Retour sur la réunion du projet de « Ressourcerie alimentaire » à Morlaix

Après une courte introduction de l’historique des cantines de la fourmi par Véronique Futtersack de Graines de Vie et du contexte politique favorable et incitatif tant au niveau national que local par Carole Jégou de l’ADESS, la place a été laissée aux questions et échanges sur les activités et le modèle économique envisagés.

Pendant et après la réunion certains ont spontanément proposé de :

  • Donner des invendus alimentaires en quantité lorsque le projet verra le jour,

  • Transmettre des contacts de producteurs agricoles locaux,

  • Réfléchir au portage de chantiers d’insertion pour la collecte et la cuisine,

  • Donner du mobilier, de la vaisselle, pour équiper le lieu,

  • aider à d’éventuels travaux, fournir des matériaux, etc.

Toutes les personnes intéressées sont invitées à faire savoir dans quels domaines elles pourraient aider le projet. Il y en a pour tous les goûts (de l’ameublement à la fiscalité). A commencer par des suggestions de nom pour la nouvelle association porteuse du projet ! Toutes les suggestions sont à envoyer à cipec@adessdupaysdemorlaix.org

Prochaine étape à noter :

  • Assemblée Générale constitutive de l’association portant le projet de « Ressourcerie alimentaire » : le 21 avril 2016 à 17h30 à l’auberge de jeunesse de Morlaix




Participez au Forum de l’Energie le 27 février !

Le forum de l’énergie, est ouvert à tous : élus, associations, commerçants, artisans et habitants. Il s’adresse à tous ceux qui souhaitent en savoir plus sur les actions mises en place par la municipalité pour maîtriser les consommations. Mais ce n’est pas tout : il permet aussi de découvrir les projets citoyens envisageables en matière d’énergies alternatives et surtout d’apprendre les trucs et astuces pour économiser des euros au quotidien.

Le temps d’une matinée, les participants vont ainsi se rencontrer, échanger, comprendre, voire co-construire !

 

Au programme :

9h00: Café d’accueil

9h 30: Mot du Maire

9 45 – 10 00: Présentation des 4 tables rondes

 

10 00 – 11 30 : Tables rondes : rencontres & échanges

Au choix : 4 thématiques différentes autour de l’énergie. 1h30 pour rencontrer, échanger, comprendre et co-construire.

TABLE BRUDED

par Maïwenn Magnier – Chargée de Mission
Thématique : Transition Énergétique pour les collectivités
« Comment engager une politique d’économie d’énergie dans une collectivité ? »
• Pistes et actions ,
• Focus sur l’éclairage public,
• Retour d’expériences des communes adhérentes.

TABLE ENER’GENCE

par Cécile Cloarec – Chargée de mission précarité énergétique
Thématique : L’énergie à la maison
« Trucs et astuces pour économiser des euros ? »
• Tarifs sociaux de l’énergie,
• Petits équipements économes et éco-gestes,
• Mode de facturation, et explication des factures.

TABLE TARANIS/ENERCOOP

par Marianne Billard – Animatrice réseaux et Amande Gat – Attachée communication
Thématique : Énergies renouvelables « Comment monter un projet d’énergie citoyenne ? »
• Retours d’expériences sur des projets citoyens éolien et photovoltaïque
• Intérêt d’un travail conjoint : citoyen, collectivité et fournisseur d’énergie

TABLE PLOUGUERNEAU

par Gwenaël Mouazan – Chargé de mission
Thématique : Bilan énergétique des bâtiments
« Associations, réduisons ensemble la facture »
• Retour sur le bilan énergétique des bâtiments communaux
• Échange et co-construction d’un affichage de sensibilisation
Au choix : 4 thématiques différentes autour de l’énergie. 1h30 pour rencontrer, échanger, comprendre et co-construire.

 

11h30-12h00 : Restitution des tables-rondes

12h00 : Pot de clôture

 

 

 

 




France : en 2016, une loi pour réduire l’usage des substances toxiques dans les applications industrielles ?

Pollutions chimiques et augmentation des maladies chroniques

En France comme dans le reste du monde, une véritable épidémie de maladies chroniques menace la santé des populations et l’équilibre de nos systèmes de santé. Cancers,  maladies  cardio-vasculaires, maladies  respiratoires,  obésité,  diabète,  maladies  neurologiques,  troubles  de  la reproduction touchent ainsi la population à un point tel qu’ils réduisent l’espérance de vie en bonne santé de celle-ci tout en creusant le déficit de l’Assurance maladie. Les causes de cette épidémie sont à chercher dans la dégradation de notre environnement et particulièrement dans le risque que certaines substances chimiques présentes dans cet environnement font courir à notre santé, comme le montrent de nombreuses données scientifiques.

