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Amateurs de bière, ce site est fait pour vous !

Depuis plusieurs années, le nombre de brasseries a explosé en Bretagne, faisant de la région la troisième productrice de bière de France. Parmi celles-ci, nombreuses sont les micro-brasseries utilisant des produits bio et locaux. Un site Internet liste les brasseries existantes et teste leurs bières. À consommer avec modération bien sûr !

bieresbzh

Avis aux amateurs de bières ! Depuis quelques années, le nombre de brasseries et de micro-brasseries a explosé en Bretagne. La région est désormais la troisième productrice de bière de France. Pour s’y retrouver parmi la multitude de mousses existantes dans la région, un site internet, www.bieresbretonnes.fr, liste les brasseries et les différentes bières existantes.

Une carte interactive permet de retrouver facilement les brasseries près de chez soi. Elle liste plus de 80 brasseries sur l’ensemble de la Bretagne historique. Cette liste, non-exhaustive, ne demande qu’à être complétée, les créateurs du site invitant les utilisateurs a indiqué toute brasserie qui ne figure pas sur la carte. Parmi les brasseries citées, on trouve aussi bien des brasseurs d’importance comme Coreff ou Britt que des micro-brasseries à la production plus confidentielle.

Les créateurs du site ont aussi testé près de 200 bières. Ils donnent leurs avis sur chacune, détaillent le type de bière, les houblons, malts et levures utilisés… On découvre ainsi la Baril White, produite par la brasserie du baril, installée à Brest : « La Baril White est une bière blanche très réussie. Fruitée et bien désaltérante, elle est intéressante sur le plan aromatique. Sa structuration entre les agrumes au nez et le froment en bouche est particulièrement réussie. A réserver plutôt aux amateurs d’amertume car pour une blanche, le houblon amérisant est ici mis à l’honneur ! »

Le site héberge également deux blogs. Sur le premier, on peut retrouver de nombreuses recettes de cuisine à base de bière. Une manière originale découvrir la bière ! Le second blog est consacré aux voyages d’André Lemalt à la découverte des bières locales. On peut ainsi suivre ses pérégrinations à travers toute l’Europe et même outre-atlantique pour dénicher des bières artisanales.

Plus d’infos :

Attention ! Il n’est pas possible d’acheter de la bière sur ce site !

www.bieresbretonnes.fr




La marmite bretonne, la conserverie des produits bio et locaux

Il y a quelques mois, Élisabeth Plassard et Loïk de Feraudy ont ouvert, à l’entrée du bourg de Plougoumelen (56), la conserverie familiale Er Vro (local en breton). À travers la marque La marmite bretonne, ils commercialisent des bocaux de légumes bio et locaux.

Le couple ne s’était pas destiné à transformer des légumes frais en conserves. Ils travaillaient dans la comptabilité-gestion et en tant que commercial avant de décider de changer de vie. « Nous voulions donner du sens à notre vie. Être plus proches de ce qui nous tient à cœur », expliquent-ils.

Il y a cinq ans, ils s’installent en Bretagne avec leurs deux enfants et s’interrogent sur ce qu’ils peuvent faire pour être acteurs de leur territoire. Eux qui consomment des produits bio et locaux, ne trouvent pas toujours les produits qui leur conviennent : « On s’est rendu compte qu’il n’y avait pas de conserverie qui transformait des légumes locaux et bio ! »

Le couple se lance alors un défi : créer des recettes avec des produits issus uniquement de l’agriculture biologique bretonne. Ils proposent 17 produits différents, des soupes, des compotes et des tartinables. « Pourquoi faire venir de loin ce qu’on produit ici ? Pour faire de la ratatouille, nous utilisons de l’huile de colza bretonne. Pour nos tartinables, nous utilisons des graines de sarrasins, bretonnes également », détaille Loïk de Feraudy.

