportent de l’énergie

Attention : ils sont déconseillés avec les maladies auto-immunes

En pratique !

Les légumes en général

 Épluchez-les (facultatif s’ils sont bios, lavez les) et râpez-les, ou bien détaillez-les en fine julienne.

Pesez vos légumes et préparez 10 g de sel par kilo.

Mélangez dans un récipient les légumes et le sel, éventuellement des aromates, en pressant bien avec les mains pour faire sortir le jus des légumes.

Une fois que c’est fait, tassez-le tout dans le bocal, en pressant fortement avec la main ou avec un pilon, afin de chasser les poches d’air et d’exprimer le jus des légumes.

Fermez ensuite hermétiquement le bocal, avec son caoutchouc. Posez-le sur une assiette, car si vous avez trop rempli le bocal, il se peut que cela déborde lorsque la fermentation va commencer.

Gardez-le à température ambiante pendant 1 semaine. Si un débordement se produit, contentez-vous de vider le liquide de l’assiette, et essuyez le bocal, ne l’ouvrez surtout pas !

Au bout de quelques heures, le légume va libérer son eau, et le bocal va se remplir de liquide. Après 1 jour ou 2, vous allez constater une effervescence, ça va faire des bulles et même cela peut chuinter ou siffler autour de l’ouverture. Ce n’est pas le légume qui se plaint, c’est le gaz carbonique produit par la fermentation qui chasse l’air situé entre le niveau du liquide et le couvercle : ainsi l’air extérieur ne pourra plus entrer dans le bocal : la fermentation pourra se dérouler en parfaite anaérobie comme il se doit.

Après la première semaine à température ambiante, mettez le bocal au frais, soit au réfrigérateur, soit dans une pièce fraîche (15-20 °C suffisent). N’oublions pas que la fermentation a été inventée à une époque où les frigos n’existaient pas, c’est donc un mode de conservation qui se passe très bien de frigidaire, du moment qu’on n’entrepose pas les bocaux dans des pièces surchauffées !

La fermentation totale dure environ 3 à 6 semaines. (Plus c’est au froid, plus c’est long). Après ce délai, on peut passez à la dégustation !

A vous d’inventer des mélanges : carottes + chou, radis blanc + céleri, ou navet + betterave, ou chou + pomme verte…

Mettez les aromates que vous aimez : fines herbes, ail, oignon, poireau, ciboule, persil, coriandre, estragon, basilic, bâton de cannelle, girofle, genièvre gingembre…

Les légumes fermentés peuvent se manger chauds, en soupes ou en garniture d’un plat principal, mais c’est également délicieux froid en salade. C’est ainsi qu’on profite au mieux de leurs vitamines et probiotiques bienfaisants. Égouttez-les simplement avant de les utiliser, et ne resalez pas le plat, ou au moins goûtez avant de saler !

Par Catherine Le Tacon, pour l’association Cap Santé




A voir. « On a 20 ans pour changer le monde »

Le documentaire « On a 20 ans pour changer le monde » vient de sortir en salle il y quelques semaines. Réalisé par Hélène Médigue, il suit les pas et les rencontres sur le terrain de Maxime De Rostolan, le fondateur de l’association Fermes d’Avenir, qui milite pour une transition vers l’agro-écologie en France.

60% des sols sont morts, le système actuel est à bout de souffle, alors que l’agro-écologie peut nourrir la planète. Et pourtant, des hommes et des femmes font le pari de pratiquer un autre type d’agriculture, de se passer de produits chimiques, et de produire plus sainement. C’est à partir de ses constats qu’Hélène Médigue a voulu réaliser le documentaire « On a 20 ans pour changer le monde ». Dans ce film, on suit les pas de Maxime de Rostolan. Ingénieur de formation, il a réalisé un tour du monde pour étudier les problématiques de l’eau. Il est le fondateur de Blue Bees, première plateforme de financement participatif dédiée à des projets autour de l’agriculture et de l’alimentation. C’est également le créateur de l’association Fermes d »Avenir, et c’est d’ailleurs à ce titre qu’on le suit dans le documentaire.

