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Le projet FreeganTruckTour a besoin de solidarité !

Nous sommes 4 étudiant.e.s : Maya, Lou, Lorette et Manoé, motivé.e.s pour changer les choses à notre échelle ! Et c’est pourquoi, dans le cadre du PIC (projet d’initiative en communication) de notre formation, nous avons décidé d’allier nos centres d’intérêts à nos projets de formation. En effet, nous sommes tous les 4 en BTS GPN (gestion et protection de la nature) et donc sensibles à l’environnement, au développement durable et à la sensibilisation/valorisation auprès du public. 

La problématique que nous avons choisi de traiter est : Comment sensibiliser la population au gaspillage alimentaire en sachant qu’il représente 8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre ? 

Pour répondre à cette problématique, nous allons, à l’aide de nos différents partenaires, récupérer les invendus de plusieurs établissements (Boulangeries, supermarchés, traiteurs, agriculteurs..) et les cuisiner à l’aide d’un chef local Pierre Antoine Jasselin des “Temps Bouilles” au sein de la cuisine de Carré d’as pour les distribuer gratuitement à un public diversifié sur le marché de Morlaix. Cette action a pour but de communiquer et sensibiliser différents publics sur le gaspillage alimentaire afin de bouger les choses de manière locale ! 

C’est pourquoi aujourd’hui nous avons besoin de vous : pour acheter le nécessaire pour assaisonner nos bons petits plats, les protections sanitaires, les contenants biodégradables et toutes les petites choses pour communiquer.

Nous avons pour cela créé une cagnotte Leetchi : 

https://www.leetchi.com/c/freegan-truck-tour?utm_source

Nous avons besoin d’un petit coup de pouce, alors n’hésitez pas à y participer et à partager à vos contacts ! 

Merci beaucoup,

Le Freegan Truck Tour




Un défi pour une alimentation positive

Envie de découvrir comment mieux manger tout en n’augmentant pas son budget ? Alors les « Défis Foyers à Alimentation Positive » sont fait pour vous ! A Rennes et sur le territoire de Redon Agglomération, de nouvelles opérations sont lancées en ce début 2021.

Depuis plusieurs années, les « Défi Foyers à Alimentation Positive » essaiment dans toute la France. En Bretagne, au fil des ans, il y en a eu dans tous les départements. L’objectif de ces opérations : relever pendant plusieurs mois le défi d’augmenter sa consommation de produits locaux et de saison, tout en conservant un budget équilibré et en se faisant plaisir. Le tout en étant accompagné par des associations, et en participant à des animations et temps d’échange. Les Défis s’adressent à tous : familles, personnes seules, retraités, étudiants…

En ce début d’année , c’est à Rennes et sur le territoire de Redon Agglomération que vont être lancées les prochaines opérations.

A Rennes, c’est la Maison de la Consommation et de l’Environnement qui anime le défi, dans le quartier de Bréquigny. Le principe : les foyers participants seront répartis en deux équipes, l’une accompagnée par la MJC Bréquigny, l’autre par la MJC Maison de Suède. Durant six mois, chacune des équipes devra relever le défi « Alimentation positive ». De janvier à juin 2021, les foyers seront invités à participer gratuitement à un programme d’animations et de rencontres : visite de ferme afin de connaître des producteurs locaux, échanges avec une diététicienne, cours de cuisine, atelier jardinage, partage de trucs et astuces…ainsi qu’à des moments informels : repas partagés, achats groupés…

Deux temps de lancement du défi sont organisés le 23 janvier, à 10h à la MJC de Suède (préinscriptions au 02 99 51 61 70 ) et à 14h à la MJC de Bréquigny (préinscriptions : accueil@mjcbrequigny.com  )

Sur le territoire de Redon Agglomération, le défi, qui se déroule dans le cadre du PAT (Projet Alimentaire de Territoire) sera lancé en février. Le principe est le même que celui de Rennes. L’inscription est d’ores et déjà possible via un formulaire :https://framaforms.org/pre-inscription-defi-alimentation-positive-2021-redon-agglomeration-1608220574

Plus d’infos

https://www.lafede.fr/evenements/3eme-defi-alimentation-positive/

https://www.mce-info.org/manger-sain-et-local-dans-depenser-plus-relevez-le-defi/



Julie sensibilise les enfants à la protection des océans

La costarmoricaine Julie Lostanlen, designer graphique, illustratrice freelance mais aussi surfeuse, a créé son premier livre pour les tout-petits. Objectif : les sensibiliser sans dramatiser à la pollution des océans, grâce à Iris, un pingouin surfeuse et globe-trotteuse.

