L’idée sortie. Un fest-noz pour un tour du monde à la voile sans déchet

On vous en a parlé en avril. Les quatre compères de Sailing for change partent en octobre pour un tour du monde à la voile zéro déchet. « On cherchait une ligne rouge, un axe qui donne du sens à notre expédition. On a pensé au zéro déchet, qui fédère beaucoup de choses du développement durable : le gaspillage, l’économie circulaire… », nous expliquait alors Robin, responsable partenariat du projet.

Igor, Brendan, Joaquim et Robin viennent de boucler avec succès leur campagne de crowdfunding. Grâce aux 6780 euros récoltés, ils vont pouvoir acheter un radeau de survie, une voile, des panneaux solaires et du matériel vidéo.

Samedi 20 août, un fest-noz est organisé, à la ferme de Bellevue, à Sarzeau, pour soutenir l’association Sailing for change. Au programme : jeux, couscous breton, présentation du projet Sailing for change et fest-noz.

Le tour du monde zéro déchet des quatre aventuriers doit durer deux ans. En chemin, ils comptent réaliser une web-série autour de la thématique « Comment vivre sans déchet ? ». Et à chaque escale, ils réaliseront des reportages sur les initiatives en faveur du développement durable. Mais en attendant, rendez-vous le 20 août à la ferme de Bellevue !

 

Plus d’infos :

Soirée Fest-noz en soutien à l’association Sailing for change, à la ferme de Bellevue, à Sarzeau. Samedi 20 août, à partir de 17h.

Pour le repas, réservation au 06 74 10 62 36.

www.sailingforchange.com

Retrouvez leur itinéraire grâce à cette carte interactive.




Un festival contre les grands projets inutiles

Tout le week-end, Plougonver (22) accueille un festival des luttes. À l’origine de l’événement, le collectif Douar Didoull qui conteste le projet minier de Loc-Envel. « Ce festival veut rassembler et informer sur les luttes actuelles contre les grands projets inutiles imposés en Bretagne », explique le collectif.

Pendant trois jours, du vendredi 19 au dimanche 21 août, les festivaliers pourront assister à des conférences, des débats, des fest-noz, des concerts et des animations. Il y sera question de convergence des luttes, de Notre-Dame-des-Landes, d’extraction de sable et de gaz de schiste. Il sera aussi évidemment question des PER (permis exclusifs de recherche) bretons.

À Loc-Envel, comme à Merléac ou à Silfiac, des collectifs s’opposent aux nouveaux projets de recherche minière. Ils reprochent à la société Variscan son manque de transparence. Ils contestent également le concept de mine responsable mis en avant par les pouvoirs publics et, pour l’instant, inexistant.

Depuis maintenant deux ans, les collectifs s’évertuent à informer les populations locales. Ils incitent également les propriétaires terriens, en majorité agriculteurs, à interdire l’accès des terres aux prospecteurs de Variscan.

Pendant trois jours, ce festival des luttes sera l’occasion d’informer encore plus largement sur les PER mais aussi sur les autres grands projets inutiles en projet en Bretagne et ailleurs.

 

Plus d’infos :

Festival des luttes, du vendredi 19 août au dimanche 21 août, à Plougonver.

www.alternatives-projetsminiers.org




Un festival contre les grands projets inutiles

Ce week-end, les opposants aux grands projets inutiles se rassemblent à Plougonver (22). Pendant trois jours, des conférences, débats, concerts et animations permettront aux festivaliers de s’informer sur ces projets contestés. À l’origine de cet événement, le collectif Douar Didoull qui s’oppose au projet d’exploration minière à Loc-Envel.

Festival-des-luttes-compressor

Tout le week-end, Plougonver (22) accueille un festival des luttes. À l’origine de l’événement, le collectif Douar Didoull qui conteste le projet minier de Loc-Envel. « Ce festival veut rassembler et informer sur les luttes actuelles contre les grands projets inutiles imposés en Bretagne », explique le collectif.