Il va à la rencontre de personnalités et scientifiques du monde agricole et la biodiversité (Claude et Lydia Bourguignon, Francis Hallé), mais aussi d’agriculteurs bio et conventionnels, ou encore d’hommes politiques (Emmanuel Macron à l’époque en pleine campagne présidentielle, Stéphane Le Foll ministre de l’agriculture), et de militant (Nicolas Hulot). A chaque fois, il présente le « plaidoyer » de Fermes d’Avenir : un document de 150 pages, avec à l’intérieur dix propositions pour une nouvelle agriculture, comme par exemple le développement d’aides à l’emploi pour les fermes agro-écologiques, l’intégration obligatoire de l’agro-écologie dans les lycées agricoles, la mise en place de conventions permettant aux citoyens de participer au financement de la transition agricole en direct…etc.

Le documentaire présente ainsi tout le travail réalisé sur le terrain par Maxime De Rostolan et son association, et ceux qui pensent comme lui qu’un autre modèle agricole est dès aujourd’hui nécessaire et possible, avec l’appui des citoyens. Un film plein d’espoir, qui, même si il fait la part belle aux discussions, montre que si le chemin est encore long, les choses peuvent bouger dans le bons sens grâce aux actions de tous.




Breizh Cop : les citoyens invités à participer

Jeudi avril, le Conseil Régional de Bretagne s’est réuni exceptionnellement à Brest pour une session consacrée à la Breizh Cop. Sur le même principe que les Cop de l’Onu mais au niveau breton, la démarche vise à bâtir un projet global et durable « répondant aux enjeux climatiques et démographiques de la Bretagne « , de façon collective et d’ici juin. Un rapport d’étape et une charte des valeurs et principes ont été votés.Des outils permettant aux citoyens de participer ont été également lancés. Suite à ces annonces, le Collectif pour Une Transition Ecologique à Solidaire, formé d’associations environnementales bretonnes a réagi, souhaitant « une vraie mobilisation pour l’avenir de la Bretagne »

Session un peu particulière pour le Conseil Régional de Bretagne ce jeudi 19 avril. Réunis exceptionnellement à Brest, les élus ont travaillé autour d’un unique ordre du jour : La Breizh Cop. L’idée, avec cette démarche qui s’appuie sur la méthode de la Conférence des Parties organisées chaque année par l’Onu, est de « bâtir un projet global et durable répondant aux enjeux climatiques et démographiques de la Bretagne, l’objectif étant qu’il soit partagé par la majorité des Bretons sur l’ensemble du territoire », indique la Région. Cette session du 19 avril, précédée d’une table-ronde ouverte à tous portant sur les défis environnementaux, socio-économiques et démographiques à relever d’ici 2040, a permis le lancement d’une concertation citoyenne jusqu’en juillet. Deux documents ont ainsi été soumis au vote des élus régionaux : un rapport d’étape sur les 3 premières grandes orientations (qui doivent former le socle du projet de territoire), et une charte des valeurs et des principes que chacun peut signer sur internet.

La participation citoyenne voulue par la Région s’appuie sur un site internet dédié (breizhcop.bzh), une plate-forme participative où l’on peut donner son avis et ses idées sur différentes propositions (atelier.bretagne.bzh), et deux outils ludiques : un jeu en ligne, baptisé « Opération Breizh Cop », et un « jeu de cartes et de plateau, « Strategiezh » ».

Des évènements pourront être également labellisés « Breizh Cop », comme cela a été par exemple le cas pour les « Aqua Deiz » qui ont été organisés à Rennes en Mars.

Suite à la présentation et aux votes du rapport d’étape et de la charte des valeurs et principes, le Collectif pour Une transition Ecologique et Solidaire (formé des associations Alternatiba Rennes, Bretagne Vivante, Coben, Cohérence, Energies Citoyennes en Pays de Vilaine, Eau et Rivières de Bretagne, Fédération Bretonne Nature et Environnement, Nature et Culture), a publié un communiqué. Si le collectif soutient l’initiative régionale Breizh, ses enjeux et ses ambitions, il constate « que le document d’orienté présenté [ …] aux élus reste trop timoré et ne transcrit pas suffisamment les ambitions affichées ». Pour ces associations, « L’enjeu de cette Cop est de réunir (enfin!) les conditions de la transversalité et de la mixité entre l’économie, l’environnement, la qualité de vie. Il ne peut pas y avoir d’économie, d’agriculture, de santé durable en Bretagne dans un environnement de mauvaise qualité ». Le collectif appelle « tous les citoyens, les collectivités et entreprises à nous faire part de leurs idées, leurs réflexions, leurs actions pour continuer d’alimenter les expertises et expérimentations que nous avons déjà recensées depuis de longues années. ». Il présentera avant l’été un document récapitulant les priorités partagées par les associations qui le composent, pour « Une Bretagne à vivre écologique et solidaire ».