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« Notre Dame des Landes : feu vert pour de nouveaux recours »

En conséquence, avec l’aide de nos avocats et juristes spécialisés en droit de l’environnement, nous décidons d’engager les recours adéquats contre ces 4 arrêtés. Des recours juridiques sur le fond vont donc être déposés auprès du tribunal administratif de Nantes en temps utile. 

 

En fonction de l’attitude des porteurs du projet, des référés suspensifs ou interruptifs 
sont prêts à être déposés pour arrêter tout début de travaux concernant la destruction des espèces protégées et la création ou l’amélioration de mares de compensation ainsi que les coupes de bois ou arrachage de haies ou de taillis.

 

Nous rappelons par ailleurs les engagements pris par les présidents de la Région Pays de la Loire, du Conseil Général 44 et de Nantes Métropole, et par le Président de la République, le 8 mai 2012 suite au mouvement de grève de la faim de huit personnes : pas d’expulsion des habitants et paysans sur zone, ayant un titre d’occupation au 8 février 2008 (date de la signature de la DUP) tant que 4 recours juridiques ne sont pas épuisés : il reste à ce jour, le pourvoi en cassation contre les ordonnances d’expropriation.

 

La résistance populaire et citoyenne sur la zone est toujours active et déterminée ; sur tout le territoire national, plus de 200 comités de soutien sont en alerte, prêts à intervenir ici ou chez eux. Nous appelons d’ores et déjà à un rassemblement interrégional à caractère familial et pacifique pour l’abandon définitif du projet et la sauvegarde des terres de Notre Dame des Landes le samedi 22 février à Nantes.

 

Plus d’infos: 

http://www.pays-de-la-loire.territorial.gouv.fr/actes3/web/acte.php?aid=55082

http://www.pays-de-la-loire.territorial.gouv.fr/actes3/web/acte.php?aid=55112

http://www.pays-de-la-loire.territorial.gouv.fr/actes3/web/acte.php?aid=55089

http://www.pays-de-la-loire.territorial.gouv.fr/actes3/web/acte.php?aid=55115

 

Depuis la publication des arrêtés, le projet de NDL revient au premier plan dans les médias et les réseaux sociaux s’affolent

 

– Intervention de Françoise Verchere http://www.rtl.fr/actualites/info/politique/article/notre-dame-des-landes-si-les-travaux-commencent-il-y-aura-une-opposition-sur-le-terrain-dit-une-opposante-7768177830

 

 

– Intervention de Dany Cohn Bendit sur Europe 1 ce matin http://www.europe1.fr/MediaCenter/Emissions/Daniel-Cohn-Bendit/Videos/Le-debat-sur-Notre-Dame-des-Landes-relance-1751697/

 

– twitter https://twitter.com/#!/ACIPA_NDL #nddl #ACIPA

 

– Facebook http://www.facebook.com/pages/ACIPA/345153846717,




Des concerts très « peace and lobe »

Pourquoi la Mutualité Française Bretagne mène des actions de prévention des risques auditifs auprès du public jeune ?

Il faut savoir que les jeunes d’aujourd’hui risquent d’être plus impactés qu’avant par les musiques amplifiées. En effet, on vit de plus en plus en musique. Une étude a démontré qu’un lycéen de 17 ans sur sept a déjà vu son capital auditif perdre 20 décibels, ce qui correspond à l’audition moyenne d’une personne de 50 ans.
De même, 85% des élèves de lycée utilisent un baladeur tous les jours, et 37% ont déjà déclaré avoir ressenti des phénomènes de type « acouphènes », au contact de musique amplifiée.
On s’aperçoit aussi que ceux qui écoutent le plus longtemps de la musique avec leur baladeur sont aussi ceux qui écoutent le plus fort. Le capital auditif de chacun est fragile et s’érode au fil du temps. Ecouter des sons trop forts entraîne une dégradation prématurée et irréversible.

En quoi consiste l’opération « Peace and Lobe » ?