Pendant trois jours, du vendredi 19 au dimanche 21 août, les festivaliers pourront assister à des conférences, des débats, des fest-noz, des concerts et des animations. Il y sera question de convergence des luttes, de Notre-Dame-des-Landes, d’extraction de sable et de gaz de schiste. Il sera aussi évidemment question des PER (permis exclusifs de recherche) bretons.

À Loc-Envel, comme à Merléac ou à Silfiac, des collectifs s’opposent aux nouveaux projets de recherche minière. Ils reprochent à la société Variscan son manque de transparence. Ils contestent également le concept de mine responsable mis en avant par les pouvoirs publics et, pour l’instant, inexistant.

Depuis maintenant deux ans, les collectifs s’évertuent à informer les populations locales. Ils incitent également les propriétaires terriens, en majorité agriculteurs, à interdire l’accès des terres aux prospecteurs de Variscan.

Pendant trois jours, ce festival des luttes sera l’occasion d’informer encore plus largement sur les PER mais aussi sur les autres grands projets inutiles en projet en Bretagne et ailleurs.

Plus d’infos :
Festival des luttes, du vendredi 19 août au dimanche 21 août, à Plougonver.
www.alternatives-projetsminiers.org

 




Tout l’été, découvrez l’écologie pratique à l’Ecocentre du Trégor

Tout commence en 2008. Jean-Louis Goulard, instituteur, et Karsten Greve, intervenant en breton dans l’éducation nationale, ont l’idée de créer un espace de découverte et de connaissance autour de l’écologie. Pour cela, ils s’inspirent de lieux déjà existants comme l’écocentre du Périgord ou le centre Terre vivante. « Ce centre est un outil grand public de sensibilisation à différentes thématiques avec un aspect ludique très développé », précise Aurélien Legeard, bénévole et membre du conseil d’administration de l’association Spered All, qui gère l’Ecocentre.

En 2010, l’association obtient l’autorisation de s’installer sur un terrain situé à proximité du Radôme, à Pleumeur-Bodou. Les travaux commencent fin 2013. « Il y avait un ancien corps de ferme sur le terrain. Dès 2010, nous avons organisé des chantiers participatifs et fait appel au bénévolat pour y créer un espace associatif. Tout adhérent de l’association peut venir proposer quelque chose, des stages, des ateliers sur différents thèmes. Nous sommes ouverts à toute initiative », détaille Aurélien Legeard.

 

Un parc de trois hectares

L’Ecocentre ouvre ses portes en mai 2015. « La première saison a servi de test. Elle a permit de finaliser beaucoup de choses », explique le bénévole. De mai à septembre, 2 000 visiteurs découvrent le lieu : « Nous avons eu des retours très positifs. Le cadre est sympa, les gens sont dans une bulle. Pendant une demi-journée, ils sont un peu ailleurs ».

Le centre est installé au cœur d’un parc de trois hectares composé de bois, de zones humides, et de prairies. Le parcours se développe autour de différentes thématiques comme écoconstruction, l’énergie, l’agroécologie et la permaculture. « Il y a des jeux et des activités ludiques pour les enfants, dès trois ans. L’espace de restauration permet de déguster les produits du jardin et une boutique d’artisanat local permet de voir les réalisations des membres de l’asso et d’artisans locaux », ajoute Aurélien.

 

Un objectif de 15 000 visiteurs

Cette année, le lieu a ouvert dès le mois d’avril. À l’heure actuelle, quatre personnes sont salariées à mi-temps par l’association. Elles sont épaulées par deux services civiques et des bénévoles. Pour l’instant, la saison démarre bien, avec l’accueil de nombreux groupes venus d’écoles locales. Des contacts ont aussi été établis avec l’hôpital de Lannion et les CCAS du coin pour organiser des visites. « Nous avons également l’intention de proposer des ateliers et des stages tout au long de l’année », précise Aurélien Legeard.

L’Ecocentre espère beaucoup de cette année charnière : « On espère avoir entre 6000 et 8000 visiteurs en 2016, et 15 000 à terme ». On espère que l’Ecocentre atteindra cet objectif pour que visite touristique rime avec transition écologique.