Iris est un pingouin surfeuse et globe-trotteuse. Elle part avec son ami Tourto le crabe à la découverte de spots de surf, un peu partout sur la planète. Durant leur périple, les deux amis vont faire de nombreuses rencontres, mais vont également prendre conscience de la pollution des océans, à cause notamment du plastique…

Voilà résumé en quelques mots le livre pour enfants « Iris la surfeuse globe-trotteuse », imaginé et conçu par Julie Lostanlen. La jeune costarmoricaine, designer graphique et illustratrice freelance depuis 2 ans, en a eu l’idée suite à la naissance de sa nièce, qui porte le même prénom que l’héroïne du livre. « Je me sentais un peu impuissante, malgré ma conscience écologique, face aux dégradations de l’environnement. Ma nièce Iris est née au début du premier confinement, et j’ai voulu trouver un moyen de la sensibiliser à la protection de la nature, via quelque chose qui lierait le surf et l’illustration », explique-t-elle. Ainsi naît le projet d’un livre, qui intéresse, au fil des discussions, de plus en plus de monde. Julie décide alors de lancer une campagne de financement participatif, qui est un succès, et parvient à auto-éditer son ouvrage à 300 exemplaires. Il est imprimé sur du papier 100 % recyclé, dans une entreprise de travail adapté à Quimper.

Surfeuse depuis 14 ans, Julie a vu au fil des années la pollution des mers par le plastique s’accentuer. « En surfant, on la voit. On a toujours vu des bidons en plastiques dans l’eau après des tempêtes. Mais aujourd’hui, il y a de plus en plus de microplastique, dans le sable par exemple ». Elle a été particulièrement marquée par la situation lors d’un voyage au Maroc, où une décharge « se déversait littéralement dans l’océan ». Grâce à son livre aux jolies couleurs, Julie espère ainsi aider à sensibiliser les enfants dès le plus jeune âge, de manière pédagogique, sans dramatiser et sans culpabiliser, en présentant les faits. « Iris la surfeuse globe-trotteuse » aura peut-être une suite, qui sera quant à elle consacrée aux solutions pour lutter contre le fléau de la pollution plastique.

Plus d’infos

www.lost-graphic-design.com/livre/




La Cantine Mutine, un traiteur-food-truck bio, végétarien et zéro déchet à Douarnenez

A Douarnenez (29), Clémentine et Saïda ont créé « La Cantine Mutine ». Un traiteur et caravane food-truck qui propose une cuisine locale, bio, végétarienne, et zéro déchet.

La Cantine Mutine, c’est le nom du projet imaginé par Saïda et Clémentine. Un food-truck et traiteur dont l’idée à germé il y a trois ans à Douarnenez suite à la rencontre des deux jeunes femmes, et qui est opérationnel depuis août 2019. « Nous avions toutes les deux des envies similaires, créer quelque chose autour de la nourriture », explique Clémentine. Saïda, d’origine russe, a vécu un moment au Canada, où elle suivait des études en relations internationales, puis a décidé de changer d’orientation pour se tourner vers sa passion, la cuisine. Clémentine, elle, était auparavant journaliste reporter d’images. La création de la Cantine Mutine est donc pour les deux jeunes femmes un véritable virage professionnel.

Le concept de leur entreprise de restauration s’articule autour du bio, des produits locaux, et du végétarisme. « On utilise les ressources qui sont autour de nous pour cuisiner : par exemple du chanvre, des algues… », précise Clémentine. Des recettes sont ainsi revisitées : ainsi les fameuses « feuilles de vignes » ont été réinventées avec du millet de Plounéour-Lanvern !