 

Travail en amont avec les maraîchers

Chacune des six compotes est composée d’une variété différente de pommes – « pour apprendre à connaître les différentes variétés ». Dans les soupes, il n’y a que des légumes, pas d’eau – « pour valoriser le produit ». Dans leurs recettes, il n’y a pas non plus de sucre rajouté, d’additif ou de correcteur de goût. « Tous nos ingrédients peuvent se trouver dans les placards de n’importe quelle cuisine », se félicitent Élisabeth Plassard.

La conserverie s’adapte aux saisons et travaille en amont avec les maraîchers : « On peut absorber leurs pics de production. Cet été, par exemple, un des maraîchers avec qui on travaille avait beaucoup de basilic. Du coup, on a fait du pesto breton ! »

Comme ils sont fiers de l’origine de leurs produits, Élisabeth et Loïk ont mis en place un système de traçabilité de chacun de leurs ingrédients. Grâce à un flash-code ou avec le numéro de série, le consommateur peut retrouver les producteurs dont les produits sont dans le bocal.

En six mois, ils ont pu créer deux emplois. Les produits de La marmite bretonne sont en vente directement à la conserverie, à Plougoumelen mais aussi dans les biocoop’ de la région. Une boutique en ligne sera bientôt accessible sur leur site Internet.

 

Plus d’infos :

La page Facebook de La marmite bretonne

www.lamarmitebretonne.bzh




La marmite bretonne, la conserverie des produits bio et locaux

Des recettes savoureuses créées à partir de légumes bios et bretons, c’est ce que propose La marmite bretonne. La marque est commercialisée par la conserverie familiale Er Vro, qui a ouvert ses portes à Plougoumelen depuis le printemps.

Il y a quelques mois, Élisabeth Plassard et Loïk de Feraudy ont ouvert, à l’entrée du bourg de Plougoumelen (56), la conserverie familiale Er Vro (local en breton). À travers la marque La marmite bretonne, ils commercialisent des bocaux de légumes bio et locaux.

Le couple ne s’était pas destinés à transformer des légumes frais en conserves. Ils travaillaient dans la comptabilité-gestion et en tant que commercial avant de décider de changer de vie. « Nous voulions donner du sens à notre vie. Être plus proche de ce qui nous tient à cœur », expliquent-ils.

Il y a cinq ans, ils s’installent en Bretagne avec leurs deux enfants et s’interrogent sur ce qu’ils peuvent faire pour être acteur de leur territoire. Eux qui consomment des produits bio et locaux, ne trouvent pas toujours les produits qui leur convient : « On s’est rendu compte qu’il n’y avait pas de conserverie qui transformait des légumes locaux et bio ! »

Le couple se lance alors un défi : créer des recettes avec des produits issus uniquement de l’agriculture biologique bretonne. Ils proposent 17 produits différents, des soupes, des compotes et des tartinables. « Pourquoi faire venir de loin ce qu’on produit ici ? Pour faire de la ratatouille, nous utilisons de l’huile de colza bretonne. Pour nos tartinables, nous utilisons des graines de sarrasins, bretonnes également », détaille Loïk de Feraudy.

Travail en amont avec les maraîchers

Chacune des six compotes est composée d’une variété différente de pommes – « pour apprendre à connaître les différentes variétés ». Dans les soupes, il n’y a que des légumes, pas d’eau – « pour valoriser le produit ». Dans leurs recettes, il n’y a pas non plus de sucre rajouté, d’additif ou de correcteur de goût. « Tous nos ingrédients peuvent se trouver dans les placards de n’importe quelle cuisine », se félicitent Élisabeth Plassard.

La conserverie s’adapte au saison et travaille en amont avec les maraîchers : « On peut absorber leurs pics de production. Cet été, par exemple, un des maraîchers avec qui on travaille avait beaucoup de basilic. Du coup, on a fait du pesto breton ! »

Comme ils sont fiers de l’origine de leur produit, Élisabeth et Loïk ont mis en place un système de traçabilité de chacun de leurs ingrédients. Grâce à un flash-code ou avec le numéro de série, le consommateur peut retrouver les producteurs dont les produits sont dans le bocal.