Nous menons cette action, qui existe dans toute la France, en partenariat avec l’Agence Régionale de Santé (ARS) et huit structures dédiées aux musiques actuelles en Bretagne, depuis 2006.
L’objectif est de permettre aux jeunes d’être autonomes vis à vis de leur santé auditive. Durant 2 heures, sur le temps scolaire, les jeunes assistent à un vrai spectacle avec le groupe Lugo, de façon ludique.
A 16-17 ans, on n’a pas toujours bien en tête la notion de risque. Il est important que Peace and Lobe ne soit pas une leçon de « morale », sinon cela n’aura pas d’impact. Durant ces concerts pédagogiques, les musiciens évoquent la musique, mais aussi la physiologie de l’oreille, le son, et le fonctionnement et les risques pour l’audition.
Pour cette rentrée 2013, le spectacle sera également ouvert au public. Pour nous, il était important que le sujet des risques auditifs soit discuté en famille. Ce sera le même spectacle, mais qui se déroulera en soirée, notamment à Rennes, Saint-Brieuc et Vannes.

Quels sont les résultats, les retours, suite à Peace and Lobe ?

Il y a beaucoup d’humour dans le spectacle, une mise en scène théâtralisée, les jeunes passent un bon moment. Nous en revoyons certains 6 mois ou 1 an après : on sent que leurs connaissances au sujet des risques auditifs sont en progression, de petites graines sont semées…Mais c’est plus difficile de se prononcer sur l’évolution des comportements.
De façon plus globale, on observe cependant depuis plusieurs années une très forte augmentation de la demande de bouchons d’oreilles, notamment dans les salles de musique actuelles. Mettre des bouchons est un geste qui s’est banalisé ces dernières années.

 

Plus d’infos

www.bretagne.mutualite.fr




L’eau du robinet est-elle vraiment bonne pour la santé ?

Plume citoyenne – Potable mais pas buvable… L’eau du robinet à parfois un tel goût de chlore que l’on peut douter de ses bienfaits sur notre santé. Voici quelques clés pour mieux connaître cette eau.

Le saviez-vous ? L’eau du robinet répond à 70 critères sanitaires et environnementaux (code de la santé publique (article L.1321-1) et aux 5 paramètres suivants : organoleptiques (coloration, odeur, saveur, turbidité), physico-chimiques (température, pH, chlorures, sulfates), chimiques (substances indésirables, toxiques), microbiologiques et micropolluants.

L’eau du robinet en quelques chiffres….

Ces analyses s’effectuent au point de captage, en production, et en cours de distribution. En France, il existe 33 000 captages, 15 300 stations de traitement pour 16 millions de m² d’eau produits chaque jour. Les traitements de l’eau sont effectués sous l’expertise de l’ANSES (agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation de l’environnement et du travail). Quant aux matériaux qui entrent en contact avec l’eau (tuyauterie, canalisations…), ils font l’objet d’une attestation de conformité sanitaire (article R.1321-48 à 54 code de santé publique). Pour autant, malgré l’efficacité des traitements des eaux, on ne produit pas de l’eau potable à partir de n’importe quelle ressource. Plus la source est dégradée, plus les traitements à mettre en œuvre sont sophistiqués. Réduire l’utilisation des pesticides et des produits d’entretien contribue donc grandement à préserver la qualité de l’eau !

Quels sont les avantages de l’eau du robinet ?

Économique : elle coûte en moyenne 3,40 € par m3. Soit 200 à 300 fois moins cher que l’eau en bouteille par exemple. C’est aussi une eau « presque zéro déchet » puisqu’elle est dépourvue d’emballages jetables. Enfin, il est possible de suivre en temps réel la qualité de l’eau du robinet de son secteur sur le site du Ministère des Affaires Sociales et de la Santé.