La Cantine Mutine a mis également en place une démarche « zéro déchet » . « La vaisselle utilisée est lavable, on invite les gens à venir avec leurs propres boîtes, et on cuisine nos plats dans cette optique, pour que ça soit facile de les transporter », évoque Clémentine, qui composte également les déchets organiques.

Si le Food Truck est actuellement en pause et reprendra du service fin avril, la Cantine Mutine propose des plats à emporter à retirer à l’Epicerie Locale de Douarnenez. Des desserts sont aussi disponibles à emporter à la librairie de L’Angle Rouge, une librairie coopérative située dans la même ville. L’été, le Food Truck se déplace sur le marché bio de Pont-Croix. Et dès que la situation sanitaire le permettra, « on reprendra l’activité traiteur sur les événements et le catering », conclut Clémentine.

Plus d’infos et contact : La page Facebook de La Cantine Mutine

Email : lacantinemutine@netcourrier.com




Ce week-end, comptez les oiseaux !

Pendant deux jours, ce week-end, les associations Bretagne
Vivante et le Geoca (Groupe d’Etudes Ornithologique des Côtes
d’Armor)
invitent tout un chacun à participer à une
opération de comptage des oiseaux. Pendant une heure, prenez le
temps d’observer la nature et notez les différentes espèces
présentes autour de vous !

Le principe est simple. Durant le week-end, pendant une heure,
chaque participant est invité à observer et à compter les oiseaux
présents sur son lieu d’observation (jardin, parc, école…). Des
fiches d’observation sont disponibles sur le site des associations
participantes. Enfin, afin de ne pas compter deux fois le même
oiseau, ce conseil simple : « Ne notez que le nombre
maximal d’oiseaux de la même espèce observés en même temps. Si
vous observez successivement 4 mésanges bleues, puis 2 et enfin 1,
ne notez que 4 mésanges bleues ».

D’autres outils, comme des dépliants et des guides, sont disponibles pour faciliter l’identification des oiseaux. Vous les retrouverez sur le site des différentes associations. Le jour J, il sera également possible de saisir les informations en ligne sur le site internet de l’association Bretagne Vivante.

Ces comptages permettent de connaître l’évolution des populations des différentes espèces. « Cette opération se veut à la fois un moment de sensibilisation et d’information sur les oiseaux les plus communs », nous apprend le site de Bretagne vivante.

Plus d’informations: https://www.bretagne-vivante.org/Actualites/Les-25-et-26-janvier-comptez-les-oiseaux-des-jardins-dans-toute-la-Bretagne-historique

Présentation de l’opération



Portrait de femme n°8. Louise Robert, l’exploratrice de la transition

Rencontre avec Louise Robert, fondatrice du micro-festival éco-engagé La P’Art Belle, à Sarzeau dans le Morbihan. Elle nous raconte ce qui l’a poussée à créer un événement à taille humaine qui mêle musique et écologie.

C’est au Hub Enerco (voir encadré) à Locminé, dans le centre-Morbihan, que se fait la rencontre avec Louise. Un lieu dans lequel elle a pu travailler sur son projet, à savoir le festival La P’Art’Belle, micro-festival écoresponsable, dont la deuxième édition a eu lieu les 31 juillet et 1er août à Sarzeau. « Un événement durant lequel on sensibilise les publics aux transitions environnementales et sociétales », précise la trentenaire, originaire de la Roche-Bernard. Un festival qui fait sens dans le parcours de Louise, et sur lequel elle travaille depuis trois ans maintenant, toujours en tant que bénévole pour le moment.

Tout démarre lors de ses études, en communication, qui lui permettent d’effectuer des missions dans le même domaine. Elle devient en parallèle bénévole dans des associations, notamment au sein de la radio Plum’Fm. « Après, j’ai commencé à travailler dans des festivals, notamment en tant que responsable éditoriale aux Francofolies de la Rochelle », raconte-t-elle. Par la suite, Louise travaille pour des salles de concerts, et dans d’autres associations, en Seine-Saint-Denis, toujours dans le secteur culturel. En 2016, elle fait le choix de quitter son emploi pour s’investir davantage dans le champ des transitions écologiques et sociétales. Elle rejoint en même temps le collectif « Des Liens » créé par l’artiste Dominique A, dans l’idée de rendre la culture accessible au plus grand nombre. C’est à la même période que Louise commence à écrire son projet de micro-festival.