En six mois, ils ont pu créer deux emplois. Les produits de La marmite bretonne sont en vente directement à la conserverie, à Plougoumelen mais aussi dans les biocoop’ de la région. Une boutique en ligne sera bientôt accessible sur leur site Internet.

Pour aller plus loin

La page Facebook de La marmite bretonne

www.lamarmitebretonne.bzh




Twiza, le réseau social de l’habitat écologique

Sur Internet, on trouve désormais de nombreux réseaux sociaux. Il y a les mastodontes Facebook et Twitter ou les réseaux professionnels comme LinkedIn, mais il existe aussi des réseaux sociaux spécialisés comme Twiza.

Twiza a été lancé en juillet 2014 par Cédric Daniel et Vincent Peigné. Le but est de mettre en relation des personnes intéressées par l’habitat écologique. « Nous voulons créer du lien social autour de l’habitat écologique. Sur Twiza, les personnes qui ont un projet d’habitat écologique peuvent proposer des chantiers participatifs », détaille Cédric Daniel.

Une fois un compte créé, les utilisateurs de Twiza peuvent chercher un chantier près de chez eux via une carte interactive ou publier un projet de chantier participatif. « Nous n’organisons pas les chantiers, prévient Cédric Daniel. Par contre, on accompagne l’utilisateur pour qu’il précise, grâce à un questionnaire, comment se déroulera le chantier. »

En deux ans, 1200 chantiers ont été proposés sur la plate-forme. À l’heure actuelle, ce sont près de 200 chantiers qui sont en cours. « Nous avons entre 8200 et 8300 utilisateurs actifs. D’ici la fin de l’année, on devrait atteindre les 10 000 utilisateurs », précise Cédric Daniel. La région Bretagne représente 11% des membres : « C’est un secteur très dynamique », reconnaît Cédric Daniel.

 

Permettre la rencontre et l’échange

Depuis peu, les utilisateurs peuvent également trouver sur Twiza un professionnel de l’habitat écologique : « Nous faisons le lien entre la communauté et les professionnels, fournisseurs ou artisans ».

En plus des chantiers d’habitat écologique, il est désormais possible de trouver des annonces pour des chantiers autour de la permaculture. « On s’est rendu compte qu’il y avait souvent des projets de jardins en permaculture en parallèle de projets de construction écologique. On a donc rajouté un volet permaculture ! », explique Cédric Daniel.

Dans quelques semaines, un flux d’actualité, centré sur la proximité géographique, verra le jour sur Twiza. Et, dans les années à venir, les deux créateurs de la plate-forme voudraient donner les clés du réseau à la communauté : « À terme, on aimerait confier la gestion du réseau à une association afin que la communauté s’en empare ! »

Des discussions sont également en cours avec des Italiens pour développer Twiza à l’international : « Notre priorité est de stabiliser le réseau. On ne veut pas trop se développer, devenir trop gros ».

À la différence des mastodontes des réseaux sociaux qui donnent l’illusion de s’ouvrir au monde en nous enfermant dans notre zone de confort, Twiza est un réseau qui permet la rencontre et l’échange de connaissances : « Nous voulons mettre en place un outil numérique pour reconstruire des circuits courts et des rencontres réelles ».

 

Plus d’infos :

www.fr.twiza.org




Twiza, le réseau social de l’habitat écologique

Lancé il y a deux ans, Twiza est un réseau social particulier. Son but : provoquer des rencontres et de l’échange de connaissances autour de l’habitat écologique. D’ici la fin de l’année, il devrait compter près de 10 000 utilisateurs, dont 11% sont bretons.

Sur Internet, on trouve désormais de nombreux réseaux sociaux. Il y a les mastodontes Facebook et Twitter ou les réseaux professionnels comme LinkedIn, mais il existe aussi des réseaux sociaux spécialisés comme Twiza.

Twiza a été lancé en juillet 2014 par Cédric Daniel et Vincent Peigné. Le but est de mettre en relation des personnes intéressées par l’habitat écologique. « Nous voulons créer du lien social autour de l’habitat écologique. Sur Twiza, les personnes qui ont un projet d’habitat écologique peuvent proposer des chantiers participatifs », détaille Cédric Daniel.