Chlore et micro-organismes : une liaison dangereuse

Pour autant, les études ont montré que l’eau du robinet n’était pas si limpide que cela. Avez-vous déjà remarqué son goût de chlore ? Il peut être ressenti à partir de 0,2mg/l. Le chlore est un désinfectant utilisé pour l’élimination des germes pathogènes lors du transport de l’eau dans les canalisations. Selon l’OMS, il ne présente pas de risque sanitaire si l’eau potable est de bonne qualité. Et c’est là que le bât blesse. Une réaction entre les micro-organismes (bactéries, virus ) naturellement présents dans l’eau, et les produits désinfectants peut entraîner la formation de SPC (sous produits de la chloration) dont la limite autorisée est de 100 µg/L.

Qu’entend-t-on par SPC ?

Des Trihalométhanes chloroforme, bromodichlorométhane, bromoforme… Classés cancérogènes possibles selon le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer). Volatils, ils sont absorbés par inhalation, absorption cutanée (douches, bains, piscines) en plus de l’ingestion. Voilà pourquoi il faut toujours bien se laver avant d’aller à la piscine ! On retrouve aussi les acides halo-acétiques (acide monochloroacétique, trichloroacétique…) ou encore l’acide dichloroacétique également classé cancérogène possible selon le CIRC. Peu volatils, ces acides sont absorbés principalement par voie orale. Pas de panique cependant, en France, moins de 2% des débits d’eau dépasseraient les 100 µg/L de SPC selon l’AFSSA et l’Institut de veille sanitaire (IVS)…

Les nitrates en ligne de mire

Autre inconvénient ? La présence possible de nitrates. Un indicateur de pollutions d’origine agricole principalement, qui peut s’accompagner de la présence d’autres polluants tels que des pesticides. De forts taux de nitrates sont susceptibles de provoquer la méthémoglobinémie (syndrome du bébé bleu). Comment ? Dans l’organisme, les nitrates peuvent être convertis en nitrites selon l’acidité de notre estomac. Or les nitrites oxydent l’hémoglobine. La capacité du sang à transporter l’oxygène vers les cellules de l’organisme est donc réduite. Les nourrissons sont les plus exposés à ce risque en raison de la faible acidité de leurs estomacs, et de leur faible capacité à régénérer l’hémoglobine à partir de la méthémoglobine.

Intégrer les bonnes habitudes…

Quelques précautions sont donc nécessaires pour mieux consommer l’eau du robinet : laissez-la couler avant de la consommer lorsqu’elle a stagné dans les canalisations pendant quelques secondes à une à deux minutes (en cas de stagnation prolongée, après plusieurs jours d’absence, par exemple). Utilisez l’eau du réseau d’eau froide pour la boisson, la préparation ou la cuisson des aliments : une température élevée peut favoriser le transfert dans l’eau des métaux qui constituent les canalisations et la dégradation de la qualité bactériologique. Laissez l’eau du robinet dans une carafe ouverte pendant quelques heures dans le réfrigérateur pour éliminer un éventuel goût de chlore et favoriser l’évacuation des éléments volatils. Enfin, l’eau chaude a souvent passé du temps dans un ballon, qui peut être un nid à bactéries. Pour boire et manger, il faut utiliser l’eau froide qui, elle, sort directement du robinet…

Pour aller plus loin :

http://social-sante.gouv.fr/sante-et-environnement/eaux/article/eau-du-robinet

http://www.ecosociosystemes.fr/toxicite_nitrates_pignatelli.htm : Risque de cancérogénicité des nitrates par Dr Brigitte Pignatelli

Le Centre d’Information sur l’eau

http://www.lenntech.fr/applications/potable/normes/normes-oms-eau-potable.htm : normes de l’eau potable par l’OMS

https://www.quechoisir.org/carte-interactive-qualite-eau-n21241/ Carte interactive de la qualité de l’eau

Magazine Nexus n°107 novembre/décembre 2016 pp13-21.

http://www.dangersalimentaires.com/2011/02/carafes-filtrantes-danger-pour-la-sante/

http://nuclearsafety.gc.ca/pubs_catalogue/uploads_fre/info_0766_f.pdf normes et recommandations sur le tritium dans l’eau potable, commission canadienne de sûreté nucléaire

http://www.cancer-environnement.fr/380-Eau.ce.aspx

Etude parue dans le journal of environmental Monitoring Shotyk sur la présence d’antimoine dans l’eau:

W. Krachler M , Chen, B, « contamination of Canadian and European bottled waters with antimony from PET containers »

Etudes diverses sur l’eau potable en France:

« La qualité de l’eau potable en France : Résultats et focus sur quelques paramètres » Laetitia Guillotin, Béatrice Jedor, Charles Saout. Annales des Mines, Responsabilité et environnement.