 

Réponses réglementaires pour développer une industrie « non toxique »

Face à ce risque, les réponses règlementaires, au premier rang desquelles le règlement européen REACH, sont insuffisantes. Comme l’explique François Veillerette, porte-parole de Générations Futures : « En  dehors  de  31  substances « soumises  à  autorisation»,  rien  n’oblige  les  industriels  à  substituer une substance CMR (cancérogène, mutagène, reprotoxique) par  exemple même lorsqu’une alternative existe sur le marché ! Alors qu’il existe plus de 830 substances considérées comme hautement préoccupantes mais non ciblées par un quelconque règlement il devient urgent de mettre en place une véritable stratégie de substitution au niveau national. »

C’est le sens de la proposition de loi visant à intégrer le principe de substitution dans le cadre réglementaire national applicable aux produits chimiques proposée par le député Jean Louis Roumegas qui défend « un dispositif visant à intégrer le principe de substitution dans le cadre réglementaire national, dans le respect des contraintes imposées par le droit européen ».  Son objectif est de faciliter la substitution des composés indésirables tels que phtalates, bisphénols, formaldéhyde. Le texte prévoit le recensement obligatoire par les entreprises des substances chimiques préoccupantes et de leurs alternatives, dont la liste serait établie au niveau national grâce aux agences compétentes (Ineris, ANSES). En outre, les entreprises seraient soutenues dans leurs démarches par  une aide technique, un crédit impôt innovation, et une valorisation des démarches vertueuses par un label.

 

Un outil pour des actions concrètes de réduction d’usage des substances préoccupantes

Comme le souligne Anne Barre, co-présidente de WECF France, « Malgré des objectifs de réduction des expositions des populations aux substances toxiques fixés par le PNSE 3, les actions correspondantes de substitution au niveau des entreprises ne sont pas suffisantes. L’audit obligatoire proposé par le texte qui sera examiné le 14 janvier est cohérent avec les objectifs des politiques nationales et européennes. Il répond également aux besoins des populations qui veulent des produits sans danger pour la santé.» De son côté, Jacqueline Collard, présidente de Santé Environnement Rhône-Alpes, estime pour sa part que « Il est grand temps que la chimie assume les responsabilités de ses choix. »

 

Nos ONG soutiennent cette proposition de loi et demandent aux parlementaires de la soutenir également car elle est susceptible à la fois d’encourager la recherche et l’innovation, procurant en cela un avantage compétitif aux entreprises qui choisiront la voie de la substitution, tout en améliorant la sécurité chimique de l’environnement, et donc la santé. A terme, une telle mesure aura un impact positif sur les indicateurs de santé publique et les déficits de l’Assurance maladie. Soutenir et voter ce texte relève donc de l’intérêt général.

 

La proposition de loi « Detox »




Les pratiques collaboratives en pays de Morlaix : comment en faire un levier de modes de vie durables ?

Qu’est-ce que l’économie collaborative ?

Covoiturer. Partager un jardin maraîcher. S’associer pour acheter en direct au producteur. Proposer son canapé. Echanger sa maison. Travailler dans un espace de « co-working ». Troquer une heure de cours d’anglais contre une heure de bricolage…

Proposant l’échange, la mise en commun ou l’usage partagé des ressources comme alternative à la propriété exclusive, l’économie collaborative ou « économie du partage » paraît être une opportunité de développement permettant de répondre au besoin de transition économique du pays de Morlaix, ayant connu ces dernières années une crise agricole et industrielle. Ces pratiques, mettant en lien des personnes en « pair à pair » : de particuliers à particuliers, ou entreprises à entreprises, créent de plus du lien social dans la communauté d’usagers et de contributeurs, et pourraient dans certains cas permettre de réduire la pression écologique sur les ressources et ainsi contribuer à un développement durable, comme dans le cas du covoiturage. Tout cela paraît séduisant. Mais comment distinguer les initiatives réellement solidaires, durables et équitables des start-ups dont la finalité première demeure de rémunérer le capital, telles UberPop, AirBnB ou encore BlablaCar ? Et comment mesurer les éventuels effets bénéfiques de certaines de ces pratiques sur l’environnement ?

