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Héol, la voiture qui carbure au soleil breton

Parcourir plusieurs milliers de kilomètres uniquement grâce à l’énergie solaire, c’est le défi que s’est lancé l’association EcoSolar Breizh. Depuis plusieurs années, elle participe à des courses partout autour du monde avec son véhicule, Héol.

Depuis plusieurs années, l’association EcoSolar Breizh, basée à Brest, fait rouler Héol, un véhicule électrique solaire. « Notre but est de participer à des courses internationales réservées aux véhicules solaires », explique Jean-Luc Fleureau, le président de l’association.

La première course visée par Héol était le world solar challenge. Cette traversée de l’Australie, de Darwin à Adélaïde, fait plus de 3000 km. « Nous voulions participer à l’édition de 2013 mais, finalement, nous n’avons pas pu y aller », regrette Jean-Luc Fleureau.

Depuis, Héol a participé à différentes compétitions. La voiture a terminé deuxième du Moroccan Solar Race Challenge, auquel elle a participé deux fois. En 2015, l’association s’est rendue à Abu Dhabi, pour l’Abu Dhabi Solar Challenge. En 2017, elle doit participer à une autre course en Egypte. « À chaque fois, nous améliorons le véhicule », se réjouit le président.

Initier les jeunes

Héol est un projet multi-compétence, qui fait appel à l’électronique, la mécanique, la communication, le web… Il réunit des passionnés dans toute la France, de tous les âges : « Ça ne s’est pas fait en un jour ! Les compétences se sont agrégées au fil du temps. Le but est aussi d’initier les jeunes à ces technologies ». En effet, l’association prend régulièrement des stagiaires de tous niveaux, de la troisième aux écoles d’ingénieurs.

Pour développer Héol, l’association EcoSolar Breizh travaille en partenariat avec des entreprises françaises : « On a pas la force pour innover. On est là pour agréger les innovations des entreprises, pour mettre en avant les produits et montrer les savoir-faire et les technologies. Ce véhicule est une sorte de laboratoire vivant ». Au total, une quinzaine de PME apporte des compétences et de l’argent à l’association qui est aussi soutenue par des collectivités locales et des universités.

Le résultat est un véhicule de 4,5m de long pour 1,8m de large. Héol pèse 180kg et est recouvert de 6m² de cellules photovoltaïques. Pour pouvoir participer à la course égyptienne et continuer ses aventures, l’association EcoSolar Breizh est en permanence à la recherche de partenaires et de soutiens financiers. En attendant, on souhaite bon vent à Héol.

Plus d’infos

La page Facebook de l’association

www.ecosolarbreizh.com




Héol, la voiture qui carbure au soleil breton

Depuis plusieurs années, l’association EcoSolar Breizh, basée à Brest, fait rouler Héol, un véhicule électrique solaire. « Notre but est de participer à des courses internationales réservées aux véhicules solaires », explique Jean-Luc Fleureau, le président de l’association.

La première course visée par Héol était le world solar challenge. Cette traversée de l’Australie, de Darwin à Adélaïde, fait plus de 3000 km. « Nous voulions participer à l’édition de 2013 mais, finalement, nous n’avons pas pu y aller », regrette Jean-Luc Fleureau.

Depuis, Héol a participé à différentes compétitions. La voiture a terminé deuxième du Moroccan Solar Race Challenge, auquel elle a participé deux fois. En 2015, l’association s’est rendue à Abu Dhabi, pour l’Abu Dhabi Solar Challenge. En 2017, elle doit participer à une autre course en Egypte. « À chaque fois, nous améliorons le véhicule », se réjouit le président.

 

Initier les jeunes

Héol est un projet multi-compétence, qui fait appel à l’électronique, la mécanique, la communication, le web… Il réunit des passionnés dans toute la France, de tous les âges : « Ça ne s’est pas fait en un jour ! Les compétences se sont agrégées au fil du temps. Le but est aussi d’initier les jeunes à ces technologies ». En effet, l’association prend régulièrement des stagiaires de tous niveaux, de la troisième aux écoles d’ingénieurs.