 

Plus d’infos :

Ecocentre du Trégor. En juillet et août, ouvert tous les jours de 10h30 à 18h30. 6€ par adulte, 5€ pour les 5-12 ans.

www.ecocentre-tregor.fr

www.spered.all.free.fr




Diversion, un court-métrage anti-Tafta

Diversion est un court-métrage belge. L’action de cette dystopie se situe en Belgique, dix ans après la signature du Tafta. « Alan ne sort plus de chez lui depuis des mois, trop effrayé par le monde extérieur. Il vit seul avec sa mère, aussi aimante qu’étouffante. Un jour, il fait la rencontre de Shana, jeune militante bien décidée à perturber le 10e anniversaire du Traité transatlantique », détaille le site du film.

Dans ce monde où la peur de l’autre est la règle, où les colleurs d’affiches sont considérés comme des terroristes, où les milices privées remplissent le rôle de la police, malgré tout, la solidarité finit par refaire surface et nous prouve que, jamais, rien n’est perdu. Ce film nous montre aussi ce que pourrait être un monde où règne les grandes entreprises et les tribunaux privés. Bref, un monde où le Tafta aurait été adopté ! « Ce film questionne le paradoxe entre les replis culturels de plus en plus forts et une libéralisation économique sauvage et violente », résume à merveille le site de Diversion.

Ce film a été réalisé pour être projeté lors du festival de musique du monde Esperanzha ! Ce festival engagé et ancré dans la société civile a lieu près de Namur, en Belgique, au mois de juin. L’équipe du festival s’est engagé pour produire et réaliser ce court-métrage afin de « répondre au contexte politique et social actuel avec des moyens culturels ».

C’est une réussite. Ça s’appelle Diversion et c’est à voir d’urgence !

 

Pour voir le film et en savoir plus :

www.diversionlecourtmetrage.be




À Brest, un cadastre solaire pour favoriser l’installation de panneaux solaires

Vous habitez Brest et vous vous interrogez sur l’intérêt d’installer des panneaux solaires thermiques ou photovoltaïques sur votre toit ? Brest Métropole vous aide dans votre choix. Elle a mis en place un cadastre solaire. « Cet outil cartographique vous permet de visualiser le potentiel de votre toiture, et d’évaluer la pertinence d’y poser une installation solaire, en fonction de son orientation, des saisons et des ombres portées de la végétation ou des bâtiments voisins », explique le site de l’agglomération.

Cette carte interactive est très simple d’utilisation. Il suffit d’indiquer son adresse et de se référer au code couleur : Bleu pastel, le potentiel d’ensoleillement de la toiture est médiocre, violet, il est moyen, et ocre, il est bon. D’autres informations sont également disponibles comme la surface, l’orientation ou l’inclinaison du toit.

 

Un accompagnement complet

Les utilisateurs de la carte sont ensuite redirigés vers Tinergie, une plate-forme locale de rénovation énergétique, créée par Brest Métropole. « Les conseillers Tinergie disposent de données techniques plus complètes, et pourront évaluer la production d’électricité solaire photovoltaïque, les recettes annuelles en cas de vente sur le réseau et une estimation du coût de l’installation, la couverture solaire thermique des besoins d’eau chaude sanitaire avec estimation du volume de stockage et de coût de l’installation et les actions d’économies d’énergies à réaliser en parallèle », détaille le site de Brest Métropole.

Les conseillers Tinergie accompagnent dans leurs démarches les personnes intéressés par la rénovation énergétique. Après avoir analysé les besoins et fait une évaluation thermique de l’habitat, Tinergie oriente les propriétaires vers des professionnels agréés par Brest Métropole et peut proposer des aides de financement à hauteur de 30% de l’investissement.

Grâce à ces actions, Brest Métropole espère que le nombre d’installations de panneaux solaires thermiques et photovoltaïques vont fortement augmenter tout en permettant aux propriétaires de faire ses installations dans les meilleures conditions possibles.

 

Plus d’infos :

Le cadastre solaire

www.tinergie-brest.fr

www.brest.fr