Une fois un compte créer, les utilisateurs de Twiza peuvent chercher un chantier près de chez eux via une carte interactive ou publier un projet de chantier participatif. « Nous n’organisons pas les chantiers, prévient Cédric Daniel. Par contre, on accompagne l’utilisateur pour qu’il précise, grâce à un questionnaire, comment se déroulera le chantier. »

En deux ans, 1200 chantiers ont été proposés sur la plate-forme. À l’heure actuelle, c’est près de 200 chantiers qui sont en cours. « Nous avons entre 8200 et 8300 utilisateurs actifs. D’ici la fin de l’année, on devrait atteindre les 10 000 utilisateurs », précise Cédric Daniel. La région Bretagne représente 11% des membres : « C’est un secteur très dynamique », reconnaît Cédric Daniel.

Permettre la rencontre et l’échange

Depuis peu, les utilisateurs peuvent également trouver sur Twiza un professionnel de l’habitat écologique : « Nous faisons le lien entre la communauté et les professionnels, fournisseurs ou artisans ».

En plus des chantiers d’habitat écologique, il est désormais possible de trouver des annonces pour des chantiers autour de la permaculture. « On s’est rendu compte qu’il y avait souvent des projets de jardins en permaculture en parallèle de projets de construction écologique. On a donc rajouté un volet permaculture ! », explique Cédric Daniel.

Dans quelques semaines, un flux d’actualité, centré sur la proximité géographique, verra le jour sur Twiza. Et, dans les années à venir, les deux créateurs de la plate-forme voudrait donner les clés du réseau à la communauté : « À terme, on aimerait confier la gestion du réseau à une association afin que la communauté s’en empare ! »

Des discussions sont également en cours avec des Italiens pour développer Twiza à l’international : « Notre priorité est de stabiliser le réseau. On ne veut pas trop se développer, devenir trop gros ».

À la différence des mastodontes des réseaux sociaux qui donne l’illusion de s’ouvrir au monde en nous enfermant dans notre zone de confort, Twiza est un réseau qui permet la rencontre et l’échange de connaissance : « Nous voulons mettre en place un outil numérique pour reconstruire des circuits courts et des rencontres réelles ».

Plus d’infos :

www.fr.twiza.org




Le Festival des utopies, au Cloître-Saint-Thégonnec

Vous voulez passer une journée dans un monde utopique ? Oublier les tracas du quotidien et vivre dans un village où l’humain, l’environnement, la solidarité, le partage et l’entraide sont au centre des préoccupations ? Dans ce cas, rendez-vous au Cloître-Saint-Thégonnec, samedi 17 septembre, pour le festival des utopies !

Tout au long de cette journée solidaire, les visiteurs pourront déambuler dans un marché bio et artisanal. Ils y trouveront également de la médecine douce : naturopathe, étiopathe, pratiques zen… De nombreuses associations et autres collectifs du pays de Morlaix seront présents pour présenter leurs actions.

Évidemment, des musiciens et des artistes seront présents pour égayer la journée de leurs talents. Il y aura des spectacles, des expositions, des concerts… De tous les styles, de tous les genres, il y en aura pour tout le monde !

L’événement est organisé par les Utopistes en action. Ce collectif vient en aide aux réfugiés en collectant des vêtements, du linge de couchage, du matériel de camping et des denrées alimentaires. En collaboration avec les Restos du Cœur, le comité de chômeurs de Morlaix et les Chiffonniers de la joie, le collectif soutient également les populations locales en mettant en place, par exemple, des friperies gratuites. Grâce à l’argent collecté lors de cette journée, les Utopistes en action pourront améliorer et pérenniser leurs actions auprès des différentes associations et envisager de nouveaux projet.

 

Plus d’infos :

Festival des utopies, samedi 17 septembre, à partir de 10h, au Cloître-Saint-Thégonnec. Tarifs : 2€, gratuit pour les moins de 18 ans.

La page facebook de l’événement