« L’eau potable en France : le dispositif de prévention et de gestion des risques sanitaires » Bérengère Ledunois, Aurélie Thouet, Bétrice Jédor. Annales des Mines, Responsabilité et environnement.

http://invs.santepubliquefrance.fr/publications/2008/jvs_2008/presentations/s07_risques_eau/damien_mouly.pdf

http://sante.gouv.qc.ca/conseils-et-prevention/contamination-de-l-eau-potable/trihalomethanes/ : Trihalométhane dans l’eau potable




Les océans profonds enfin l’objet d’un vote au Parlement européen

En juillet 2012, la Commission européenne proposait de renforcer très strictement l’encadrement de la pêche profonde en Europe et dans l’Atlantique Nord-Est et d’éliminer notamment les méthodes de pêche les plus destructrices : chalutage profond et filets maillants de fond.

Cette mesure a cristallisé l’opposition du secteur de la pêche industrielle qui a contracté des cabinets de lobbying professionnels pour mener une guerre d’usure à ce règlement au sein du Parlement européen.

Côté société civile, une mobilisation grandissante des chercheurs, des ONG et des citoyens : plus de 300 chercheurs ont signé une déclaration de soutien à la proposition d’interdire les méthodes de pêche les plus destructrices de l’Histoire, plus de 20 000 citoyens ont signé la pétition de BLOOM adressée à François Hollande lui demandant de tenir ses engagements d’ « excellence environnementale ». De nombreuses personnalités apportent désormais leur soutien actif à BLOOM et à la coalition d’ONG « Deep Sea Conservation Coalition ».

L’appel de Richard Branson adressé aux institutions européennes et aux citoyens du monde est désormais visible sur Internet : http://www.youtube.com/watch?v=5ewGs_s0Q1Y, ainsi que les interviews des personnalités engagées pour la préservation des océans profonds : Nicolas Hulot, Allain Bougrain-Dubourg, Marielle de Sarnez, le dessinateur Jul et de nombreux chercheurs et parlementaires http://www.bloomassociation.org/mobilisation-internationale-pour-defendre-les-oceans-profonds/

Une interview de Claire Nouvian, fondatrice de BLOOM sur youtube : http://www.youtube.com/watch?v=s4v7l4naJhA

Gilles Boeuf, Président du Muséum national d’Histoire naturelle et Les Watling, professeur à l’Université de Hawaï ont cosigné une tribune dans le New York Times la semaine dernière (http://www.nytimes.com/2013/10/03/opinion/deep-sea-plunder-and-ruin.html?src=recg) appelant les 25 députés membres de la Commission PECH du Parlement européen à prendre en compte l’immense vulnérabilité des milieux océaniques profonds et à voter avec ambition ce texte décisif pour la sauvegarde du plus grand réservoir de biodiversité que porte la planète.




Les Trophées du Développement Durable 2022 sacrent 7 lauréat.e.s bretons

Cette année encore, Les Trophées du Développement Durable ont récompensé sept initiatives bretonnes en matière de transition écologique et sociale. Pour cette seizième édition, ils ont été remis à Brest, à l’occasion de l’évenement « Plastiques, changement de cap » qui a eu lieu à l’Arena le 1er juillet.

 

Catégorie « Acteur public »

Le prix va cette année à la commune de Lanvallay, dans les Côtes-d’Armor, pour son projet « agricole et solidaire », qui a décidé de réserver 6 hectares de terres situées en entrée de ville pour 3 porteurs de projets, afin de répondre à l’enjeu de l’approvisionnement en ressources locales : une association qui produit des légumes pour le Secours Populaire, une productrice de fleurs coupées sans produits chimiques, et dans le futur un projet de maraîchage pour alimenter les structures locales comme l’ehpad ou les écoles en circuit court.