Pour développer Héol, l’association EcoSolar Breizh travaille en partenariat avec des entreprises françaises : « On a pas la force pour innover. On est là pour agréger les innovations des entreprises, pour mettre en avant les produits et montrer les savoir-faire et les technologies. Ce véhicule est une sorte de laboratoire vivant ». Au total, une quinzaine de PME apporte des compétences et de l’argent à l’association qui est aussi soutenue par des collectivités locales et des universités.

Le résultat est un véhicule de 4,5m de long pour 1,8m de large. Héol pèse 180kg et est recouvert de 6m² de cellules photovoltaïques. Pour pouvoir participer à la course égyptienne et continuer ses aventures, l’association EcoSolar Breizh est en permanence à la recherche de partenaires et de soutiens financiers. En attendant, on souhaite bon vent à Héol.

 

Plus d’infos :

La page Facebook de l’association

www.ecosolarbreizh.com




L’idée sortie. Les Galettes du monde à Sainte-Anne-d’Auray

Depuis 2008, le festival Les Galettes du monde met en avant la galette sous toutes ses formes et tous ses goûts. C’est aussi l’occasion de valoriser les cultures du monde entier grâce aux associations culturelles et humanitaires de 25 pays. Concerts, danse, artisanat, conférence et bien sûr cuisine seront au rendez-vous à Sainte-Anne-d’Auray ce week-end.galette-du-monde-compressor

Les 27 et 28 août, Sainte-Anne-d’Auray accueille le festival Les Galettes du monde. Pendant deux jours, les festivaliers pourront découvrir des cultures venues du monde entier. Cette année, les cultures de 25 pays seront représentées. Musique, cuisine, danse, rencontres, artisanat… Il existe de multiples manières de découvrir une autre culture !

Samedi 27 août, les festivités commencent à 16h30. Cuisines du monde et stand d’associations culturelles et humanitaires accompagneront les visiteurs jusqu’au début des concerts, à 19h30. La Polynésie est mise à l’honneur avec le groupe Otéania song qui sera le premier à jouer, avant Féfé et Amadou et Mariam. Dimanche 28 août, rendez-vous dès 11h30, pour assister à des danses et des spectacles venus des cinq continents.

Le festival des Galettes du monde est né en 2008. Son but initial est de réunir toutes les cultures du monde autour d’un plat emblématique de la Bretagne et consommé, sous différentes formes, partout dans le monde : la galette ! En 2015, 14 000 personnes ont fait le déplacement pour découvrir la galette et les cultures du monde entier.

Plus d’infos

Festival Les Galettes du monde, samedi 27 et dimanche 28 août, à

7€ le samedi, 3€ le dimanche.

www.galettesdumonde.free.fr




L’idée sortie. Les Galettes du monde à Sainte-Anne-d’Auray

Les 27 et 28 août, Sainte-Anne-d’Auray accueille le festival Les Galettes du monde. Pendant deux jours, les festivaliers pourront découvrir des cultures venues du monde entier. Cette année, les cultures de 25 pays seront représentées. Musique, cuisine, danse, rencontres, artisanat… Il existe de multiples manières de découvrir une autre culture !

Samedi 27 août, les festivités commencent à 16h30. Cuisines du monde et stand d’associations culturelles et humanitaires accompagneront les visiteurs jusqu’au début des concerts, à 19h30. La Polynésie est mise à l’honneur avec le groupe Otéania song qui sera le premier à jouer, avant Féfé et Amadou et Mariam. Dimanche 28 août, rendez-vous dès 11h30, pour assister à des danses et des spectacles venus des cinq continents.

Le festival des Galettes du monde est né en 2008. Son but initial est de réunir toutes les cultures du monde autour d’un plat emblématique de la Bretagne et consommé, sous différentes formes, partout dans le monde : la galette ! En 2015, 14 000 personnes ont fait le déplacement pour découvrir la galette et les cultures du monde entier.

 

Plus d’infos :

Festival Les Galettes du monde, samedi 27 et dimanche 28 août, à Sainte-Anne-d’Auray.

7€ le samedi, 3€ le dimanche.

www.galettesdumonde.free.fr




Takas, le Tinder du troc

Il y a un mois, trois jeunes vannetais lançaient Takas. « Notre application mobile permet le troc entre particuliers de manière hyper simple, grâce à des photos. C’est le Tinder du troc. On fait matcher des objets », explique Cédric Morin, l’un des créateurs de l’application.