 

Développement des initiatives collaboratives sur le pays de Morlaix

Comme partout, les pratiques collaboratives se développent sur le territoire du pays de Morlaix, et des initiatives avec un ancrage local émergent : espaces de co-working comme La Sphère à Landivisiau ou l’Embarcadère à Plougasnou, collectif de jardiniers en herbes comme Incroyables comestibles à Morlaix[1], monnaie locale le Buzuk[2], habitants «Greeters » proposant des visites touristiques[3], clubs d’investisseurs CIGALES (plusieurs sur le territoire), boîtes à troc, jardins partagés, etc.

Comment accompagner et guider ces initiatives ? Les acteurs publics doivent –ils les soutenir ? Les laisser se développer sans intervenir ? En encadrer certaines lorsqu’elles représentent une concurrence déloyale face aux acteurs traditionnels ? Par exemple, alors que la ville d’Amsterdam a signé un accord fiscal avec AirBnB, visant à s’assurer de la collecte de la taxe hôtelière (afin que les mêmes règles s’appliquent à tous), certaines villes ont opté pour le blocage de ce service et d’autres pour le laisser-faire.

 

De novembre à février, cartographie des initiatives locales lors des « Instants Collaboratifs » proposés par le Pays de Morlaix et l’ADESS

Avec le pays de Redon, le pays de Châteaubriand et Rennes Métropole, le pays de Morlaix est un des quatre territoires pilotes du programme DOMINO, coordonné par l’association COLLPORTERRE. Ce programme vise à outiller les acteurs locaux afin de faire des pratiques collaboratives un levier de modes de vie durables.

La première étape consiste à cartographier les initiatives locales de chaque territoire. Suite à une soirée-débat sur l’économie collaborative le 5 novembre dernier à la CCI de Morlaix, le Pays de Morlaix et l’ADESS – pôle de développement de l’Economie Sociale et Solidaire – ont lancé une série « d’Instants Collaboratifs » depuis novembre 2015. Lors de ces courts rendez-vous conviviaux intervient d’abord un membre d’une initiative locale présentant cette démarche, puis les participants échangent sur les pratiques collaboratives connues sur le territoire.

En novembre, l’Instant collaboratif #1 s’est déroulé en présence des Incroyables Comestibles de Morlaix au nouvel espace de coworking La Sphère de Landivisiau. Puis, en décembre, l’Instant collaboratif #2 a démarré avec la présentation de la Monnaie locale, « Le Buzuk », au bar Le Clédérix à Cléder.

Grâce à ces moments d’échange et au bouche à oreille, près d’une quarantaine d’initiatives collaboratives sont aujourd’hui recensées sur le territoire. Deux rendez-vous sont encore à venir : le prochain le 27 janvier au bar Le Tempo à Morlaix, de 18h à 19h avec « L’Atelier Paysan » (Collectif pour la conception et l’auto-construction d’outils de travail adaptés à l’agriculture biologique), et le 10 février 2016 (lieu et intervenant à déterminer).

 

Et ensuite ?

Une fois cette étape terminée, une cartographie des initiatives sera diffusée en ligne et donnera une vision d’ensemble des pratiques collaboratives sur le pays de Morlaix. Cette cartographie permettra d’avoir une vision précise de ce phénomène. Quels sont les secteurs d’activité les plus concernés ? Y a-t-il des secteurs de notre territoire où le phénomène est plus important ? Ces initiatives bénéficient-elles de soutiens de la part des acteurs du territoire ?

L’étape suivante sera de constituer un groupe de travail local plus large constitué d’une pluralité d’acteurs du territoire pour décider collectivement de la position à adopter face au développement des pratiques collaboratives. En mars et avril 2016, ce groupe travaillera en ateliers afin de construire un outil d’évaluation des initiatives collaboratives, dont pourront s’outiller les acteurs publics pour guider leur développement. L’outil pourra aussi être utilisé par d’autres acteurs : structure d’accompagnement à la création d’activité ou porteur de projets par exemple.

 

Vous connaissez des pratiques collaboratives sur le territoire du pays de Morlaix, en tant qu’utilisateur ou bien porteur de projet ? Vous pouvez participer au travail en cours en remplissant ce questionnaire.

 

Plus d’infos sur : http://www.bretagne-consommation-collaborative.net/

 

 

[1] http://incroyablescomestiblesmorlaix.blogspot.fr/

 

[2] https://monnaiepaysdemorlaix.wordpress.com/

 

[3] https://greetersmorlaix.wordpress.com/




Un agenda 21 des habitants

« Par le biais du Comité Consultatif de Quartier de Saint-Marc, nous sommes un petit groupe de 4 personnes, en lien avec la mairie de Saint-Marc, à avoir travaillé sur un projet d’Agenda 21 à destination des familles…

  • Ca veut dire quoi ?