Le déclic s’est produit « à force de suivre l’actualité », se souvient-elle. « Mais aussi à force de voir toute la surconsommation sur les gros festivals, à la fois en termes de concerts mais aussi tous les déchets générés sur place, l’énergie utilisée, et la nôtre, car finalement on revient d’un week-end et on est épuisés, même si on a vécu des bons moments. ». Même si elle considère que ce type d’événement est par nature « un bel outil, fédérateur », il est nécessaire « de les repenser, en tout cas les formats actuels ». « J’ai donc réuni tout ça, avec justement un intérêt personnel très fort vis à vis des transitions. Je ne savais pas trop quoi faire à mon niveau. Je me suis dit que j’avais des compétences, est ce que je ne pouvais pas les mettre au service de ces enjeux politiques et sociétaux ? ».

La transition ? « Une sorte d’exploration »

C’est ainsi que Louise a commencé à s’investir « personnellement et professionnellement «  en faveur de la transition. Un mot qui évoque pour elle « Une sorte d’exploration, on passe d’un état à un autre, mais en explorant ce qui se fait autour de soi ». C’est aussi pour ça qu’elle a choisi de nommer son projet La P’Art Belle : « En revenant sur le territoire breton, j’ai vu qu’il y avait énormément d’initiatives et d’acteurs qui sont mobilisés à l’année sur ces sujets, qui le font un peu dans l’ombre. J’avais envie de les mettre en lumière. On donne « la part belle » à des acteurs et des actrices qui sont mobilisés en faveur des transitions, et qui nous permettent de nous adapter en fait à ces problématiques auxquelles nous sommes confrontés ». Les femmes ont également toute leur place à prendre dans ce grand mouvement de la transition, selon Louise. « On en voit beaucoup qui se mobilisent sur ce sujet, je pense que ça évoque beaucoup de choses, notamment parce que certaines sont mamans. L’avenir de leurs enfants est important, elles ont envie d’avoir une action concrète pour permettre de changer un peu le monde dans lequel ils vont évoluer ». « Les femmes ont aussi une sensibilité qui est différente », poursuit-elle. « On a subi pas mal de choses ces dernières années, on a mis du temps à avoir certains droits. Aujourd’hui, avec les mouvements de prise de parole et d’actions, beaucoup de femmes reprennent confiance. J’ai été dans le secteur culturel événementiel, un secteur où il y a beaucoup de sexisme, de discriminations. Et j’en ai été victime aussi. », poursuit la jeune femme qui avoue aussi que son désir de changer de voie professionnelle est lié en partie à cette situation, qui l’a marquée. « Avec La Part Belle, j’ai voulu faire les choses à ma façon, avec un management qui résonnait plus avec qui j’étais, et les valeurs que j’avais envie de défendre ».

On sait très bien qu’il y a des problèmes, des enjeux qui sont déterminants pour les années à venir, mais qu’est ce qu’on fait ? On se met la tête dans les mains? Ou est ce qu’on va de l’avant et on essaie de trouver des solutions ensemble ? Il faut aller dans le sens des transitions environnementales de façon active et non culpabilisante »

