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Fête du champ à l’assiette

Site historique de l’agriculture rennaise, la Prévalaye est aujourd’hui un lieu d’innovations passionnant aux portes de la ville où notre patrimoine naturel et cultivé est mis à l’honneur.

? La Fête du Champ à l’Assiette est l’occasion de célébrer cet héritage et d’exprimer les initiatives qui feront le patrimoine de demain.

? Lors de cette journée, jardiniers, artistes, cuisiniers, chercheurs et citoyens proposent, chacun à leur manière, une exploration de la biodiversité et de sa transformation par l’Homme au fil du temps.

?‍?‍?‍? Familles et publics avisés ou non sont invités, dans un moment convivial, à se laisser guider dans un parcours découverte du champ à l’assiette: conférences, marché de producteurs, ateliers botaniques et culinaires, visite de fermes, fabrication de farine et de pain, promenade en calèche, balade imaginaire, concerts.

Restauration et buvette sur place.
Places limitées aux ateliers, inscription le jour de l’évènement.

Cet évènement est proposé dans le cadre du projet Prévalaye Paysanne et Plurielle piloté par la Maison de la consommation et de l’environnement (MCE). Il contribue à dynamiser les initiatives agricoles, innovantes et locales, en partenariat avec l’association Collectif Agriculturel de la Prévalaye, le Jardin des Mille Pas, Semons l’espoir, PERMA G’Rennes, les Amis de la Prévalaye, Du champ à l’assiette – Fête de la biodiversité cultivée, Le Pain qui court, Vert le Jardin 35, Kaol Kozh, la Basse Cour, l’INRA et Scarabee Biocoop. Ainsi que Rennes Ville et Métropole et Vallée de la Vilaine.




Faites sans OGM

Au programme :

9h30 : Le Tribunal des Faucheurs : reconstitution d’un procès de faucheurs volontaires d’OGM

14h00: table-ronde « biodiversité et pesticides », avec André Berthou et la mer, le collectif des apiculeurs, le comité de soutien aux victimes de pesticides.

18h00 : « La gestion par les normes : dernière étape de l’industrialisation de l’agriculture », par Yannick Ogor, agriculteur et auteur du livre « le paysan impossible »

 

Sur place : crèpes, concert, stands, restauration, camping

 




Marché végétal et artisanal

Nombreux artisans créateurs et pépinières. De nombreuses animations sont également prévues : sortie nature, atelier pour toute la famille et balade contée.

 




Rencontre avec Jade Lindgaard, journaliste à Mediapart, autour de son livre « Eloge des mauvaises herbes, ce que nous devons à la ZAD »

Pour la première fois des intellectuels et des écrivains prennent partis pour la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. Ils expliquent que la « zone à défendre » est bien plus qu’un bout de bocage. Dans un monde où tout doit être normé, catalogué, mesuré, homogénéisé, s’y inventent de nouvelles formes de vies et de liberté. C’est un carré de mauvaises herbes dans un paysage artificialisé, calibré, et bétonné.
Sur la ZAD, on existe en commun et on cohabite avec la nature. On partage des rêves et des outils. On sort de l’emprise du marché en construisant sa cabane en terre-paille. On redonne du sens au travail en élevant des vaches et en prenant soin de la forêt. On échappe au couperet de l’Etat en cultivant les solidarités et l’accueil. On lutte en dormant et on prépare les alternatives en occupant des terres. Ce n’est pas une utopie, c’est notre réalité de demain qui prend formes sous nos yeux.
Livre paru le 13/06/18 – 180 pages – 14.00 € Les recettes de vente de ce livre iront aux activités développées sur la ZAD.




Rencontre avec Jade Lindgaard, journaliste à Mediapart, autour de son livre « Eloge des mauvaises herbes, ce que nous devons à la ZAD »

Pour la première fois des intellectuels et des écrivains prennent partis pour la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. Ils expliquent que la « zone à défendre » est bien plus qu’un bout de bocage. Dans un monde où tout doit être normé, catalogué, mesuré, homogénéisé, s’y inventent de nouvelles formes de vies et de liberté. C’est un carré de mauvaises herbes dans un paysage artificialisé, calibré, et bétonné.
Sur la ZAD, on existe en commun et on cohabite avec la nature. On partage des rêves et des outils. On sort de l’emprise du marché en construisant sa cabane en terre-paille. On redonne du sens au travail en élevant des vaches et en prenant soin de la forêt. On échappe au couperet de l’Etat en cultivant les solidarités et l’accueil. On lutte en dormant et on prépare les alternatives en occupant des terres. Ce n’est pas une utopie, c’est notre réalité de demain qui prend formes sous nos yeux.
Livre paru le 13/06/18 – 180 pages – 14.00 € Les recettes de vente de ce livre iront aux activités développées sur la ZAD.




Rencontre avec Jade Lindgaard, journaliste à Mediapart, autour de son livre « Eloge des mauvaises herbes, ce que nous devons à la ZAD »

Pour la première fois des intellectuels et des écrivains prennent partis pour la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. Ils expliquent que la « zone à défendre » est bien plus qu’un bout de bocage. Dans un monde où tout doit être normé, catalogué, mesuré, homogénéisé, s’y inventent de nouvelles formes de vies et de liberté. C’est un carré de mauvaises herbes dans un paysage artificialisé, calibré, et bétonné.
Sur la ZAD, on existe en commun et on cohabite avec la nature. On partage des rêves et des outils. On sort de l’emprise du marché en construisant sa cabane en terre-paille. On redonne du sens au travail en élevant des vaches et en prenant soin de la forêt. On échappe au couperet de l’Etat en cultivant les solidarités et l’accueil. On lutte en dormant et on prépare les alternatives en occupant des terres. Ce n’est pas une utopie, c’est notre réalité de demain qui prend formes sous nos yeux.

Livre paru le 13/06/18 – 180 pages – 14.00 € Les recettes de vente de ce livre iront aux activités développées sur la ZAD.