L’objectif de notre projet est de donner des clefs utiles aux changements à chaque famille qui s’engagera, de façon à ce que chacun puisse réaliser son propre Agenda 21, en fonction de son quotidien, de ses possibilités et de ses envies. L’objectif ne sera pas de juger les comportements mais de mutualiser les pratiques, les avancées, les difficultés et de s’appuyer sur des retours d’expériences d’initiatives locales.

  • Mais de façons plus pratiques ?

Une fois le groupe de familles constitué, le projet se déroulera sur une période de 6 mois et selon les étapes suivantes :

  • Une première rencontre collective, un samedi matin, pour définir une base de départ pour chaque foyer et partager un temps de culture commune sur les enjeux du développement durable,

  • Six rencontres thématiques de novembre 2015 à mai 2016, les samedis matins. Les thématiques seront les suivantes : la consommation (alimentaire…) ; vivre ensemble ; la sobriété énergétique (habitat, transport…) ; faire soi-même (créer ses produits ménagers, réparer…). D’autres thématiques pourront aussi être proposées par le groupe en fonction des histoires et expériences de chacun.

  • Un accompagnement technique tout le long du projet. Une part importante sera accordée à des témoignages d’acteurs locaux menant des initiatives sur le quartier de saint-Marc ou sur la ville de Brest. L’animation se fera par le groupe Agenda 21 du CCQ de Saint-Marc (4 personnes) en lien avec la mairie de quartier.

  • Qui peut s’inscrire ?

Toute personne habitant le quartier de saint-marc ou à proximité, toutes les « compositions » de foyer. Le nombre de familles sera limité à 15 à 20 foyers. Nous attendons des familles, une curiosité, une envie d’évoluer dans les pratiques quotidiennes, de partager ses questionnements et ses solutions, ainsi qu’un engagement sur les 6 mois du projet (octobre 2015 à mai 2016).

 

  • Et comment fait-on pour y participer ?

Un appel à candidature de familles est lancé : les inscriptions peuvent se faire jusqu’au 4 octobre 2015  : bulletin de participation à retirer sur le site http://www.participation-brest.net/article3686.html ou à la mairie ou bibliothèque de Saint-Marc. Vous trouverez aussi en pièce jointe, le formulaire d’inscription en version PDF et en version Texte. Vous pouvez le renvoyer complété à l’adresse mail suivante :  agenda21saintmarc@gmail.com (ou le déposer à la mairie de Saint-Marc).

 

  • Peut-être que oui, peut-être que non ?

Tout ça vous semble encore un peu confus, vous voulez en savoir plus avant de vous inscrire ? Voilà la solution : une réunion publique de présentation du projet aura lieu samedi 26 septembre 2015 à 11h à la mairie de Saint-Marc (coin jeu pour les enfants, apéro à l’issue de la présentation).

 

  • Différentes façons de participer ?

Oui, il y en a pour tous les goûts !

  • Celle présentée ci-dessus, c’est à dire de faire partie du groupe de famille engagé pendant les 6 mois.

  • Mais aussi celle de venir « témoigner » lors d’une des sessions : vous avez réussi à faire des économies d’eau chez vous, vous avez modifié votre façon de vous déplacer, vous savez donner une deuxième vie à un objet… Nous sommes en recherche de tous ces retours d’initiatives, faites le nous savoir dès maintenant : agenda21saintmarc@gmail.com

  • Vous pouvez aussi tout simplement faire suivre ce mail dans vos réseaux, à vos voisins, copains, collègues…

  • Ou encore… nous avons des affiches et des flyers, si vous voulez en afficher/distribuer, n’hésitez pas à nous le faire savoir,

  • Et enfin, vous pouvez aussi aller faire un tour vers le site internet du CLIMAT DECLIC, et voter pour votre initiative préférée à partir du 15 septembre !

 

 

A très bientôt,

Annaïg, Andrée, Marie, et Pierre-Yves »

 

 
Plus d’infos

http://www.participation-brest.net/article3686.html
http://www.leclimatdeclic.brest.fr/participer/mobilisation-sensibilisation/lagenda-21-des-familles-saint-marcoises-2051
http://www.brest.fr/fileadmin/user_upload/flipbook/sillage182/index.html#18/z (SILLAGE page 18)

 

Le bulletin d’inscription est à télécharger ici

 




Un agenda 21 des habitants

« Par le biais du Comité Consultatif de Quartier de Saint-Marc, nous sommes un petit groupe de 4 personnes, en lien avec la mairie de Saint-Marc, à avoir travaillé sur un projet d’Agenda 21 à destination des familles…

  • Ca veut dire quoi ?