Plus d’infos : http://www.lanvallay.fr/


Catégorie « Etablissement d’enseignement ».

C’est le Lycée de l’Harteloire à Brest, qui a remporté le trophée. Le projet : une classe de seconde, sensibilisée à la pollution des océans par le plastique, a décidé d’agir en recherchant des alternatives plus respectueuses de l’environnement aux fournitures scolaires traditionnelles.

Plus d’infos : https://www.harteloire.fr/


Catégorie « Association »

Cette année, le prix va à des acteurs rassemblés au cœur du Reeb, le Réseau à l’Education à l’Environnement en Bretagne, qui ont créé l’application « Bernic and Clic ». Elle permet de reconnaître, grâce à des questions-réponses, 130 espèces végétales et animales, présentes sur les littoraux de Bretagne.

Plus d’infos : http://www.eco-bretons.info/les-berniques-a-portee-de-clic-grace-a-lapplication-bernicclic/


Catégorie « Entreprise »

Pour cette édition, le trophée a été remis à l’entreprise finistérienne Gwilen, pour son travail autour de la transformation de sédiments portuaires en matériaux pour le design, l’architecture et la construction.

Plus d’infos : https://www.gwilen.com/


Catégorie « Santé Alimentation »

Le prix va à un groupe de citoyens qui a fondé « Bien Vivre en Bretagne Romantique », une association basée en Ile-Et-Vilaine, qui a pour objectif de « s’appuyer sur les énergies citoyennes pour aller vers une véritable stratégie de développement  local en collaboration avec tous les acteurs du territoire volontaires dans des domaines aussi  variés que l’environnement, la consommation durable et le bien-vivre. ». Un marché ambulant a été créé, et un projet de tiers-lieu culturel et agricole est actuellement en cours de réflexion.

Plus d’infos : https://www.bvbr.org


Catégorie « Mobilité »

La Ville de Landerneau est lauréate, pour son action de création d’un parc de location de vélos à assistance électrique, en libre service et pour de courtes durées.

Plus d’infos : https://www.landerneau.bzh/ti-velo/


Catégorie « Economie circulaire »

L’association « Restachou Mad » est une émanation d’une autre association finistérienne, baptisée Chouet’. Restachou Mad a ouvert un bar-restaurant du même nom, et récupère et valorise des invendus de grandes surfaces et des excédents de producteurs locaux (mareyeurs, maraîchers, éleveurs…)

Plus d’infos : https://www.symettre.bzh/agir-responsable/ressourcerie-alimentaire/




Fête de la nature 2021 | Programme des actions de Bretagne Vivante

Jusqu’au 23 mai c’est la Fête de la Nature !

À cette occasion, retrouvez Bretagne Vivante sur des stands et des animations partout en Bretagne.

la Fête de la Nature est l’occasion de vivre une expérience inédite et gratuite au contact de la nature : visites guidées de sites protégés, balades accompagnées dans les grands espaces naturels protégés, exploration des milieux marins, inventaires d’espèces participatifs, jeux de piste… apprêtez-vous à découvrir la nature de Bretagne sous un nouvel angle !

Pour plus d’informations sur l’événement, rendez-vous sur : www.fetedelanature.com/c-est-quoi-cette-fete

Quelques-unes des activités au programme ce week-end :

Samedi 22 mai :

Moisdon-la-Rivière

10h-14h : Balade printanière dans la Lande et au Pays des Forges

Information et réservation sur : urlz.fr/fHgE

Relecq-Kerhuon :

10h30-12h30 : Balade nature dans la Vallée du Costour 

Initiation à la faune et la flore sauvage en bords de chemin autour d’informations et d’anecdotes naturalistes. Cette balade sera l’occasion de découvrir ou de redécouvrir la vallée du Costour et de partager ses sensibilités au contact de la nature.