Concrètement, l’utilisateur prend en photo l’objet dont il n’a plus l’utilité et le met sur Takas. Il peut ensuite consulter les autres objets proposés. Si l’objet ne lui plaît pas, il fait glisser la photo vers la gauche. S’il lui plaît, il glisse vers la droite. Si deux utilisateurs ont des objets qui les intéressent mutuellement, ils sont mis en relation et peuvent échanger des photos avant d’échanger les objets. « Dans la description, les utilisateurs mettent une fourchette de prix, une catégorie d’objet et leur géolocalisation. En moins de cinq minutes, c’est fait ! », détaille Cédric.

 

1100 utilisateurs en un mois

Et ça marche ! En moins d’un mois, il y a 1100 utilisateurs actifs sur l’application, essentiellement en Bretagne. « Certains objets échangés n’ont pas la même valeur. On voit des échanges qu’on n’aurait pas imaginé. Par exemple, il y a eu un échange entre des places de foot à 20€ contre une box cadeau de plus de 100€. C’est le genre d’échange qu’on espérait. Il y a des objets qui n’ont aucune valeur pour une personne alors que c’est un trésor pour une autre », se réjouit le jeune entrepreneur.

Les trois créateurs de Takas sont des amis d’enfance qui se sont retrouvés pour lancer ce projet. Cédric a fait une école de commerce, à Bordeaux, et s’occupe de la communication. Cebrail Erdogan est le directeur de la production. Il a fait une école de commerce à Nantes. Enfin, Thibaud Danielo sort d’un master gestion et comptabilité à Vannes. Il est président de Takas et gère les comptes.

Après ce lancement réussi, les trois jeunes entrepreneurs comptent solidifier leur implantation dans la région. Et ils espèrent voir Takas se développer dans toute la France. Et pourquoi pas, connaître le même succès que Tinder ?

 

Plus d’infos :

www.takasapp.com

La page facebook de Takas




Takas, le Tinder du troc

Lancée en juillet par trois jeunes bretons, l’application Takas permet d’échanger facilement des objets dont on a plus l’utilité. Après un lancement réussi, ils espèrent conquérir le monde avec leur Tinder du troc.

Il y a un mois, trois jeunes vannetais lançaient Takas. « Notre application mobile permet le troc entre particuliers de manière hyper simple, grâce à des photos. C’est le Tinder du troc. On fait matcher des objets », explique Cédric Morin, l’un des créateurs de l’application.

Concrètement, l’utilisateur prend en photo l’objet dont il n’a plus l’utilité et le met sur Takas. Il peut ensuite consulter les autres objets proposés. Si l’objet ne lui plaît pas, il fait glisser la photo vers la gauche. S’il lui plaît, il glisse vers la droite. Si deux utilisateurs ont des objets qui les intéressent mutuellement, ils sont mis en relation et peuvent échanger des photos avant d’échanger les objets. « Dans la description, les utilisateurs mettent une fourchette de prix, une catégorie d’objet et leur géolocalisation. En moins de cinq minutes, c’est fait ! », détaille Cédric.

 1100 utilisateurs en un mois

Et ça marche ! En moins d’un mois, il y a 1100 utilisateurs actifs sur l’application, essentiellement en Bretagne. « Certains objets échangés n’ont pas la même valeur. On voit des échanges qu’on n’aurait pas imaginé. Par exemple, il y a eu un échange entre des places de foot à 20€ contre une box cadeau de plus de 100€. C’est le genre d’échange qu’on espérait. Il y a des objets qui n’ont aucune valeur pour une personne alors que c’est un trésor pour une autre », se réjouit le jeune entrepreneur.

Les trois créateurs de Takas sont des amis d’enfance qui se sont retrouvés pour lancer ce projet. Cédric a fait une école de commerce, à Bordeaux, et s’occupe de la communication. Cebrail Erdogan est le directeur de la production. Il a fait une école de commerce à Nantes. Enfin, Thibaud Danielo sort d’un master gestion et comptabilité à Vannes. Il est président de Takas et gère les comptes.

Après ce lancement réussi, les trois jeunes entrepreneurs comptent solidifier leur implantation dans la région. Et ils espèrent voir Takas se développer dans toute la France. Et pourquoi pas, connaître le même succès que Tinder ?

 Plus d’infos

www.takasapp.com

La page facebook de Takas