L’objectif de notre projet est de donner des clefs utiles aux changements à chaque famille qui s’engagera, de façon à ce que chacun puisse réaliser son propre Agenda 21, en fonction de son quotidien, de ses possibilités et de ses envies. L’objectif ne sera pas de juger les comportements mais de mutualiser les pratiques, les avancées, les difficultés et de s’appuyer sur des retours d’expériences d’initiatives locales.

  • Mais de façons plus pratiques ?

Une fois le groupe de familles constitué, le projet se déroulera sur une période de 6 mois et selon les étapes suivantes :

  • Une première rencontre collective, un samedi matin, pour définir une base de départ pour chaque foyer et partager un temps de culture commune sur les enjeux du développement durable,

  • Six rencontres thématiques de novembre 2015 à mai 2016, les samedis matins. Les thématiques seront les suivantes : la consommation (alimentaire…) ; vivre ensemble ; la sobriété énergétique (habitat, transport…) ; faire soi-même (créer ses produits ménagers, réparer…). D’autres thématiques pourront aussi être proposées par le groupe en fonction des histoires et expériences de chacun.

  • Un accompagnement technique tout le long du projet. Une part importante sera accordée à des témoignages d’acteurs locaux menant des initiatives sur le quartier de saint-Marc ou sur la ville de Brest. L’animation se fera par le groupe Agenda 21 du CCQ de Saint-Marc (4 personnes) en lien avec la mairie de quartier.

  • Qui peut s’inscrire ?

Toute personne habitant le quartier de saint-marc ou à proximité, toutes les « compositions » de foyer. Le nombre de familles sera limité à 15 à 20 foyers. Nous attendons des familles, une curiosité, une envie d’évoluer dans les pratiques quotidiennes, de partager ses questionnements et ses solutions, ainsi qu’un engagement sur les 6 mois du projet (octobre 2015 à mai 2016).

 

  • Et comment fait-on pour y participer ?

Un appel à candidature de familles est lancé : les inscriptions peuvent se faire jusqu’au 4 octobre 2015  : bulletin de participation à retirer sur le site http://www.participation-brest.net/article3686.html ou à la mairie ou bibliothèque de Saint-Marc. Vous trouverez aussi en pièce jointe, le formulaire d’inscription en version PDF et en version Texte. Vous pouvez le renvoyer complété à l’adresse mail suivante :  agenda21saintmarc@gmail.com (ou le déposer à la mairie de Saint-Marc).

 

  • Peut-être que oui, peut-être que non ?

Tout ça vous semble encore un peu confus, vous voulez en savoir plus avant de vous inscrire ? Voilà la solution : une réunion publique de présentation du projet aura lieu samedi 26 septembre 2015 à 11h à la mairie de Saint-Marc (coin jeu pour les enfants, apéro à l’issue de la présentation).

 

  • Différentes façons de participer ?

Oui, il y en a pour tous les goûts !

  • Celle présentée ci-dessus, c’est à dire de faire partie du groupe de famille engagé pendant les 6 mois.

  • Mais aussi celle de venir « témoigner » lors d’une des sessions : vous avez réussi à faire des économies d’eau chez vous, vous avez modifié votre façon de vous déplacer, vous savez donner une deuxième vie à un objet… Nous sommes en recherche de tous ces retours d’initiatives, faites le nous savoir dès maintenant : agenda21saintmarc@gmail.com

  • Vous pouvez aussi tout simplement faire suivre ce mail dans vos réseaux, à vos voisins, copains, collègues…

  • Ou encore… nous avons des affiches et des flyers, si vous voulez en afficher/distribuer, n’hésitez pas à nous le faire savoir,

  • Et enfin, vous pouvez aussi aller faire un tour vers le site internet du CLIMAT DECLIC, et voter pour votre initiative préférée à partir du 15 septembre !

 

 

A très bientôt,

Annaïg, Andrée, Marie, et Pierre-Yves »

 

 
Plus d’infos

http://www.participation-brest.net/article3686.html
http://www.leclimatdeclic.brest.fr/participer/mobilisation-sensibilisation/lagenda-21-des-familles-saint-marcoises-2051
http://www.brest.fr/fileadmin/user_upload/flipbook/sillage182/index.html#18/z (SILLAGE page 18)

 

Le bulletin d’inscription est à télécharger ici