Réservation par mail : culture@mairie-relecq-kerhuon.fr

Gouesnou :

14h-15h30 / 15h30-17h : Au fil de la Penfeld

En partant de Gouesnou, nous pouvons parcourir les bords de la Penfeld et (re)découvrir les petits sentiers de bocage, les chemins creux et les nombreux talus et haies environnants. Au travers d’un parcours de découverte du patrimoine naturel, l’objectif est de partir à la découverte de la Penfeld en tant que « zone source ».

Information et réservation sur : www.fetedelanature.com/edition-2021/gouesnou-fete-le-jardin-et-la-penfeld

Dimanche 23 mai :

Plougasnou – La pointe de Primel à la loupe

09h30-12h00 : La marée n’attend pas !

Pas de grasse matinée pour les amoureux de l’estran. Ils ont rendez-vous avec Chloé, l’animatrice de Bretagne Vivante, pour une sortie découverte sur une grève sauvage et particulièrement riche en biodiversité, la plage du camping, à Primel. Algues, mollusques et crustacés à volonté !
Pour tout public. Apportez vos bottes et vos seaux. Réservation auprès de l’Office de Tourisme. 

10h00-12h00 : Petits petons et sensations

Au village des associations, sur la pointe de Primel, Bégé, bénévole à Bretagne Vivante, invite les petits petons sur le chemin qu’elle a créé pour eux à partir d’éléments naturels. A parcourir pieds-nus, les yeux ouverts ou les yeux fermés, au choix !
Départs échelonnés, le matin.
Le parcours restera en accès libre l’après-midi. Pour enfants de moins de 6 ans. Sans réservation.

14h30-17h00 : Trésors de fleurs et de papillons

Entomologiste et bénévole à Bretagne Vivante, Philippe vous attend pour une chasse très pacifique de papillons, sauterelles et autres petits trésors, à condition que le soleil soit au rendez-vous. A ses côtés, Yves, son collègue botaniste de Bretagne Vivante, vous fera découvrir les pouvoirs extraordinaires de la flore des bords de mer, capable de s’adapter aux contraintes du vent, des embruns et de la pauvreté du sol. Une balade-observation à deux voix par deux experts passionnés et passionnants, pour poser un regard bienveillant sur l’infiniment petit de la pointe de Primel.
Tout public. Réservation auprès de l’Office de Tourisme. 

Information et réservation sur :  www.fetedelanature.com/edition-2021/la-pointe-de-primel-la-loupe

Brest – Jardin du conservatoire botanique national (Stang Alar)

14h-18h :

  • Stand observation des oiseaux d’eau

Découvrir et apprendre à observer les oiseaux, c’est porter un autre regard sur le Stang Alar. Venez vous initier à l’ornithologie. Les longues vues à disposition    vous permettront de faire le plein de sensation.

  • Découverte des odonates

Aéronefs, hélicoptères ou zygoptères ? Elles passent leur vie entre deux mondes, qui sont ces insectes qui peuplent nos plans d’eau et leurs berges ? De leurs  premiers jours aquatiques à leur fin de vie aérienne, venez découvrir l’univers fascinant des libellules et des demoiselles

  • Rallye Nature

Jeu grandeur nature où questions, énigmes et missions rythment le parcours. Ce format ludique permet une découverte accessible et attrayante du Stang Alar.  Entre amis ou en famille, les épreuves amèneront à réfléchir autant sur la faune et la flore ordinaires, que sur des espèces protégées.

  • Atelier d’initiation à la botanique

Balade botanique autour des plantes sauvages du Vallon. Loupe, véritable amie du botaniste, à disposition pour explorer le monde fascinant des plantes et s’initier à leur reconnaissance.

  • Stand associatif

Rencontre avec les bénévoles de l’association. Présentation des activités, des sorties et des groupes thématiques.

Plus d’informations sur :  www.fetedelanature.com/edition-2021/fetons-la-nature-au-conservatoire-botanique-national-de-brest