Faire ensemble, sur un territoire, donner la part belle à des personnes qui se mobilisent sur les transitions, telles sont les leitmotivs de Louise. « Il faut ramener un peu de joie sur un sujet qui parfois fait peur, ou peut désintéresser certaines personnes qui ne se sentent pas concernées ». Avec son micro-festival, elle souhaite aussi « créer une ambiance de festival différente, un format à taille humaine où les gens peuvent discuter ensemble, voient l’artiste, sur un cadre assez exceptionnel, témoin du patrimoine local ». Un « slow festival », à l’encontre des événements-usines qui poussent comme des champignons, avec de nombreux engagements écologiques et sociaux (jauge réduite, réduction des déchets, récup’, utilisation d’énergie renouvelable, alimentation bio à 80% et locale, travail sur l’accessibilité…) et où l’on prend le temps des rencontres. « Tout ça, ça me passionne », confie Louise en souriant. « Je découvre des projets, des artistes, on met en relation des gens, on expérimente…C’est motivant de rencontrer des acteurs de secteurs complètement différents qu’on arrive à mettre en lien sur un événement ». C’est là que la bretonne trouve son énergie, ainsi que dans l’équipe qui l’entoure, et les cinquante bénévoles qui sont réunis sur le festival. Ce qui l’enthousiasme ? « Découvrir des solutions, se dire qu’il est possible de changer. Et comme je l’ai compris, j’ai envie de le diffuser autour de moi et de le faire dans un cadre qui permet de ramener du beau dans nos sociétés. On sait très bien qu’il y a des problèmes, des enjeux qui sont déterminants pour les années à venir, mais qu’est ce qu’on fait ? On se met la tête dans les mains? Ou est ce qu’on va de l’avant et on essaie de trouver des solutions ensemble ? Il faut aller dans le sens des transitions environnementales de façon active et non culpabilisante ». Ce qui révolte Louise au contraire, c’est la trop grande division qui règne aujourd’hui dans la population. « On se trompe vraiment de sujet à se mettre les uns contre les autres, et à culpabiliser les gens. Je trouve que ça complexifie encore plus les enjeux auxquels on est et on va être confrontés dans le futur. C’est important de discuter ensemble et d’être tolérant vis à vis de ce que pense l’autre, et de trouver le juste milieu ensemble pour qu’on puisse s’adapter à tout ce qui va se passer ». « Il faut aller vers quelque chose de plus enthousiasmant, et ce n’est pas ce qu’on nous propose aujourd’hui », déplore-t-elle. Et regrette aussi le manque de décision structurelle. « On a vu qu’il était possible de prendre des décisions fortes quand il y a urgence, c’est ce qui s’est passé ces derniers mois. Ce qui m’agace c’est de voir que sur un sujet sur lequel on parle depuis les années 70, il n’y a pas de décisions majeures qui se prennent. Pourquoi ? Concernant la transition écologique, c’est trop lent. Il y a des dates clés qui sont données, 2030, 2050. Pourquoi on ne va pas plus vite, et plus fort ? ». Un des leviers selon elle ? Le vote. « Il faut se saisir de la politique. Et inviter les jeunes qui se mobilisent pour le climat à voter pour ceux ou celles en qui ils croient pour les années à venir ». L’espoir dans le futur, c’est aussi ce qui anime Louise, qui aimerait voir son projet se développer, créer d’autres actions à l’année, vivre de cette activité, travailler en réseau. Et « contribuer à des rencontres, et pourquoi pas à des actions de territoire, à une solidarité dont on a besoin pour s’adapter face à ces enjeux climatiques, environnementaux, sociaux, sociétaux, économiques…autant de sujets sur lesquels il y a de quoi faire ! ».

Hub Enerco, Kezaco ?

Le Hub Enerco est lieu dédié à l’économie, mis en place par Centre Morbihan Communauté, à Locminé (56). Il propose trois offres distinctes : un espace de coworking, des bureaux à louer, et un incubateur d’entreprises éco-engagées. Un concours a ainsi été lancé en janvier, afin de sélectionner 10 projets qui bénéficieront alors d’un accompagnement pour la création de leur activité.

Plus d’infos sur https://www.hubenerco.bzh/


A noter dans vos agendas : La P’Art Belle vous propose une « capsule automnale » le samedi 2 octobre dans le parc du château de Kerlevenan à Sarzeau (56). Au programme :

  • Visite et échanges autour de l’exposition « Terres & Mers nourricières du Morbihan et d’ailleurs »& Initiation à la photographie avec l’équipe de l’association Ar’images (venez avec votre appareil photo!)
  • Une balade surprise et des jeux pour enfants
  • Un concert de l’artiste Hugo Barriol (folk) dans la chapelle du domaine

Plus d’infos sur l’événement Facebook